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Encore une réussite ...
On ne voyage pas très loin dans cet album, mais c'est égal !
C'est toujours aussi drôle et bien vu : c'est plein d'images d'Epinal sur les Belges, mais que c'est bon. Tout est dosé parfaitement et on rit volontiers aux différentes allusions qui sont faites.
A noter, une apparition-hommage des Dupond/t, la naissance des moules-frites, une petite allusion aux problèmes de "langue" (de boeuf) de la Belgique, aux peintres flamands ...
Le dessin d'Uderzo est toujours au top.
Vous l'aurez compris, un autre album indispensable.
Une fois de plus Goscinny signe un album complètement déjanté, entre jeux de mots, clins d'oeil et bien sûr les gags, le lecteur n'a pas terminé de rire...voilà tout l'art d'Astérix, des gags et une histoire à côté.
Cette fois-ci nous voilà emmené dans le le combat des chefs, on assiste au pétage de plomb du druide Panoramix, et une fois de plus, les vilains romains veulent réduire en cendre le paisible village d'Astérix et ses amis ; Et une fois de plus cela se solde par un échec cuisant. Cette fois on ne vit plus que les aventures d'Astérix et d'Obélix mais aussi celles du village des irréductibles gaulois.
Le dessin d'Uderzo est toujours aussi impécable, que lui reprocher ? si ce n'est d'avoir des couleurs trop vieillotes ? Il a son style, des formes arrondies, des dessins clairs, c'est avec une grande sobriété et un petit peu d'humour qu'Uderzo relève le défi de mettre en image les aventures d'Astérix....
Les meilleurs Astérix reposent toujours sur une idée simple autour de laquelle Goscinny construit un scénario riche en rebondissements et gags. A l'inverse, les scénarios des derniers albums réalisés par le seul Uderzo paraissent bien laborieux. Obélix et compagnie représente le parfait exemple de ce que doit être un bon Astérix et une preuve du talent de René Goscinny.
Tout part d'une idée simple: César tente de désunir les Gaulois en les initiant au capitalisme. Il envoye sur place Caius Saugrenus, modèle de jeune arriviste frais diplomé de sa haute école. En quelques belles paroles, il embobine Obélix, le persuadant que le menhir est un produit d'avenir. Pour satisfaire la demande, Obélix est obliger d'engager de la main d'oeuvre supplementaire, mais également de recourir à la sous-traitance pour d'autres activités telles que la chasse. Devant la réussite fulgurante d'Obélix, des vocations nouvelles apparaissent dans le village et de nouveaux facteurs de menhirs font leur apparition... la libre entreprise est en marche.
Mais que faire de tous ces menhirs que Caius Saugrenus achète a prix d'or ? La Pax Romana est en marche, mais a quel prix? Pour financer l'operation, pourquoi ne pas faire du menhir un produit a la mode ? S'en suit un cours de marketing qui peut se résumer a "On peut vendre n'importe quoi, il suffit de savoir s'y prendre". Le succès est fulgurant, mais voila que les esclaves voient d'un mauvais oeil ces produits d'importation. Et voila que le menhir romain apparait!
Derriere l'enormite de l'histoire, les calembours, le comique de situation, les anachronismes... il y a une satire tres pertinente de notre sociéte de consommation. C'est ce qui fait la force d'Asterix. Les lectures sont multiples. Un enfant adorera les pitreries d'Obélix, les bagarres, puis il découvrira les calembours, les clin d'oeil et enfin la satire sociale. Trop souvent, on se contente de second degré en négligeant le premier degré qui est pourtant primordial pour que le second atteigne son but. Ou bien on se cantonne dans un genre de reference terriblement tributaire des modes. Autrement dit, dans 5 ans, ca ne voudra plus rien dire. Asterix continue de plaire parce que Goscinny n'aura jamais sacrifié son histoire pour un gag et son sens comique ne se limite pas a ce qui était en vogue a l'époque ou il écrivait. Il a su créer un univers qui ne demande qu'a intégrer de nouvelles idées. Alain Chabat l'a bien compris en faisant revivre Astérix au cinema. Son film aurait probablement fait beaucoup rire Goscinny.
C’est avec une certaine saveur, sans faire de mauvais jeux de mots que les auteurs s’en prennent cette fois-ci à la frénésie des cures thermales. Il faut dire que cette pratique est souvent une source reconnue de situations abracadabrantes. Et pour notre plus grande joie on voit ici un Abraracoucix au bord de la crise de nerfs. Et voir les pauvres curistes tenter vainement de voler un os d’Idefix est à se rouler part terre.
Avec cette histoire de bouclier Goscinny rafraîchit la mémoire de Cesar sur la résistance des gaulois. Et on découvre un nouveau personnage qui est assez important, il s’agit de la femme du chef Abraracoucix qui se nomme Bonemine.
Le décor, magnifiquement illustré, est planté et l’histoire a de quoi attirer le lecteur. On peut sans aucun doute dire que l’idée est intéressante et la trame bien montée. Il faut cependant déplorer le fait que cet album soit annoncé comme étant le premier d’un cycle de cinq volumes et que, par conséquent, ce premier album soit plus une mise en ambiance qu’une réelle histoire fluide. En conclusion, comme malheureusement souvent en bande-dessinée moderne, il faudra attendre le deuxième opus pour se faire un réel avis sur la série qui, et je le répète, a un grand potentiel.
Tintin doit lutter contre Al Capone en personne. En effet, en dehors des tueurs et des hommes de main du plus célèbre bandit, Hergé n’hésite pas à faire intervenir Al Capone en personne, sous son véritable nom. C’est le SEUL cas où Hergé, qui s’inspira souvent d’individus réellement existant après les avoir transposés, fit entrer quelqu’un tout entier dans son univers. Il est vrai qu’à l’époque où Hergé le dessinait, Al Capone était déjà un mythe.
Du bien beau travail que ces auteurs nous ont fait , le scenario tient la route , les dessins sont nikel rien a dire , vivement le dernier épisode car c'est assez cruel de rester sur notre faim.
Cette serie est vraiment bien tournée , dans un marseille que les auteurs connaissent bien.Tous les ingrediens accrochent le lecteur , on a qu'une hate de voir la suite.
Affaire a suivre :)
j'ai beaucoup adoré cet épisode,et les enfants ne s'en lassent pas,les dessins aussi sont tres beaux.a lire et a relire :)