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J'ai tout dit à propos du tome 1, et les choses ne s'améliorent pas dans le tome 2. La superficialité des personnages augmente au contraire, ainsi que le ciblage d'un public ado et essentiellement féminin.
"Martine ado dans l'espace", en quelque sorte...
Je ne connais pas les romans dont la BD est issue, mais à lire cette BD, cela s'adresse à un public adolescent, essentiellement féminin.
Du coup, n'étant ni ado ni féminin... bon je ne suis pas accroché à mort à cette histoire, quoi !
Le grand mérite de l'histoire, c'est d'intégrer la réalité médiatique actuelle dans une fiction mi-SF mi-romance à l'eau de rose, ce qui est assez rare finalement (en BD, en tout cas). Un hybride qui se veut à mi-chemin entre Loft Story et Star Trek sans y parvenir.
Le résultat n'est pas déplaisant, mais pas très excitant non plus. L'histoire prend son temps pour décoller, un comble dans un contexte de conquète spatiale !
Mais surtout, les personnages sont très superficiels. Les filles sont un poil nunuche, et que dire des garçons... ohlala... qu'est-ce qu'ils manquent de réalisme ! Ils sont hyper efféminés dans leur comportement avec les filles, on est assez loin de la réalité.
Graphiquement, c'est lisse. Un peu trop. Les garçons sont trop évanescents et les décors trop propres, notamment l'intérieur du vaisseau, ce qui ne reflète absolument pas la réalité des voyages dans l'espace ni la promiscuité.
A réserver au public ciblé, les adolescentes.
Un nouvel album de cette reprise est toujours une fête. Et ce dernier opus le confirme, même s'il prend une inflexion qui peut interroger, et que j'espère un cas unique qui ne se répétera pas.
En effet, cela part mal.
Imaginer Michel Vaillant ne pas respecter la loi semble inimaginable, et se lancer dans un tel projet, aussi dangereux pour les autres, juste pour des raisons marketing (faire du fric, donc) est totalement contraire à l'esprit de la série et indigne du héros.
J'ai fait abstraction de cela, mais j'espère que cela ne se reproduira pas.
Une fois ce postulat de base avalé, l'histoire est très prenante, et confirme que cette reprise est une excellente série qui plaira aussi bien aux amateurs de bagnoles, de courses auto que à ceux qui aiment tout simplement la BD d'aventure.
La fin semble un peu sortie de nul part, mais je fais confiance aux auteurs pour parvenir à expliquer comment Michel Vaillant se retrouve dans cette situation.
Un bon album, mais que j'espère un cas unique d'un point de vue moral, d'où ma notation un peu plus sévère que d'habitude.
Ne vous arrêtez pas à la chronique, elle n'a rien compris au principe de cette série.
"Jacques Gipar" est une excellente série, qui se déguste comme un bon vin, à lire le soir, dans son fauteuil, prêt pour une immersion dans les années 50, l'élégance et les bons mots.
Oui, cette série est clairement nostalgique, et plaira aux plus jeunes comme aux anciens, à ceux qui ont vécu cette époque comme à ceux (comme moi) qui ne l'ont pas du tout connu.
Série d'utilité publique, ce nouvel opus est très agréable à lire, parce qu'il contient tous les ingrédients d'un bon album. Pas besoin de réviser son "Gil Jourdan" pour apprécier.
L'appel du large, le passage du Gois comme si on y était, des personnages truculents et très "Bd de l'age d'or", ambiance ambiance...
Vivement le prochain album !!!!
Les choses ne s'améliorent pas avec ce 2nd opus.
Pire, il s'enlise dans la noirceur, et la politique et le sociétal prennent trop de place dans ce faux comics.
Arrivé au terme de cet album, je n'ai même plus envie de savoir la suite. J'ai compris que je n'aurais pas droit à Photonik, mais à un erzatz sans saveur, où on m'oblige à me rappeler combien les blancs sont détestables et les noirs de pauvres victimes de la société.
J'arrête là.
De toute façon, l'éditeur et les acheteurs aussi, visiblement.
Je comprend que ce titre n'ait pas marché, et qu'il soit annulé prématurément par l'éditeur.
Ayant lu Photonik (le vrai) jeune, quand ça paraissait dans des magazines de superhéros, je pensais retrouver là un vrai hommage à ce superhéros faussement ricain et en fait français.
Mais je n'y ai rien retrouvé, et c'est pour moi le 1er défaut de cet album. Il manque l'efficacité des comics US, qui vous troussent une histoire, des situations, en quelques pages, pour bien vous accrocher. Là, c'est lent, trop lent.
Ensuite, si les dessins sont bons, on est loin des superhéros avec leurs chouettes costumes. Je n'ai pas accroché du tout à ce pseudo-Photonik tout nu, jaune poussin et luminescent. A la fin de l'album, il y a un petit dossier, avec des dessins de ce qà quoi Photonik aurait pu ressembler, s'il avait été dessiné "façon superhéro" (comme dans la vraie version, quoi). C'était vraiment autre chose, bien plus réussi.
C'est dommage d'être passé à côté de ça...
Enfin, cet album est un faux hommage aux comics, et une vraie BD où le sociétal l'emporte sur l'aventure. ce n'est pas ce que je cherche dans une BD qui se veut "de superhéro". Surtout qu'on se fait déjà assez cracher dessus par le mouvement "black lives matter", les woke et tout le toutim. Bientôt il faudra s'excuser d'être né blanc.
Ras le bol.
Côté dessin, on est assez loin des comics traditionnels. L'inspiration est à trouver dans "Marvels", mais c'est une mini-série à part dans les comics, qui avait réussi l'amalgame entre le réel et le superhéroïque. Ce qui n'est absolument pas le cas avec "Luminary", qui ne fait pas rêver et ne nous fait pas aimer les superhéros.
Au final, cet album est mal fichu.
Pas assez comics, trop lent, c'est un hybride qui ne satisfait personne.
J'ai beau être en vacance, avoir du temps (de sieste) pour lire, là, je n'y arrive pas.
C'est long, c'est chiant, c'est pénible, tout ces mutants...
Ces vies sont trop éloignées de la mienne pour que j'y trouve un quelconque intérêt. Aucun personnage n'est normal, et à force, ça lasse. La foire aux monstres, ça va 5 mn.
C'est dommage, en prenant plus de temps, en condensant ses travaux, ce dessinateur pourrait faire quelque chose de mieux.
Là, c'est vraiment du roman graphique (au sens péjoratif du terme), avec trop de libertés laissée à l'auteur.
Je n'ai pas réussi à tenir jusqu'au bout, c'est trop ch... long.
Ce tome 2 est un poil en dessous du 1.
L'effet de surprise est passé, et les choses se mettent en route doucement.
Mais il y a quand même ce quelque chose qui donne envie de continuer.
Le tueur semble plus humain, ce qui est impossible en réfléchissant un peu, et son entourage est une belle brochette de débiles.
Le dessin est toujours au top.
La couverture est farfelue, le contenu est un peu plus sérieux, tout en ayant des moments amusants (à la japonaise, quoi).
Déjà, le dessin est très bon et très plaisant à lire.
C'est du manga, pas du roman graphique !
Les personnages sont immédiatement identifiables, l'ambiance est japonaise à souhait.
L'histoire est immorale et donne un trop beau rôle au tueur professionnel. Il faut faire abstraction de cela pour lire ce manga sans se pincer le nez de dégout, quelque part.
Une fois cette précaution évacuée, cela reste plaisant à lire. Les personnages sont mis en place progressivement, et j'ai eu envie de lire la suite. J'en suis au tome 3 et c'est toujours agréable.
C'est un sacré évènement que chaque album du dessinateur amblématique de cette formidable série, Jean Pleyers.
La couverture est dans le plus pur style Pleyers, celui qui m'a fait aimer la série.
Pourtant, cet album, s'il n'est pas complètement raté, n'est pas tout à fait à la hauteur de ce que j'espérais.
Le dessin de Pleyers, si il est toujours aussi fidèle à la série, a perdu en qualité. Melheureusement, le temps a fait son oeuvre, le trait est parfois tremblant et j'ai regretté qu'un assistant n'aide ce très grand monsieur de la BD a encrer certaines planches. Le résultat aurait été meilleur, certainement, car les cadrages, les couleurs, l'esprit Jhen est toujours là.
C'est émouvant de retrouver ce grand auteur, tout de même.
Le scénario n'est pas mauvais. On y retrouve les personnages emblématiques de lé série, avec grand plaisir me concernant. L'histoire se tient, même si je ne suis pas fan de ces uchronies dans lesquelles Jeanne d'Arc ne meurt pas. L'ambiance, ce Moyen Age à la fois sublimé et fidèle, est toujours aussi fascinant.
Au final c'est l'émotion des retrouvailles qui l'emporte.
Un album que j'aime, autant pour ce qu'il contient que pour le dessinateur qui l'a réalisé.
Merci M Pleyers !
Super album !
Il aurait pu sortir pour Noël, et paraître dans le "journal de Spirou", tant il est charmant, agréable, rafraichissant, amusant et très bien dessiné.
Le dessin, ce qui fait tout le charme de cet album quand on le feuillette rapidement, est très réussi, maitrisé, et cette ambiance de neige est charmante. Les animaux, plus encore que les humains, sont délicieusement croqués et très drôles. Les dialogues, en décalage avec le statut des animaux, sont savoureux.
L'histoire est intrigante, au départ, et forte, au final. Les personnages sont au diapason du village, rugueux de prime abord, de caractère et chaleureux quand on referme cet album.
J'y ai retrouvé l'esprit des BD des journaux de prépublication de mon enfance, comme l'adaptation des "lettres de mon moulin" de Daudet par Mittéi dans les années 70 et 80.
C'est un titre qui est arrivé sans fanfare ni trompette, mais qui est très plaisant à lire. La bonne surprise du tome 1 est confirmée dans ce tome 2, et j'espère qu'il y en aura plein d'autres.
La lacheté ordinaire de certains n'est vraiment plus à démontrer. Se précipiter pour mettre une sale note à cet album, sans laisser de commentaire, c'est bas et cela montre à quel point ils ne méritent pas cette série qui s'adresse à un public cultivé, exigeant et mature.
Pour en revenir à l'album, c'est comme à chaque fois avec la "team Zumbiehl", un vrai plaisir à lire. Du Charlier pur jus, de notre époque.
Il y a beaucoup de personnages dans cet album, mais avec brio, les auteurs arrivent à bien les identifier et à ne pas nous perdre au jeu du "qui est qui".
L'histoire va à 100 à l'heure, elle est très prenante et j'ai hate de lire la suite et fin.
Les dessins sont au top, comme toujours.
Seul le visage de Tanguy n'est pas toujours réussi, mais que c'est difficile de succéder à Uderzo... Allez, c'est pas trop grave mais il faudra améliorer ça pour les prochains albums !
longue vie aux auteurs et à cette série, la rolls des BD d'aventure/aviation !
Je ne connaissais pas du tout cet épisode de l'Histoire de France. Mais j'avais déjà lu quelque chose des auteurs de cet album et j'étais curieux de les lire dans un domaine plus "sérieux".
Bien m'en a pris !
Cet album est TRES bon.
Il y avait la matière, une bataille dans laquelle les français ont été héroïques et ingénieux. Mais encore fallait-il réussir à mettre en musique cette histoire. De ce point de vue là aussi, c'est très réussi.
Les dessins sont fouillés, expressifs, j'ai vibré pour ces hommes (et ces femmes) qui ont combattu pour nous, pour que la France demeure et retrouve de son aura, pour faire gagner du temps aux anglais, et pour marquer le début de la reconquête.
Le scénariste ne s'attarde pas en discussion sans intérêt, mais il instille des petites pastilles, pour mettre en valeur comme il se doit les exploits de ces soldats, en nous rappelant que certains finiront ensuite ministre. Autrefois, nous étions gouverné par de grands hommes, des hommes d'expérience, et non des capitaines de pédalo ou des énarques inutiles et formatés à l'extrême, et qui n'auraient jamais laissé la France se dégrader comme actuellement .
Vraiment, un superbe album et une histoire qui m'a touchée. Il y avait matière à en faire une histoire en 2 tomes, tant elle est riche et la fin difficile à entendre.
Bravo aux auteurs et reconnaissance éternelle à ces soldats qui ont combattu pour nous.
Comme Erik67, je n'ai pas accroché à ce manga.
Représenter le personnage principal en oiseau stylisé, c'est une idée comme une autre, mais qui n'a pas pris, me concernant.
J'ai plus de 50 ans, et ce manga ne m'a pas non plus rappelé mon enfance/adolescence.
Je ne déteste pas ce manga, les décors sont bien faits, c'est sans doute intéressant pour ceux qui sont concernés par le sujet, mais ce n'est pas mon cas.
Plutôt que de détester ce manga, il m'est resté dans les mains, et j'y éprouve une indifférence polie, pas de la détestation.
"sans intérêt", me concernant, donc.
Quelle bonne surprise que ce tome 5, alors que je pensais la série arrêtée, Callixte ayant pris l'habitude de dessiner vite et bien mais... d'autres choses !
Alors alors, qu'est-ce que ça donne ?
Et bien, c'est très bien !
La deuxième partie de l'album est TRES réussie, avec des ambiances comme j'en ai rarement lu en BD d'aviation. J'étais dans l'avion, je luttais avec les pilotes, contre les éléments déchainés, je tremblais pour eux, c'était génial !
L'ensemble se lit bien, c'est toujours plaisant, même si je ne me souviens plus de ce qui s'est passé dans les albums précédents. Et c'est un peu dommage, car il y a des références à des personnages de certains albums précédents, justement.
N'empêche, Callixte se fait plaisir avec sa série, et nous fait plaisir aussi. Bravo M Callixte !
Il n'y pas besoin d'acheter cette intégrale, si cette mini-série vous fait de l'oeil. Seuls les 2 premiers albums valent le coup (le 2ème est même extraordinaire, un petit bijou)).
Les 4 albums suivants ne sont hélas pas du même niveau, et vous pouvez parfaitement vous en passer en n'achetant que les 2 premiers albums à l'unité.
Ca vous coutera moins cher !
Les défauts de ces 4 albums sont récurrents : répétition des malheurs (vacances gâchées), résilience face à ces malheurs qui manque de crédibilité (tous drogués dans cette famille ?).
Et la propagande lourdingue et anachronique pour l'album n° 6 vient définitivement gâcher la série sympathique des débuts.
Economisez votre argent, achetez seulement les albums 1 et 2 !
Je n'ai pas eu la même expérience de lecture que d'autres, visiblement.
Ce qui m'a géné pendant tout le long de cette histoire, c'est que les auteurs ont décidé de mentir et de nous raconter une histoire arrangeante avec la véritable histoire de ce salaud. C'est écrit en page de garde de chaque album.
Parce que, au final, c'est l'histoire d'un sale type, né dans la misère comme des millions d'autres, mais qui a fait le choix de la criminalité, qui s'est enrichi sur le dos des honnètes gens, qui a pactisé avec l'ennemi et lui a permis ensuite d'envahir la France, et de continuer à faire de l'argent avec l'ennemi. Et qui s'est racheté une (fausse) bonne conscience juste avant la Libération.
D'autres ont été condamnés à mort pour trahison, lui s'en est sorti.
Il y a certainement des personnages ayant réellement existé qui sont plus intéressant que cette ordure.
Quant au juge de cette histoire, les auteurs ont décidé d'en faire un antisémite, bien sur. Il fallait que le seul homme courageux soit un connard...
Encore un élément qui décrédibilise cette histoire.
Les beaux dessins de Vallée ne suffisent pas à rendre cette histoire réellement intéressante. Je déconseille cette lecture, intellectuellement malhonnête.
Je n'ai pas eu la même expérience de lecture que d'autres, visiblement.
Ce qui m'a géné pendant tout le long de cette histoire, c'est que les auteurs ont décidé de mentir et de nous raconter une histoire arrangeante avec la véritable histoire de ce salaud. C'est écrit en page de garde de chaque album.
Parce que, au final, c'est l'histoire d'un sale type, né dans la misère comme des millions d'autres, mais qui a fait le choix de la criminalité, qui s'est enrichi sur le dos des honnètes gens, qui a pactisé avec l'ennemi et lui a permis ensuite d'envahir la France, et de continuer à faire de l'argent avec l'ennemi. Et qui s'est racheté une (fausse) bonne conscience juste avant la Libération.
D'autres ont été condamnés à mort pour trahison, lui s'en est sorti.
Il y a certainement des personnages ayant réellement existé qui sont plus intéressant que cette ordure.
Quant au juge de cette histoire, les auteurs ont décidé d'en faire un antisémite, bien sur. Il fallait que le seul homme courageux soit un connard...
Encore un élément qui décrédibilise cette histoire.
Les beaux dessins de Vallée ne suffisent pas à rendre cette histoire réellement intéressante. Je déconseille cette lecture, intellectuellement malhonnête.
Ah lala, la suite...
C'est toujours délicat, quand un 1er album a frappé fort et touché juste.
Et bien c'est réussi !
Toujours aussi bien dessiné (bon, sauf les voitures en fin d'album, je dois l'avouer, qui sont un peu ratées !), parfait pour le coeur de cible (les jeunes pré-ados et ados - même mon fils de presque 8 ans adore).
L'histoire est différente du premier tome, focalise cette fois sur une période plus courte, un camp d'été scout dans une merveilleuse région, le Périgord (après avoir commencé à Rocamadour).
Encore une fois, la force de cette BD est de retranscrire la réalité du scoutisme, dans tous ses aspects (les auteurs savent de quoi ils parlent, visiblement) tout en proposant une vraie histoire qui se lit d'une traite.
Il y a, là aussi, juste ce qu'il faut d'invraisemblance pour permettre une histoire un peu hors norme, tant notre époque interdit tout et n'importe quoi à cause de ce fichu principe de précaution qui transforme les français en pétochards.
Au final, c'est un excellent album, qui en appelle d'autres. Les auteurs ont trouvé la voie et le ton juste. Bravo à eux !
Les Bd didectiques ne sont pas toujours très bien dessinées. Le propos compense souvent un dessin imparfait.
Là, ce n'est absolument pas le cas, les dessins sont très bons.
L'ensemble est très plaisant, joliment dessiné et j'ai lu cette BD quasiment d'une traite.
Evidemment, ceux que le sujet n'intéresse pas, je leur conseille de passer leur chemin (de la même façon qu'on ne me fera pas lire un Corto Maltese ou des trucs encore plus expérimentaux qui me soulent).
Mais pour les avertis comme pour les curieux, intéressés et intelligents, ce livre est très plaisant et une jolie surprise graphique, sans esbroufe mais solide et qui élève l'âme.
Une réussite, qui en appelle d'autres je l'espère.
Ils ne sont pas nombreux, les titres qui arrivent à se renouveler, c'est à dire à donner envie d'en lire encore et encore.
"Tramp" est de ceux là, et ce nouvel opus ne fait pas exception.
Il est excellent.
J'avais des doutes sur le repreneur graphique, mais ces doutes se sont envolés.
Reste le plaisir de lecture, le gout de l'aventure et de belles ambiances nostalgiques.
Bravo aux auteurs !
Toujours pas lu cette série, mais mon fils a adoré le tome 1, et il a poussé un cri de joie en voyant paraitre le tome 2.
Preuve quand même que ça doit pas être mauvais.
Recommandé par un lecteur expert de 7 ans (bientôt 8) !
Mon avis de lecture est biaisé : je n'ai pas lu l'album !
Mais mon fils (7 ans) l'a lu, et il piaffait d'impatience en attendant le suivant.
C'est que cela ne doit pas être mauvais.
Donc je conseille sa lecture, puisqu'il plait à son coeur de cible !
L'histoire d'amour est mal exploitée, parce que, contrairement à ce que laisse penser la couverture, ce n'est pas du tout le sujet principal de l'album.
Du coup, la deception est grande.
Le dessin n'est pas en cause. Il manque un peu de grisaille dans les tons (cela se passe en Normandie, pas dans le sud de la France).
Cet album ne restera pas dans les annales.
C'est dommage.
Emprunté à la bibli, pour essayé, et c'est une jolie bonne surprise.
J'avais peur que mon fils (de bientôt 8 ans) n'ait un peu peur, mais apparemment pas.
C'est graphiquement très champêtre, très agréable, avec une ambiance à la "belle et le clochard", sans copier le graphisme Disney.
Et puis, le drame survient, et je me suis laissé prendre au jeu.
Je ne suis pas le coeur de cible, mais j'ai bien aimé quand même, et j'ai hate de lire la suite.
Mon fils aussi !
Ce n'est pourtant pas vraiment pour lui, c'est encore un peu tôt car il y a beaucoup de grossièreté dedans.
Mais ça le fait bien marrer...
Il vaut mieux commencer par "Naguère les étoiles", pour des petits ; après, ils auront le temps de lire ça, passé 10 ans.
J'aurais aimé être aussi enthousiaste que Shaddam4, mais les dessins sont parfois si compliqués à déchiffrer que je n'ai pas franchement apprécié cette lecture.
Certes, j'ai la vue qui baisse, mais les designs des engins, les décors des planètes et de l'espace en général, le découpage des pages, tout ça c'est parfois bien flou, que je m'y suis perdu.
le scénario, qui n'est pas linéaire non plus, avec des retours en arrière un peu pénibles à force, n'est pas très agréable non plus.
Y'a une volonté de bien faire, mais je trouve que le dessin de Ogaki a perdu en lisibilité. Pas sur que je poursuive...
Bon, il n'y a pas tromperie sur la marchandise. C'est joli de bout en bout.
Il y a quand même une petite fausse joie, bien trouvée, et qui aurait pu être exploitée dans un volume 3. J'en aurais bien repris un peu !
Ce n'est pas inoubliable, mais c'est agréable à lire, loin des excès qui finissent par souler, dans le manga.
ce tome 2 confirme la bonne impression du tome 1, avec de l'action et des moments d'émotion qui font le sel des vrais mangas.
Il y a un petit côté "Gunm - battle angel alita", dans l'esprit (ce heavenland, cette arène), même si, cette fois, c'est un "male" le guerrier de la mort qui tue.
Allez, j'ai envie de savoir la suite !
Il y a quelque chose, dans ce manga.
Un dessin très correct, d'abord.
Bon, les "femmes" sont sexy en diable (qui s'en plaindra ?), pas toujours vêtues de façon pratique (ouais bon, le costume de soubrette, ça reste sympa !) ; les robots "males" sont sinon originaux, du moins variés, et l'ensemble est cohérent.
Mais tout ça nécessite quand même une confirmation dans le tome 2 ; et ça tombe bien, je l'ai lu, et il est pas mal.
Je confirme ma 1ère impression.
Ce manga est sans intérêt.
C'est confus, je confond sans arrêt des personnages, l'histoire est totalement oubliable, et je n'irai pas plus loin.
Etant "orphelin" de mangas dans le genre romantique "video girl Aï", j'ai tenté ma chance avec ce manga. Pas de bol, c'est une histoire en 2 tomes, et je ne l'avais pas vu alors que c'est écrit sur la jaquette...
Bon tant pis, je l'ai acheté, je l'ai lu.
Alors c'est pas mal.
J'y retrouve la force des mangas, ces sentiments innocents et tendres de nos jeunes années, tranquillement incarnés, sans fausse pudeur. On est dans le roman à l'eau de rose asiatique, autour de jeunes étudiants, et c'est plutôt plaisant à lire et bien dessiné.
L'histoire va quand même (trop) vite se terminer, c'est dommage, j'en aurais bien repris pour quelques tomes de plus.
J'espère juste une fin pas trop triste. On verra bien.
Car je vais lire la suite et fin, c'est sur !
Le propos et intéressant, pas très réaliste effectivement (il y a des failles, dans ce bug), mais gaché par un dessin indigent, indigne du talent de Enki Bilal.
Et comme c'est une BD, c'est ça qui saute aux yeux.
Comme son dessin a vieilli, est devenu flou...
Qu'il est loin le temps de la trilogie Nykopol...
Ce serait un inconnu, on n'hésiterait pas à dire que c'est un dessin en devenir, mais qu'il faudra le travailler, surtout les décors qui ne sont pas terribles du tout. Sauf que, là c'est un auteur ultra confirmé, et que son dessin a énormément perdu en qualité.
A côté, Roger Leloup (Yoko Tsuno) a conservé bien plus de consistance dans son dessin, par exemple.
Dommage.
Comme dit dans mon avis laissé pour le tome 1, ce tome 2 déçoit, par trop d'invraisemblances.
Le saut de 10 m qui se termine par un écrasement sur l'acier du Nautilus, sans aucun dommage pour la personne, c'est difficile à avaler. Et malheureusement, tout est à l'avenant.
Et le dessin n'est pas en reste. En surface, il est bon. Mais en regardant bien, le dessinateur a eu du mal à illustrer certaines scènes du scenario, comme page 21 où Némo et Paillole semblent surpris, sans que l'on comprenne pourquoi. Il faut tourner la page et lire les dialogues pour apprendre ce que le dessinateur n'a pas réussi à illustrer (une panne moteur).
Bon, allez, le divertissement peut l'emporter sur le sérieux de l'histoire, pour les moins exigeants. Pour les habitués des histoires à la Charlier ou Greg, par exemple, c'est un peu juste.
Dommage.
Il y a 2 niveaux de lecture dans ce triptyque.
Le 1er est le plaisir de l'aventure au sens large, du retour de Némo et d'un hommage à Jules Vernes. Ce 1er niveau est réussi, scénario et dessins. C'est très plaisant.
Le 2ème est le réalisme des situations. Et là, par contre...
C'est surtout vrai pour le tome 2, où on est dans le grand n'importe quoi. Et c'est là la limite d'un tel projet, comme de la plupart des films à gros budgets actuels, à savoir que l'absurdité et le manque de réalisme des scènes qui s'enchainent finissent par desservir le projet.
Le décrochage survient, malheureusement. Dommage.
Je suis conciliant, mais en vérité ce tome ne me laissera pas un souvenirs impérissable.
Ce n'est pas mal dessiné, le rythme est assez infernal, mais c'est plus du bougisme qu'autre chose.
Il manque de l'intensité dramatique pour imprimer une marque.
Et la difficulté, c'est de donner de l'épaisseur au personnage de Lando Calrissian jeune. L'acteur du film ne m'a pas marqué, et c'est la même chose pour cette adaptation en BD.
Bon, c'est pas affreux, mais dispensable.
A ce prix là (3 euros) ça reste correct.
J'avais du temps disponible, alors j'ai lu ce tome 5. Il contient, comme les autres tomes de cette collection à 3 euros, une histoire complète (une mini-série) et des récits courts pour combler.
L'histoire complète est une très bonne surprise.
Déjà graphiquement.
Je connaissais Phil Noto, mais il ne m'avait jamais habitué jusque là à un dessin fouillé. Il a fait de gros progrès dans l'encrage également, et ses visages des personnages connus (ceux des acteurs des films) sont très très réussis. C'est assez bluffant, parfois.
L'histoire n'est pas en reste et utilise à bon escient les personnages de la trilogie "un nouvel espoir". C'est très plaisant à lire, Han est vraiment bien reconstitué dans sa façon de s'exprimer et de jouer les faux durs au coeur d'artichaut.
Cela se corse un peu, côté réalisme, vers la fin de cette mini-série, mais allez, je vais être bon prince, ça se laisse lire.
Les récits courts sont, pour certains, agréables (Lando), ou dispensables (le droïde tueur IG88 ou quelque chose comme ça) mais enfin, globalement, ça passe.
Une très bonne surprise, vraiment.
Par rapport au tome 1, les choses avancent un peu, mais tous ces personnages abjects m'éloignent de cette BD.
J'ai tourné les pages en trouvant le temps long, insensible à la douleur, aux états d'âmes de ces gens qui m'indifférent par leur manque d'ambition.
Trop c'est trop, et comme la colorisation ne s'améliore pas, ni le réalisme des situations, je décroche. Je ne suis pas fan du sadisme, je préfère d'autres divertissements.
Je n'ai pas été ébahi par ma lecture.
La faute à un dessin perfectible, surtout mal colorié, et à un scénario excessif qui retire à l'histoire tout semblant de réalisme.
Il me faut pouvoir m'identifier à un personnage pour m'attacher au récit. Ici, cela n'a pas été le cas, alors l'album m'a paru long à lire, lent à se mettre en route, et aucun personnage ne m'a marqué.
Graphiquement, ça passe, sans être extraordinaire.
Mais la colorisation n'aide vraiment pas. Ce coin de nature, ce gros village au bord de l'eau m'a paru, parfois irréel, parfois étriqué, rarement sympathique, et franchement déconnecté.
La population qui le compose est trop borderline pour être crédible, trop cosmopolite pour être reliée à un pays. Il n'y pas grand monde de normal, c'est trop.
Comme les deux premiers tomes étaient disponibles, j'ai lu les deux, mais je m'arrêterai là, ce n'est pas pour moi.
Je vais être honnète, l'histoire racontée m'a plus intéressée que le dessin correct ne m'a séduit.
Je ne suis pas un grand connaisseur de l'histoire de Jeanne d'Arc, ni de l'Histoire de France, la faute à une éducation nationale qui n'a pas été d'un grand secours, et d'une éducation religieuse post Vatican II, qui n'a pas aidé non plus.
Alors je me rattrape come je peux. Cette séance de rattrapage est très agréable à lire, prenante, et si le dessin avait été un peu meilleur, vraiment bien faite.
Le dessin est étrange.
les décors sont perfectible, les couleurs trop "jolies", la guerre un peu trop propre, alors que les visages sont vraiment réussis. Un peu trop réussis, même, car Jehanne est très très jolie, et les autres personnages, masculins essentiellement, ont des visages très "modernes"... et pas très barbus !
Cette Bd est apparemment une adaptation du roman de Philippe de Villiers ; cela m'a vraiment donné envie de lire son livre, car les dialogues et récitatifs sont très réussis, et la grande force de cette BD.
Le récit de la vie de Jehanne d'Arc est, de toute manière, quelque chose de fascinant, comme il y en a peu dans l'Histoire, et justifie à lui seul l'existence de cette BD.
J'ai tenté.. mais je n'ai pas pu aller au bout de ce bouquin.
Je me suis en fait arrêté très tôt, car je n'ai pas eu envie de me forcer à lire quelque chose qui ne m'intéressait pas.
A vrai dire, j'ignore quel est le coeur de cible de cette BD. Si ce sont les jeunes, est-ce qu'ils liront cette histoire, sensée les représenter mais pas très bien dessinée et, je l'espère, caricaturale et pas très réaliste ?
En tout cas, le vieux que je suis n'a pas tenu longtemps. Je n'ai pas été très intéressé par ce qui m'est raconté, ces personnages qui tirent vers le bas au lieu d'élever le niveau. Et je ne suis même pas certain que tous les jeunes se retrouvent dans l'image qui est donnée d'eux dans ce livre.
C'est comme de lire une histoire écrite en langage sms, ou de regarder à longueur de journée la télé-réalité "les marseillais" ; ça finit rapidement par souler.
Le dessin n'est pas exempt de tout reproche, à l'image de la planche disponible ici. Cette impression de lire avec une loupe ne m'a pas convaincu.
Je passe mon tour.
Bonne surprise que ce tome 1 !
Dans la lignée d'un "Troisième testament", qui avait inventé un genre, la "Catholique fantasy".
C'est beau, c'est épique, il y a des personnages forts et des dessins sublimes, des ambiances de dingue et une fin qui créé l'attente et l'incertitude quant à la suite des évènements.
La couverture est finalement moins forte et moins intéressante que le contenu, ce qui est une très bonne chose. Vivement la suite !
Si vous aimez l'eau tièdee, vous allez être comblé.
Je ne sais ce qui m'a le moins plu, du scenario banal ou du dessin jamais réellement fini...
C'est du Ric Hochet mais avec beaucoup trop de personnages pour un début, et l'impossibilité de réellement présenter chacun. Du coup, personne ne ressort, aucun ne donne envie d'en lire plus.
L'histoire est invraisemblable, mais là où ça passe quand c'est du Ric Hochet parce que chaque album est finement ciselé, et que c'est de la mécanique de précision, ici ça fait flop.
Les dessins, franchement, pourraient être un peu mieux maitrisés. Je n'ai pas reconnu tous les personnages et ça c'est un mal récurrent des BD récentes. La partie graphique n'est pa sassez travaillée.
L'album fait 80 pages, et j'ai trouvé ça extrèmement long. La fin est arrivée comme un soulagement.
Franchement, si cet album a des suites, je ne comprend plus rien à la BD.
C'est tiré d'une histoire vraie, qui touche le scénariste, alors forcément, si on en dit du mal, on s'attaque à ce qu'il y a de plus personnel.
Mais désolé, je n'ai pas trouvé une once de sympathie et d'intérêt pour le personnage principal. Son besoin de liberté m'a rapidement gonflé. L'égoïsme n'est pas un trait de caractère qui m'intéresse.
Le dessin est clair, fluide, un peu trop policé pour représenter au mieux la violence et la guerre. Il sauve l'album mais il ne peut pas faire de miracle non plus.
Un album "correct, sans plus", me concernant.
Si les 2 premiers tomes sont sympas, ce 3ème tome m'a un peu ennuyé.
Il n'y a plus cette ambiance de SF rétro à la Jules Vernes, et cette histoire (ces histoires, en vérité) racontée ici n'est pas très captivante.
Si ce qu'on nous décrit est authentique (sur la préparation du voyage des "émigants", ceux qui veulent quitter l'europe pour aller en Amérique), alors c'est pas inintéressant, mais pour le reste, c'est une succession de scènes sans grand intérêt.
Les finitions des visages de certains protagonistes ne sont pas exemplaires, et parfois, je me suis posé la question de l'identité de certains personnages.
Les décors sont bien faits, par contre.
Je ne suis pas certain d'être de l'aventure pour de prochains tomes, si le fantastique ne revient pas en force, et si le scenario n'est pas mieux maitrisé.
Après avoir lu les 3 albums, je constate que j'avais raison de ne pas croire à ce titre. Une histoire un tant soit peu ambitieuse ne se raconte pas en si peu d'albums.
Le dessin n'est pas en cause, il est bon. Il comporte son lot d'invraisemblances et de ratés. Invraisemblable comme la cravatte que Andrew porte du début à la fin ; ratés comme le découpage des combats du tome 3.
Mais bon, ce dessin à la Ralph Meyer est quand même le grand intérêt de ce titre.
L'histoire, quant à elle...
Il y a des bonnes choses, comme ces aliens imprévisibles, dangereux mais pas trop mais quand même beaucoup au final.
Mais il y a aussi un scenario obligé d'aller (trop) vite, parce que 3 tomes c'est beaucoup trop court et jamais un éditeur ne devrait permettre de publier une histoire aussi courte. Cela frustre le lecteur (allez voir les avis du tome 3), qui a payé cher pour 3 petits albums qu'il ne relira plus jamais.
Alors tout est manichéen, j'ai eu du mal à croire à ces personnages caricaturaux dont on se demande si ils ne prennent pas de la drogue entre chaque case. Et que penser de la survie miraculeuse de certains, quand d'autres se font massacrer régulièrement ? Les malheurs devraient tomber sur tout le monde, sans distinction.
Surtout, j'attends un jour une grande et belle série pour dénoncer, non pas les extrèmes habituels, mais les soit-disant modérés, qui entrainent un pays voire l'humanité toute entière à sa perte bien plus que les extrêmes.
Au final, ce triptyque est décevant, alors qu'il y avait franchement matière à en faire quelque chose de bien, si l'histoire avait été développée sur bien plus de tomes.
Dommage.
Je ne suis pas le coeur de cible, vu mon (grand) âge, mais j'achète le journal de Spirou pour mon fils de 7 ans. J'ai donc lu cet album...
Il n'y a pas grand chose à en tirer, hélas.
Ce n'est pas toujours bien dessiné, loin de là (la mère de famille, elle fait parfois jeune, parfois vieille, par exemple), et le sujet n'est pas hyper drôle non plus.
J'espère que ce 3ème opus sera le dernier, et qu'il laissera de la place pour des séries plus réussies dans le journal. La fin de ce tome laisse malheureusement à penser qu'il pourrait y avoir une suite.
On ne devrait pas chercher à s'amuser avec la mort, je trouve. Pour les parents, lire une BD sur un enfant zombie, c'est... moyen. J'ignore ce que mon fils en pense, mais il n'a pas réclamé les albums. Contrairement aux "soeurs Gremillet", bien plus réussies par exemple. C'est quand même un signe.
Album dérangeant d'une série sans intérêt.
Je ne serai pas aussi dithyrambique que les autres avis, concernant cet album. Si l'histoire est forte, elle comporte des longueurs qui auraient pu nous être épargnées, et le dessin pêche un peu.
Du point de vue du scenario, je n'ai pas grand chose à dire, puisque c'est une biographie (partielle, mais authentique, apparement). Mais les choix scenaristiques sont plus discutables. Il y a un "ventre mou", dans cet album, avec une succession d'ascensions qui finissent par devenir lassante.
Ayant fait de la montagne uniquement en tant que "touriste occasionnel", sans jamais prendre de risque ni fait d'escalade, je suis impressionné par le parcours de Rochette et de ses acolytes montagnards.
Mais ces prises de risques me semblent effectivement sans intérêt, tant elles sont stupides, alors que la vie est si belle si on sait en profiter vraiment et longtemps. De ce point de vue là, cet attrait pour le risque extrème ne m'a pas parlé. Et du coup, l'ennui a fini par arriver. Jusqu'au drame, bien sur, qui a fort opportunément relancé l'histoire.
Après, graphiquement, autant j'accepte le dessin de Rochette sur "transperceneige", autant là, il me semble un peu trop schématique et répétitif. La montagne ne ressemble pas à ça, elle est bien plus belle, et je trouve que le dessin n'a pas réussi à la rendre telle qu'elle est vraiment. Dangereuse, certes, mais belle avant tout, avec plus de couleurs, des ciels bien plus brillants (même en hiver), et tout ça manque dans cet album.
Sans doute que pour parvenir à dessiner 290 planches, Rochette a dessiné vite, et peut-être un peu trop vite. C'est dommage.
Au final, cet album est à lire, mais il pêche un peu graphiquement parlant, pour être vraiment bien. A lire, mais pas forcément à relire à cause des longueurs et du dessin un peu baclé parfois.
Cette parution dans le désordre ne pose aucun problème de lecture, chaque tome étant indépendant des autres, et un petit film d'aventure à chaque fois.
Ce tome 2 est comme le tome 4 - la cité secrète de la mort - une histoire à la 007, avec méchants dans leur base secrète et coalition des démocraties pour déjouer un complot.
C'est très plaisant à lire, et c'est toujours amusant de voir comment le scénariste se débrouille pour sortir son héros des dangers les plus invraisemblables ! Comme pour James Bond, en fait.
J'avais un peu peur du passage du noir et blanc à la couleur, tant les couleurs semblaient criardes, mais en fait, cela ne m'a pas gêné et les couleurs sont souvent réussies, en fait. Sont-ce vraiment les couleurs d'origine ? J'ai un doute, car certains ciels me semblent vraiment réussis, avec des inclusions de nuages qui me semblent anachroniques.
C'est du grand Charlier, et même si je trouve que Poïvet aurait pu faire mieux côté dessins (le dossier explique pourquoi il n'a pas eu la possibilité de s'appliquer plus que cela), l'ensemble est très plaisant à lire, et montre à quel point c'était l'age d'or de la BD FB.
Moi aussi, j'ai bien aimé ce "dénouement" rétroactif, avec son lot de révélations.
C'est toujours aussi bien dessiné, Puerta est vraiment très bon, mais j'ai été perturbé dans ma lecture par la ressemblance assumée avec des acteurs connus, parce que, sans arrêt, j'essayais de les reconnaitre, de voir si ils étaient ressemblant.
Le scenario de ce tome 3 est plus tranquille, en apparence, que celui des précédents ; le drame remplace les horreurs. Et le choc final est inattendu. C'est bien joué.
J'ai été moins touché que par le tome précédent, mais cela m'a donné envie de tout relire, maintenant que la trilogie est complète. Mission accomplie !
Je ne vais pas mentir. Bernard Hinault est mon idole, alors j'ai acheté cet album sans hésiter dès que j'en ai eu connaissance.
Mais...
Le dessin laisse franchement à désirer, et il n'aide pas franchement à reconnaitre qui est qui, à comprendre parfois les situations. Et les bruitages sont assez étranges !
On est loin du talent de Jean Graton, pour citer le meilleur dessinateur du monde du sport.
L'histoire est celle du coureur, alors pour qui la connait, ce sera sans doute un peu léger, mais pour moi qui ne connait pas l'histoire du dernier géant français du cyclisme international, c'était tout de même intéressant. Hinault le coureur n'était pas seulement l'image caricaturale du Blaireau, l'animal teigneux, mais aussi un être humain avec ses limites.
J'ai donc de la sympathie pour cet album et le travail des auteurs, mais je tique un peu quand même sur les dessins. A améliorer, s'il vous plait !
(en plus, que sont ces toits oranges, alors que c'est censé être une vue de haut d'un village breton... fait d'ardoises bleues ?)
Sans doute lassé d'illustrer des histoires de salopards sans grand intérêt ("Il était une fois en France", "Katanga"), Vallée propose cette fois une récréation sympathique, un road movie franchouillard (et belge, aussi).
Le dessin est superbe, l'histoire sympathique mais tout ça ne restera pas dans les annales de la BD. Déjà, elle est très courte, l'équivalent de 2 albums, et c'est déjà fini.
L'épisode du bar de légionnaires est assez lunaire, on n'y crois pas ; la fin est une fin correcte, sans plus.
Ca ne méritait pas un achat, j'aurais du attendre de l'emprunter en bibliothèque.
Dommage que Vallée ne s'attache qu'à des projets courts, la BD se prive d'un grand dessinateur sur une série digne de ce nom...
Mon Dieu ce que je me suis emmerdé à lire ça !!!
Même en le lisant en 2 fois, ça m'a soulé...
J'aimais bien Pedrosa, avant.
Mais depuis quelques temps, ça ne passe plus.
Son dessin est ici très moyen, parfois illisible, parfois totalement occulté par la colorisation (trop sombre, par moments, je n'y distinguais plus rien).
Mais c'est surtout l'histoire qui nous est racontée qui est mortellement chiante. Il ne se passe rien, et là où un auteur arrive parfois à nous intéresser avec rien, là ce n'est pas le cas du tout.
Je tournais les pages, et l'histoire ne décollait pas.
Même quand le personnage rencontre une femme, l'auteur ne cherche même pas à lui donner de l'importance. C'est mou, c'est plat, et comme je ne connais pas le Portugal, je ne peux même pas dire si c'est fidèlement reconstitué.
Il manque cruellement un scénariste à cet album, sacrément nombriliste pour imposer ainsi un tel pavé à ses lecteurs, sans rien y mettre dedans. Et puis, cette haine des cathos, c'est relou, car c'est quand même dingue d'arriver à animer autant de personnages d'origine portugaise qui ne soient pas chrétiens !
Apparemment, ce pavé a été récompensé par un prix à Angoulème ?
Et bin faudra m'expliquer pourquoi !
Si vous avez de l'argent à dépenser, passez votre chemin, il y a mieux que ce bouquin sans âme.
Je n'ai pas été spécialement emballé par le déroulement de l'histoire, qui a le mérite d'être originale mais qui pêche par manque de réalisme, par des longueurs un peu redondantes et un graphisme un peu trop léger à mon gout.
Le point de départ est long à se mettre en route. Quand survient enfin le sujet, l'histoire décolle. Mais que de pages perdues...
Du coup, j'avançais vite dans la lecture, je faisais abstraction des invraisemblances, je pestais juste contre ce défaut (pécher de jeunesse ?) graphique (des hommes assez effeminés, des femmes pas très sexy, comme un renversement des choses !).
L'histoire prend une tournure dramatique, et des idées politiques viennent sournoisement remplacer le divertissement des débuts. Et là, je décroche, espérant une amélioration vers la fin qui ne viendra pas. Je constate beaucoup de remplissage qui gonfle ce livre inutilement.
Le final est plombant, et il se dégage de ce parcours de vie une solitude horrible, un gachis immense et la mise à l'honneur de l'égoïsme comme valeur de société de ces gens qui mènent leur vie et leurs relations comme leur carrière, par opportunités successives.
Je m'attendais à mieux, moi aussi.
Je me suis copieusement ennuyé à lire les 1ers tomes.
Je crois ne pas avoir réussi à passer la barre du tome 3. J'étais pourtant en vacance, peinard, sans internet et avec la ferme intention de donner sa chance au produit.
Bin c'est raté.
La faute autant au scenario qu'au dessin ; pourtant, j'aimais bien Gess du temps de "Carmen Mac Callum", mais là, il est vachement différent, nettement moins bon (la colorisation n'aide pas non plus, faut dire).
Et que dire du scenario...
J'aime les superhéros, mais là, c'est lent, c'est crypto-pénible à lire, les personnages ne sont pas engageants, c'est affreux...
Ca me rappelle le mauvais souvenirs des "ligue of extraordinary gentlemen" de Moore.
Bon, je ne suis pas le client pour ce genre de choses, et puis voilà.
Je me suis copieusement ennuyé à lire les 1ers tomes.
Je crois ne pas avoir réussi à passer la barre du tome 3. J'étais pourtant en vacance, peinard, sans internet et avec la ferme intention de donner sa chance au produit.
Bin c'est raté.
La faute autant au scenario qu'au dessin ; pourtant, j'aiamsi bien Gess du temps de "Carmen Mac Callum", mais là, il est vachement différent, nettement moins bon (la colorisation n'aide pas non plus, faut dire).
Et que dire du scenario...
J'aime les superhéros, mais là, c'est lent, c'est crypto-pénible à lire, les personnages ne sont pas engageants, c'est affreux...
Bon, je ne suis pas le client pour ce genre de choses, et puis voilà.
(je m'interroge quand même sur la sincérité du nombre d'étoiles, vu le peu d'avis laissés finalement)
Ce tome 4 est encore pire, entre sa couverture digne des meilleures escroqueries (puisque cette scène n'existe pas dans le livre) et cette fausse fin qui gache tout.
Le changement physique de Marie en fin d'album n'y change rien ; certes, elle perd sa beauté en même temps que ses cheveux, mais cela ne crédibilise pas pour autant cette histoire qui finit en jus de boudin.
Fallait-il vraiment gâcher le bonheur retrouvé ?
Pas indispensable, selon moi.
Comme cette mini-série, finalement, assez creuse, manquant de réalisme, comportant des scènes qui allongent inutilement l'histoire, et ne donnant pas assez de consistance au personnage de Marie.
A lire avant d'oublier ; dommage d'avoir loupé une si bonne idée de départ.
J'ai tout dit dans l'avis général laissé sur le tome 1.
Quand vous regardez la couverture de ce tome 3, y voyez-vous une femme de 50 ans ?
Non, vous avez l'impression de regardez une très jolie femme de 25 ans.
C'est tout le problème de cette série ; un personnage féminin "raté", parce que trop beau pour être "vrai".
Dommage.
Il y a deux niveaux de lecture à cette histoire en 4 parties.
La première, c'est de poser le cerveau et de vivre avec ces personnages ces retrouvailles romantico-dramatiques d'éternels ados quadra-quinquas qui ne veulent pas vieillir. Alors, en mettant de côté toute vraisemblance scénaristique, c'est sympa à lire, pour connaitre la fin de ces amourettes.
Et puis, il y a un deuxième niveau de lecture, plus réaliste, et qui replace cette histoire dans le panier des navets, sympathiques, mais assez creux finalement.
Il se trouve que j'ai vécu un peu la même histoire que Marie et Raphaël, des retrouvailles 20 ans après ( à des âges quasi-similaires), mais mon histoire est nettement plus réaliste que celle racontée par Jim, et la sienne fait creuse à côté.
Marie est finalement un personnage assez falot, et pas si intéressant que cela ; on se demande bien pourquoi Raphaël s'y accroche, vu le peu qu'elle lui apporte.
De quoi vit-elle ?
N'est-ce qu'un parasite qui vit au crochet des hommes ?
Mais alors, comment peut-elle louer un appartement à Paris, tout près du Sacré-Coeur, sans revenu ?????
Une des nombreuses questions sans réponse qui décrédibilisent l'histoire.
Par ailleurs, le dessin est très lisible, c'est vrai, mais il lui manque quelque chose pour être beau ; il n'est pas assez chiadé, et c'est dommage.
Et le plus gros écueil dans le dessin, c'est bien entendu le physique de Marie ; elle a 40 ans, puis 50 ans, sans bouger, en conservant une plastique de rêve d'une fille de 20 ans alors que fatalement, aucune femme n'échappe aux affres du temps. Jim a échoué à lui donner un vrai physique/visage de femme de 40 puis 50 ans, et c'est dommage.
Je pense que pour plus de crédibilité, Jim aurait du donner 30 puis 40 ans aux protagonistes ; ça aurait mieux cadré avec l'histoire.
Au final, l'idée n'est pas mauvaise, mais la réalisation est décevante et pas du tout crédible ; Marie manque de chair (un comble, vu ses appétits sexuels !) et les dessins d'application.
Un projet sympathique mais creux. Dommage.
Pour moi, c'est tout simplement l'album de l'année 2021.
Il m'a même donné envie de relire "le secret de l'espadon", la toute première aventure de Blake et Mortimer, qui n'avait pas ma préférence (même si ce sont d'excellents albums).
L'histoire est prenante, les dessins exceptionnels, replongeant le lecteur dans l'ambiance de la fin des années 40 (années de parution du "secret de l'espadon" dont cet album constitue la suite).
J'aurais enlevé le sang qui d'habitude ne figure pas dans un album de B&M, et qui n'apporte strictement rien à cet album. Mais sinon, Van Hamme nous régale et prouve qu'il reste le meilleur scénariste quand il le veut.
C'est le 1er album de reprise des B&M que je trouve au niveau des albums du maître Jacobs.
Une vraie réussite, un album indispensable.
Au moment de décider combien d'étoiles donner à ce volume 1, je me suis demandé si j'avais envie de lire la suite (bof), et surtout si je relirai ce pavé dans quelques années.
La réponse est non.
L'histoire est vraiment banale, bancale, et manque de réalisme ; c'est peut-être volontaire, mais le propos est de mettre en avant le principe d'égalité, et il aurait été fort à propos de replacer ce combat dans le contexte d'une époque. Là, les auteurs n'ont visiblement pas eu envie de s'emmerder à faire des recherches historiques, et du coup, le résultat est assez naïf et franchement sans intérêt. Voire comporte des anachronismes et ignore la place de la religion (un comble pour une histoire sensée se dérouler durant le Moyen-Age !).
Le dessin, je ne l'ai pas trouvé époustouflant, et au bout d'un moment, j'en ai eu marre de cette colorisation qui gache parfois le dessin, jusqu'à le rendre illisible.
Je préfère lorsque ce genre de dessins s'incorpore dans une histoire plus classique, pour illustrer une courte fable ; sur plus de 220 pages, c'est usant.
Je suis arrivé au bout de ce livre soulagé d'en avoir fini. Et pas franchement pressé de lire la suite...
Une mini-série (aux USA) qui ne restera pas dans les mémoires.
Le dessin est correct, sans être exceptionnel. Couplé à un vrai scénario de superhéros, cela aurait pu approcher le niveau d'un "Invincible".
Malheureusement, ce n'est pas le cas. Cette opération de destruction de ce "Batman" du pauvre (dans tous les sens du terme, vu qu'il n'a pas la fortune de Bruce Wayne) est monnaie courante et finie par lasser.
Mais pire, le discours tenu est totalement absurde, et on se demande comment Kirkman, à l'origine du projet apparemment, a pu valider ça.
Bref, encore un faux comics de superhéros, qui n'a aucune intérêt.
Vite lu, vite oublié.
Next.
Contrairement à Dunuyre, je trouve le dessin très bon, et bien meilleur que les productions habituelles du duo Léo-Rodolphe ou du seul Léo (qu'il soit scénariste ou auteur complet de ses albums) qui sont très correctes mais pas le point fort de ces albums.
Mais sinon, je suis en accord avec ce qu'il écrit, et je ne vais donc pas insister sur ces points. Si vous aimez le duo Léo-Rodolphe, c'est pour vous !
(avec donc, ce grand petit plus, le dessin de Alloing, déjà remarquable dans "Robert Sax")
Tout est mystérieux, et j'espère que l'explication sera à la hauteur de ce qui pour le moment interpelle.
En tout cas, le voyage s'annonce sympa !
ca commence très fort et c'est très bien dessiné.
C'est vraiment du manga comme je les aime ; avec un dessin fouillé et posé, qui ne verse pas dans les invraisemblances mais se lit très facilement.
L'histoire est prenante, on entre directement dans le vif du sujet, sans perdre de temps. Pour l'instant, je ne peux que recommander, c'est du manga pour tous, et pas seulement pour les afficionados de certains genres.
une chouette découverte.
Toujours aussi bon !
C'est un vrai plaisir de lire cette résurrection d'une série mythique, perdue pendant des années dans de mauvais albums mal scenarisés, et qui retrouve une seconde jeunesse avec Zumbiehl et Buendia pour l'histoire.
Philippe assure très bien au dessin, et ce n'est vraiment pas facile d'être comparé au génial Uderzo ; alors parfois, le visage de Tanguy pêche un peu, mais c'est quand même super agréable à lire.
Nos héros sont vraiment de retour, et c'est génial !
Indispensable, car de toute façon, chaque nouvel album de Phalippou est une réussite.
Ses albums sont très bien dessinés, "à l'ancienne", comme à l'age d'or de la BD FB (tendance "Natacha l'hotesse de l'air" pour l'humour bon enfant ou "Yoko Tsuno", pour la qualité des décors et véhicules). En plus, Phalippou dessine vite, produit beaucoup, et ne fait pas languir indéfiniement ses lecteurs, une qualité extrèmement rare de nos jours.
Le scenario de Marin n'est pas en reste, et Betsy a peut-être trouvé le compagnon qui lui manquait. A voir si celui-ci revient, ou pas.
J'espère encore plein d'albums de ce duo, tant le plaisir est là.
A lire les premiers retours de lecteurs sur le forum, j'ai craint un album raté. Le départ du dessinateur Arroyo semblait une perte énorme.
Et bien, me concernant, il n'en est rien. J'ai trouvé le travail de Le Bras très bon, revenant au style Hubinon qui fît le succès du titre autant que les scenarii inspirés de Charlier.
Un vrai plaisir nostalgique.
Le scenario, comme toujours avec Zumbiehl, est très bon, et digne de Buck Danny. A Marniquet de bien s'en inspirer, et ce sera parfait.
Je ne comprend pas les critiques négatives, tant cet album m'a plu.
Je le recommande chaleureusement.
Un album plan-plan et un rebondissement assez tiré par les cheveux.
Lu sans déplaisir, cet album incite tout de même à conclure la série, le tome 12 ayant été un signal indiquant qu'il fallait arrêter de tirer sur la corde avant qu'elle ne casse.
Effectivement, le changement de personnage principal. Ce n'est plus le blondinet à la mèche rebelle, pourtant en couverture, mais bien ces jeunes sans occupation déterminée, et c'est moins prenant. Le retour d'un disparu m'a laissé de marbre, tant il était capilotracté.
La lassitude me gagne. Il est temps d'arrêter, d'autant que Malfin peut proposer autre chose, comme son "Cezembre" en 2 parties, que je recommande.
Passer "après" Béatrice Tillier est toujours compliqué. Même si cet album n'est pas la suite du cycle précédent, difficile de ne pas faire la comparaison.
ici, retour au "style" Rosinski, effectivement. C'est plutôt réussi, il faut avouer.
L'histoire se laisse lire, mais comme je lirais les différents cycles de "Sambre", en ayant un peu oublié qui est qui et pourquoi. Une relecture de l'oeuvre dans son ensemble, quand elle sera achevée, sera nécessaire pour peut-être apprécier totalement ce titre.
Un titre de qualité, mais quelle postérité, dans 20 ans ? Dans 50 ans ?
Un plaisir toujouts renouvelé, à chaque sortie d'un nouvel album de la meilleure reprise d'un classique de l'age d'or de la BD FB. Et encore une fois, je ne suis pas déçu.
Scenario, dessins et couleurs, tout est réussi, alliant respect de l'oeuvre et modernité, et c'est encore le cas pour "Pikes Peak", qui nous immerge dans la préparation d'une course automobile pas comme les autres.
Et les auteurs ne se contentent pas de documenter l'évènement, mais de continuer l'Histoire de la famille Vaillant.
Seul (gros) bémol ;
le Warson ne ressemble PAS du TOUT au "vrai" Steve Warson inventé par Graton. Le vrai est un colosse blond, et celui de cette reprise est une version "mini-Warson" un peu ridicule, même si sympathique. Le vrai est plus expressif, toujours un peu vantard. Messieurs, révisez vos classiques !
Si Michel Vaillant reste moins réussi graphiquement que celui dessiné par Graton, Françoise en copie de l'actuelle Sophie Marceau relève un peu le niveau.
L'erreur de chronométrage ne m'a pas dérangé plus que ça. C'est anecdotique, finalement.
Une franche réussite.
Dans la lignée de mon avis sur le tome précédent.
C'est bien, c'est très beau, mais cela aurait pu être mieux.
Je ne vais pas trop en dire sur l'histoire, elle est choc, façon noces rouges. Elle se laisse lire sans déplaisir, mais les vaisseaux sont sous-exploités, et les créatures aussi.
Si c'est le dernier opus de l'équipe actuelle, je vais quand même les regretter. J'espère juste que, si reprise il y a, ce ne soit pas une déception comme pour "Carmen Mc Callum" dont je n'arrive décidément pas à me remettre !
Je lis cette série depuis ses débuts, et je n'ai jamais été déçu, même pendant la période "post Vatine", ou d'honorables faiseurs ont poursuivi l'aventure, avant la reprise par la formidable équipe Hautière-Reno.
C'est encore une fois le cas, mais là où les tomes précédents m'avaient emballés par leur maestria (notamment le tome 15, bluffant), j'ai un peu moins accroché à ce tome 16.
Le dessin n'est pas en cause, c'est toujours aussi sublime.
Mais le scénario et le découpage m'ont cette fois moins emballé. J'y vois comme un album de transition. Le ton est plus sombre, certains personnages un peu absents (et pourtant présents physiquement), ça va parfois trop vite (difficile d'expliquer sans révéler, mais je parle de la fin, l'intervention des...), et on reste un peu sur sa faim en attendant que la situation se décante vraiment.
Le début de l'album me semble trop long, et paradoxalement n'apporte pas grand chose à l'histoire ; ce qui est décrit longuement n'explique pas pourquoi tel personnage est devenu ce qu'il est devenu, une victime devenue bourreau qui reproduit ce qu'il a subit.
Mais après tout, les juifs rescapés de la 2nde guerre mondiale ont bien fondé une société d'apartheid (israel) et sont devenus les bourreaux des palestiniens, donc tout est possible.
Et puis, j'ai du mal à me faire à l'idée que Nao préfère Mi-nuée à Chiara !
Mais là, c'est plus personnel : je n'arrive pas à trouver sexy une femme sans cheveux !
C'est donc ridicule de ma part, mais cela impacte quand même mon plaisir de lecture !
Néanmoins, je me félicite vraiment que la série puisse bénéficier de ce duo d'exception, un scénariste solide et un dessinateur/coloriste d'exception.
Reconstituer des ambiances, c'est bien. S'appliquer sur des décors fouillés, c'est mieux. Raconter une bonne histoire, c'est encore mieux.
Et là...
L'histoire n'est pas inintéressante, et les ambiances sont chouettes. Mais les décors sont parfois d'une pauvreté navrante (pour un "Lefranc") et la fin tourne au jus de boudin (dans le genre "tout doit disparaitre").
Le personnage féminin, prometteur en début d'album, disparait ensuite et c'est dommage. Il aurait pu être mieux exploité.
Comparé au "Blake et Mortimer" sorti en même temps, la comparaison n'est pas flatteuse pour ce "Lefranc". Van Hamme a fait très fort.
Et pour revenir à ce "Lefranc", Martin était un très grand auteur, aux dessins exigeants et aux scenarii grandioses et prenants. Pas facile de passer derrière !
J'étais persuadé que Millien allait faire du bon travail sur ce titre, mais je n'étais pas sur qu'il serait servi par un bon scenario (qu'elle me pardonne, mais Mangin alterne le bon et le moins bon, dans ce que j'ai pu lire).
Mais j'ai tout de suite été rassuré. Cet album est excellent.
Superbement dessiné, avec un dessin bluffant de maitrise, par un dessinateur confirmé qui a su redonner ses letres de noblesse à "Gil St André" et qui fait beaucoup beaucoup de bien à la série "Alix".
Décors et personnages sont parfaits, ce qui est loin d'être le cas des autres repreneurs.
Franchement, j'ai retrouvé un peu de l'ambiance des meilleurs Alix du maitre Martin. Le scenario y est aussi pour quelque chose, totalement dans la lignée des 1ers Alix.
Je n'espère maintenant qu'une chose ; d'autres albums comme celui-là de ce duo très prometteur.
Cette fois, les chroniques évoquent non pas la Nationale 7 des congés payés et des trente glorieuses, mais les années 30. Epoque moins propice à l'ambiance "vacances au soleil", mais pas moins intéressante.
L'histoire du record des 400 000 km a déjà été évoquée par Dubois, mais pas de façon aussi développée. Et ce scénariste décidément très en verve parvient à rendre intéressant ce qui aurait pu se résumer en quelques cases. Parce que pour atteindre ce record, il en a fallut des jours de route, et fatalement, des anecdotes.
Le dessinateur qui accompagne maintenant Dubois est très plaisant à lire ; il s'est fondu dans le "style Dubois", lui-même très influencé par l'école de Marcinelle, et c'est très bien ainsi. Et ses ambiances sont excellentes.
Un vrai plaisir.
C'est agaçant.
Le livre raconte une histoire intéressante, mais....
L'histoire est bien trouvée ; des extraterrestres débarquent au Moyen-Age. Cela donne lieu à de beaux combats, dans le tome 3. Et les personnages sont, au départ, bien évidemment peu recommandables ou pas très admirables, et bien sur ils vont faire preuve de courage. Un point positif : il n'y a pas de gentil gitan dedans, on nous épargne au moins ça.
Mais l'histoire est aussi très pénble à lire, tellement elle caricature l'image de l'Eglise, accusée de tous les maux. A un moment, trop c'est trop, et cela finit par lasser.
Le dessin, s'il est suffisamment précis et fluide pour comprendre ce qui se passe sous nos yeux, manque tout de même d'un peu de précision, de finition. Il est dommage de ne pas l'avoir confié à un dessinateur plus réaliste.
Le tome 3 est le plus haletant, mais il aura fallut faire preuve de patience et de bonne volonté pendant 2 tomes. Pas sur que tout le monde ait cette patience.
Assuremment, cela pourrait donner un bon film, à condition d'améliorer certains passages. A lire tout de même, en se faisant prêter les 3 tomes.
Livre détestable, qui ne s'intéresse qu'aux bourreaux, en oubliant la souffrance des victimes.
En effet, quand une réflexion est menée sur un sujet, surtout sur un sujet qui fait encore débat 40 ans après, il faut être honnête et ne pas se limiter au point de vue des bourreaux.
A aucun moment, le martyr des victimes n'est montrée, ceux qu'on assassine, les enfants comme les adultes, ni la souffrance des proches, ceux qui prennent réellement perpétuité.
Album qui donne la nausée, dogmatique et outrancier. A fuir.
Il y a des albums de la maturité. Celui là est l'album de la difficulté.
On sent, à sa lecture, que Franquin est en train de basculer. Son dessin se dégrade par moments, tirant vers ce qui fera son nouveau style façon "idées noires" et "Gaston" des années 70-80. Et si ce style sied à Gaston, il sied nettement moins à Spirou.
Pour autant, "QRN..." n'est pas "Panade à Champignac", et se laisse lire avec plaisir. Mais ce n'est pas le sommet de la carrière de Franquin, juste un honnète album, heureusement scénarisé par Greg.
C'est l'album de trop.
Avec l'histoire courte "Panade à Champignac", Franquin a sciemment détruit tout ce qu'il avait construit avant, et du dessin ou du scenario, je ne sais ce qui est le plus laid.
Il vaut mieux ne pas le lire, cet album constitué de 2 récits courts, même si le court récit "bravo les brothers" mérite la lecture, mais comme il est paru dans un album à part, autant vous épargner l'autre histoire, celle du titre, "panade à Champignac" qui est horrible à voir et à lire.
Bref, un album à fuir.
Un navet.
Je ne peux que déconseiller cet album, qui vous dégoutera à tout jamais de lire du "Valhardi", alors que les albums de ce personnage sont des grands moments de l'age d'or de la BD.
Mais pas celui-là, qui est aussi nul qu'il est interminable à lire.
J'ai d'abord lu ce pavé en VO, il y a des années, et j'avais trouvé ça bien, fasciné que je suis par l'histoire des meurtres de Jack l'éventreur.
Des années plus tard, j'ai lu en VF, cette fois, ce même pavé. Avec l'âge, et d'autres expériences de lecture, je dois avouer que ce livre a très mal vieilli. J'ai trouvé que c'était une véritable purge, un supplice qui ne s'améliore pas au fil des pages (le pire étant cet interminable monologue et ces visions du futur ; je ne prend pas de drogue alors je ne peux pas apprécier ces moments là !).
Des apartés scabreuses, une enquête certes détaillée mais pas très prenante, une attention sans doute trop importante accordée au tueur (qui n'a rien de fascinant, au final ; c'est juste un connard, comme souvent).
Et le dessin, qui rend difficile la reconnaissance des personnages. La version en couleurs n'y changera rien, c'est mauvais, point.
A fuir.
Désolé, mais je ne vais pas conserver un grand souvenirs de la lecture de ce pavé.
Graphiquement, c'est un peu froid au début, et ça ne va pas franchement se réchauffer jusqu'à la fin. Ah la lecture reste fluide, c'est vrai, mais j'y vois là la recherche d'un style plus pour se démarquer que pour un résultat final intéressant et durable.
Je ne relirai pas d'autres albums avec ce style de dessin là.
Et comme le scénario n'est pas franchement transcendant, que les personnages sont creux, voire un peu chiant (la fliquette, ses pensées ne m'intéressent pas franchement), et qu'il y a de sacrées incohérences (ça se passe aux USA, le flic a un nom typiquement français - Pouilloux - mais un truand ricain d'origine pas française du tout voit son nom et l'associe à "pouilleux" ??? Faudra m'expliquer comment !) et la secte fait pshitt, tellement ses motivations sont ridicules.
Le choix des couleurs n'aide pas non plus. Au bout d'un moment, toujours les mêmes couleurs irréelles, ça lasse.
Au final, je n'ai rien vu à sauver de cet album sans intérêt.
Un très bon album, à contre-courant d'une certaine modernité qui veut absolument réécrire l'Histoire pour plaire à certains, avec un dessin maitrisé et excellent.
ici, point de modernisme gênant (les dialogues empruntent d'ailleurs un peu de ces mots du Moyen-Age qu'on n'emploie plus depuis longtemps, mais le tout est parfaitement compréhensible et aide à l'immersion), pas de minorité visible, d'absurdités révisionnistes, de gros sabots accusateurs et faciles sur une époque révolue.
Le sujet m'est inconnu (la matière héraldique), et j'y ai appris des choses, sans que cela soit trop didactique et pesant. Le sujet est très bien amené, les dialogues pesés, justes. Les personnages sont attachants, à la manière du duo du "Le nom de la rose".
Et à l'instar du "nom de la rose", il s'agit ici aussi d'une enquête policière. Menée finement, elle explique le titre du tome 1 et c'est très bien trouvé.
Les dessins sont excellents, les décors et les cadrages aident vraiment à entrer en immersion dans l'époque et l'histoire. Les ambiances, surtout de nuit et de pluie sont parfaites, bien aidées par la colorisation.
Franchement, j'ai acheté cet album sans trop savoir à quoi m'attendre, et c'est une belle surprise. Vivement la suite !
Ah !
Que voilà un volume qui mérite qu'on le lise !
C'est d'abord et avant tout deux histoires très bien dessinées, par deux dessinateurs qui ne sont pas des inconnus des comic books.
Et les histoires, comme par hasard, sont au diapason des dessins. Généralement, quand une histoire est bonne, le dessinateur est inspiré.
Je n'étais pas franchement persuadé que de lire quelque chose concernant un personnage issu de "star wars - rebels", le dessin animé pour les plus jeunes, allait m'intéresser, mais ce fut le cas.
Quant à l'autre histoire, mettant en scène un jeune Darth Vader, elle se laisse lire également.
Au final, ce volume 2 mérite sa place comme tête de gondole pour faire apprécier les comics adaptés de l'univers Star Wars, au contraire du volume 1 qui déçoit.
Ce 1er tome est mal fichu.
La 1ère histoire est bien dessinée, mais l'histoire racontée n'est pas très intéressante et mal découpée. Je m'y suis perdu, et ça n'avait pas la saveur d'un Star Wars.
La 2ème histoire, avec Mace Windu, aurait pu être plus intéressante, mais les dessins ne sont franchement pas au niveau.
Au final, c'est un volume parfaitement dispensable, même pour 3 euros. Ca prend inutilement de la place dans une bibliothèque. Drôle d'idée d'avoir choisi ça pour mettre en valeur les comics Star Wars publiés par Marvel...
Jean Graton a créé un genre, celui de la BD d'aventure automobile, comme Charlier a créé celui de l'aventure aéronautique.
Je lis et je relis régulièrement cette série, parce que les 25 premiers tomes sont des bijoux. Et tout est là, déjà, dans ce tome 1, les intrigues, la famille, les personnages charismatiques, les ambiances automobiles, la peur, l'humanité.
Graton a fait ses classes dans des mini-récits, et quand il fut prêt, il pu lancer son grand oeuvre. Michel Vaillant est un héros, un vrai, un pur et un dur, ses amitiés sont sincères et durables, ses amours aussi.
Embarquez dans une oeuvre singulière, riche, et qui bénéficie d'une "saison 2", une reprise par des auteurs respectueux de l'oeuvre et qui, en même temps, osent "tuer le père" pour mieux nous accrocher.
Un véritable indispensable de la BD de l'age d'or, et de la BD tout court, en fait.
Je pensais avoir laissé un avis sur cet album, mais apparemment non. Pourtant, je l'ai bien aimé, alors que c'est toujours difficile de confirmer la qualité, et de passer après les tomes 5 et 6 que j'avais particulièrement apprécié.
Le dessinateur est vraiment très bon, il est de la trempe des E P Jacobs. Son dessin est excellent de maitrise, les personnages sont parfaitement reconnaissables et ils ont des trognes qu'on oublie pas, les décors font rêver, nous transportent littéralement et nous font vivre le souffle de la grande aventure.
Le scenario n'est pas en reste, il allie avec maestria le plaisir de la découverte, du voyage, et des mésaventures. Et quand le surnaturel surgit, comme c'est souvent le cas chez Allan Mac Bride, il a du sens.
Cette série suit son cours, insensible aux modes (dont on sait qu'elles ne durent pas) et aux dérapages. Une série qui élève, comme on savait les faire autrefois. Un vrai petit bonheur à chaque fois qu'un album parait.
Je ne suis pas bluffé par ce 1er tome.
Le dessin est correct, il laisse à penser, en feuilletant, qu'il est bon, mais en réalité, pas tant que ça. Il peut être fouillé, mais les cadrages ne sont pas toujours bien choisis, et la lisibilité de l'ensemble n'est pas extraordinaire.
Les bulles des dialogues ne permettent pas de comprendre facilement qui s'exprime, c'est assez confus.
Le scenario n'est pas non plus très bon.
Les personnages sont caricaturaux, je ne m'y suis pas attaché du tout. C'est embêtant, car apparemment, c'est une histoire en 4 tomes. Si le 1er est mal fichu, ça ne donne pas envie de lire les suivants, surtout si c'est vite terminé...
Le malaise du tome précédent me gache le plaisir de lecture.
Comme j'ai acheté les 4 premiers tomes d'un coup, je vais lire la suite, mais je ne sais pas si j'irai au de la.
Mais je dois avouer que ce tome 3 finit sur un suspens terrible.
Le moment fort, la révélation du tome 2 ne me plait pas plus que ça. Elle est intrigante mais ça sent l'époque, et j'hésite à poursuivre.
ce genre de liberté me soule franchement, surtout que rien ne le laisse deviner au simple feuilletage.
Le dessin reste bon, l'histoire est correcte mais ça prend son temps.
J'avais un peu (beaucoup) abandonné les mangas ces dernières années, un peu lassé par les tomes à rallonge et les titres un peu moins bons (quand on a découvert les mangas avec "Akira" et "appleseed", le reste fait un peu bas de gamme, forcément...).
J'y reviens, et ce titre, aux dessins proches d'un Otomo (en plus rond, cependant) m'a attiré.
L'histoire est attirante, mais elle met du temps à décoller.
La série continue, et ne perd pas en qualité.
Le dessin se révèle un peu fragile s'agissant des visages de Tanguy et un peu Laverdure ; ce sera à corriger, et il y a suffisamment de modèles disponibles pour corriger ce petit souci.
Par contre, la reconstitution de l'ambiance de ces 60s façon Uderzo est bonne, dans la lignée des albums précédents. La colorisation est excellente, sur ce point.
Le scenario plaira aux afficionados du genre, et c'est le cahier des charges de cette reprise "classic", donc la mission est remplie.
Et, bonne nouvelle, il y aura un autre album. La nostalgie est éternelle !
C'est du bon !
Après une relance malheureuse, complètement ratée par Brunschwig (mal nommée "renaissance"), je craignais une nouvelle déconvenue par cette équipe, pourtant chevronnée, de scénaristes.
Surtout que je ne connaissais pas le dessinateur.
Mais un nouveau Bob Morane, ça ne se refuse pas.
Sa lecture m'a comblé. C'est beau, c'est fort, tout en étant totalement respectueux des personnages et des histoires écrites par Henri Vernes.
Il y a bien quelques anachronismes qui pourrait faire tiquer, mais les auteurs ont parfaitement compris ce qu'il fallait proposer dans un Bob Morane, le souffle de la grande aventure, du mystère, du suspens, des vilains charismatiques et des jolies pépées.
Les dessins sont très réussis, apportant souffle et modernité à ce vénérable titre, classique de la BD FB. Et la colorisation n'est pas en reste, très réussie également.
Il y aura une suite et j'en serai !
Bravo aux auteurs !
Je ne conserverai pas de cette lecture un souvenirs impérissable. Tant par l'histoire qui nous est contée, que par un dessin parfois confus ou une colorisation un peu en retrait.
L'histoire, d'abord.
Thierry Gloris nous a habitué à proposer des choses intéressantes et se basant sur l'Histoire. N'étant pas connaisseur du tout de l'Histoire du Japon, et pas plus intéressé que cela, j'ai essayé de suivre, mais je me suis retrouvé un peu perdu au milieu de tous ces titres (shogun, etc...) et de ces familles dont je ne retenais pas le nom et les alliances.
Le dessin ne m'a pas aidé à m'y retrouver parfois.
Le massacre, digne des noces de sang du "trone de fer", je ne l'ai pas bien compris. Qui a massacré qui ? Aucune idée. Autant je reconnaissais facilement le noir (je ne veux pas donner son nom, pour ne pas divulgacher), autant les autres personnages, c'était vraiment trop compliqué.
Alors fatalement, j'ai décroché, à force de ne pas maitriser les personnages. Je n'ai pas non plus apprécié la colorisation, que j'ai trouvé un peu terne.
Au final, je n'éprouve pas l'envie de lire la suite. De toute façon, si c'est pour nous trousser encore une histoire en 2 tomes, non merci.
Je me suis emmerdé comme jamais à lire ce 1er tome !
Je n'y reviendrai pas.
C'est plutôt bien dessiné, mais il y a quand même un énorme problème : les personnages féminins, sensés être en dernière année de lycée (donc 17 ans), ont l'apparence de petites filles de 10 ans max.
Alors des propos crus sur la sexualité, tenus par ces personnages, semble hors de propos. Ca n'aide pas à entrer dans l'histoire.
Et le scenario...
Aïe aïe aïe....
C'est long, c'est chiant, il ne se passe rien.
Je laisse ça à ceux qui aiment.
Le tome 2 est un tout petit moins réussi que le 1.
Plus didactique, il nous apprend des choses sur la visite d'un certain personnage au Quebec, mais du coup, l'intrigue est plus légère.
Cela ne m'empêche pas d'avoir envie de lire le tome 3, puisqu'il est également réédité.
A l'occasion de la réédition par les éditions du Tiroir, j'ai pu découvrir ce titre et j'en suis ravi moi aussi.
C'est rigolo, très bien dessiné, bourré de références, et très bien rythmé. Bizarre qu'aucun grand éditeur n'ait eu l'idée de publier ça (Paquet, ça l'aurait fait !).
Pour les amoureux de 007, des Avengers Steed et Peel, des voitures américaines et des swinging 60s, c'est un titre à ne pas manquer !
Etrange projet, mais l'auteur nous y a habitué, depuis le temps et il est super fort, faut avouer.
Je n'ai pas tout de suite réalisé qu'il s'agissait d'un projet de l'auteur de "Gantz" et "Last Hero Inuyashiki". Pourtant, les dessins parlent d'eux même, ils sont brillants, développent des décors urbains assez époustouflants qui nous immergent véritablement dans ce Japon reconstitué.
L'histoire est assez scabreuse, et aurait du m'inciter à aller voir ailleurs. Mais l'auteur est brillant, malin, et sait comment attirer son lecteur tout en le conservant, malgré l'invraisemblance des situations.
Evidemment, le métier du personnage principal, "actrice" porno, est déroutant, tout comme la relation affective qu'elle entretient avec cet adolescent. Mais la sauce prend, je trouve. Ca fonctionne et j'ai envie de connaitre la suite. En espérant que l'aspect sexuel prendra moins d'importance au fur et à mesure (ce n'est pas vraiment le cas dans le tome 2...).
Il n'empêche, ce projet sort de l'ordinaire, et est bien réalisé.
Je suis plus mitigé sur l'intéret de cette série.
J'espère que la montagne n'accouchera pas d'une souris.
Le point de départ étant résumé dans l'avis de Erik67, je n'insiste pas dessus. Mais assez vite, j'ai commencé à discrètement m'ennuyer. Je commence à bien connaitre l'auteur, ayant lu "Monster" et "20th century boys", et la mécanique des sentiments propre à Urazawa n'est plus une surprise, maintenant.
Reste des dessins très corrects, bien meilleurs que bien des mangas pourtant en tête des ventes (mais destinés aux plus jeunes).
Cela ne suffira pas à me faire rester sur cette série. J'ai acheté à l'aveugle plusieurs tomes, je vais donc les lire, mais ensuite, je pense que je m'arrêterai là.
Je sous-note volontairement cet album, parce que je boycote habituellement ces albums anthologiques, ou chaque histoire est indépendante et où les auteurs changent à chaque album.
En plus, j'avais commencé à lire les 1ers albums, et ça ne m'avait pas plu, entre des scenarii pas toujours bien ficelés et des dessins pas toujours terribles.
Mais là, c'est Brion au dessin, alors je me suis laissé tenter.
Pour le dessin, bien m'en a pris. Pour l'histoire, désolé mais ça a vraiment un gout de trop peu, et cela aurait mérité un meilleur traitement, en 4 à 6 albums minimum.
Là, ça va trop vite, c'est déjà fini avant de commencer. Il me parait impossible d'être pleinement satisfait d'une histoire aussi courte. En plus, la fin n'est pas extraordinaire et m'a laissé sur ma faim, justement.
Vraiment dommage, parce que Brion est un extraordinaire dessinateur, capable de briller en SF pure et dure comme dans un moyen-âge fantastique aux ambiances celtiques à souhait.
Il sait utiliser tout le potentiel de la palette graphique, pour rendre son dessin chaleureux, malgré le support utilisé. Et quels décors !
Par pitié, messieurs les éditeurs, proposez à M Brion des projets au long cours et pas des unitaires frustrants !