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Je suis tout à fait d'accord avec l'auteur de la chronique. Autant les deux premiers tomes de l'Adoption m'avaient séduit, autant celui-là m'a déçu : comment envisager un accueil d'enfant adopté aussi mal que dans cette famille ? Cet accueil est tellement inadapté et maladroit qu'il passe pour bien trop irréaliste, voire absurde.
Une production que je trouve en-deçà d'autres BD western actuelles comme Undertaker, Texas Jack - Sykes, Jusqu'au dernier ou autres Stern.
Les deux premiers tomes ne m'ont pas séduit, je ne continuerai pas. Mais jugez par vous-mêmes !
Avis valable pour les 3 premiers albums.
Un triptyque distrayant servi par de beaux dessins. Je lui fais néanmoins quelques reproches.
1. Le dénouement des enquêtes est attendu, sauf peut-être pour le tome 3.
2. On n'a pas l'impression que notre équipe de détectives serve à grand chose. Ils n'arrivent souvent que trop tard, pour constater les crimes plutôt que les empêcher.
3. Malgré une pagination plus importante qu'une BD classique, on ne prend pas vraiment le temps, à mon sens, de vraiment connaître les personnages secondaires. Un des inconvénients de passer d'un roman à une BD, je suppose.
Un de mes coups de cœur absolus... Un vibrant plaidoyer politique, une déclaration d'amour à la montagne et à la vie sauvage, une histoire poignante. Le tout servi par des dessins exceptionnels. Comment y rester insensible ?
Je n'y suis pas parvenu et vous invite à faire de même. La BD de 2023, pour moi.
WAW. Quel coup de cœur ! Dès les premières planches, j'ai été happé par les dessins sublimes de F. Peynet, que je découvre avec cet album : quels jeux de lumière, quels jeux de couleurs ! Ça fait longtemps que je m'étais plus arrêté, comme je l'ai fait, de longues minutes sur les aquarelles de cette BD, à admirer les écumes des vagues, les ombres, les végétations, rendues magiques par cette lumière.
Le scénario n'est pas en reste. Je connais différentes versions du mythe : celui-ci est d'une originalité et d'une profondeur intéressantes, jusqu'à la dernière planche.
Je ne pourrais que trop conseiller cet album merveilleux. Et mon prochain passage en librairie me verra immanquablement acquérir "Astérios", des mêmes auteurs.
Cette BD s'est un peu trop vite achevée à mon sens, je suis resté sur ma faim... Je trouve que la relation entre le postier et la baleine aurait pu être plus approfondie et déboucher sur des réflexions plus poussées sur l'écologie, la poésie ou le rapport aux livres.
Même si ça reste une histoire intéressante à la fois pour petits et grands, servie par de jolies aquarelles.
Chouette album, qui illustre à quel point le sexisme est partout dans nos sociétés (langage, mentalités et même... urbanisme !).
Intéressant et bien documenté, ce livre pousse à la réflexion sur nos pratiques sociales.
Note : 3,5/5.
Clairement un ton en-dessous des deux premiers tomes...
Qui m'avaient pourtant bien fait rire. Pour les fans absolus donc.
Pour moi moins indispensable que ses chroniques de voyage (Shenzen, Pyongyang, Birmanie, Jérusalem, ...). Intéressante plongée dans le monde de la fabrication de papier et dans la jeunesse de l'auteur, mais pas un coup de cœur non plus.
Des trois one-shots que j'ai lus de ZEP (avec "The End" et "Un bruit étrange et beau"), c'est mon préféré, de par la thématique abordée : la dépendance intellectuelle et cognitive de l'humain augmenté à la technologie, dans une sorte d'utopie dystopique. On comprend bien le revers de la médaille de l'hybris futuriste.
Cote : 3,5/5. Dans le sens entre "Bon album" et "À lire absolument" - ce que je n'irais pas jusqu'à affirmer pleinement.
Ouf, les Vieux Fourneaux sont de retour en force ! Après un tome 6 que j'avais trouvé décevant, Lupano nous a concocté une histoire qui dénonce à tour de bras, sans que le scénario soit décousu et surtout sans être caricatural. Les problématiques sociétales évoquées sont traitées sans manichéisme, dans toute leur complexité. Une vraie réussite donc !
Un album plein de bienveillance sur un jeune homme qui fait merveille en tant que... danseuse, dans la mouvance actuelle des albums féministes et pro-LGBT+.
On suit avec une certaine tendresse les personnages, dont ce Rose, qui donne à l'album ce ton rouge/rose dominant assez réussi. Pas d'antagonistes ici, si ce n'est le conservatisme sociétal qui menace en dehors de ce petit monde qu'est le cabaret.
Une lecture plaisante (à laquelle j'aurais mis 3.5 si ça avait été possible).
Recommandation de mon bibliothécaire, cette BD ne m'a pas grandement enthousiasmé ni de par son personnage principal (pour lequel on n'est pas amené à concevoir beaucoup d'empathie), ni pour le scénario, ni pour les dessins. À chacun ses goûts...
À cette fiction sur les Îles de la Désolation, j'ai de loin préféré le réalisme de l'album de Lepage.
Anticonformiste ou inconséquent ? Chacun se fera l'avis qu'il veut sur ce couple détonant. Les auteurs ne prennent pas parti en le rendant attachant et désarmant tout à la fois. Puis le tableau s'assombrit, et on commence à saisir le drame qui enveloppera l'enfant du duo.
Histoire plaisante, mais pas inoubliable.
Je rejoins plutôt Erik 67. Des mêmes auteurs, j'ai aussi préféré de loin "Peau d'Homme". Le scénario, certes original, est ici moins entraînant. Et le dessin moins convaincant également, avec des couleurs par trop sombres (certes en adéquation avec l'histoire).
Livre très intéressant, divisé en plusieurs parties ainsi que l'expose Erik67 dans le commentaire ci-dessous.
Le parti pris anticapitaliste est résolument assumé et ne souffre, à la lecture, d'aucune contestation. Le propos est bien expliqué, avec pédagogie et précision.
Pourquoi seulement trois étoiles dans ce cas ? En raison des dessins, vraiment trop laids. Critère essentiel dans une bande dessinée, on en conviendra.
On retrouve avec plaisir les personnages laissés au tome 1, au centre desquels cette irréductible habitante du front de mer dont l'honnêteté brute fait le charme et l'humour de la BD.
J'ai trouvé l'histoire un peu plus tirée par les cheveux, tant les différents rebondissements m'ont paru un peu gros.
Même si je n'ai pas trouvé cette lecture indispensable, j'ai quand même passé un bon moment, d'où cette cote.
Pour moi, le principal défaut de cette série est les armes à feu. Or celles-ci constituent le fil rouge du récit ! Les invraisemblances les concernant sont légion : entre l'absence de recul pour les tireuses (quand bien même une Artilleuse tire avec une mitraillette), les munitions apparemment infinies ou encore le fait que les balles adverses (pourtant nombreuses) semblent toujours éviter les héroïnes, sauf quelques légères blessures dont elles récupèrent en quelques heures...
Attiré par la chronique laudative de BD Gest et un avis de mon libraire, j'ai pourtant été quelque peu déçu d'avoir acheté.
L'histoire est originale et les dessins de Vallée fidèles à lui-même, mais je n'ai jamais été emporté. Le tout se finit un peu vite, et on reste sur un goût de trop peu.
Assez déçu par ce premier opus. On commence par un combat entre ninjas des neiges dont on perçoit mal la finalité et qui est traîné en longueur.
On termine avec un autre combat entre ces ninjas des bois et les deux-trois soldats qui gardent un immense trésor royal (vraisemblance bonjour).
Ne parlons même pas de ce qui me paraît être une incohérence historico-technique : ces épées et flèches qui rentrent dans des cottes de mailles comme dans du beurre... Après tout, je ne suis pas spécialiste.
Autant j'ai apprécié le tome 1, autant celui-ci m'a déçu...
Certains gags sont trop attendus, d'autres pas très drôles.
Le cow-boy principal arrive au bout de sa caricature.
Préférez le tome 1 ainsi que Z comme Don Diego !
Une lecture saine et amusante sur la méthodologie scientifique, les biais cognitifs, etc. A mettre entre toutes les mains !
Une des meilleures séries de ces dernières années.
Une histoire passionnante, des dessins exceptionnels.
Tous les amis auxquels j'ai prêté la série ont adoré.
N'hésitez plus !
C'est avec cet album que j'ai découvert Emmanuel Lepage. Ce fut un coup de foudre instantané : certaines de ses planches abolissent la frontière entre BD et peinture tant elles ont un souffle presque épique. Et c'est le cas de cette Odyssée revisitée.
Sombre et lumineuse, poétique et épique, tempétueuse et douce, cette histoire nous fait voyager à travers les mers et les siècles, pour un résultat à proprement parler époustouflant.
Vous ne serez pas surpris d'apprendre qu'il s'agit là d'une de mes BD favorites de tous les temps.
Effectivement, on retrouve l'humour décalé et déjanté d'un Fabcaro, mais dans un style propre toutefois.
Personnellement, appréciant le deuxième degré et le mauvais goût, ce fut une très belle découverte !
Un petit peu moins drôle que le premier, mais on appréciera quand même cet humour décalé, absurde et parfois de mauvais goût (mais ce n'est pas un défaut !).
Comme les disent les autres commentaires, cet album est nettement en-dessous des autres. Les personnages monolithiques ne sont pas complexes et n'expriment qu'une émotion : Pierrot râle, Antoine est excité et Mimile est mystérieux.
L'intrigue secondaire d'une ancienne romance de Pierrot n'apporte pas grand chose.
Cet album ne m'aura pas vraiment fait rire. Mais à défaut, il m'aura fait un peu réfléchir. On retrouve en effet un des ingrédients de la série : dénoncer le capitalisme et ses ravages écologiques.
De très beaux dessins, qui viennent servir une histoire distrayante.
Mais tout de même, ce scénario n'est qu'une adaptation en BD du programme de S. Popovic dans "Comment faire tomber un dictateur quand on est seul, tout petit, et sans armes".
Le vieux rat ne fait basiquement de répéter les propos de ce livre.
J'attends donc avec impatience les tomes suivants, qui devront pour moi faire preuve d'une réelle originalité.
Un scénario plus convenu que celui du tome 1, qui était plein de surprises et de rebondissements, avec une réelle originalité.
Mon côté historien m'a de plus fait regretter quelques absurdités de combat : des épées qui percent des armures comme du beurre, des soldats qui ne pensent pas à utiliser leur bouclier pour se protéger de flèches, ...
Les dessins et couleurs restent aussi percutants cependant.
Un album (pratiquement) tout en nuances de gris, particulièrement réussi dans les scènes nocturnes. Cette tonalité sert le scénario, consacré aux dangers de la migration et aux difficultés de l'intégration, sujets fort peu .
Malgré tout, j'ai un goût de trop peu que je ne saurais entièrement expliquer.
Si l'album commence avec de belles scènes innocentes, ce n'est que pour mieux laisser la place à un malaise croissant, une spirale malsaine dont l'issue paraît inévitable.
Tout ça est rendu de fort bonne façon et nous invite à mener une réflexion sur l'intolérance et le sectarisme, sur le phénomène d'hystérie collective et l'abandon de toute réflexion rationnelle qui s'ensuit.
Je me suis beaucoup amusé en lisant cet album.
Ne connaissant que très légèrement les Valérian originaux, cela m'a donné que davantage envie de les découvrir.
L'histoire est amusante en même temps qu'elle est surprenante, pleine de rebondissements à chaque fois inattendus. En plus, les dessins de Lauffray sont superbes.
Que demander de plus d'une BD ? Je lui attribue donc un 5/5!
Une façon d'entrer en philosophie de façon ludique et intéressante !
Voilà qui devrait intéresser tout le monde et inciter plus d'un à ouvrir un livre de philosophie !
Fan de BD historiques, j'ai été extrêmement déçu par cette série, au point que je l'ai rendue (fait unique !) au libraire qui m'en avait vendu les mérites.
Toute l'intrigue tourne autour de la capacité du pape à sodomiser ses alliés et trucider ses ennemis... Du grand n'importe quoi !
Je suis du même avis que Mikelman : très déçu par ce 5e album...
J'avais été passionné par les vidéos et les premiers albums, mais les sujets de celui-ci m'ont moins attiré et tournent bien trop autour de la ceinture, comme pour attirer le chaland...
Un véritable indispensable, un des plus beaux albums qui m'ait été donné de lire. Quand poésie et mer se rencontrent sur de fabuleux dessins N/B, le résultat invite à l'évasion, au rêve et au voyage...
Comme il était un coup de cœur absolu de mon vendeur de BD, j'ai immédiatement acheté cet album.
L'histoire est originale, l'angle pris sur le Marsupilami très intéressant. Mais je lui ai trouvé un manque de densité, de contenu (sans doute pour laisser place à la création d'une atmosphère sombre très réussie). L'histoire ne m'a tellement emballé non plus : un peu tirée par les cheveux sans doute.
Si l'album n'atteint pas les sommets du "Port des Marins Perdus" (dont il est le "spin-off"), un des mes coups de coeur absolus, l'histoire est néanmoins très (trop ?) jolie et les personnages attachants.
Notons que les deux intrigues ne s'achèvent pas et que cela appellera une suite, où il y aura davantage de mer et de navires, espérons-le (cet album était exclusivement "à quai").
Moins percutant que "Shangri-La", que j'ai trouvé exceptionnel.
Attention, il faut accrocher aux dessins, dont je suis personnellement moins fan.
Si on sait à quoi s'attendre, on ne peut être déçus : les albums de Prugne attirent davantage par les splendides aquarelles, véritable célébration de la nature sauvage, que par l'histoire - que j'ai d'ailleurs trouvé ici moins prenante que dans ses précédents albums.
Feuilletez donc ce tome et si vous êtes portés par les dessins, n'hésitez pas !