- Documentaire
- One shot
- 1
- 88195
- Europe
- Français
- Discuter de la série dans les forums
Les services secrets occidentaux estiment les avoirs détenus par Vladimir Poutine et ses proches entre 150 et 250 milliards d'euros, ce qui en ferait l'égal d'Elon Musk et Bernard Arnault.
Pour la première fois, une BD d'enquête lève le voile sur une des plus grandes entreprises de prédation économique de l'histoire.
1990 : l'URSS est sur le point de s'effondrer. Le KGB organise le détournement vers l'ouest de sommes colossales d'argent occulte, afin de préparer sa survie.
Années 1990 : le service place des hommes de confiance auprès des politiciens et oligarques de la nouvelle Russie. Poutine devient maire-adjoint de Saint-Pétersbourg. Tout est à vendre : la création de casinos, les stations services, le port, le droit d'implanter des sociétés étrangères, etc.
1996 : Poutine rejoint l'administration présidentielle et prend la tête du KGB (devenu FSB) 2 ans plus tard. Les assassinats politiques se multiplient. Le clan Eltsine le désigne comme successeur pour préserver ses pots-de-vin.
2000 : Elu président, Poutine installe au sommet de l'Etat et des grandes entreprises publiques sa garde rapprochée et met au pas les oligarques. Désormais le clan Poutine va capter une partie des recettes pétrolières, gazières et de tous les grands contrats, comme les JO de Sotchi.
Un récit tragi-comique, basé sur des faits réels (enquêtes journalistiques, archives et témoignages inédits) qui dévoile une cupidité sans limite, sous couvert de restaurer la grandeur russe, des affrontements sans merci entre clans, et le dessous d'événements tragiques comme la guerre en Ukraine et la rébellion de Prigojine.
Yvonnick Denoël, spécialiste du renseignement, est l'auteur de nombreuses enquêtes à succès, dont Le livre noir de la CIA, Les guerres secrètes du Mossad ou récemment Les espions du Vatican (Nouveau Monde, coll. Chronos).
Gildas Java, dessinateur breton, a fait ses armes aux éditions Déméter avec la série La IIe rédemption, puis avec les éditions Le Télégramme et Glénat (Alexandre, l'Épopée). Il magnifie cette enquête par un style singulier inspiré de Will Eisner, pour en faire le grand roman noir de la Russie contemporaine.