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Il y a plein de très bon western en ce moment, alors fuyez celui la.
mal dessiné et mal écrit, pas grand chose à sauver dans cette histoire sans intérêt bourré de personnage caricaturaux.
Ca me fend le coeur mais je ne peux mettre plus de 7 à cette excellente bd, la faute à une faute de goût qui dure 46 pages: le dessin. C'est abominable et je pèse mes mots, quel dommage de n'avoir pas donner à DUVAL un vrai dessinateur pour son magnifique scénario. La première scène avec le menton pointu de Noria, Gasp!! et que dire de la chevelure de Rita, Mayday!!.
Imaginez le travail d'un BAJRAM la dessus!!
Bref du très lourd en matière de SF, mais DELCOURT s'est trompé sur le plus important. Je vais lire les autres, mais avec une certaine appréhension.
Encore un beau comic, dans un bel écrin, couverture magnifique de Swandland.
Le reste n'est pas du même gabarit, dessin inégal, histoire mal amenée et fin raté nous laisse un sentiment mitigé. Peut mieux faire, évidemment.
Il ne s'agit pas de l'histoire connue, c'est le futur, l'Alien à déja attaqué la terre et a été vaincu, mais il prolifère sur une planète colonisée par les humains.
Un huis clos classique, avec des belles débauches d'hémoglobine, deux trois surprises scénaristiques évitent l'ennui du déjà lu, déjà vu.
Pour aficionados, comme moi, d'où ma note légèrement surévaluée. 6/10.
Si cet album à un mérite c'est bien qu'il rend un bel hommage aux illustrés de "gare" désormais disparus ou presque. A la fin du livre j'ai eu envie de descendre à la cave voir ma collection de Mon Journal et ses belles couvertures permettant l'imagination et l'évasion.
Las le reste de la BD n'est pas aussi réussi.
En commençant par le dessin dont il faut bien admettre qu'il est très faible, et dans la collection signé, ça fait tâche. Les belles couleurs de la couverture sont bien présentes dans l'album, mais enfoui sous des traits incertains elles ne permettent pas l'accés à cette oeuvre difficile.
Difficile car le scénario se tient bien si on accepte l'idée de départ: en gros, un jeune enfant qui lit beaucoup d'illustrés réussit par sa pensée à faire disparaître tout le monde vivant sauf ceux qui connaissent les illustrés et fait apparaître tout un tas de super méchant et de héros issus des illustrés.
Oui sauf que les personnages sont mal ébauché, on est toujours loin de l'action et la fin est vraiment ratée, l'explication est abominable et pas du tout en phase avec le propos doux réveur.
On sort déçu, parcequ'on avait envie de mieux, berçait par la douce nostalgie de nos petits formats d'antan.
Avis: Vraiment si vous avez rien d'autres sous la main
Avis pour les deux tomes de cette mini-série (dans tous les sens du terme).
Les deux tomes sont sortis en même temps et c'est tant mieux car sinon peu de gens aurait acheté le second.
Le dessin correcte dans l'ensemble, a part les abominables couvertures, pique quand même ses idées à d'autres, les ET ressemblent comme deux gouttes d'eau aux Stryges par exemple. Mais le héros est moche, sans carrure ni relief et ça cela n'aide pas le propos.
Coté scénar c'est la catastrophe, BOLLEE qui nous avait habitué à du bon (ex: APOCALYPSE MANIA) (j'avais pris les bd pour lui), sombre complétement, à la recherche d'un propos et d'une réflexion sur le pouvoir du sport et l'asservissement des foules, il nous pond une histoire débile (le mot est juste) avec des flash back inutile, des parasites pénibles (mais que vient faire le journaliste la dedans?) et des ficelles comme des poutres. Les dialogues sont ridicules et entendre palabrer de cette façon le dernier E.T et quasiment insupportable tellement ce n'est pas convaincant.
Et il n'y a aucune scène de course un tant soit peu intéréssante!.
A oublier, et surtout à éviter!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.
A NE PAS RATER,
Quoiqu'on en dise les comics ont le vent en poupe, une ribambelle d'excellents titres nous sont parvenus ces derniers temps, celui-ci en fait à coup sur parti.
Le dessin "vintage" d'un PHILLIPS qu'on a connu meilleur s'associe agréablement au scénario en béton de BRUBAKER comme souvent parfait dans le cinisme des situations.
Un ex-tueur super vilains repentit par force et bénéficiant d'un programme de protection des témoins de l'agence nationale des supers gentils se sent à nouveau poussé des vélleités après dix ans d'abstinence de violence.
Une multitude de personnage gratinée arrive alors dans l'histoire, ca flingue à tout va, il y a des professeurs fou, de l'eugénisme, de la gériatrie, un peu de sexe, bref on est dedans jusqu'au cou.
vivement la suite.
Que dire,
DEDIC est un dessinateur, un vrai, un qui n'a pas peur des grandes scènes, qui construit de superbes décors et sait animer ses combattants.
Ses animaux et autres créatures sont belles, très belles m^mes, et tout cela nous porte à tourner les pages.
DEDIC n'est pas un scénariste, un postulat de départ héroic fantasy, laché en cours d'album pour un glouby boulga mythologico scientifique, et une fin débile avec retour chez nous ou dans le futur, on ne sait plus, mais le héros non plus d'ailleurs.
Parfois charismatique, souvent ridicule, POLAK ne sait pas ou il en est, trimballé sans but, il subit comme nous les affres d'une mauvaise histoire.
Le deuxième tome peut il sauver cette tarambouille, non, mais il aura le mérite de nous faire revoir le merveilleux trait de DEDIC, que l'on souhaite bientôt dans les mains d'un grand scénariste.
3/10 pour l'excellent dessin.
Avec ce titre on se doute bien ou l'auteur veut nous amener.
Toutefois le début de l'histoire est passionnant, une bien sale affaire de tueur en série pervers et malin comme on les aime.
Le propos de l'auteur bien servi par un trait extrêmement haché est politique.
Il dénonce les absurdités de la justice américaine, de l'american way of life actuelle et se sert des tours pour conclure comme un cheveux son histoire qui méritait peut être meilleur sort, mais cette cassure est la pour appuyer sur le propos et finalement c'est réussi.
A lire, mais au deuxième degré.
Un Hors série de DAREDEVIL presque sans DD!!!
Le héros comme le titre l'indique c'est son père, un boxeur dur au mal, fort et rustre. Un raté, esquinté par la vie qui fait les plus basse besogne pour le parrain local. On a déja vu, lu ça des centaines de fois mais ça marche encore et si la fin n'apporte aucune surprise elle amène bien le futur personnage de DD.
Vive DD, à lire bien sur.
Tout gamer qui se respecte à toucher à Assassin's Creed, le succès du jeu à donné l'idée à UBISOFT, l'éditeur du jeu vidéo à se lancer dans l'édition BD pour utiliser cette licence à succès.
En confiant les rênes à CORBEYRAN on savait à quoi s'attendre, du tortueux, du noueux, du complexe et on est servi. Oui mais trop, on croise quatre périodes, plus ou moins traitées avec l'intervention de plusieurs dizaine de personnages plus ou moins aboutis. Bref on s'y perd, et ce n'est pas la qualité des dialogues qui éclairent le lecteur, ils sont vraiment mauvais, de l'idée reçue à la phrase abscons, c'est un meli melo lénifiant.
Côté dessin, gasp, DEFFALI fait encore des siennes, très bon dans le mouvement, et très mauvais sur l'image arrétée, il abuse de plus des contreplongée qui rétrécissent grandement les cases. Dommage les décors sont soignés.
Peut être dessine t'il trop, on ne voit plus de progression.
Une histoire faible car inutilement surchargée et volontairement floue (par manque de fond?) et un déssinateur en (toute) petite forme. Un vrai raté. 3/10.
... Pas du tout,
Une histoire de violences conjugales qui tourne en rond pendant une éternité, une BD minimaliste, qui aurait du être forte de part le thème si le dessinateur n'avait pas joué la carte de l'animalier qui décrédibilise tout le message.
D'ailleurs le message est pauvre et confus puisque la fin se mord la queue, et qu'on a attendue en vain toutes ses très longue pages qu'il se passe enfin quelque chose, une réaction humaine, une colère, une fuite, mais non on est bien chez les chiens.
Sylvain RICARD avait fait beaucoup mieux avec MILTON ou Guerres Civiles, on lui pardonnera cette faiblesse, si enfin il choisit de s'équiper correctement côté dessin.
A éviter.
Ca commence par une couverture vraiment magnifique,
C'est une adaptation de Walter SCOTT et c'est extrêmement rigoureux dans le ton donné et dans la retranscription de l'époque.
Les Normands ont pris le dessus sur les vielles familles saxones et l'Angleterre est au main de Jean sans terre. L'histoire à le mérite d'agrégée tout l'imaginaire qui tient à cette période: le prince Jean, Robin des Bois, la foret, richard coeur de lion, les tournois, les princesses et bien sur IVANHOE.
C'est trés entrainant et franchement on passe un excellent moment, on est finallement assez proche d'un THORGAL les Archers. (sans l'égaler évidemment).
Mais la ou le bât blesse c'est dans le dessin et la mise en couleur.
La couverture est trompeuse car elle représente un décor et c'est vraiment ce qui est le mieux réussi, le reste est technique manga.
Et ça pour tout vous dire c'est très dur à avaler pour une BD historique sur l'Angleterre moyenageuse. De plus les couleurs sont franchement ratée, des pages entières baignant dans des atmosphères de pastel rose ou verte du plus mauvais effet.
Au final un volume très intérèssant sur le fond mais mal maîtrisé sur la forme qui gache le plaisir de lecture.
Allez-y quand même.
PTILUC et ses rats,
Une longue histoire qui malheureusement tourne désormais à vide,
Une reflexion sur la société, qui s'étiole de plus en plus, laissant place à une trame fade, des gros mots tout gentillet, on est dans le très politiquement correct.
L'auteur pourfendeur à ses débuts s'est embourgeoisé manifestement et ce n'est pas son transfert chez soleil qui lui à fait faire une remise en question.
Côté dessin c'est extrèmement minimaliste, des grottes, des personnages identiques, pas de nouveautés.
Bref un très mauvais album qui parachève le déclin de la série déja bien entamé.
De l'audace que diable.
On est dans la démesure permanente avec cet ouvrage, finalement très recommandable car les personnages ont du fond. Certes c'est du déja vu, plein de références à TOLKIEN (mais le genre le veut), mais on y va à fond c'est ce qui permet que le lecteur se prennent au jeu.
Mais ce qui donne de l'ampleur c'est le dessin remarquable notamment sur de magnifique décors pastélisés. De plus les bêtes immondes sont très réussies ( et il y en a).
Bref on passe un excellent moment.
Je recommande.
S'attaquer au mythe de JAMES BOND est une excellente idée, le faire avec talent c'est mieux encore.
Le scénario, très surprenant, nous emmène plus vers le comics de super héros que vers de l'espionnage classique.
Pour tout dire je me suis cru par moment dans du MILLER, période DAREDEVIL 80', attitude introspective des personnages, caid plus vrai que nature etc.
C'est dire si c'est intéressant, on ne lâche pas l'histoire servi par un dessin extrêmement lisible sans être époustouflant.
On est sur les terres mêmes d'HIGHLANDER, on y saupoudre du monstre du loch NESS et des CHARIOTS de FEU (la première partie est en effet à lire avec VANGELIS en fond sonore).
Bref un mixage très important d'influences qui ne nous permet pas vraiment de nous retrouver avec JAMES. C'est pourtant ce qu'on attendait.
La filiation JAMES BOND est donc pour moi quelque peu galvaudé, et si le titre avait seulement été SILVERFIN, je serai sorti enthousiaste de ces 160 planches.
A lire sans en espérer trop sur 007.
Je l'ai lu il y a 4-5 mois maintenant mais je m'en rappelle comme si c'était hier (rare quand même vu le nombre astronomique de BD que j'ingurgite).
On est paroxisme de la tension à la fin du 7, et tout nous prépare à un déferlement de violence. Et on est pas déçu, c'est pour moi du jamais vu à ce niveau là.
En effet ce qu'il faut prendre en compte dans cette série, c'est la fantastique proximité que le lecteur à avec les personnages. Les auteurs les ont décryptées sous toutes leurs facettes, la psychologie, l'introspection du personnage c'est le moteur de l'oeuvre. Tout cela est facilité par les conditions particulières ou se trouvent plongés tout le décorum, la tension permanente inhérente à la présence menaçante des zombies, l'insécurité physique et intellectuelle des héros les transcendent. Les auteurs nous gratifie d'un exercice de style majeur, le huis clos en quasi liberté.
Pas de fausse note tout au long des tomes de la série nous amène à ce chef d'oeuvre qu'est le 8°opus.
Un enfer dans l'enfer, la folie les a saisie, les auteurs ne font pas de détails sur les personnages, on détruit, on hache menu, le lecteur perd ses certitudes, quoi non pas le bébé, pas la mère, si si, ptain mais ça s'arrêtera pas, de l'air, raaah une petite gorgée, une lueur d'humanité, l'espoir, la corde qui me remonte du puit.
Je n'en peux plus, usée c'est trop dur, mais que c'est bon.
Chapeaux bas messieurs.
HUGAULT est un prodige du dessin mais en plus ces histoires tiennent en haleine, un grand duc 2 bien dans la lignée du premier, même si je dois le reconnaître j'ai trouvé qu'il y avait trop d'action, on perd un peu de proximité avec le héros WULF c'est bien dommage.
Mais qu'est ce qu'on prend dans les mirettes, la couleur et le dessin sont stupéfiant de justesse et de détails (ah les colonnes de char en contrebas des combats c'est quand même top).
La fin apocalyptique de DRESDE annonce des lendemains qui ne chantent pas, vivement la suite.
Ah c'est LARCENET, c'est super méga génial donc, tout le gratin des pseudo intellectuel de la BD se tape sur les épaules.
20.90€ c'est ce qu'il vous faudra dépenser pour lire ce pavé à la couverture extrêmement moche, mais le ton est donné.
Au moins on est pas trompé, c'est laid, très laid, mais ça le revendique. 200 pages de gribouillis ne font pas un dessinateur. On est même encore plus bas que dans le retour à la terre, c'est dire (petite amélioration sur les liants noir et blanc à partir de la page 110).
C'est laid donc ça colle donc bien à l'histoire qui est une histoire laide sur quelqu'un de laid.
Oui et non, c'est loin d'être inintéressant, le principe de la garde à vue est bien trouvée, mais les flics sont quand même peu crédible dans leur rôle de psychologue.
Non la n'est pas le problème, le problème c'est que c'est du déja vu.
Cette chute infinie vers l'abîme de cette ogre, on l'a déja lu.
Comment vous avez déja oublié l'OUTREMANGEUR, même reflexion sur la difficile différence, sur la solitude et le lien ténue à la vie. Ici la chute est plus grande, plus profonde, le personnage s'est pris un BLAST, c'est MICHAEL DOUGLAS dans CHUTE LIBRE, la perte de repère s'accompagnant de passage à l'acte (pour l'instant bien gentillet), car il ne se passe finallement quasiment rien.
Tout est suggéré, qu'a t'il fait à cette fille et à son frère, et bientôt on parlera certainement de la maman, grande absente de l'approche psychologique du bonhomme. Parceque le papa lui il y est, j'en ai ri d'horreur et d'incompréhension, ca se passe page 22, vous pouvez pas le raté.
Au bilan, un exercice de style sur la laideur, avec un trait si forçé que je me suis senti comme un enfant qu'on prend par la main pour lui indiquer le chemin.
Vraiment pas indispensable, investissez ailleurs.
L'oeuvre est grande et longue (65 planches) et tout se met en place grace [b]au talent[/b] de l'auteur.
Le scénario est fort, on sort de la 1°guerre dans les lieux mêmes ou elle s'est déroulée, c'est l'enfer du nord. Tout y est la mine, la condition ouvrière, l'alcoolisme, la lutte des classes, le renouveau. Les personnages sont des durs comme leurs conditions de vie, les trognes sont burinées, tirées, épuisées, défigurées. Ici des gueules cassées, là des vies brisées.
Oui on parle du tour mais c'est pour évacuer le trop plein d'émotions, ici on se révolte à toutes les pages, il faut souffler. Et le lien n'est pas si ténu que cela, il y a le pain d'alouette, cette offrande, ce don de soi, la transmission filliale.
On sort de la lecture usée par la dureté, on y est encore une heure après.
Un monument du neuvième art pour sur, une merveille de talent (du vrai pas de la poudre aux yeux) scénaristique et quel dessin. La page 45 est si belle que j'ai bloqué 2 minutes dessus (et réouverte depuis).
Vous m'en resservez un l'an prochain, merci.
j'ai déjà eu l'occasion de vous faire partager mes doutes sur l'activité normale du dessinateur KORDEY, comment peut-il sortir autant de titres à l'année? Son dessin en souffre, et c'est encore une fois un sentiment de bâclage qui prévaut, ce qui est très très dommage car le scénario de l'excellent BOLLEE aurait pu nous amener vers du très bon, une idée à la P.BORDAGE dans un futur proche et donc personnalisant. Mais aussi des BACK UP sur le côté ésotérique de l'Allemagne NAZIE (on a l'habitude, mais cela fait toujours son petit effet). C'est complexe et je me demande bien comment il va s'en sortir pour démêler cela
Une histoire d'espionnage fin XVIIIs dans la marine française.
Scénario mitigé, même si on regrettera finalement que l'auteur fasse beaucoup de bruit pour rien.
Certes mais la n'est pas l'important, le principal se situe dans le dessin, celui de DELITTE magnifie la marine à voile, les cales de radoub, les forts de mer... . Merci pour ces merveilleuses images.
Comment peut il faire pour produire autant et nous délivrer des planches aussi complexe et détaillée, c'est pour moi un mystère.
Un très bon moment visuel.
MAKYO c'est avant tout de grands moments ( ballade, coeur en islande, maitre de peinture...), mais cela peut aussi être une redite lourdaude de ses succés et ici avec cet INVERSION, on a tout compris dans le titre.
Prenez BALLADE et transposé le aujourd'hui, envoyez le héros dans un monde parallèle et hop le tour est joué.
Le scénario ne tien pas debout, le dessin est très pauvre, statique, sans accroche, seule la couverture sauve l'ensemble.
A éviter bien sur.
Décidément 12 BIS réussit son entrée dans le gratin des éditeurs,
il faut dire qu'ils ont recruté huppé.
Eric STALNER c'est souvent bon, quelquefois gnian gnian certes mais globalement c'est un achat sans stress.
Ici c'est ce qu'il a fait de mieux, tout simplement.
Coté dessin, c'est toujours pareil, donc ça passe mais on aimerait de l'évolution dans le coup de patte, surtout au niveau des personnages que l'on a l'impression de toujours retrouvés.
Une belle recherche à été faite sur les uniformes de l'armée napoléonienne ce qui permet de bien entrée dans la période, car le MOSCOU en ruine, lui, ne convainc pas beaucoup, prenez CAZENAC, mettez de la neige et vous y êtes.
C'est coté scénario que le bond en avant s'est effectué, un story board dynamisé qui flirte bon avec le découpage made in VANCE ( les présentations de personnage, pleine case sur buste de face avec légende, on se croirait dans un BRUCE J, un XIII ou dans les 2 MARSHALL BLUEBERRY). Et une histoire qui tient bien la route, en pleine débâcle de la campagne de Russie, l'armée Napoléonienne se retire en ordre dispersé, laissé à elle même et au feu Russe. Un petit groupe hétéroclite se compose, se déchire. des hommes courageux, d'autres moins, des manigances, des femmes déchues, on a de tout et c'est bien mené.
On attend donc avec envie la suite de cette prometteuse série, lecture recommandée.
Belle couverture pour cette nouvelle série.
Pour le reste, que c'est touffu et confus, le scénario est mal ficelé, ce qui rend la lecture fastidieuse, de l'heroic fantasy ésotérique qui dépasse les critères connus (bien) dans des situations quelques peu surprenantes (résurrection, vol dans les airs...) (moins bien). Il y a trop d'infos, l'aventure en patie, surtout que le dessin se met au diapason, les cases sont très lourdes, surchargées presque de dessins agressifs (il faut voir la tête des bons et des méchants, c'est gratiné).
Dommage parce que l'ambiance, elle, elle est la.
C'est proche du récent HAMMERFALL, ici c'est mieux dessiné, mieux présenté et pourtant on est moins dedans.
De la simplicité que diable.
Certainement le plus mauvais COSEY, basé sur rien, il arrive à nous faire lire en plein ennui la quasi totalité de la BD sauf les 3 dernières pages, excellentes.
C'est trop peu, une vrai déception dans cette collection prestigieuse.
Superbe couverture et.... une grosse déception.
Le thème est attractif, mais le dessin est foncièrement faible, KORDEY fait mieux d'habitude mais la on a le sentiment qu'il est allé trop vite, c'est un peu baclé.
Coté scénario, PECAU complexifie sans raison une histoire qui aurait pu être une belle série B, la on s'y perd car il y a trop d'intervenants.
La BD se lit quand même, mais on est déçu car la couv nous promettait tellement, bref avec plus d'application et plus de simplicité on peut avoir une bonne surprise sur le tome 2. On leur laisse une chance?
Le retour attendu de Philippe JARBINET,
après 2 ans de travail, il nous livre d'un coup les deux albums de ce dyptique sur la deuxième guerre mondiale.
Le JARBINET VECU à vécu, il nous offre ici un travail magnifique dans un dessin splendide, tout en nuances de couleurs pales qui donnent une grande véracité à l'histoire. (je regrette juste quelques ancrages de pourtour des visages trop épais).
Coté scénario, pas de surprise, c'est très bon mais sans originalité, il faut dire que l'œuvre sort dans une période ou tout le monde à vu APOCALYPSE qui à traité du même sujet.
Saupoudré du BAND OF BROTHERS avec du RETOUR DE MARTIN GUERRE et vous aurez la trame. mais l'histoire est fluide, plaisante et le dessin nous aspire littéralement dans la contre offensive de BASTOGNE.
Une excellente idée de série car on ne se lasse pas des uniformes nazies ou yankees et qu'ils sont ici plus que parfaitement reproduit.
En bref un très bon moment de lecture sur 100 pages et histoire complète, une grande réussite à ne pas rater.
Ouahou!
Un vrai choc, scénario basé (et oui) sur Dragon Ball, mais traité à l'européenne et nous proposant une grande richesse (contrairement aux mangas DBZ) dans le rendu des aspirations, sentiments et périples de Mané, un jeune surdoué de la boxe (PANKAT) dans sa quête d'identité.
Coté dessin, c'est parfait pour le sujet (on est dans la simplicité, voir le dépouillement), mais les mouvements sont magnifiques.
On regrettera un épilogue pas satisfaisant et des profils de perso ratés (attention les pieds aussi).
Pour le reste 190 pages (et oui (bis)) de pur bonheur pugilistique dans une ambiance futuro-orientale des plus réussie.
A ne pas rater.
Si l'on peut trouver de grandes qualités au premier tome en terme d'originalité, quelques vignettes steampunk sont vraiment superbes et les contrastes entre londres et l'afrique sont magnifiques, force est de constater que ce deuxième tome est un ratage complet.
En effet, réalisé 4 ans après, on sent des les premières pages qu'il a été fait à la va vite par les auteurs, juste pour finir la série qui n'avait pas décollée coté vente.
Coté dessin, PARRAS comme sur ses autres séries s'éssoufflent, il n'y aucune belle planche de tout l'album, c'est fade, baclé, on n'a qu'une envie, finir la BD et ne plus la toucher.
Mais c'est coté scénario que le bat blesse franchement, un salmigondis de complot, de retournement de situation sans queue ni tête, d'élypse mal venue.
Bref on ne reconnait plus qui est qui et qui fait quoi dans cette pseudo enquête encore alourdie par des souvenirs sensés apportés des clés alors qu'il n'y pas de serrure.
La série est finie, ouf, passez votre chemin.
Une bonne surprise de la grande collection VECU.
SIMON est un joueur de pelote basque renomé, mais il s'arrange avec les règles pour truquer les paris.
Une sale habitude qui va en retour truquer toute sa vie.
Trahi par son meilleur ami, accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis, Simon s'expatrie au Philippines ou les ennuis le poursuivent et se multiplient.
Le scénario basé sur la classique histoire de trahison et de fuite à le mérite d'être dans les détails très original, la pelote en toile de fonds en Espagne et les combats de coqs en Asie. Un bon point.
Le dessin est magnifique, vraiment, dommage que cet auteur n'est pas plus produit.
Une bien belle ambiance, même si on peut regretter le coté policé de l'ensemble qui peine à donner de l'épaisseur au personnage pourtant haut en couleur.
Un premier tome intéréssant, même si la narration "VECU" des années 80 peut être un peu monotone.
Voila une série sur laquelle on espère pas grand chose si on connait un temps soit peu l'oeuvre de gérard de Villiers.
Les couvertures sont magnifiques et il faut bien le dire le dessin tient bien la route.
Evidemment on ne peut en dire autant du scénario qui au dela des invraissemblances coutumières à ce genre est surtout navrant.
Le lecteur ne se sent jamais valorisé par ce qu'il lit (voit) et subit a 100 à l'heure les tonnes d'actions sans (avec) queue ni tête (sans).
Bref Son altesse sérénissime, ce n'est possible que pour une lecture irréfléchie et ludique d'un petit quart d'heure.
A la Suite.
Merci M.MAKYO, du beau, du bon et du vécu, difficile de demander plus a ce dyptique magnifique sur la pêche au gros et sur la quête du père.
En plus il y a ce supplément d'âme des grandes oeuvres, ce je ne sais quoi entre la mélancolie de l'oeuvre et le plaisir de la lire.
Merci, une oeuvre majeure, a (re) decouvrir.
Chaque fois que DORISON sort un album, je le prends et j'avoue, j'aime bien MARAZANO au scénario.
Mais la il est au dessin et ... c'est hideux, innacceptable pour une bd a 13€.
On a envie de s'arréter de lire a chaque fin de page tellement cela parait baclé.
XD avait peut être pondu un bon scénar, mais franchement c'est trop dur à digérer.
A la fin du tome, on ne sait rien, on a partiellement rien compris et plus grave on a surtout plus du tout envie de savoir la suite.
FUYEZ.