Sommaire : Saison 1 - volume 1, 2 et 3. Ce merveilleux coffret renferme la légendaire trilogie de la première saison de Rockyrama originellement publiée en 2013 et 2014. 300 pages de pop culture et d'autres choses complètement folles pour le plus beau casting de tous les temps…

Sommaire : Rockyrama numéro 1, c’est la finesse d’un Schwarzenegger alliée à la classe d’un Sonny Crockett. En gros les 80’s comme on les aime. Des articles inédits par des plumes comme Stephane Moissakis ou Rafik Djoumi, des interviews, un poster, des illustrations originales sorties de studios de renom, Rockyrama est sûrement l'un des plus gros projets de BBE depuis sa création, nous espérons que le résultat vous plaira autant qu’à nous. Il est là, c'est lui. Voilà LE pavé sur les années 80 en ce qui concerne les geeks, les cinéphiles et tous ceux qui s'intéressaient à autre chose qu'aux variétés qui font aujourd'hui les beaux jours des compilations à base de "Emile & Image" et autres "Desireless", ainsi qu'aux sempiternels mercredis de "Dorothée" ! "Rockyrama" vous expliquera pourquoi les ados de l'époque adoraient des films aujourd'hui absolument irregardables avec des acteurs musclés et huilés, il vous rappellera la manière dont ils se jetaient sur les rares comics qui passaient au dessus de l'Atlantique ou comment ils s'y prenaient pour écouter de la musique qui ne passait pas forcément à la radio. Il rappellera aux lecteurs concernés les soirées VHS entre copains, les marques de bonbons qui piquaient la bouche et les appareils électroniques aujourd'hui obsolètes. La magie de l'ouvrage réside autant dans son concept inédit que dans son look parfaitement fidèle à l'époque décrite. Le lecteur chanceux peut alors accrocher sa ceinture avant d'effectuer le voyage merveilleux vers le passé, trente ans en arrière ! Mais alors que pullulent les recueils sensés nous replonger dans la magie de notre enfance ou notre adolescence, "Rockyrama" sort du lot. Ce n'est pas un simple livre d'images creux et insipide. Chaque article (une quarantaine en tout) est un concept à lui tout-seul, une trouvaille, un univers à part entière. "Rockyrama" n'est pas un prétexte pour éditeur opportuniste et chaque auteur de chaque article à quelque chose à nous dire. "Rockyrama", c'est un fanzine géant dans un écrin luxueux (aux USA, on appelle ça un "mook", soit la contraction de "Book" et "magazine"). C'est un voyage dans le temps en première classe. C'est un vrai cadeau.

Sommaire : La scène se déroule sur le tournage de The Last of the Mohicans : Michael Mann derrière son combo hurle "Putain c'est quoi cette lumière orange ?!" Le réalisateur de Thief a méticuleusement soigné la lumière de sa scène et ne supporte pas cette intrusion chromatique. Son assistant lui répond alors « C'est le soleil Michael, c'est le soleil... » Tout Michael Mann est résumé dans cette anecdote, s'il le pouvait il contrôlerait le soleil, l'impossible. Célèbre control freak Michael Mann est certainement l'un des tous meilleurs réalisateurs vivants, si ce n'est le meilleur (en tout cas ici nous le pensons). C'est donc tout naturellement qu'il s'est imposé à nous après Carpenter et Kubrick. L'occasion de revenir sur une carrière unique et quelques chef d'œuvre qui ont marqués les spectateurs du monde entier. Place donc à Michael Mann, l'homme qui regardait la mer avec un flingue à la main et une caméra dans l'autre.

Sommaire : C’est un groupe de gamins. Peut-être le plus célèbre du monde, et peut-être qu’il n’y en aura plus d’aussi connu. Ce groupe de gamins, ce sont Les Goonies. Une bande de potes sortie des 80’s et figure emblématique de l’un des plus iconiques films de cette décennie. Quel gang n’a jamais rêvé de vivre les aventures de ces jeunes lascars américains ? Le film a ceci de transcendant qu’il fantasme à l’écran les histoires extraordinaires que nous nous sommes toutes et tous racontés depuis nos cours d’écoles, nos airs de jeux ou juste en bas de nos bâtiments. Et le film ? Il est comment le film ? SI vous voulez l’avis de l’auteur de ces lignes, il est un poil hystérique pour être tout à fait confortable. Mais il représente aussi le parfait exemple du film bien ficelé, du travail bien fait, rondement mené, bien emballé, pas Ghostbusters ou Retour vers le futur, mais un putain de bon divertissement quand même. À l’image de son réalisateur, Richard Donner, honnête faiseur, artisan Hollywoodien qui aura parfaitement su mettre en image les scripts qui lui étaient proposés. On en reparle dans quelques pages. Les Goonies, c’est aussi Frank Marshall, ILM et… Steven Spielberg, mais ça il nous faudra un numéro entièrement consacré au wonderboy pour en parler. En attendant, on sort les gadgets, les bouteilles de Pepsi, les Baby Ruth parce qu’au fond on est tous un peu Goonies.

Sommaire : Twin Peaks n’est pas une série télévisuelle. C’est une expérience sensorielle. Regarder Twin Peaks c’est faire le voyage vers le mystère au delà du mystique c’est entrer de plain-pied de « l’autre côté ».Twin Peaks est une ville monde, un endroit qui n'obéit à aucune règle connue. Ses habitants vivent en marge de notre dimension. Twin Peaks est le royaume du café et des tartes aux myrtilles, c'est même ici qu'elles viennent y mourir. Twin Peaks est le cimetière des espérances.Entrer dans Twin Peaks, c'est faire connaissance avec la peur, l'effroi, le meurtre et l'érotisme le plus sordide. Car derrière les rideaux rouges de ses coulisses, on y cache ses secrets les plus intimes, ses petites choses honteuses que l'on ne poserait même pas dans son journal intime. Twin Peaks, c'est Dale Cooper, l'élégance même doublé d'un cerveau à faire pâlir Columbo et Red Richards réunit. Twin Peaks, c'est Laura Palmer, l'adolescence souillée, les promenades dans les bois, les soirée sous cocaïne, et les gangbangs aux mains sales. Twin Peaks c'est la fin des temps, et le commencement d'un autre monde où tout le monde est perdant.

Sommaire : Paraît-il que le trailer du reboot de Ghostbusters est le plus détesté de tous les temps, d’après les commentaires sur YouTube... Certains disent même que cela serait dû à la présence exclusive de femmes au casting. Une sombre histoire de misogynie se cacherait donc derrière tout ça ? Possible... En tout cas, à l’heure où ces lignes sont écrites, nous ne pouvons juger de la qualité du film. Et si par malheur ce « Ghostbashing » était réellement dû au fait de cette représentation féminine que nous applaudissons ici de toutes nos mains, nous serions d’autant plus fiers d’avoir une de ses plus belles et fortes représentantes en couverture ! Sigourney Weaver est très certainement la reine de la pop culture, elle cumule à elle seule des millions d’entrées, a vaincu le xénomorphe, est du plus grand succès cinématographique de tous les temps, et surtout, surtout, au fil de ses interviews et déclarations, la personnalisation même de l’indépendance féminine dans un système hollywoodien quasi exclusivement masculin. Elles sont peu dans ce cas, Sigourney est leur chef de file, et à nos yeux, pour toutes ses raisons, notre plus belle et forte couverture. On appelle ça une icône.

Sommaire : Du Saturday Night Live aux plus récentes comédies américaines, en passant par Judd Apatow et South park, ce nouveau numéro de Rockyrama va fouiller dans la malle à rigolade pour extraire le meilleur du rire US. Vaste chantier qui demanderait plusieurs numéro, nous avons ici condensé le meilleur (voir le pire d après certains) dans un opus unique en son genre. Nous donnons donc rendez-vous à nos lecteurs au coeur même de la machine à rire nord-américaine, un vrai rouleau compresseur qui inonde le monde entier depuis des décennies. Un numéro 99 pour-cent de Comedy US pour finir l été et aborder la rentrée le coeur léger...

Sommaire : Clint Eastwood n’est pas un acteur, il n’est pas un réalisateur non plus. Malgré les dizaines de films que Clint Eastwood compte à son actif, devant et derrière la caméra, l’homme au poncho a dépassé son statut et explosé les cadres du grand et du petit écran. D’un charisme hors norme et d’un talent qui n’est plus à prouver, Clint est tout simplement devenu une légende. Avec également dans ce numéro : Robert Zemeckis en interview, Sidney Lumet, le générique de Beyond Clueless...

Sommaire : Nous ne pouvions nous décider, nous avons donc 2 couvertures pour un seul numéro. Face A, c’est James Gray, l’immense réalisateur américain de « La nuit nous appartient » ou encore « Two Lovers", qui nous fait l’honneur de sa présence. Avec la sortie de son dernier film « The lost city of Z » en mars prochain, James Gray enfonce encore un peu plus le clou d’une filmographie parfaite et exemplaire, intime et universelle, comme celles des plus grands. Nous revenons donc sur les chefs-d'oeuvre du réalisateur new-yorkais, un numéro noir comme la nuit. Avec à la clé une belle surprise… Face B, hommage à une éternelle princesse. Carrie Fischer est partie, et avec elle c’est tout un pan de notre imaginaire qui se fait la malle. Retour en photo sur l’une des carrières les plus singulières d’Hollywood, texte hommage, déclaration d’amour, pour lui dire au revoir une dernière fois… Nous consacrons donc plusieurs pages à cette actrice iconoclaste bien trop grande pour un seul costume, quand bien même fût-il celui d’une princesse. Et puis en vrac une interview du génial Michael Keaton, et de la team derrière le film American Honey, un hommage au bon gros John Candy, le ratage Lee Tamahori, et une analyse par le menu du Big Kahuna Burger de Quentin Tarantino…

Sommaire : Place à Ridley Scott. 2017 est sans conteste SON année. Que Alien: Covenant ou Blade Runner 2049 soient de fantastiques réussites ou de formidables navets ne changera rien à ce fait : c’est l’année Ridley Scott, pour ces deux raisons.

Sommaire : Un numéro entre magie et sorcellerie… Place à Guillermo Del Toro. Le mexicain le plus célèbre après le tacos, véritable créateur de mondes dans la lignée de Steven Spielberg, James Cameron, ou Ray Harryhausen, vient émerveiller les pages de Rockyrama.

Sommaire : Le nouveau numéro de Rockyrama est 100% consacré à Stallone.

Sommaire : Wes Anderson et tout son univers sont à l'honneur dans ce gros numéro plein de confort, de couleurs, et un peu tordu.

Sommaire : D'un côté, Tom Cruise, l'acteur qui s'est bâti une carrière à coup de sourires nucléaires et de personnages solaires. De l'autre, Brad Bird, un cinéaste qui dessine film après film une carrière d'une richesse rare.

Sommaire : Il est l’auteur de L’Arme fatale, Last Action Hero, il est le mec derrière les Nice Guys, le réalisateur d’Iron Man 3, mais aussi celui sur qui repose la renaissance de l’un des plus beaux monstres de l’histoire du cinéma : LE Predator. Il est Shane Black.

Sommaire : Un savant fou au volant d’une DeLorean, un homme assis sur un banc avec une boîte de chocolats, un lapin cartoonesque et sa plantureuse fiancée, un rescapé seul sur une île au large du Pacifique, une romancière égarée dans la jungle amazonienne… Cette galerie de personnages fantasques est tout droit sortie de l’imagination sans limite d’un cinéaste-magicien : Robert Zemeckis. De la saga Retour vers le futur à Forrest Gump, de Seul au monde au Pôle Express, ce nouveau numéro de Rockyrama rend hommage au réalisateur visionnaire, à l’occasion de la sortie de son nouveau film Bienvenue à Marwen.

Sommaire : Que reste-t-il de Kubrick ? Voilà la question à laquelle nous avons tenté de répondre dans ce numéro au détour d’un article qui fait le point sur le legs d’un titan du cinéma. L’énigme est trop complexe, le vide trop profond, la distance trop grande, et quand le 7 mars 1999 Stanley Kubrick meurt, il emmène avec lui certains de ses plus grands secrets. Et, en tout premier, cette question qui travaille les cinéphiles et les réalisateurs du monde entier : comment a-t-il pu aller si haut, et si loin ?

Sommaire : Pour ce 23ème numéro, Rockyrama se penche sur un réalisateur qui a marqué de ses initiales le cinéma de toute une génération : QT. Quentin Tarantino. Celui qui s’est imposé avec Reservoir Dogs et Pulp Fiction comme l’un des cinéastes les plus originaux de son temps poursuit sa route. En 2019, c’est de pied ferme qu’il est attendu avec Once Upon a Time in Hollywood, son 9ème et sans doute avant-dernier film, dont le titre fleure bon le cinéma de ses aînés (Sergio Leone, Ennio Morricone…). Cinéphile parmi les cinéphiles, Tarantino revisite les genres et l’histoire du cinéma, qu’il soit classique ou bis : du western au film de gangsters en passant par la Blaxpoitation. Ce nouveau numéro de Rockyrama est un voyage à travers l’œuvre pop, référencée et iconoclaste de l’enfant terrible du cinéma américain.

Sommaire : 1979. Ridley Scott s’apprête à lâcher un film monstre qui va donner naissance à un genre et faire office, même 40 ans après, de mètre étalon dans l’histoire du cinéma. Surgi de nulle part, Alien va terroriser le monde entier, laisser la concurrence loin derrière, et donner à Scott les pleins pouvoirs pour le restant de sa carrière. Dans ce numéro nous reviendrons sur la genèse d’un projet qui a su aspirer le meilleur des artistes qui ont collaboré au film, et nous raconterons comment ces quelque 120 minutes de pur cinéma ont tout changé.

Sommaire : Dans ce numéro qui fleure bon le video-club et les films bricolés, retrouvez l'empereur Roger Corman pour un entretien sur son parcours, son Hollywood et son cinéma. De Tarantino à Vincent Price, en passant par Jack Arnold et Milicent Patrick, faites un saut dans le temps ! L'occasion de déployer un dossier sauce barbecue, à déguster un samedi soir, entre deux séries B bien saignantes ! "Je crois que les monstres et toutes les peurs qui leur sont attachées sont en nous depuis des temps préhistoriques."- Roger Corman. Francis Ford Coppola, Martin Scorsese, Ron Howard, Joe Dante, John Sayles, Curtis Hanson, James Cameron, Jonathan Demme et bien d’autres illustres réalisateurs ont débuté chez lui. Lui, c’est Roger Corman, l’homme aux 400 films produits, l’empereur du cinéma de quartier et d’une certaine idée d’un cinéma bricolé. Nous ne pouvions passer à côté de cette légende vivante en abordant la question de la série B, et nous sommes allés le rencontrer dans ses bureaux à Los Angeles. Nous lui devons tant, Rockyrama, bien évidemment, mais également nous ; spectatrices, spectateurs, et cinéphiles en premier lieu. Roger Corman est le détenteur d’un savoir-faire unique. Il aura vu se créer sous sa tutelle des films artisanaux, parfois cheap, mais toujours façonnés avec la même passion et la même envie de créer. Il nous semblait aussi important de convoquer M. Jean-Pierre Dionnet dans nos pages à l’occasion de la sortie de ses Mes moires. Passeur parmi les passeurs, Jean-Pierre Dionnet a lui aussi construit, au travers de ses publications et émissions (Métal Hurlant et Cinéma de quartier en tête), une œuvre gigantesque dont l’impact en France et dans le monde entier se mesure encore aujourd’hui au nombre d’artistes et de fans qui se réclament de cet héritage. Nous sommes bien les enfants de ces deux personnages uniques à qui nous dédions ce numéro, en essayant, à notre mesure et à notre tour, de faire passer le message...

Sommaire : Bong Joon-ho. Le monde selon Bong Joon-ho, rencontre avec le réalisateur de Parasite. L’année 2018 avait vu éclore, aux yeux du grand public, le cinéma de Guillermo del Toro. Son dernier film La Forme de l’eau avait enfoncé les portes des salles du monde entier et récolté des prix à ne plus savoir quoi en faire ni sur quelles étagères les exposer. Il semblerait que le destin de Bong Joon-ho prenne la même direction. Le réalisateur sud-coréen n’en finit plus de s’imposer dans les différents pays qui accueillent son dernier effort, Parasite. Après le grand prix du jury à Cannes et le Golden Globes du meilleur film étranger, les Oscars tendent les bras au réalisateur. Mais là où la prouesse est totale – et plus impressionnante encore que pour del Toro – c’est que Bong Joon-ho réalise cette performance en dehors du circuit hollywoodien. À la force d’un cinéma puissant, d’un discours qui résonne partout dans le monde, d’une efficacité et d’un langage cinématographique universel (qui n’est pas sans rappeler celui de Steven Spielberg), d’indéfectibles alliés (encore merci à Manuel Chiche et The Jokers), le cinéma de Bong Joon-ho remporte d’importantes victoires en faveur d’un cinéma exigeant ET divertissant. Ajoutez à cela une politique cinématographique sud-coréenne qui soutient fermement ses auteurs, et vous obtenez LA formule. Une formule dont le cinéma français serait fort inspiré de... s’inspirer. Nous sommes donc fiers et heureux d’avoir pu rencontrer le réalisateur lors de son passage au Festival Lumiere à Lyon, en octobre dernier. Bong Joon-ho a bien voulu nous accorder un peu de son précieux temps, et ce malgré une fatigue sévère. Nous tenons ici à le remercier encore pour ce moment, et surtout pour ses films.

Sommaire : Christopher Nolan. Inventeur du blockbuster moderne, fabricant d’un cinéma exigeant dans sa conception, retour sur la carrière étourdissante de Christopher Nolan. Entre les pages de ce 27e numéro, Rockyrama se penche sur le parcours hors du commun du réalisateur acclamé d’Interstellar, d’Inception ou encore de la saga The Dark Knight : Christopher Nolan... Après avoir fait montre de sa maîtrise de la tension dans son premier film historique, Dunkerque, après la spectaculaire odyssée intergalactique d’Interstellar, Nolan revient sur le devant de la scène avec son nouveau long métrage, Tenet, un film-palindrome qui défiera une fois encore les règles du temps... Entre chaos et harmonie, retour sur l’œuvre étourdissante de Christopher Nolan.

Sommaire : Coppola, une affaire de famille. Entre les pages de son numéro de rentrée, Rockyrama se lance sur les traces de l’une des plus mythiques familles de cinéma dans un dossier complet… Bienvenue chez les Coppola. À l’occasion de son 28ème numéro, Rockyrama rend hommage à un clan dont le nom illustre a marqué à tout jamais l’histoire du 7ème art : les Coppola. Dans l’ombre du patriarche et monstre sacré qu’est Francis Ford Coppola a germé une génération de cinéastes prodiges et d’artistes touche-à-tout, dont Martin Scorsese, Steven Spielberg ou encore George Lucas. Portraits croisés d’une famille qui ne ressemble à aucune autre et retour sur une dynastie de cinéma.

Sommaire : Dans la machine Terminator. En 1984, surgissait des flammes une créature de chair et de métal qui allait changer à tout jamais le visage du cinéma. À l’occasion de ce 30e numéro, Rockyrama plonge dans les rouages de la machine Terminator de James Cameron. Retour sur les origines du film, de la conception du personnage à la production, en compagnie de Mark Goldblatt, superstar des bancs de montage. Entre les pages de ce numéro, redécouvrez également les coulisses Basic Instinct à travers un dossier spécial réunissant des interviews exclusives de Michael Douglas, Sharon Stone et Paul Verhoeven ! Entre les pages de son numéro 30, Rockyrama se lance sur les traces de l’une des créatures iconiques du septième art : le Terminator ! Après la sortie du documentaire Rockyrama consacré à Basic Instinct, retrouvez les interviews exclusives de Michael Douglas, Sharon Stone et Paul Verhoeven qui reviennent sur les dessous d’un film culte… Au menu de ce nouveau Rockyrama, découvrez également un entretien avec Olivier Schneider, superviseur des cascades du prochain James Bond, nos rubriques Pop Poster, Le Générique ou le Happy Meal, ou encore des articles sur les films Mank, Cry Baby ou Le Monde du silence.

Sommaire : Nous sommes en 1982 lorsqu’Ôtomo redéfinit les bases du seinen manga avec Akira. Six ans plus tard, avant même d’avoir conclu son grand œuvre, il réalise lui-même son adaptation sur grand écran. Il livre alors l’un des films majeurs de la SF et de l’ère cyberpunk, source d’inspiration intarissable et terreau US d’images iconiques. Pour beaucoup, Akira sera le premier contact avec une animation japonaise adulte. Ce livre plonge au cœur de la machine Akira qui révolutionna l’animation et fascina le monde entier. Hors-série Akira par Ludovic Gottigny, Romain Dubois & Malik-Djamel Amazigh Houha Dates : Sortie en kiosques le 29 janvier Sortie en librairie le 5 février

Sommaire : Non précisé

Sommaire : Petit frère nippon de Rockyrama, Otomo vous entraîne pour sa virée annuelle au Pays du Soleil Levant ! Rendez-vous en terres japonaises à la rencontre de son cinéma, ses mangas, sa gastronomie… Avec sa double couverture, Otomo 4 rendra hommage à Maison Ikkoku (Juliette je t’aime) de Rumiko Takahashi et à l’imperturbable Ken Takakura, légende du cinéma nippon. Entre ses pages : vampires japonais, yakuzas, samouraïs, bière fraîche et onigiri ! Faites chauffez les ramens, Otomo vous emmène dans un périple au cœur de Tokyo. En kiosque — le 26 juin 2019 En FNAC et librairie — le 03 juillet 2019