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Comme Gabin, un des héros ancien champion d'Afrique de boxe, Lax tape fort où ça fait mal. A lire donc, absolument...
Anibara M. Lacroix.
J'avais beaucoup aimé le tome 1, il y a plusieurs années. J'ai adoré ce tome 2.
Je passe sur la grande qualité du dessin, du scénario et du découpage, d’autres l’ont dit avant moi, et mieux que je ne saurais le faire.
Mais les occasions de rire en lisant une BD de ces deux dernières années (rire, hein, pas sourire) se comptent sur les doigts d’une main de bradype. Eh bien là, en lisant « Il faut sauver Hitler » j’ai pouffé au début et bien rigolé à la fin. Franchement. Et en le relisant aussi.
Merci M. Thibert pour ce bon moment. Et finalement, prenez votre temps pour le prochain tome, qu’il soit du même niveau que celui-ci (ça ne va pas être facile)…
Enfin ! Une reprise de Tanguy & Laverdure digne de ce nom. Quel bonheur. M. Durand maîtrise parfaitement son sujet, personnages principaux, avions ET personnages secondaires, comme sait (savait ici) si bien le faire Uderzo. Le choix des couleurs -délibéré- plaira aux fans des Tanguy d'Uderzo. Le découpage est bien fait par P. Buendia et ça se ressent.
Bon sang ! C'est tellement bon que l'on regretterait presque (presque, hein!) que le scénario soit justement de J.M. Charlier qui a recyclé et mixé pour la Bibliothèque Verte (dont le roman est issu) d'anciennes histoires de M. Tanguy et B. Danny...
N'hésitez pas et vivement le numéro 2 !
Un bout de Bronco Benny + un bout de El Padre + un bout de En Avant L’amnésique = Indien, Mon Frère. R. Cauvin fait un beau geste pour la planète : il recycle !
Calculons : si le scénariste continue sur sa lancée on a 54 scénarii divisés par 3, ce qui nous fait encore 18 albums à venir !
Trêve de calcul. Il est de plus en plus clair que Cauvin s’essouffle (à l’inverse de Lambil, toujours impeccable).
S’il vous plait Monsieur Cauvin, faites-vous aider. Cela évitera à des presque quinquas maintenant, qui ont grandi avec Les Tuniques Bleues de pondre des avis de cet acabit.
Une série de très très bonne tenue : un scénario bien mené, des intrigues prenantes et un découpage bien maîtrisé. Par contre je n'accroche pas trop au dessin. Mais c'est un avis tout à fait personnel et finalement l'histoire le fait passer au 2nd plan et elle vous scotche à la série. A conseiller fortement au lecteur fan du vieux Londres et des polars insolite.
Delitte n'est pas peintre de la marine pour rien. Enfin une série sur les grands voiliers exempte d'anachronismes ou d'impossibilités navales ou techniques. Il était temps ! La vie des marins de l'époque est approchée au plus prés (sans jeu de mots), bien détaillée et surtout superbement illustrée. Le parti pris de mettre le Belem au centre de l'histoire et non un personnage humain, permet de relater des histoires fortes et très proches de la réalités. Superbe, vraiment !!
Cet album est une des reprises - très réussie - de la série par René Sterne. Hélas, celui-ci est décédé pendant la réalisation de l’ouvrage. Il faut rendre hommage à Chantal De Spiegeleer pour l’avoir terminé dans des conditions difficiles. Au final, nous avons là une histoire solide et magnifiquement dessinée, restant dans l’esprit des précédents numéros, surtout les 13, 14 et 15. A recommander.
J’étais un peu orphelin de la série Le Maltais qui m’avait beaucoup plu.
Puis j’ai découvert Odilon Verjus alors que 3 albums étaient déjà parus. Et j’ai adoré ! L’humour, l’histoire, les clins d’oeils, etc..
On sent dans ces albums un bon travail de recherche historique de base, et une minutie dans le scénario et surtout dans le découpage qui rendent schizophrène : on veut vite d’autres tomes mais on souhaite quand même que Verron prenne son temps pour nous ciseler çà. Zut alors !
A conseiller aux amateurs de bonnes BD. Et vivement…
Voilà une bonne adaptation d’un roman en BD. Le découpage est bon, et ceci est à faire remarquer. Car c’est souvent le point délicat dans une adaptation et qui vous fait beaucoup trop fréquemment rater l’essai, même avec un excellent scénario de départ.
Pour ceux qui n’ont pas lu le livre et qui s’intéresse aux basses manœuvres et à l’envers du décor de la politique américaine des années 50-60, ces 3 albums sont vraiment à conseiller. Une petite réserve toutefois pour le dessin. Mais il s’améliore au fil des tomes.
Une BD qui semble faite pour les plus jeunes. En fait, l’humour est beaucoup plus fin et frais qu’il n’y parait. Certains gags sont même franchement hilarants. J’ai passé un bon moment de détente à lire les 4 premiers exemplaires de la série. A lire sans se prendre la tête…
Une bonne série avec des scenarii solides et un bon découpage. Elle me rappelle un peu la défunte série des "dossiers secrets de Maître Berger". En bref, du polar bien mené dans un décor années cinquante bien rendu. A conseiller.
La longue vie d’un héros de BD en prise avec le monde réel est toujours problématique. Encore plus s’il y a plusieurs reprises. Spirou en est un exemple parfait. Ainsi beaucoup de lecteurs regrettent-ils celui de Franquin. Oui, il était bien, mais n’oublions pas qu’il était en parfaite adéquation avec son temps - les années 50-60 - en pensée et en action. Il ne peut pas rester tel quel dans le monde actuel. Un Buck Danny (à peine plus jeune que Spirou) chassant le Mig 29 avec son vieux Wildcat serait-il crédible ?
Il n’y a pas trop le choix : -soit on replace Spirou et Fantasio dans ces années (comme cela a été fait pour Blake et Mortimer, par exemple, avec un résultat très satisfaisant) et en avant vers de nouvelles aventures ;
- soit on accepte que Spirou évolue avec les mentalités, quitte à rompre complètement avec « l’esprit premier» de la série ;
- soit on n’est plus d’accord, et on reste sur les anciens albums. Ce que pour ma part j’ai fait avec certains comme Lucky Luke, Barbe Rouge, Ric Hochet et d’autres, sans pour autant en appeler aux mannes de Morris ou de Hubinon…
Jugeons donc l’album par rapport à ceux des mêmes auteurs et non par rapport aux premiers.
C’est vrai que cet album détonne un peu par rapport aux autres. Il est plus sombre, plus angoissé. Aussi, prompts sont-ceux qui crient au scandale : et que Franquin se retourne dans sa tombe, et que dirait André, etc., etc….
Pitié ! Arrêtons de faire parler les morts ! Franquin n’a pas toujours fait dans l’humour et le léger sur cette série. Rappelez-vous la mauvaise tête : Spirou et Fantasio fâchés, puis Fantasio en prison, puis Spirou épuisé, blessé, amnésique, après de longues semaines à l’hôpital. Scénario magnifiquement mené mais pas vraiment joyeux… Rappelez-vous " Les petits formats ", un Fantasio disparu, là encore amnésique, pourchassé par des forains pas vraiment gentils, voire aux instincts proches des Idées Noires. Humoristique ?
Il faut prendre ce tome (et sans mauvais jeu de mots) pour ce qu’il est : un bon scénario, un bon découpage et un dessin maîtrisé. Bref du très bon.
Tome et Janry savaient-ils que ce serait leur dernier Spirou et Fantasio ? Ont-ils voulu faire passer un message ? Si oui, c’est à eux de répondre et arrêtons la philosophie de comptoir.
René Sterne est parti. Adler n’aura connu que dix albums. C’est, à mon avis un grand talent de la BD qui s’est envolé. Je pense sincèrement qu’il avait encore beaucoup à nous montrer et qu’il nous aurait encore étonnés. Les scénarii se sont assombris et densifiés au fil des tomes et l’univers de la série s’installait au fur et à mesure… J’aimais vraiment beaucoup.
Merci Monsieur Sterne.
Un dessin simple mais très efficace. Et un scénario qui parle légèrement de choses sérieuses. Cette BD n’est pas ce qu’elle semble être à première vue. Les premières pages passées, vous ne lâchez plus l’album. J’ai beaucoup aimé Commando Colonial. Vivement le tome 2.
Il y a en gros deux types de lecteurs de BD aéronautiques : L’amateur de BD pour qui un bon album se base sur un bon scénario et un bon dessin, et le fanatique d’avions qui hurle dès qu’un rivet est mal placé ou que la perspective de « l’oiseau » en vol n’est pas respectée. Et il y a le lecteur qui appartient aux deux types et qui veut tout…
Je profite de la parution de cet album pour revenir sur le travail de Bergèse. Il devait reprendre un dessin d’un grand Hubinon puis les scénarii d’un très grand Charlier. Parlons net : pour les dessins d’avions, Bergèse est l’un des tous meilleurs qui soient, meilleur qu’Hubinon sur bien des points. Pour les scénarii il est difficile de passer après un Maître. Mais j’estime que Bergèse n’a pas démérité, bien au contraire, et est resté dans la veine de Charlier. Moins de combats aériens dans ce dernier tome ? Certes, mais il y a beaucoup moins de combats aériens dans la réalité aussi, les missions se concentrant surtout sur l’appui feu, la recco, le transport ou autres. Alors…
Les albums de Buck Danny par Bergèse sont donc à mon avis à recommander, bons scénarii et rigueur du dessin.
Enfin Midam et Adam se lâchent. Cela donne une série gore désopilante. Ils se rapprochent tout doucement de l’humour noir (rouge ici ?) des Idées Noires du grand Franquin, le cynisme en moins, s’agissant d’un univers fictif de jeu vidéo où tout est permis. Cette série gagne en qualité au fur et à mesure des albums. Vivement le prochain !
Une aventure de Lefranc sombre, dure, mais prenante. Rarement un scénario de cette série a été aussi dense. Pour moi un des meilleurs tome de celle-ci. La volonté du/des scénaristes semble vouloir désormais fixer les aventures de Lefranc dans les années cinquante, ce qui est une très bonne chose et relance la série qui commençait à bien baisser il y a quelques numéros.
Une série sympa avec un bon petit scénario solide et un dessin qui s'affermit au fur et à mesure. A conseiller pour passer un bon moment. J’espère que le numéro 4 offrira un dénouement à la hauteur des trois premiers albums.
A propos de cette série, il faut que les choses soient claires : la cote des albums ne reflète en aucun cas la qualité de la série. Cette cote est élevée car la réédition de ces deux albums est interdite (pour cause de plagiat, il me semble), ce qui en accentue la rareté. En ce qui concerne le contenu de ces albums le constat est triste : dessin raté, resucée totale du scénario sur d’autres séries, anachronismes divers etc. Amis lecteurs pour qui une BD est autre chose qu’un simple objet à collectionner, laissez tomber. "Le prix" n’en vaut pas la chandelle !
Tordre l’HISTOIRE pour en faire une histoire, un bon scénario, a souvent été utilisé en BD. Mais le faire en « retombant sur ses pattes », ça c’est la marque d’un grand scénariste ! Cela nécessite inventivité, documentation et rigueur. Si en plus le scénario est soutenu par un dessin lisible et maîtrisé comme celui d’Adam, cela abouti à une bonne BD. Moi j’ai été accroché par « Harding was here ». A votre tour de vous faire plaisir si vous ne connaissez pas cet album.
Dessiner un avion en vol est un exercice particulièrement périlleux. Représenter une machine dynamique sous tous les angles, avec des dièdres divers (ailes, empennages, etc.) n’est pas à la portée du premier venu. Même des grands noms de la BD s’y sont cassé les dents. Bergèse et Loutte, eux, y arrivent parfaitement. Et pour les connaisseurs de la chose aéronautique et amateurs de BD, leurs dessins d’avions sont un plaisir. Grace à eux, les Fans de B. Danny et de Tanguy & Laverdure ne sont plus orphelins.
Une très bonne série, un peu dans la veine des Blake et Mortimer (et pour moi c’est un sacré compliment). Le scénario est solide, servi par un dessin parfaitement maîtrisé, même si un tout petit effort reste à faire sur le découpage, et en faire ainsi une excellente série. Je souhaite de nombreux tomes d’Allan Mac Bride.