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J'ai surtout apprécié les dessins : peinture couleurs pastels,
Ensuite, l'histoire se lit, elle est presque agréable, cependant rien de d'exceptionnel scénaristiquement parlant...
Et en accord avec l'avis de Minot, je ne reconnais pas le Scorpion, que je trouve insipide...
Ce qui surprend dans ce nouveau cycle ce n'est pas tant le dessin qui change de style (tout en restant de grande qualité) mais le scénario qui semble perdre l'influence pop de Marini pour ne garder que l'aspect enquête historique. C'est très intéressant, notamment dans les hypothèses bibliques qui rejoignent les idées du premier cycle) mais on perd la deuxième jambe cape et épée et surtout l'esprit agaçant mais si héroïque du Scorpion. Du coup on a l'impression de lire une BD historique Glénat, ce qui change résolument les grandes qualités de la série d'origine.
Le potentiel reste bon, avec cette quête de la fille et ces ouvertures sur la Kabbale qui permettent tellement de possibilités ésotériques et conspirationnistes. Mais il ne faudrait pas trop tarder à retrouver l'esprit flirtant avec le fantastique qui avait apporté tant d'espoir avec le chevalier du trèfle de la fin des albums Marini...
Hé ben, il n'est pas si mal que ça le dernier Scorpion.
Si l'intrigue historique nous tient en alerte sans vraiment nous passionner, l'intérêt est vraiment (pour moi) dans l'intrigue secondaire; celle qui anime le Scorpion dans sa nouvelle quête.
Après avoir passé une bonne partie de l'album à lire avec une passion toute relative, la scène finale relance tout l'intérêt du prochain tome (ils sont forts quand même!).
Une bonne bd qui n'est pas au sommet de la série, mais pas non plus dans la catégorie infréquentable.
Nouvel album, nouveau dessinateur.
La transition graphique passe très bien. On voit par moment les différences de coup de "patte" des artistes mais l'univers est bien respecté, personne ne devrait crier au scandale.
Une petite étincelle dans l'intrigue pourrait donner un élan suffisant pour faire redémarrer la saga. Ce n'est pas tonitruant, mais ça a au moins le mérite de prendre son temps pour poser les bases d'une histoire qui peut être en vaudra la peine.
Espérons que pour la suite, la déception ne soit pas au rendez vous comme pour le tome précédent.
Sympa, sans plus. On est dans le bon divertissement, mais ça n'a plus la saveur des premiers épisodes.
Le dessin, déjà, est clairement un (voire deux) crans en-dessous de ce que faisait Marini (bien que je conçoive qu'il s'agisse d'une affaire de goût et que certains lecteurs préféreront la patte de Critone ... ce qui n'est pas mon cas).
Niveau scénario aussi c'est moins emballant. C'est moi ou ce nouveau Scorpion fait penser à CORTO MALTESE ? Beau gosse, mélancolique, chercheur de trésor, ironique, séducteur, déchiffreur d'énigmes ... LE SCORPION m'a beaucoup trop fait penser au héros de Pratt dans cet épisode, d'où une lecture un peu gênante.
Un tome correct dans l'ensemble, mais, comme le précédent volume, ça manque de bagarres à l'épée et de scènes érotiques pour retrouver pleinement l'ambiance de la série.
Depuis trois jours et trois nuits, Rome pleure son pape bienaimé.
Le Scorpion, sous le nom d’Armando Catalano a su s’introduire dans la bonne société romaine en distribuant des morceaux des saintes reliques. Les grandes dames n’hésitent pas à lui témoigner leur gratitude en payant de leur personne.
Pendant ce temps, l’horrible cardinal Trebaldi assassine les deux cardinaux qui pourraient s’opposer à sa nomination en qualité de nouveau pape…
Méjaï, l’empoisonneuse égyptienne tente de retrouver la trace de Scorpion grâce à son chat noir.
Critique :
Plus que jamais l’ascension du cardinal Trebaldi vers le siège papal semble impossible à stopper. Le Scorpion s’évertue à arrêter ce fourbe criminel qu’aucun forfait ne rebute. Pour ce faire, la vraie croix de saint Pierre semble être la seule solution… Mais où se trouve-t-elle ?
Là, le scénariste, Stephen Desberg, nous embarque vers un voyage au long cours qui verra les sbires du cardinal Trebaldi poursuivre le Scorpion jusque dans son antre secrète, avec, toujours dans ses pattes, Méjaï et ses poisons. Les scènes de cape et d’épée, très nombreuses, sont accompagnées de parties de jambes en l’air et de trahisons-alliances-trahisons avec une empoisonneuse qui rêve d’accomplir son contrat, tuer le Scorpion, tout en étant attirée par ce bel homme.
C’est de l’aventure pure, fort bien mise en image et en couleur par un Enrico Marini qui, en plus de personnages virevoltants nous offre des décors somptueux, parfois bucoliques tout droit sortis de tableaux du XVIIIe siècle.
Pour les amateurs d’aventures, d’humour et de rebondissements, la série Le SCORPION est du pain béni car elle verra notre héros-justicier dans les scènes les plus variées.
j'ai bien aimé cet album qui apporte une théorie intéressante sur l'Exode de Moise dans le désert et les origines du peuple juif.
Akhenaton n'a décidément pas fini de faire fonctionner notre imaginaire.
les dessins de L Critone sont très bon comme d'habitude.
ses mises en couleur sont nettement moins flashy que celles de E Marini.
l'on aime ou pas c'est clairement une question de gout.
bref, une bonne BD bien dans la lignée des autres Scorpions.
Comme beaucoup de belles séries, difficile de tenir le niveau … là, il manque beaucoup de choses … le dessin, la mise en page, la structure, la matière, une théorie fumeuse … j’ai trouvé ça complètement transparent, aussitôt lu, aussitôt oublié !
Dommage …
Depuis le treizième tome, c'est Luigi Critone qui a repris le dessin sur cette série après l'excellent Enrico Marini. Il est vrai que je considère Enrico Marini comme l'un des meilleurs dessinateurs au monde tant son graphisme me séduit littéralement à chaque fois.
Force est de constater que Luigi, même s'il fait tout ce qu'il peut, n'arrive pas à la cheville du grand maître, n'en déplaise à l'éditeur et au prolifique scénariste. Cependant, il n'est jamais facile de reprendre la suite d'un autre dessinateur surtout quand une série est installée depuis une vingtaine d'années.
Ceci dit, on suit toujours avec plaisir les aventures égyptienne du Scorpion à la recherche d'un trésor qui lui permettrait de sauver sa fille ainsi que la vénéneuse Méjaï.
C'est un tome intéressant car il développe une thèse selon laquelle la religion monothéiste d'un pharaon maudit par les siens serait à l'origine de la religion hébraïque. Il est question de manipulation des idées dans le fondement même d'une religion appréciée par des millions de fidèles. Il ne faudrait pas tout remettre en question.
Bref, l'enjeu devient un peu plus ambitieux même si au final, on reste sur un personnage qui n'a toujours pas réussi à récupérer sa fille. On suivra ses prochaines aventures avec toujours le même plaisir.
Ce treizième volume commence plutôt bien puisque l’excellent Luigi Critone tient haut la main le pari avec une colorisation directe très élégante bien qu’un peu plus terne que celle de son compatriote. Je n’avais pas beaucoup d’inquiétude sur la partie graphique, ayant pu apprécier la qualité des planches d’un Je François Villon ou du récent succès Aldobrando. Les premières planches reprennent en outre la dynamique particulière du Scorpion avec ses contre-plongées hautement cinématographiques dirigées vers l’action. Le nouveau méchant est très charismatique et l’idée d’introduire la Kabbale et le rabbin hérétique Jacob Frank dans l’univers archéologique et religieux du Scorpion est très bonne!
Pourtant on peine un peu à s’intéresser à cette histoire aux dialogues compliqués et aux quelques ratés de découpage assez surprenants de la part de deux auteurs chevronnés. Si les scénarii de la série ont toujours été assez linéaires sur un fonds complexe, la puissance graphique de Marini et l’action omniprésente équilibraient des intrigues à tiroir et références historiques pointues. C’était la force de cet équilibre qui a permis d’attraper un très large public. Or on a le sentiment ici que la moitié action a disparu avec Marini et que l’on retombe dans une BD historique à la mode Glénat (époque Triangle secret). Ce n’est pas un défaut en soi mais ce n’est pas l’ADN du scorpion, série de cape et d’épée épique et enlevée par une action et un humour léger. [...]
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/02/26/le-scorpion-13/
Dommage pour la deuxième image de la planche 2 qui attire notre attention sur l'étoile de David en image 1 que porte notre cosaque juif albinos, il a du la ranger discrètement, car tout au long de l'album il ne la porta plu. Ou alors c'est l'indice phare permettant le dénouement de l'aventure dans le prochain album lorsque le scorpion amené à indaguer à Cracovie, ...
Je me réjouissais de découvrir ce nouvel album. Quelle déception, à la fois concernant l'intrigue, mais surtout le dessin. Les arrières plans sont flous et les couleurs très pastelles. J'avoue ne pas retrouver le plaisir que j'ai eu pour cette série qui est une de mes préférées.
Une vraie bonne surprise ! Je m'étais lassé des intrigues autour des grandes familles et des jérémiades des Trebaldi... Nouveaux lieux, nouvelle intrigue... et nouveau dessin (j'avais un peu peur mais il y a un vrai charme à cette nouvelle coloration... seul bémol: le visage d'un même personnage peut varier d'une planche à l'autre... dommage). Notre Scorpion semble avoir perdu un peu de sa mégalomanie... et ce n'est pas plus mal. Attendons la suite...
J'ai apprécié cet album, qui donne un coup de frais à cette série.
Cela m'a fait penser à un Indiana Jones !
Les dessins sont très réussis.
Le grand méchant est bien trouvé : un cosaque juif albinos.
Bien envie de connaître la suite de l'histoire.
j'aime beaucoup Luigi Critone et ses dessins que je trouve toujours réussis.
cependant reprendre une série comme le Scorpion derrière quelqu’un comme Enrico Marini n'est pas facile et c'est un euphémise tellement celui-ci met la barre haute aussi bien au niveau des dessins que des couleurs.
c'est sur ce dernier point qu'il y a une nette différence.
en effet, les couleurs de Marini sont plus chaudes et brillantes.
celles de Critone plus ternes mais c'est son style.
les dessins sont par ailleurs très bons avec certes un peu moins de détails dans les décors.
mais dans l'ensemble c'est assez réussi.
je suis un peu moins convaincu par le scénario un peu trop capillotracté et assez peu crédible.
j'attends néanmoins la suite pour voir ou cela nous mène pour avoir un avis plus tranché.
Le tome 12 concluait les aventures du Scorpion avec un lot de questions ouvertes, va-t-il arriver de l'autre côté vivant ? Va-t-il retrouver Méjaï ? Porte-t-elle vraiment son enfant ?
Mais surtout, ce tome concluait avec brio le cycle des Familles.
Et ça aurait peut-être été mieux comme cela !
Sur le tome 13:
Au niveau du scénario, on se retrouve à suivre le Scorpion de page en page sans réellement qu'il y ait de surprises. Je trouve que les personnages perdent en profondeur.
Au niveau dessin, il est dans l'ensemble plaisant, mais il manque cruellement de détail sur les arrières-plans (tête sans visage, dessin de paysage sans contour).
Et sur la dernière page, gros plan sur Méjaï et là je suis revenu en arrière pour voir comment elle était habillée parce que je ne l'ai pas reconnue ...
A voir le prochain tome ... mais je vais peut-être m'arrêter-là !
Retour gagnant pour le Scorpion.
Ayant acheté cet album en "click and collect", je n'ai pas eu l'occasion de le feuilleter avant.
Aussi, cette nouvelle aventure du Scorpion est restée sur ma pile de lecture en attente depuis un moment, de peur d'être déçu de cet après Marini.
Et bien, je me trompais, Critone a repris avec brio la relève de Marini, même si les premières pages sont un peu figées, la suite est d'un très bon niveau.
Certes, le côté "capes et épées" est un peu moins présent ici mais le suspens ne manque pas, entre la recherche d'un enfant (hypothétique?) du Scorpion et celle d'un mystérieux Tamose, qui remettrait en cause certains épisode de l'ancien testament.
Nous retrouvons avec ce nouveau cycle , outre Méja, le commandant Vazlar, mais surtout le seigneur Golam, nouvel adversaire désigné du Scorpion.
Même si le dessin de Critone est un peu moins alerte que celui de Marini, je suis resté subjugué par les couleurs employées, qui collent parfaitement à cet Orient mis en image par Critone.
Une très bonne surprise au final.
Un album bien construit qui se lit avec plaisir, un peu moins d'action que d'habitude peut être mais un scénario plus travaillé, je regrette simplement quelques égarements dans le dessin de temps en temps où l'on a l'impression d'un manque de finition dans certaines cases notamment au niveau des visages. Mais prêt pour la suite des aventures de SCORPION
Quelle déception.
Même si je n'ai jamais rien eu contre la reprise par un autre dessinateur de mes héros d'enfance (je viens de boucler un Alix), le dessin de Marini manque cruellement devant des cases bien moins travaillées. C'était pourtant l'une des forces de cette saga, s'arrêter et contempler, mais quoi faire devant par exemple la case 2 page 15où j'en ai même été sorti de l'histoire... Une histoire plus ramassée sur son intrigue (ca aide, parce que cette saga, on commence à s'y perdre à force). J'ai plus de mal à digérer cette couverture un brin mensongère sur son lieu où l'arrivée de nouveaux personnages peu originaux.
Bref, à feuilleter pour se faire une idée (piégé par le click and collect), j'ai perdu toute attirance pour les visages du scorpion ou de Medjaï sous ce trait de crayon.
Le dessin de Critone est moins fin et moins dynamique que celui de Marini mais l'ensemble reste très attrayant. Un album qui démarre un nouveau cycle bien prometteur, entre déchiffrage d'une énigme archéologique et recherche d'un hypothétique enfant pour LE SCORPION, et qui présente l'originalité de se dérouler dans des décors et une ambiance très "orientale" (Egypte, empire ottoman), loin de Rome et de son atmosphère Renaissance (dont on avait fait largement le tour).
Un bon album, même s'il manque un chouilla de bagarres et de combats à l'épée pour être au niveau des précédents.
Bon album que ce volume 13 de la série.
J'ai été très choqué lorsqu'en ouvrant le volume, je me suis aperçu que Marini n'était plus de la partie...
Après avoir fait mon deuil (Marini est un de mes artistes préférés), et m'être familiarisé avec les cases de monsieur Luigi Critone, je me suis dit que ce trait passait très bien, et que ma foi, mis à part une certaine "action figée" qu'on pourrait lui reprocher, j'adopterai finalement bien ce nouveau dessinateur.
Coté scénario, Desberg part dans une direction bien différente des albums précédents. C'est assez prometteur, et mon attachement à ma chère Mejai sera sûrement ici rassasié.
Je reproche quand même cette drôle de façon d'insérer des cartouches de textes narratifs incongrus, absents des tomes précédents... Plus d'une fois, cela m'a étrangement sorti du récit.
Je reste curieux et attentif de voir la suite...
Après un tome 12 qui s'est fait attendre et qui concluait le cycle sur les origines du Scorpion et son combat contre les Trebaldi, voici l'aventurier archéologue en route pour de nouvelles aventures.
Avant ce dernier tome 12, Desberg avait fait tirer à la ligne les aventures de son héros avec plusieurs tomes scénaristiquement très faibles. Victime de son succès en terme de vente, Desberg a été atteint du syndrome "Jean Van Hamme" qui avait frappé ce dernier sur la série XIII en proposant plusieurs albums avec des scénarios épais comme du papier à cigarette et qui ne faisaient plus progresser l'intrigue principale.
Dans les deux séries, et le parallèle est saisissant, c'est le talent du dessinateur (Vance pour XIII, Marini pour le Scorpion) qui permettait de maintenir à flot le navire.
Dans le tome 12, Marini livrait une dernière prestation parfaite, avec cette fois, un scénario plutôt dense et qui concluait enfin ce cycle de manière satisfaisante.
Parti sous d'autres cieux, Marini laisse donc le soin à son compatriote Critone de reprendre le flambeau.
Alors qu'en est-il exactement de ce nouvel opus ?
Au niveau scénario, première déception, Desberg commence par une ellipse temporelle qui fait débuter le récit plus d'un an après les événements du tome 12. Parti mourant sur un navire à destination de l'Egypte, on retrouve le Scorpion parfaitement guéri et prêt pour de nouvelles aventures. J'aurai souhaité que le récit reprenne plus en continuité, apprendre comment et par qui le Scorpion a été soigné par exemple. Le procédé utilisé est donc un peu facile mais il possède l'avantage de plonger directement le lecteur dans l'action. Efficace certes, mais frustrant.
Desberg repart donc sur un schéma très classique : la quête d'un objectif très personnel (Le Scorpion recherche son enfant comme il cherchait le secret de sa paternité dans le 1er cycle) avec en toile de fond une trame ésotérique, spécialité du scénariste. Après la destruction des dogmes et mythes chrétiens du nouveau testament dans le 1er cycle, il s'attaque visiblement désormais à ceux de l'ancien testament et particulièrement à la période de l'exode d'Egypte. Tout cela couplé avec le règne d'Akhenaton (et ce n'est pas sans rappeler l'intrigue de "Le mystère de la grande pyramide" d'E.P.Jacobs).
C'est donc dans un univers balisé mais efficace que prennent place les nouvelles aventures du héros. En espérant que le scénariste aura cette fois la bonne idée de ne pas trop diluer son récit.
Côté dessin maintenant, la reprise de Critone est à mon sens plutôt réussie.
Il n'est pas simple de passer après Marini qui est l'un des dessinateurs les plus populaires et les efficaces de la profession actuelle.
Critone respecte certains fondamentaux instaurés par Marini comme le découpage très "cinéma" de ses cases et surtout l'utilisation des couleurs via l'aquarelle. La volonté de continuation est à ce niveau assez prégnante.
Au graphisme tout en mouvement et courbes de Marini, il oppose un trait plus figé mais également plus fin et cela permet de gommer certains aspects de la patte de Marini, notamment le côté ultra-sexy des femmes qui restent pour la plupart magnifiques mais avec une approche graphique plus réalistes. Le revers de la médaille c'est que je trouve son dessin moins dynamique et qu'il fige davantage les protagonistes ce qui est dommage pour une série qui fait la part belle aux scènes d'actions, notamment les combats à la rapière.
Mais globalement, c'est du très bon travail et le Scorpion est entre de bonnes mains.
Un album de transition donc, qui s'inscrit plutôt dans la fourchette haute de la série.
Lu d'une traite, hier soir, alors qu'il fallait que je sois raisonnable et que je m'endorme tôt.
Et j'ai été rassuré sur la série ; elle est en de bonnes mains avec Critone.
Bien sur, c'est un peu différent de Marini, moins épique mais pas moins prenant.
J'avais surtout peur que le personnage de Mejaï disparaisse ou soit raté, mais ce ne fut pas le cas (je n'en dirai pas plus).
Les récitatifs ne m'ont absolument pas gêné ; ils étaient les bienvenus, et n'empêchaient pas non plus les silences (cf la toute dernière case, très évocatrice et très réussie, du coup). Les décors sont très réussis, là encore fidèles à l'esprit créé par Marini mais avec la patte de Critone. de nouveaux personnages charismatiques apparaissent, et là encore, sont réussis.
Certaines actions sont moins réussies, comme la façon dont le Scorpion et un autre personnage échappent au cosaque juif fou. Ca ne fait pas très crédible, cette poursuite en marchant !
Mais d'autres sont plus réussies, et l'ensemble est plutôt bon.
Mais sinon, je trouve que cette série reprend du souffle, un souffle différent, plus posé (le Scorpion aussi a changé, une femme a changé sa vie et sa vision de la vie, et cet album en est l'illustration).
Il y a bien des mystères à résoudre, j'ai envie de connaitre la suite et le dénouement de tout ça.
Et le titre de l'album ne révèle rien au lecteur, mais seulement aux personnages, et ne constitue que le commencement du mystère. J'espère juste que ce mystère sera à la hauteur de ces nouvelles espérances.
Bref, une bonne reprise qui me laisse espérer de beaux lendemains.
Avis sur la série:
Nous avons là une excellente série que je n'hésiterais pas à qualifier de Le Culte des Ténèbres. J’ai véritablement aimé grâce notamment au dessin et aux couleurs de Marini ainsi qu'à un scénario impeccable de Desberg. Les traits des personnages sont sublimes de précision. Nous assistons à un véritable bal de lignes belles et fluides avec une action qui s'enchaîne à un rythme haletant. Il s'agit bel et bien de la meilleure série de cape et d'épée.
Certes, les personnages peuvent paraître stéréotypés mais qui ne résisterait pas au charme de cette égyptienne secrètement amoureuse ? Oui, il y a également beaucoup de clichés mais on se laisse prendre facilement car la mise en scène est d'une efficacité remarquable et d'une déconcertante virtuosité ! Je sais bien que c'est une bd typiquement commerciale mais qui se plaindra si elle a un succès amplement mérité ? ::
Je dois bien avouer que c’est l’une de mes BD préférées car le scénario est totalement prenant. On passe toujours un très bon moment de lecture. Jugez par vous même: l'intrigue se base sur la volonté d'un cardinal ambitieux de restaurer à Rome le pouvoir des neuf familles. Il conquiert alors la papauté pour ce faire. Néanmoins, il aura un adversaire de taille qui se dressera sur sa route à savoir le fils d'une hérétique brûlée vive pour avoir détourné de sa voie un homme d'Eglise. Ce fils n'est autre que le Scorpion bien décidé à se venger. Entre fiction et histoire de la deuxième moitié du XVIIIème siècle, le scénario distille une théorie machiavélique du pouvoir religieux.
L'album hors collection n'est pas absolument indispensable mais il peut apporter des éléments intéressants pour les fans de la série. Le second cycle (tomes 7 et 8 ) développe un peu plus l'intrigue au détriment de l'action ce qui n'est pas pour me déplaire. Il y a l'arrivée de personnages qui vont jouer un rôle d'importance dans la guerre que livre le Scorpion au despote intégriste Trebaldi. On souhaite en connaître un peu plus sur le secret de la naissance du Scorpion qui n'est pas totalement éclairci. Il y a également de nouvelles révélations qui relancent singulièrement ce scénario déjà passionnant.
Nous allons enfin connaître la vérité sur l'identité du père dans le 10ème tome. La révélation sera fracassante car les auteurs nous ont induit volontairement en erreur. L'aventure ne sera pas terminée pour autant.
En conclusion, nous avons là une BD dynamique et plus encore: une formidable aventure de cape et d’épée sur fond de complot religieux et politique avec en prime des décors véritablement somptueux.
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.5/5
Religion, que de crimes on commet en ton nom ! Il ne fallait pas grand-chose pour qu’une femme (plus souvent qu’un homme) soit accusée de sorcellerie… Et pour se débarrasser d’une sorcière, l’expérience démontre qu’un bon bûcher reste la solution idéale ! C’est le triste sort que connut feu la mère du Scorpion grâce à une Eglise dont les représentants à certaines époques n’ont pas dû très bien comprendre le passage des Evangiles : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
Bébé Scorpion était destiné à être noyé puisque d’aucuns redoutaient qu’il ne fut le fruit de la « semence » du diable… Heureusement, un cavalier même pas masqué, est arrivé à point nommé pour sauver le bébé d’une noyade qu’il n’avait pas sûrement pas réclamée…
Il aura fallu au Scorpion trois jours et trois nuits pour émerger d’un sommeil non désiré provoqué par une sorte de bohémienne, Méjaï, empoisonneuse de première classe qui est convaincue que les ordres qu’elle a reçus pour éliminer ce Scorpion de la face de la Terre sont légitimes puisqu’ils émanent de l’Eglise (plus exactement de quelques-uns de ses représentants haut placés, mais pas désintéressés). Méjaï a été payée aussi pour « nettoyer » Rome. L’Eglise semble même vouloir assassiner son pape…
Critique :
Après avoir planté le décor dans le tome 1, et fait vivre pas mal d’aventures au Scorpion, le tome 2 poursuit sur la lancée avec encore beaucoup de capes et d’épées et un sacré complot contre un pape qui est un brave homme soucieux de se mêler au peuple et de lui donner des droits dont il a grandement besoin… Mais quelle erreur ! Pauvre homme, il semble bien mal inspiré…
Du très bon Desberg et comme Marini, au dessin, n’est pas en reste, c’est une BD qui se dévore en un clin d’œil, même si ce dernier et son frère peuvent s’arrêter pour jouir des dessins et des couleurs qui mettent en valeur le scénario.
La chute de Rome semble inéluctable, peu importe quand. Neuf patriciens, représentant chacun neuf familles extrêmement riches puissantes (pléonasme) se réunissent dans le plus grand secret dans la ville éternelle pour préparer l’avenir, à savoir que, quel que soit le gouvernement mis en place, ils vont continuer à tirer les ficèles. Pour ce faire, ils disposent d’un atout. Une nouvelle religion qui prêche la lutte du bien contre le mal ! Une religion amenée à Rome par l’apôtre Simon-Pierre. Pierre qui a un successeur : le pape ! Le monde nouveau qui renaîtra des cendres de l’empire romain, sera celui de cette Eglise qui se revendique d’un certain Jésus-Christ. Oh, bien sûr, aucune de ces familles ne souhaite se convertir, mais plutôt… s’en servir ! Une Eglise qui a fait sienne cette étrange invention « le bien et le mal », une religion qui suscite des consciences forgées dès l’enfance, élevées à discerner le vice de la vertu, à repousser la tentation et obéir à l’autorité... Que pourraient espérer de mieux ceux qui savent qu’ils ne respecteront jamais ces règles ?
18ème siècle. Rome.
Pour le Scorpion, la mort n’a aucun sens. Il se livre à un jeu dangereux qui lui rapporte énormément d’argent. Le scorpion est un voleur agile, le scorpion est un voleur habile… Le Scorpion sait aussi se servir d’une épée avec une maestria qui donne bien des soucis aux meilleurs soldats, y compris les gardes suisses. Le Scorpion a le flair pour dénicher de saintes reliques et pour les vendre à une clientèle avide de ces petits (ou grands os) qui lui permettront d’accéder au paradis le moment venu ou de les mettre à l’abri des misères qui s’abattent sur le pauvre monde. Le Scorpion sait profiter de la vie ! Notamment avec les dames à la vertu peu farouche qui négligent de se faire payer s’il s’agit de s’allonger à ses côtés. Mais le Scorpion est généreux.
D’où lui vient ce nom si peu flatteur mais ô combien inquiétant ? Il est né avec une marque rouge dans le dos, une marque en forme de scorpion, un signe infernal à n’en pas douter !
Critique :
Vous aimez les trois mousquetaires, les romans de cape et d’épée ? L’aventure ? Les grands complots remontant loin dans le temps, mais plus présents que jamais ? Les fourberies humaines ? Les thrillers historiques, peut-être ? N’hésitez pas ! La série « Le Scorpion » est faite pour vous. Le scénario du belge Desberg est digne d’un Alexandre Dumas. Marini est un digne descendant des grands peintre italiens. Bon, d’accord, il ne peint pas, mais qu’est-ce qu’il dessine bien !
C'est l'exemple typique de l'album de trop malgré le dessin magnifique de Marini. On s'y perd complètement. Les protagonistes ne sont plus crédibles, au contraire des premiers albums tout simplement excellents. Dommage.
J'ai profité de cette période de confinement pour me lancer dans la relecture de l'ensemble de la série.
Et bien, je dois dire que j'ai pris plaisir à découvrir ce dernier volume qui clôt la longue collaboration de Desberg & Marini.
Ce dernier opus se lit assez vite tout de même, mais le dessin de Marini est toujours aussi somptueux.
Cet album vient enfin donner une réponse au fameux trésor des Trébaldi, et ne ménage pas son lot de surprises.
Mais pour autant ce douzième album marque-t-il pour autant la fin des aventures du Scorpion? Sans doute pas.
Sans spoiler, on peut légitiment se projeter vers d'autres aventures (même des" one shot" comme c'est apparemment envisagé), et je serai au rendez-vous.
Une lecture divertissante et de bonne qualité.
C est un bon album mais pas transcendant Je suis d accord beaucoup trop d attente entre 2 Je pense qu il ne faut pas se faire de soucis pour le scorpion ses aventures vont continuer
J'ai adoré la série du Scorpion. Les dessins sont très beaux tout comme l'histoire. Pour ce qui aiment le cap et épée je vous la conseille énormément
Bon album.
Rien d'exceptionnel cependant.
Longue attente entre les 2 derniers albums qui fait perdre du crédit à cette série.
L'histoire est soignée mais la profondeur des personnages est superficielle.
Pas aussi ébloui que les autres lecteurs.
En tout cas, absolument pas d'accord avec eux : la série n'est pas terminée. Le scorpion est en mauvais point mais toujours vivant et comme il dit en page 62 "J'ai une affaire à régler, loin d'ici..."
l'un des meilleurs albums de la série selon moi.
mais le fait qu'il close les aventures du Scorpion n'y est certainement pas étranger.
que du plaisir aussi bien au niveau des yeux que de l'esprit
L'attente fut longue mais récompensé par nos auteurs, le scénario est haletant, pas de répit et des surprises de page en page avec un dessin toujours aussi sympa, bravo Messieurs ce fut un vrai plaisir de lire et relire cet album
Après cinq ans d'absence, revoilà LE SCORPION ! Et c'est un vrai régal de le retrouver. Le dessin de Marini est toujours aussi magnifique et le scénario imaginé par Desberg toujours aussi haletant, réservant son lot de surprises, de rebondissements et de révélations. Une recette qu'on a beau connaitre par coeur depuis le début de la série mais qui fonctionne toujours aussi bien.
Pour résumer, rien de novateur, on est dans la continuité des albums précédents. Mais en même temps, quand on frise l'excellence, pourquoi changer la formule ?
Je l’attendais avec impatience ce nouveau Scorpion. Et je ne suis pas déçu ! En plus, Marini et Desberg nous offrent un 64 pages plutôt qu’un 48. Evidemment, il a fallu attendre cinq longues années pour connaître la suite… et c’est long ! Combien d’années avant le treizième et dernier album (d’après ce que j’ai pu lire) ? Et le tome six des Aigles de Rome, M. Marini ?
Concernant « Le mauvais augure », l’album est identique aux premiers de la série, bondissant et plein de surprises. Sa lecture va vite mais j’ai avalé les pages avec gourmandise et délectation comme un mort de faim. Je trouve que Marini a une science du mouvement incroyable qui se manifeste avec brio surtout de la page 31 à 35.
Dans cet épisode, tout semble aller de mal en pis entre Aristote Weindorf dit Le Hussard et le Scorpion. Le Hussard semble désabusé par l’égoïsme du Scorpion mais ce qu’il lui apprend ou plutôt lui suggère en page 58 nous donne le sujet du dernier album.
On sait enfin comment les Trebaldi tiennent les grandes familles. On peut aussi se demander comment tout cela a pu être conservé à travers les siècles.
Quoi qu’il en soit cet album est excellent. Pourvu, pourvu qu’il ne faille pas attendre cinq ans pour connaître la fin. Fin heureuse ? J’espère que Méjaï et le scorpion se retrouveront et plus si affinité…
Ce troisième opus des aventures du Scorpion dans la Rome du XVIIIe siècle est tout aussi réussi que les précédents. Les dessins sont superbes et l'histoire prenante. Le cardinal Trebaldi veut se faire élire pape et le temps est compté pour l'en empêcher.
Ce deuxième opus des aventures du Scorpion nous permet d'en savoir un peu plus sur ses origines. Les dessins de Marini sont toujours magnifiques et nous plongent dans les coulisses de la papauté au XVIIIe siècle.
Rome, XVIIIe siècle, le Scorpion entre en scène, sur un scénario de Stephen Desberg et des dessins superbes d'Enrico Marini. Ce premier tome met en place les personnages et donne envie de lire la suite.
Ce onzième tome ouvre un nouveau cycle, le troisième depuis le début de la série. Une nouvelle énigme, de nouveaux mystères, de nouveaux personnages, un nouveau voyage … Malgré pas mal d'éléments réchauffés des albums précédents et quelques nouvelles têtes à priori peu intéressantes (le personnage de Charles-Henri est assez ridicule), on prend tout de même plaisir à suivre LE SCORPION dans ses nouvelles aventures. Personnellement je ne suis toujours pas lassé par cette série. Les nouvelles énigmes suggérées sont suffisamment intrigantes pour que l'on ait envie de poursuivre la lecture et le dessin est toujours autant un régal pour les yeux.
Ce tome 10 clôt le second cycle de la série, que l'on pourrait en quelque sorte nommer "le cycle des origines". C'est en effet dans cet album que LE SCORPION découvre (enfin) l'identité de son véritable père. Une révélation qui se veut sensationnelle mais qui tombe un petit peu à plat, tant on s'en doutait depuis maintenant un (voire deux) album.
Néanmoins, malgré un final moins haletant qu'espéré et malgré quelques longueurs ennuyeuses, l'album est bon et se lit bien, notamment grâce au dessin toujours aussi magnifique.
Superbe album une fois de plus, qui lève le voile sur pas mal de mystères, en particulier sur les origines du SCORPION enfin dévoilées (enfin, en partie ...) ! Un mystère qui nous tenait en haleine depuis le tout premier tome de la série. Rien que pour cette révélation l'album est indispensable. Ce ne sera pas la seule raison car comme d'habitude le dessin est magistral et justifie lui-aussi pleinement la lecture de cet album trépidant.
Sûrement l'un des meilleurs tomes de la série. En plus du dessin toujours aussi fabuleux, le scénario est extrêmement bien construit. Les complots et autres machinations sont plus machiavéliques que jamais, et au final LE SCORPION a fort à faire dans cet épisode pour échapper à tous les pièges qui lui sont tendus. Une histoire construite telle une partie d'échecs, où chacun avance ses pions, et où le carnage peut arriver à tout moments. Une lecture palpitante et un excellent épisode !
Un second cycle qui démarre avec un tome assez semblable au T1 de la série : l'action se situe de nouveau à Rome, et le scénario est basé sur un nouvel affrontement entre LE SCORPION et Trébaldi. Sauf que l'ambiance est beaucoup plus sombre à cause de la terreur que font régner Trébaldi et ses moines-soldats dans la Ville Eternelle.
Cet album est très plaisant, tant par le dessin - toujours aussi épatant - que par le scénario - accrocheur bien qu'il y ait moins d'humour et de frivolité. Un album marqué par une révélation tellement énorme qu'elle semble trop grosse pour être vraie ... A suivre.
Un excellent volume qui termine de belle manière le "cycle de la croix de Pierre". Un album riche en révélations, dont l'une des plus savoureuses est l'identité du personnage de Rochnan. La nature du trésor des Templiers est également très surprenante et bien trouvée. Un tome au final très prenant où action et énigmes font bon ménage dans un cadre exotique à souhait, les décors de la Terre Sainte étant des plus envoûtants.
Les aventures du SCORPION se poursuivent dans ce T5 de très bonne facture, à travers un périple qui prend de plus en plus des allures de chasse au trésor. Le décor change une nouvelle fois et notre héros, ainsi que ses alliés et ses ennemis, se retrouvent désormais en Cappadoce. Les paysages sont superbes et l'histoire avance doucement mais sûrement, dans une ambiance pleine de mystères dont personnellement je suis très friand.
On ne s'ennuie pas un seul instant et la lecture est très agréable !
Un T4 palpitant dans une ambiance qui se rapproche de plus en plus du thriller ésotérique. Si les classiques du genre "capes et épées" demeurent (duels au sabre, poursuites à cheval, cascades, etc.), saupoudrés de quelques jeux de séduction entre les personnages qui viennent pimenter le tout, la vraie bonne idée de cet album aura été de camper l'action dans l'envoûtante cité d'Istanbul. De nouveaux décors qui changent de Rome et évitent ainsi le risque de monotonie dans laquelle la série aurait pu s'enfermer.
Une astuce scénaristique d'autant plus bienvenue que ces décors sont magnifiquement mis en valeur, les dessins étant superbes, comme toujours.
Très bon troisième tome, avec un scénario qui s'étoffe petit à petit. Toujours ce mélange efficace d'action, de suspense, d'humour et de mystère. Les dessins restent exceptionnels, notamment en ce qui concerne les décors : la Rome du XVIIIème siècle n'a jamais fait autant rêver !
Un excellent second tome avec une ambiance particulièrement délectable. En effet le suspense et l'angoisse montent crescendo tout au long de l'album, jusqu'à la scène finale qui tient toutes ses promesses.
Le dessin est toujours aussi magique.
Un dessin flamboyant réhaussé de couleurs splendides, et un scénario accrocheur qui insuffle l'esprit de la grande aventure au fil des pages : la série LE SCORPION démarre superbement avec ce très bon premier tome.
Intrigues politico-religieuses, duels à l'épée, acrobaties sur les toits, joutes verbales, charme féminin et humour parsèment ce premier volet. Bien sûr le personnage du SCORPION, avec sa belle gueule et toutes ses qualités, peut paraître caricatural mais peu importe, on s'y attache facilement.
Un premier album vraiment bien mené et une série particulièrement plaisante !