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La première chose qui a attiré mon regard : la couverture de ce second tome. Lapalissade me direz-vous ? Peut-être pas car cet élément indispensable pour une BD n'est pas toujours aussi spectaculaire que celui que nous livre Matieu Lauffray ici. Et dire qu'il a déjà eu le bdgestart de la meilleure couv' l'année dernière pour le premier tome ...
Pour ce qui est du reste des dessins, ils sont dans la continuité du tome 1 avec des décors à la hauteur des espérances que fait naître la couverture.
L'histoire, elle, se poursuit doucement et c'est l'occasion pour Xavier Dorison de mieux dépeindre les relations entre les personnages. Puis elle s'accélère sensiblement dans les dernières pages faisant la part belle à l'action (ce qui paraît quand même important pour une BD d'aventure). A tel point que l'on est surpris que ce que l'on pressentait depuis le début arrive aussi vite.
Si le premier tome m'avait un peu laissé sur ma faim, me voici rassasié avec ce tome mêlant action et psychologie.
Petite déception avec la fin du dyptique. En effet, l'histoire est rapidement défleurée et par conséquent on s'ennuie un peu à la lecture des dernières pages. J'attends de voir la suite car je commence à me poser la question de poursuivre la série.
Et si les prochaines intrigues étaient recentrées sur le docteur Fenton dont le passé n'est plus qu'une anecdote ?
Autant le dire tout de suite, pour moi, cette BD ne se distingue pas particulièrement par son scenario: un homme est assassiné en cherchant à protéger son fils de mercenaires qui tentent de leur soutirer une information et un improbable témoin de ce crime se porte au secours de l'enfant. Les deux fuyards seront dorénavant traqués. Les criminels agissant pour le compte de personnages haut-placés qui se dévoilent à la fin de l'ouvrage, on peut néanmoins imaginer que le prochain tome tirera plus largement profit du cadre historique de cette histoire.
Les personnages, qui participent aussi du scénario, sont originaux et font penser à une petite cour des miracles même si leurs traits de caractère ne m'ont pas encore tout à fait convaincu car je les aurais aimés un peu moins caricaturaux et un peu plus affirmés.
Cet album vaut pourtant plus qu'un coup d'œil. Ne serait-ce que pour les dessins de Simon Andriveau. Les couleurs et les visages semblent tout droit sortis du pinceau de Loisel. Mais ce qui m'a le plus impressionné, c'est encore le mouvement que le dessinateur arrive à insinuer dans ses cases, notamment lors des scènes de poursuite.
En conclusion : un tome de mise en place pour une série à potentiel.
je voulais mettre 6 mais je n'arrive pas à modifier mon avis (le lien ne marche pas) donc je corrige en attribuant cette deuxième note. Mille excuses.
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Hariti s'est trouvé une fille : Assia. Après avoir tant espéré cette maternité, la reine-sorcière ne peut que l'aimer d'un "amour dément". Cependant, dans le royaume onirique d'Hariti, les sens s'éveillent et le vigoureux Faro trouble la belle Assia. Ce qu'Hariti ne peut accepter.
Dans ce deuxième tome, la principale imperfection du tome 1 est gommée. Là où l'histoire était embrouillée par les pouvoirs de la sorcière, la narration gagne en clarté. Par ailleurs, les chaudes couleurs de l'Afrique, principale force de cette bande-dessinée, illuminent toujours autant les pages.
Seul bémol, il est dommage que certains passages, comme les rites initiatiques subis par Faro, ne soient pas plus développés.
Voici arrivé l'heure du dénouement. Le héros ira-t-il au bout de sa vengeance ?
Sans dévoiler l'issue de cet ultime opus, j'ai regretté que la fin soit en tout point celle à laquelle le lecteur a été préparé, parfois au prix de passages un peu plaqués. Par ailleurs, il est dommageable que malgré quelques personnages forts, la psychologie de ceux-ci n'ait pas été un peu plus explorée. A tel point que certains actes des personnages semblent parfois inexpliqués voire en décalage avec ce que l'on s'imagine d'eux.
Sur le dessin, j'ai apprécié la qualité des décors, certes mal restituée par le format de l'ouvrage (une taille réduite par rapport à ce que l'on peut voir plus fréquemment chez Glénat) et un peu ternis par des couleurs que j'aurais aimées plus vives.
Une BD sympathique donc mais sans grande surprise. Cette histoire en 3 tomes ne manque pas de rythme mais 4 tomes auraient peut-être laissé plus de places aux auteurs pour mieux installer leur scénario et développer certains aspects.
Au moyen-âge, la femme du seigneur de Montrouge enfante d'un fils aux yeux vairons. Son décès conduit son époux à un remariage avec une femme d'une grande beauté. Mais cette beauté met en émoi le comte d'Antor au visage difforme et dont le seigneur de Montrouge est le vassal. En voulant capturer la beauté de la jeune épouse, le comte va la défigurer. Ne pouvant accepter que son mari la découvre ainsi, elle préférera mettre fin à ses jours.
Dans ce premier tome, le décor est planté. Si l'histoire n'est pas désagréable, on a du mal à voir quels ressorts scénaristiques seront utilisés pour la dynamiser. Par ailleurs, la place de la couleur des yeux du fils du seigneur de Montrouge, signe diabolique pour l'église, occupe une place importante au début de l'ouvrage mais on voit mal ce que cela amènera au scénario par la suite.
En conclusion, une BD sympathique mais dont j'espère que l'histoire va un peu se densifier. Quelques éléments pourraient y contribuer même si pour l'instant je vois mal comment.
Cette série mêle plus que jamais réalité et mythes. Si le lecteur accepte cela, il sera rassasié. Depuis le début j'avais un peu peur d'une fin plate. Cétait sans compter sur le talent de Makyo. La série a toujours été porté par de petits rebondissements et s'est livrée au fur et à mesure.
Mon seul regret demeurera le dessin, plus encore que la couleur qui a finalement contribué à créer une ambiance particulière.
L'action se déroule au pied de l'Himalaya, il y a plusieurs milliers d'année. La civilisation y est organisée autour de plusieurs castes. Seul le jeu de pourpre permet de s'en extraire. Deux jeunes gens appartenant à des castes différentes et que tout oppose, vont se retrouver liés par des rêves partagés (au sens propre). Leur destin va aussi s'unir dans une lutte contre le régime en place.
Si l'intrigue ainsi racontée n'a rien de spectaculaire, il convient de relever les efforts louables du scénariste pour creuser la psychologie des personnages car leur union n'a rien d'évident et leurs motivations pour remettre en cause l'ordre étabies sont différentes. L'un est un idéaliste et l'autre se verrait bien souverain.
Le dessin ne me plaît pas outre mesure et les couleurs pastel font peut-être un peu démodées (l'album date de 1993). En revanche, le caractère vertigineux de la forteresse où vit la Haute caste ainsi que le chef tout puissant m'a aspiré dans certaines cases.
Cette BD n'est pas exceptionnelle mais j'ai tout de même passé un très agréable moment de lecture et j'attends de lire la suite avec une certaine impatience.
Avant d'entamer la lecture ce cet album, j'avais une petite appréhension : ces pirates sous-doués ne s'avéreront-ils pas de pâles copies de l'équipage qu'Astérix et Obélix passent leur temps à décimer au cours de leurs aventures ? En aucun cas.
L'équipage, avide de trésor (c'est classique), est emmené par un capitaine loufoque qui préfère la richesse intellectuelle à la chasse au trésor (c'est moins classique).
Ce point de départ, bien exploité par les auteurs, leur permet de déployer un humour intelligent tout au long de l'album.
Une belle découverte (un peu tardive) en cette fin d'année 2007
Voici la suite des aventures du Dr Fenton à travers le premier tome de ce nouveau dyptique. A nouveau, polar et aventure s'imbriquent.
Cette fois, le malheureux médecin mène l'enquête pour l'amirauté en utilisant ses connaissances médicales. Les propres problèmes de celui-ci sont maintenant un prétexte pour lui faire reprendre du service. A cette intrigue devenue un peu accessoire s'en ajoute deux autres. Le scénario est dense sans être embrouillé (à la différence peut-être de ma bafouille). Bravo monsieur Seiter.
Pour le dessin, les paysages sont très beaux. Les visages des personnages, en revanche, me gênent un peu. Ils paraissent figés.
Pour moi le meilleur album de cette série.
Voilà, je termine ce premier cycle.
Voici venu le temps de l'affrontement final. Le scénario n'a rien d'exceptionnel pour ce dernier volume. Il convient néanmoins de relever que le rythme est soutenu tout au long de cet album et que quelques éléments psychologiques sont exploités.
J'ai apprécié le dessin et les couleurs mais je me répète. J'insiste malgré tout sur quelques très jolis plans de la bataille.
En résumé, on rentre facilement dans cet album et on n'a pas envie de s'interrompre pendant sa lecture. Les jalons pour une suite ayant été posés, vivement le second cycle.
On remarque en premier lieu la très belle couverture de cette album.
Sur le plan scénaristique, cet album se densifie en faisant intervenir les américains en pleine guerre de sécession. Les alliances se nouent. Il nous livre aussi des réponses à des questions restées pendantes dans le premier opus. Le scénario est parfaitement maîtrisé.
Cette BD ambiance steam punk a pour originalité de s'inscrire dans un contexte historique bien identifiable : l'action se situe sous le second empire. Dans ce premier tome le scénario se met en place doucement. On découvre les protagonistes, un groupe de républicains conspirant contre le régime de Napoléon III. Très vite le Mexique où Napoléon a installé au pouvoir Maximilien deviendra le théâtre de cet affrontement.
Les couleurs chatoyantes de Carole Beau s'inscrivent parfaitement dans les canons du genre. Personnellement je suis fan des dessins des différents véhicules (Thierry Gioux).
Conclusion : une bonne BD, originale pour le genre au vu de son assise historique, sans être toutefois une histoire d'espionnage révolutionnaire.
Loti, jeune officier de marine anglais, stationne à Salonique alors que la Grèce subit la domination turque. A terre, il apercevra par la fenêtre d'une maison une jeune femme dont il tombe éperdument amoureux.
C'est cette histoire d'amour entre deux êtres que tout sépare, la langue, la nationalité, l'origine, qui nous est contée. Et d'assister à la confusion de leurs sentiments. Comment l'amour s'insinue-t-il dans une vie ? Jusqu'où chacun ira-t-il par amour ? Tous ceux qui ont aimé passionément se reconnaîtront dans cette BD. Tous ceux qui veulent savoir à quoi ressemble la passion liront cet ouvrage.
Les histoires d'amour finissent mal en général.
Les aventures du forçat, injustement condamné, continuent. Le bâteau dont il a pris le commandement se rapproche des côtes françaises.
Le scénario, librement adapté de l'oeuvre de Gaston Leroux, me fait penser à un autre monument de la littérature française : le Comte de Monte-Cristo et j'attends avec impatience de le voir avancer. Quant au dessin, il est simplement magnifique.
Un livre à conseiller à tous ceux qui vibrent lorsque l'injustice frappe.
Tout oppose les familles Morini et de Lourdel. Les premiers sont des émigrés italiens, ouvriers syndicalistes de père en fils. Les seconds incarnent une dynastie industrielle jalouse de ses privilèges.
Pourtant, dans le Paris des années 30, les deux fils de ces familles rejettent les valeurs familiales pour épouser celles de l'autre clan, et s'y faire adopter. L'occasion de faire s'entrechoquer ces deux visions du monde.
Un scénario bien maîtrisé, qui s'appuie sur une bonne idée de départ, nous plonge dans le destin croisé de ces deux familles.
A recommander à tous ceux qui aiment les sagas familiales.