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L'auteur de cette bande dessinée nous emmène dans un thriller SF passionnant, avec des dessins fantastiques.
Dans cet album, on peut ressentir une atmosphère qui mêle blade runner et le 5ème élément.
Une ville de science-fiction très détaillée, avec des quartiers crasseux, du sang, du vomi, etc...
Cette ville est un immense parc d'attractions futuriste où les habitants intergalactiques peuvent profiter d'un divertissement absolu, sans aucune limite d'imagination.
Dans ce parc, il est possible de se déguiser en n'importe quel personnage tout en pratiquant du sexe et des jeux d'argent. C'est le dernier endroit où l'on se divertit dans l'univers.
Nous allons suivre Buzz, un fils de paysan qui aspire à devenir policier et qui vient d'être recruté dans ce parc d'attractions, le parc Mon Plaisir.
Cependant, il va réaliser que la justice dans cet univers est différente de ce qu'il avait imaginé. Néanmoins, il va poursuivre sa propre investigation pour mettre fin à certaines dérives de cet endroit.
Cet album traite de la surveillance, des dérives humaines et des vices qui peuvent être satisfaits par les humains, dont les chasses à prime qui sont retransmises en utilisant des paris.
Une bande dessinée vraiment remarquable, avec de nombreux détails et un scénario captivant qui pousse à réfléchir sur de nombreux sujets.
Quelle série, quel scénario et quel dessin ! Franchement, Bravo aux auteurs. J’ai lu les cinq albums d’une traite.
La trame scénérastique est incroyablement fluide et les quelques va-et-vient dans le passé sont idéalement placés. On rentre dans cet univers très facilement pour en resortir avec un « Zut, c’était la dernière page ! ». Côté ambiance, on est dans un mélange de Blade Runner, du Prix du danger (Running Man) et de Her, avec une histoire vraiment atypique et captivante. J’ai juste trouvé qu’il manquait un petit quelque chose à ce qui arrive à la petite sœur avant d’arriver à la ville de "Monplaisir".
Coté dessin, cet epoustouflant. Le dessinateur a su recréer un univers fait de néons, de larges écrans dans une ville qui voit tout et entend tout. Malgré leur multitude, les personnages sont tous clairement identifiables, même à différentes périodes de leur vie. Les décors sont absolument sublimes.
J’ai adoré. Une excellente BD. À garder et à relire !
Quelle série, quel scénario et quel dessin ! Franchement, Bravo aux auteurs. J’ai lu les cinq albums d’une traite.
La trame scénérastique est incroyablement fluide et les quelques va-et-vient dans le passé sont idéalement placés. On rentre dans cet univers très facilement pour en resortir avec un « Zut, c’était la dernière page ! ». Côté ambiance, on est dans un mélange de Blade Runner, du Prix du danger (Running Man) et de Her, avec une histoire vraiment atypique et captivante. J’ai juste trouvé qu’il manquait un petit quelque chose à ce qui arrive à la petite sœur avant son arrivée dans la ville de "Monplaisir".
Coté dessin, cet epoustouflant. Le dessinateur a su recréer un univers fait de néons, de larges écrans dans une ville qui voit tout et entend tout. Malgré leur multitude, les personnages sont tous clairement identifiables, même à différentes périodes de leur vie. Les décors sont absolument sublimes.
J’ai adoré. Une excellente BD. À garder et à relire !
Critique d'un monde hédoniste, du capitalisme exacerbé, des jeux télévisés et autres télé-réalités-poubelles, de la robotique sans garde-fou et des dérives sécuritaires, 'Urban' nous relate l'histoire du pauvre Zachary Buzz, jeune fils de fermier idéaliste, cherchant à se faire une place dans un monde où Las Vegas passerait pour une cour de récréation d'enfants de chœur.
La gestion de l'histoire, des différentes intrigues, des personnages, et de l'univers est absolument incroyable de par le déroulement et la fluidité. Roberto Ricci aux dessins et couleurs donnent une identité unique à cette ville-parc d'attraction via les costumes référencés à la culture populaire et l'aspect sombre à la 'Blade Runner'.
Derrière les couleurs pétantes, les sourires et les écrans géants, que de noirceur: pauvreté, violence, prostitution, manipulation médiatique, meurtres… le tout distillé par touche successive au fur et à mesure pour un final qui ne jouera pas sur le spectaculaire ou sur un dernier rebondissement.
Je ne vais pas en écrire plus: jetez vous dessus si ce n'est pas déjà fait. Me concernant, le verdict est sans appel: 'Urban' est une pentalogie de très haute qualité qui tutoie les sommets de la bande-dessinée d'anticipation. La note maximale est parfaitement justifiée.
J'ai adoré, que se soit le dessin, l'histoire, les personnages.. je me permets de noter la série en entière que j'ai pu lire à la suite et sans avoir cette attente qui à été fatal pour certains fans. Un peu de mal à comprendre que l'on puisse mettre moins de trois étoiles mais il en faut pour tout les goûts, en tout cas bravo superbe bd.
MONPLAISIR est une cité tentaculaire de 300.000 ha gérée par A.L.I.C.E, une intelligence artificielle omnipotente, et par le créateur de celle-ci, doux dingue solitaire. C'est un vase-clos voué à tous les plaisirs des 16 millions de visiteurs quotidiens qui viennent de toute la galaxie pour y profiter de leurs deux semaines de congés annuels. C'est là que Zach espère échapper à sa condition de fermier en intégrant les forces de police privées. Mais s'il comprend rapidement que lui aussi fait partie du spectacle, la haute idée qu'il se fait de sa mission va l'entrainer dans une histoire bien plus sérieuse et autrement plus périlleuse.
Derrière l'apparente frivolité d'un univers délirant et tout azimut sublimement mis en images par Roberto Ricci, Luc Brunschwig nous dépeint un monde glauque et sombre dans lequel une violence omniprésente le dispute aux atteintes à la dignité humaine. Le scénariste a mis du temps à faire naître ce projet, une première tentative en 1999 avec Jean-Christophe Raufflet (Urban Games - Les Humanoïdes Associés) ayant avorté. C'est sans doute un mal pour un bien lorsqu'on voit la qualité du dessin de la série éditée par Futuropolis. Ricci y déploie un talent rare pour allier la noirceur la plus profonde à une loufoquerie d'apparence, servant parfaitement en cela l'histoire. En effet, le lecteur entrainé au cœur de Monplaisir en saisit petit à petit les ressorts et les travers. De l'aspect comique et joyeux, la perception glisse avec un certain malaise vers la réalité d'un système autoritaire orienté vers le seul profit, quitte à sacrifier toute notion d'humanité.
Voici un récit qui mêle habilement le divertissement d'une lecture jubilatoire à la réflexion sur les orientations que pourraient bien prendre nos sociétés si nous laissons la technologie et l'avidité prendre le pas sur toutes autres considérations.
Ma note : 5/5
Si l'album est certes moins surprenant que ses prédécesseurs, il parvient à clore de façon très satisfaisante tous les arcs narratifs développés, ce qui était une gageure en soi.
On sent que Luc Brunschwig a mûri, là où "le pouvoir des innocents" ruait dans les brancards avec une fougue qui a séduit bien des lecteurs, mais que j'avais trouvée mal maîtrisée, il gère ici son récit sans trembler, sans céder aux sirènes du spectaculaire, de la "dernière grande révélation que vous allez voir ce que vous allez voir". Rien de tout ça, ce qui colle par ailleurs parfaitement aux aspects glaçants du monde dans lequel l'histoire se déroule.
Je ne comprends pas trop les remarques sur la baisse de la qualité des dessins... Mais chacun a le droit de voir midi à sa porte. Il y a eu une évolution, certes, mais elle a été progressive et la frontière avec ceux du tome 4 est assez mince.
En bref, une conclusion au niveau d'une excellente série qui gagne à être relue.
Bien bien bien. Voilà, voilà, voilà. Comment dire... heu...
Une fenêtre pop up me dit qu'il faut au moins 100 caractères pour rédiger un avis, mais là, c'est super difficile...
J'encourage tous ceux qui aiment les séries scénaristiquement riches et superbement illustrées à se procurer ces 5 tomes d'Urban. C'est une série incontournable !
A ceux qui trouvent le dernier tome plus faible .... relisez-le et vous changerez sans doute d'avis.
Je rejoins les 2 avis précédents : l'album est beaucoup moins bons que les précédents. La qualité graphique s'est écroulée d'un coup : pourquoi ? La fin de l'histoire déçoit quelque peu même si je ne me l'explique pas bien. Dommage pour cette série qui était pour moi le must de ces dernières années... jusqu'à ce final effectivement assez fade...
Un avis medium par rapport au deux commentaires précédents.
Le dernier opus d'Urban n'apporte pas de grandes révélations et est plus fade que les autres tomes, cependant il reste d'une facture très correct.
Comme souvent les fins d'une excellente série ne sont pas à la hauteur des attentes des fans.
Ma seconde claque de 2021, mais cette fois ce n’est pas dans le bon sens du terme.
Le cycle s'achève, du coup on relit tout et là... Mais qu'est-ce que ce 5e album ? Où est passé ce dessin si juste, si précis et simplement beau qui m’avait attrapé il y a 10 ans déjà ? Est-ce l'usure du temps ? Est-ce la conséquence d’un scénariste incapable de mener à ses projets géniaux dans la durée (4 ans depuis le dernier album, 4 ans pour Holmes, 9 ans pour conclure la Mémoire dans les poches, …) ? Après tout ce temps la série n’a plus le même impact. Les ventes ont dû chuter. Combien de temps restera ce 5e tome sur la table des libraires, alors comment se motiver pour réaliser un album aussi parfait que le premier, quand tout n’était que promesse ?
C’est dommage car le final de cette série méritait une apothéose, les lecteurs fidèles aussi...
Il n’aurait pas fallu qu’une conclusion aussi longtemps attendue déçoive ! Heureusement, ce 5ème et dernier tome est aussi beau que prenant. Je note l'album à l’aune de la série entière qui mérite ses cinq étoiles. Série qui semble d’ailleurs avoir été bien peu promue et défendue par Futuropolis... C’est étonnant, désolant même, vu la qualité générale de la réalisation : dessin et scenario parfaitement en phase captivent à chaque page.
Mi science-fiction, mi anticipation, l’univers profondément ténébreux développé par "Urban" est particulièrement maitrisé et abouti, même s’il peut rappeler certaines productions d’un genre proche. Et si cet ultime opus ne répond pas précisément à toutes les questions, il boucle de façon fluide et cohérente une série foisonnante, spectaculaire, inventive, intelligente, glaçante. En un mot, incontournable.
A découvrir absolument pour ceux qui seraient passés à côté.
Une aventure de science-fiction dans un univers à la Blade Runner ou du 5ème élément sur fond de télé-réalité en y mêlant également une touche de fantaisie avec Alice aux pays des merveilles. Bref, un cocktail assez étrange mais qui semble bien fonctionner en l'espèce. On s'attache assez facilement avec ce héros au physique ingrat mais si humain.
Le récit manque cependant un peu de dynamisme. Il ne se passera pas grand chose. On sent que c'est un tome introductif pour mettre en place un univers assez singulier. Pour autant, on sait que le plaisir de lecteur viendra par la suite car le scénariste sait transformer les moindres détails en révélation surprenante. En attendant, on pourra néanmoins admirer un beau graphisme détaillé afin de s'imprégner de cet atmosphère. Les habitants portent de curieux costumes qui sont autant de clin d'oeil à des oeuvres classiques comme Star War par exemple.
Au final, une bonne bd qui a du potentiel qu'il reste à développer. Ma note est par conséquent susceptible de changer. Et oui, je suis convaincu par le second tome. On gagne par conséquent un cran.
quel bonheur de trouver ce genre d'univers, mais très dessus de l'enlisement du scénario, le tome 4 est décévant et j'espère qu'ils feront un 5 qui rattrape et redonne du souffle au scénario
Excellente surprise que cette série B qui a tout d'une grande. Un fond de Blade runner, un soupçon de WestWorld, une pincée de Terminator et de Soleil vert, à feux doux pendant dix ans et vous dégustez cette série qui n'a rien à envier à ces illustres références animées. Des rebondissements vraiment surprenants mais cohérents entretiennent la pression jusqu'à l'épilogue. 2020 ?
En mettant en scène un univers qui rappelle forcément celui de Blade Runner ou d’autres dystopies célèbres, les auteurs d’ "Urban" prenaient le risque de banaliser leur histoire et de la truffer de clichés réchauffés. Il n’en est rien ! Ces 4 premiers tomes constituent une série magistrale et préfigurent une suite et fin d’anthologie. Au fil de la lecture on sent poindre le chef d’œuvre dans tous les compartiments : Graphiquement, le dessin, les couleurs, les cadrages, le découpage de Ricci sont fabuleux et justifient la lecture à eux seuls ; mais le récit, jusque dans sa structure où abondent les flash-backs révélateurs est lui aussi d’une richesse assez rare. Dense et précis, il respire bien grâce à un rythme efficace, foisonne de personnages à la psychologie complexe, de rebondissements inattendus et de cliffhangers diaboliques !
Le seul reproche objectif que l’on pourrait faire à "Urban" est sa profonde et désespérante noirceur, de laquelle aucun sentiment positif ne semble (pour l’instant) capable d’émerger…
Quoi qu'il en soit, "Urban" est à mon avis une série d’ores et déjà incontournable.
La maquette est élégante comme toujours chez Futuropolis et le format large permet d'apprécier la qualité des dessins et du découpage. C'est confortable. La ligne graphique des couvertures, si elle est cohérente avec l'atmosphère de la série, n'est pourtant selon moi pas très efficace pour donner envie...
Dans un futur proche le réchauffement climatique à submergé une grande partie des terres habitées, provoquant un exode sur les planètes et satellites du système solaire. Dans ce monde dystopique où l'écart entre riches et pauvres a atteint le stade du XIX° siècle, la cité de Monplaisir fait figure de respiration pour une population aux aboies: pendant deux semaines par an ils peuvent s'adonner à tous les plaisirs au sein d'une cité hyper-connectée et gérée par une intelligence artificielle. Un paradis...?
Si certaines séries sont plus visibles pour le marketing qui les entoure, on peut dire que les auteurs d'Urban ne vont eux pas vers la facilité et que les choix scénaristiques ne souffrent d'aucun compromis. Il s'agit d'une BD qui nécessite de s'immerger, de prendre le temps et surtout, de tout lire à la file, tant Luc Brunschwig a construit son intrigue de façon très progressive, lentement, séparant chaque album quand aux protagonistes centraux ou via des flashbacks. Tel un puzzle en cinq tomes, les différents éléments convergent progressivement vers la conclusion, de façon tout a fait cohérente et maîtrisée. A ce titre cette BD force le respect pour la rigueur du travail d'écriture. Pour résumer, Urban s'appréciera idéalement en format intégrale.
Ainsi l'entrée en matière est compliquée. L'on suit un colosse un peu simplet parti contre l'avis de sa famille pour devenir policier à Monplaisir et discutant avec un personnage qui semble imaginaire... Dès l'entrée en matière, une galerie de personnages hauts en couleurs nous immergent dans un monde de carnaval permanent où tout le monde est déguisé et où il est compliqué de démêler la réalité de la fiction (imaginaire, virtuel?) dans un contexte futuriste sur lequel le lecteur n'a que très peu d'informations. Ce brouillage est calculé mais il faudra avancer dans la série pour s'en apercevoir. Des personnages nouveaux surviennent sans que l'on sache s'ils sont importants ou périphériques et même le personnage principal, Buzz, est assez peu présent dans les albums. Le découpage lui-même joue de cela avec des irruptions brutales de scènes au milieu d'autres, non reliées directement... Je ne veux pas donner une l'image d'une série ardue car Urban est vraiment une bonne BD, mais il me paraît important d'être prévenu pour apprécier celle-ci à sa juste valeur.
Heureusement les dessins, de très grande qualité et très lisibles (notamment la mise en couleur un peu floutée et jouant sur un éclairage électronique permanent), permettent de faciliter la lecture durant les premières pages. Le jeu discret du repérage des héros de l'imaginaire collectif (Batman par-ci, Zoro par là...) présents dans Monplaisir est également savoureux et incite à se plonger dans les cases larges de Ricci. L'artiste propose un design SF élégant, coloré, et une réalité crue: dans ce paradis des plaisirs le sexe et la violence sont bien présents, permettant des scènes d'action efficaces bien que peu nombreuses. Ce qui est le plus perturbant c'est de ne pas avoir de personnage à suivre (hormis Buzz) mais cela nous pousse à chercher d'autres focales, d'autres personnages, à échafauder des théories, ce qui est probablement recherché et est fort agréable, comme dans un bon polar (Brunschwig est auteur de l'Esprit de Warren, un polar sombre réputé à sa sortie en 1996). L'intrigue suit autant Springy Fool, le grand architecte transmuté en lapin d'Alice que ce couple de mineurs de Titan, un gamin et sa nounou que cette prostituée tatouée... L'illustrateur prend grand plaisir et précision à nous les présenter et nous les attacher si bien que l'on ne sait jamais qui est le réel centre de cette histoire.
A mesure que l'on avance dans l'intrigue la réalité se durcit, le rideau de la féerie se déchire pour laisser transparaître une réalité dystopique bien noire... Car le message de Brunschwig est simple: que se passera t'il dans quelques années dans un monde libéralisé où les États auront abandonné leur devoir de protection des population à des sociétés connectées qui pourront se comporter en démiurges autoritaires? Un monde où Disney allié à Google aura gagné, contrôlant nos vies d'endettés accro aux loisirs? J'avais retrouvé une idée proche d'Urban dans l'excellente série américaine Tokyo Ghost (en version trash...) comme dans l chef d’œuvre de Pixar Wall-E.
J'ai découvert à travers cette série un excellent dessinateur et retrouvé un auteur que je n'avais plus lu depuis ses débuts. Le plus gros défaut d'Urban est qu'il faudra attendre encore un an avant de connaître la conclusion...
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/04/urban
Voilà un album parfaitement équilibré, entre flashbacks permettant de mieux comprendre la genèse de Monplaisir et le passé des protagonistes... et avancement de l’intrigue principale. Il mérite largement ses 5 étoiles. L’histoire est toujours très noire et les morceaux du puzzle s’assemblent peu à peu. Le dernier tome s’annonce mouvementé...
Avec ce 3ème tome, l’univers de Monplaisir, déjà très cynique, devient carrément sombre... Fini le monde de loisirs et de débauche. Place aux rouages du système avec une place importante donnée à Springy Fool. L’intrigue principale continue d’avancer avec des personnages secondaires dont on ne mesure pas encore très bien le rôle et surtout quelques retournements de situation bien sentis. L’étau se resserre. Un très bon album qui donne envie de lire la suite.
Une grande partie de ce tome 2 est toujours consacrée à la découverte de Monplaisir. Et le moins que l’on puisse dire est que c’est toujours passionnant, avec quelques idées très bien trouvées. Au niveau de l’intrigue, par contre, on n’avance que pas-à-pas, ce qui génère une petite frustration. Voilà pourquoi je ne mets « que » 4 étoiles à ce très bel album.
Ce 1er tome est clairement une mise en place, comme le titre « les règles du jeu » l’indique. Mais celle-ci est vraiment réussie. Le rythme relativement lent permet de s’imprégner de l’amiance qui règne au sein de la Cité de Monplaisir. Pour autant on ne s’ennuie pas une seconde et la tension monte peu à peu. Une entrée en matière très réussie.
J'adore... Cette ambiance lourde, noire, morbide est digne de grands classsiques tel Blade Runner... N'hésitez pas.
Les deux compères qui ont travaillé sur cet album se sont complétés à merveille. Les couleurs sont très agréables et j'en ai profité pour constituer une bibliothèque à mes petits enfants en reprenant les tomes 1.2.3 .4 et j'attend avec impatience un autre tome.
mon avis porte sur la série -les 4 premiers albums- :
J'avais d'abord découvert le tome 1 d'"Urban" il y a quelques années, sans y donner suite. Et là au hasard de mes déambulations, je tombe sur les 4 premiers volumes de cette série à la médiathèque. Je m'y suis plongé à mon retour et j'ai littéralement dévoré les 4 volumes d'une traite.
Le scénario de Luc Brunschwig est captivant. Il relève à la fois du récit d'anticipation, de l'enquête policière et de questions sociétales.En outre, Luc B. sait amener un suspens inattendu à chaque fin d'album, qui donne furieusement envie de connaitre la suite.
Avec ce récit d'anticipation, on plonge entièrement dans l'univers de "Blade Runner" ou du "Cinquième élément" (d'un autre Luc B.)
Même si au fil des albums, on est un peu bousculé par la chronologie des événements, on se remet vite dans l'histoire en quelques cases.
Le scénario est habile, conçu comme un véritable mécanisme d'horlogerie, et ne ménage pas les rebondissements qui happent le lecteur.
Même si j'ai eu du mal à cerner le dessin de Roberto Ricci, je dois dire qu'au fil des pages, je m'y suis pleinement habitué, à tel point qu'à présent, je n'imagine pas un autre style pour coller à l'univers imaginé par Luc B.
Vivement le tome 5, qui sauf surprise, devrait clôturer cette trépidante aventure.
Un album centré sur Springy Fool : sa vie, son oeuvre, sa folie...
L'histoire monte en puissance au fur et à mesure de l'album avec un gros cliffhanger qui annonce le tome final.
Contrairement @Judoc, je n'ai pas pris le temps de relire les 3 premiers tomes... ceci explique peut-être mes (seulement) 3 étoiles.
J'adore... Cette ambiance lourde, noire, morbide est digne de grands classsiques tel Blade Runner... N'hésitez pas.
Si vous vous demandez si ça vaut la peine de vous lancer dans cette série, je vous réponds, modestement, que j'adore. J'ai plongé dès la première planche et je n'en suis pas encore ressorti. Tout y est: scénario avec de réels rebondissements et un dessin original. Ne manquez pas ça surtout si vous aimez le genre d'ambiance à la "Blade Runner".
Ce 3ème tome est vraiment génial. On en apprends plus sur la création de "Monplaisir" les histoires secondaires prennent de l'ampleur, on découvre un peu plus le vis de ce Monsieur Fool ( s'il en état encore besoin) le tout dans une ambiance pesante à souhait. Franchement ce tome fait rentrer un peu plus la série dans les must have des fans du genre !
Tout va de mal en pis à Monplaisir. Monsieur Fool tente de découvrir qui est à l’origine de l’attentat afin de soulager les touristes. Il va pour cela faire tuer en direct un groupe de personnes innocentes.
Plusieurs éléments importants dans ce quatrième tome. Les auteurs nous apprennent comment Monsieur Fool a bâti son empire sur des ruines et surtout qui était le jeune Niels Cotton.
Zach a été mis aux arrêts mais va retrouver Ishrat. En parallèle, il va mener son enquête et, via A.L.I.C.E., découvrir plusieurs éléments importants de la vie de Springy Fool.
Quel album, encore une fois !!! On en prend plein la vue… je suis accro ! Combien d’années avant le final dans le cinquième et ultime album ? Je suis vraiment ébloui tant par le scénario que par le graphisme que je n’hésite plus à vanter à droite et à gauche. Et les couvertures, pffff… géniales. Directement dans le top 10 de mes séries préférées.
Un attentat a eu lieu en parallèle à la tentative d’arrestation d’Antiochus Ebrahimi. Plus d’électricité et un semblant de panique s’est installé à Monplaisir. Dans cet épisode, on en apprend un peu plus sur Ishrat, la femme dont Zach était tombé amoureux dans le premier album. Monsieur Fool, le grand « Gourou » de Monplaisir, en échange d’amour et d’affection va lui promettre de retrouver toute sa famille avec laquelle elle avait perdu contact. Ishrat pleine d’espoir va se donner entièrement à lui, mais tout ceci n’est qu’une mise en scène, car une fois son plaisir assouvi, Monsieur Fool montrera toute sa cruauté. Zach, lui, se sent responsable de la mort de Niels Cotton le petit garçon tué lors de la tentative d’arrestation d’Ebrahimi. Quand sa sœur Julia l’avertit qu’un drame se joue à la ferme familiale…
Vraiment… quelle série !!! La tension monte crescendo. A la sortie de cette histoire en 2011, je m’étais contenté de regarder les dessins qui ne m’avaient pas séduit plus que ça. Alors qu’ils sont vraiment excellents. Quant au scénario… « mon plaisir » est vraiment immense !
Dans ce deuxième volume, c’est Zach qui va devoir affronter le terrible tueur à gages Antiochus Ebrahimi. Jusqu’à ce jour tous les membres des Urban interceptors qui s’y sont frottés n’ont pas eu la chance de survivre. Mais Zach va trouver une stratégie qui le mènera à deux doigts de l’arrestation d’ Ebrahimi. Une erreur d’inattention, et le drame surgira avec la mort d’un enfant. Enfant, par les yeux duquel nous découvrons tout au long de l’album le fonctionnement de la société Monplaisir et l’exclusion d’une partie de la population.
Album poignant qui nous décrit un avenir peu reluisant où l’exploitation des êtres humains s’échange pour deux petites semaines de plaisir par an. Il s’agit vraiment d’une extraordinaire série de SF.
Un bon premier tome dont l’univers me rappelle un peu celui du film le cinquième élément. Comme la similitude entre le paquebot Fhloston Paradise et la cité Monplaisir ou encore l'animateur Ruby Rhod pour l’un et A.L.I.C.E. et son lapin pour l’autre. Il y a de nombreux autres points de comparaison et pourtant l’histoire est totalement différente.
Zach, le personnage principal qui intègre la police de Monplaisir est un peu désorienté par son nouveau poste. Car, bien que cette police soit la meilleure, elle a tendance à utiliser des méthodes peu orthodoxes. Ses interventions sont souvent filmées en directe et font l’objet de paris sur le vainqueur : le policier ou le criminel.
Zach va découvrir l’amour auprès d’une jeune femme qui a été obligée de faire tatouer son corps de publicités pour pouvoir survivre. Celle-ci perdra son poste pour avoir osé l’aimer, très peu de temps, ce qui le bouleversera.
Le dessin bien que « spécial » et original est splendide. L’histoire donne froid dans le dos et on se met à espérer que notre avenir ne créera jamais de cités comme Monplaisir.
Après une relecture (indispensable) des 3 premiers tomes pour se ré-imprégner de cet univers futuriste, glauque et malsain, la découverte de ce 4ème opus fut un énorme plaisir.
Les personnages continuent leur descente dans l'enfer de cette sinistre ville dite de Montplaisir. Springy Fool (définitivement ravagé) et Zachary (maintenant conscient de l'absurdité de son rôle et de la déchéance qui l'entoure) sont servis par les dessins absolument somptueux de Roberto Ricci et une colorisation en parfaite symbiose avec cet univers déjanté. Associés à une intrigue dense et crispante, ils font d'Urban une série SF rare et définitivement magnifique.
Souhaitons très vite de pouvoir lire le 5ème et dernier album de cette superbe série.
Après un troisième tome qui m'avait vraiment déçu (et m'a fait revendre la série), j'ai lu ce 4ème tome, qui remonte le niveau. On commence à avoir quelques explications, toute issues de révélations plus glauques les unes que les autres, et plus gores également. Je suis curieux de lire la fin de la saga, même si ce 4ème tome n'est pas suffisant pour me faire racheter toute la série.
C'est le tome qui m'a fait revendre la série. Scénario finalement plutôt fourre-tout, qui part dans trop de sens. Il n'y a plus le punch des 2 premiers tomes, ça polit un peu. Bref, déçu.
L'intrigue prend forme... Mais pour aller où ??
Meilleur que le deuxième opus, ce tome donne plus de corps à l'intrigue, même si j'ai du mal à savoir où veut aller l'auteur (surtout avec les curieuses dernières pages). Le dessin est toujours aussi réussi. J'en suis pour le 3ème et dernier tome.
Pas mal, mais un peu mou.
Un univers futuriste (un peu) original - je pense au système des costumes qui donne presque tout son sel au premier tome (il y a énormément de références à retrouver, et ce n'est pas facile du tout). La mise en place de l'intrigue est un peu molle dans ce premier tome. Le dessin est plutôt très bon.
Très bonne série SF, écrite par Luc BRUNSCHWIG qui nous transporte une nouvelle fois dans un univers dont il a le secret. Le scénario est original et magnifiquement illustré par Roberto RICCI. L’intrigue est par contre un peu longue à démarrer, on arrive à la fin du tome 3 en restant un peu sur sa faim. J’attends une chute comme sait si bien le concocter ce scénariste que j'adore, pourvu que le tome 4 vienne rapidement !
Cet album est pour moi à situer dans le domaine de l'extraordinaire. Pas une planche en dessous: tour à tour magnifique, prenante ou angoissante. Rien ne manque.
Scénario en béton armé qui tient en haleine le lecteur du début a la fin. C'est triste dur et violent et à la fois métaphoriquement si proche de nous. Merci et vivement la suite. Série Indispensable à mes yeux.
Très bon album. On saisit plus les tenants et aboutissants du scénario, le dessin est toujours aussi bon et prenant. A lire !
Un ton en dessous des deux précédents opus, je trouve que cet album ressemble plus à une transition dans l'histoire...
Le scénario s'épaissit. Le malaise s'installe. Une histoire bien ficelée et un dessin en retenu toujours au service de l'intrigue. Les auteurs s'éclatent et on en redemande. Vivement La Suite !
Les 2 premiers tomes sont déjà très très bons, et méritent déjà la note maximale car le scénario, l'ambiance et le dessin sont tous les 3 en bonne harmonie, mais ce 3eme tome est bien plus fort que les précédents.
Comme son titre l'indique il fait la lumière sur une partie du décor, et laisse entrevoir le hiatus entre la joie du parc d'attraction et le "fond de commerce".
Une BD à avoir dans sa BDthèque.
Le premier volume était intéressant, l’atmosphère qui se dégageait était plaisante mais le second est pour ma part décevant. Les dessins sont toujours aussi sublimes, après, j’ai trouvé que l’histoire n’avançait pas beaucoup, que l’on suivait plus les péripéties d’un personnage annexe que l’on ne retrouvera plus par la suite. Le héros principal est pour ma part un peu poussif. Une déception.
On rentre cette fois clairement dans l'histoire. Paradoxalement, cela fait perdre pour moi un tout petit peu de cette histoire fantastique et encore mystérieuse que j'ai adoré découvrir dans le 1er tome à travers les yeux naïfs du personnage principal.
Il reste encore beaucoup de mystères et nous sommes bien sûr devant un BD qui s'annonce clairement comme culte : l'ambiance est tout simplement incroyable et les dessins fourmillent de milles détails !
Les 2 1ers tomes étant de mon pt de vue assez différents, je suis très curieux de voir comment va évoluer la suite...
Du très très bon!!
Je viens de m'enchaîner la lecture des deux premiers tomes et c'est que du plaisir.
La première chose qui marque dans cette BD est l'ambiance de cette ville (Monplaisir) qui derrière son apparence bon enfant, récréative (tout ces gens en costume à l'effigie des personnages de dessins animés, BD, mangas, comics célèbres) est tout de même bien malsaine et cruelle.
Le mec qui est derrière tout ça me semble bien fou à lier et ne peut que me plaire.
Bien sûr, toutes les idées ne sont pas neuves et certaines m'ont fait penser à des films comme Running Man, A.I. Intelligence artificielle ou encore le Cinquième élément mais ça marche sans problèmes me concernant.
Le scénario est agréable, fluide et mélange habilement l'action pour ne pas s'ennuyer, les sentiments, le mystère et les séquences chocs (la fin du tome 2 par exemple)
Les personnages sont tous bien croqués, attachants, reconnaissables et je suis curieux de voir comment ils vont évoluer dans ce monde de cinglés.
Les dessins et couleurs sont extras, on sent que c'est du boulot réaliser avec passion.
Hâte de découvrir la suite en espérant que la série ne soit pas à rallonge...
Une BD étonnante avec le principe de l'anticipation d'une société de type "dictature du bonheur" avec moyens de communication et manipulations très aboutis. Ce type de cadre existe déjà mais ici, je le trouve bien réussi. Le scénario est très bien mené et amène et rebondissement de type coup de poing dans l'estomac... Le dessin propose des graphismes différents dans un même tome, c'est bien fait et ca fonctionne bien. On peut la lire rapidement comme passer un peu de temps sur les détails, pas mal d'humour noir sur le marketing poussé à l'extrême. intéressant et à suivre !
Je m'étonne au passage des propos... comment dire... enfin bref... des experts qui se permettent de juger avec un sens de la politesse très particuliers... c'est peut-être l'apanage des experts me direz vous ?
Le dessin de cette bédé est sublime, c’est très coloré à souhait, j’adore ça. Après, l’histoire est plutôt banale pour l’instant, je pense que c’est un album qui met les personnages en place et qui plante le décore. A suivre pour ma part, j’ai envi de savoir comment va évoluer le personnage principal dans cet univers assez particulier, un monde futuriste ou l’on effectue des paris sur des poursuites criminels (entre autres).
Excellent album dans la suite du premier. Je suis fan du dessin et surtout j'aime regarder tous les déguisements en arrière plan des scènes, beaucoup de référence a notre enfance.
Le scenario est top et j'ai été surpris de la fin de cet album, je ne m'attendais vraiment pas a ça !
Le probleme c'est qui vas falloir peut être attendre 2 ans la suite...