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Un futur proche très noire et ironique, qui rappelle Soleil vert ou les délires de Brunner avec des dessins dont l'extrait rend mal la qualité.
Ecologie, pollution.... ça sent bon les années 70 / 80 mais ça reste d'actualité.
Comme quoi, on peut faire une bonne histoire en 46 pages, et ne pas attendre pendant 10 tomes une hypothétique fin.
Une très bonne série sur l'univers carcéral, surtout les 3 ou 4 premiers tomes, ensuite le personnage principal sort de taule et c'est moins percutant.
L'humour est bien noir, les dessins parfaits (sauf les couleurs).
Ortiz est toujours aussi bon et je regrette que ce dessinateur soit oublié par les éditeurs aujourd'hui.
Si vous voulez du Oz (la série télé) en bd, c'est à lire.
Suite et fin de ce chef-d'oeuvre.
Les personnages évoluent à tous niveaux, vieillissent ou meurent, et tout ça devant les yeux ébahient du lecteur devant tant de virtuosité graphique et narrative.
Si un récit de fantasy peut être considéré comme réaliste dans son traitement, c'est bien Laiyna.
Un conte extraordinaire que nous donne les spécialistes Dubois et Hausman, si vous voulez être ému par des fées, des nains ou vous plongez dans une ambiance moyen-âge réussie, cette série est une merveille absolue.
Du niveau de "L'oiseau du temps" ou des "Légendes des Contrées oubliées", mais attention, y'a pas l'humour (lourd) de Lanfeust, chacun son truc... ici c'est du sombre et du cruel.
Un noir & blanc toujours aussi superbe, mais la narration gagne en fluidité par rapport à la première intégrale.
Les 2 nouvelles inédites que Comics Usa n'avait pas publié sont aussi un plus.
A lire si on veut voir New-york sous les eaux et des dinosaures bien méchants et surtout bien dessinés, bref, de la série B haut de gamme.
Pas d'intellectualisme déplacé dans cette série, juste de l'aventure avec des personnages attachants et un souci écologique qui ne fait pas de l'homme l'espèce dominante...
Un univers original, sorte de prohibition futuriste, des gags absurdes et hilarants, et des idées subversives sur la société en général, dont John Wagner est coutumier avec son Judge Dredd.
Les dessins d'Ezquerra tiennent la route, notamment par son souci du détail, et tout s'enchaîne à merveille.
Sympathique adaptation d'un des romans de la série Lucky Starr de Isaac Asimov, série de romans destinée aux enfants.
C'est une enquête sur fond de space-opera, ça sent la science-fiction populaire à l'ancienne et les dessins sont en parfaite adéquation avec cette histoire de cultures contaminées sur Mars, sans oublier le souci écologique, les villes futuristes à l'ancienne, etc...
On a aussi droit à un perso à l'effigie de Coluche.
Dans la même série des Lucky Starr, il y a aussi l'album de Fernando Fernandez nommé *Lucky Starr - Les océans de Vénus*, qui possède un dessin plus moderne mais une aventure moins intéressante.
Quel plaisir de voir du Bisley en n&b, une raison pour lire cet album qui ne fait pas dans la dentelle.
C'est une parodie de "Pour une poignée de dollars" de Sergio Leone qui voyait Clint Eastwood arriver dans une petite ville et s'immiscer dans la vie de 2 bandes rivales pour les monter l'une contre l'autre dans le seuk but de récupérer de l'argent au passage.
Dans la bd, Clint est remplacé par une bimbo qui se balade presque nu pendant tout l'album et qui affronte le gang des vampires et celui des zombies, bref c'est pas très fin mais c'est réussi si on aime l'absurde et le style du dessinateur.
La planche illustre bien les défauts de l'album, les dessins sont alléchants, et le texte est sous forme de pavé, surplombant les cases.
Malheureusement j'ai vite déchanté, le texte ralenti l'action en étant trop descriptif et est parfois même sans lien avec la case qu'il est censé accompagner.
L'histoire... un catalogue de poncifs du genre avec le gros barbare qui va sauver sa bien-aimée, on renonce vite à comprendre le pourquoi du comment et on se dit que finalement (malgré un à priori positif sur le dessin au début) les couleurs sont aussi mauvaises que le texte, il reste donc pas grand-chose.
Des histoires courtes macabres avec une chute plus ou moins réussies dans le droite lignée de revue comme Vampirella ou Fantastik, l'intérêt vient surtout du dessin n&b de Heath tout bonnement grandiose, que ce soit paysage de guerre, montagnes enneigées, plaines africaines ou les détails sur les persos, c'est superbe !!
On peut regretter qu'un tel auteur soit inconnu chez nous, car cet album-ci est le seul traduit dans nos contrées.
(la planche de la bel n'est pas de lui).
Cette édition noir et blanc rend justice au dessin de Schultz, une science-fiction débridée avec dinosaures, futur lointain et civilisation humaine vacillante. Le tome 2 devrait réparer l'erreur de Comics Usa et publier la fin.
Chronique provinciale qui met en scène un idiot du village, dans le premier tome, il gagne à un jeu télé, dans le deuxième, il découvre un site archéologique.
C'est une bonne satire sur la connerie humaine humaine en général, et le pauvre Arthur en voit de toutes les couleurs, les dessins sont honnêtes sans plus mais le point fort des albums n'est pas là.
Un recueil d'histoires fantastiques de Charles Vess, des contes venus de différents horizons mis en images de façon magistrale par un maître du noir & blanc et scénarisé par Neil Gaiman et Jeff Smith entre autres.
Pour qui aime les contes avec la violence et la tendresse qui les caractérisent, c'est indispensable.
Le théme traité est délicat, le traitement des auteurs est intéressant, cependant le manque de lisibilité des dessins m'a empêché d'apprécier l'ensemble, en roman ça m'aurait convaincu beaucoup plus.
Un album qui part comme un road-movie sauce science-fiction et qui se révèle plein de surprises.
Kokor fait passer les émotions simplement avec un dessin élégant.
Un album méconnu qui intéressera tous ceux qui aiment Will Eisner car il y a quelques ressemblances dans la narration.
Recueil d'histoires courtes des débuts de Bilal dans Pilote, plein de bonnes choses pour qui aime Lovecraft et le graphisme torturé de l'auteur, sans oublier pas mal d'humour.
Très bon polar où des tueurs à gages s'affrontent dans des arènes pour "amuser" des milliardaires.
Le dessin de Ranson avec ses tons brumeux est parfait pour relater une histoire et Wagner nous crée un bon suspense avec les affrontements des tueurs en pleine ville et surtout une chute finale surprenante.
Corben dans ses travaux récents s'affuble malheureusement du mauvais Azzarello, l'ambiance crée par le dessinateur est pourtant réussie et ce polar se lit tout seul.
Une merveille de Bilal avec un dessin à la Moebius et un scénario dont Dionnet a le secret.
Un classique de l'homme contre la machine.
Les nouvelles couleurs donnent une deuxième jeunesse à l'album, mais il vaut mieux se trouver la deuxième édition ( en souple ) , qui possède un quatrième de couverture expliquant la genèse de l'oeuvre et les différentes influences de Dionnet.
Le grand Fabry met en scène des vikings zombies envahissant Manhattan.
Thor prend une belle raclée et fait appel au Doc Strange.
Très parodique, ce one shot est aussi très bourrin, mais les dessins sont admirables ...
Superbes histoires courtes des plus grands dessinateurs américains : Wrightson, Corben, Wray, Bolton, Windsor-Smith, et bien d'autres...
Des thèmes du registre fantastique ou l'humour noir est omniprésent.
Le recueil " Zombies " est sans doute le meilleur.
Le grand dessinateur Bolton livre ici des histoires courtes sur des thèmes variés.
Celle des sirènes est à lire absolument. Il est bien dommage que plus personne ne traduise cet auteur.
Un bon album de fantasy américaine, bien supérieur à la surproduction de l'éditeur Soleil. Malheureusement, la traduction s'est arrêtée là et on ne suivra la suite que si on maitrise l'anglais...Ce seul tome dispo était pourtant bien.
Des petites fables sur les rapports hommes-femmes. Le premier recueil est bien meilleur que les suivants. Carlos Gimenez a fait également "Paracuellos" ou il raconte sa jeunesse sous Franco, moins drôle mais tout aussi intéressant.
Les deux premiers tomes sont des merveilles, ensuite ça se gâte sérieusement.
Le départ de Ledroit
Les deux premiers tomes sont des merveilles, ensuite ça se gâte sérieusement.
Le départ de Ledroit au tome 5 confirme cette baisse d'intérêt.
Quels débuts pourtant !