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Pour l'instant la meilleure histoire de S&H que j'ai lu.
Son ambiance romantique et mystérieuse est très réussie, avec au centre du lac ce manoir mystérieux et ses occupants qui le sont tout autant... Les personnages sont tous marquants, même si le journaliste dont Sandy assure la survie est vraiment très bête et agaçant.
Le kangourou Hoppy sait réserver ses interventions pour le moment crucial : l'ultime planche.
Un aventure bien mouvementée... On y apprend notamment des rudiments de pilotage d'avion et un peu à fabriquer de la bière ! Quel héros ce Sandy ! Son courage force l'admiration (surtout celle des jeunes filles plus âgées que lui qui l'adorent et dont il ne cesse de sauver la vie) et il fait preuve d'un bel esprit de lutte contre le racisme.
Une trépidante aventure, avec de la gadoue comme Lambil sait si bien la suggérer. Le kangourou est utile, mais ses interventions restent presque dans les limites du vraisemblable. La poursuite du camion est vraiment une bonne séquence. Heureusement que les femmes de bandits sont moins corrompues que leurs époux et que les tueurs tirent sans précision.
Hilarante pour les vieux joueurs de jeu de rôle qui ont connus les balbutiements
de "Donjons et Dragons", la série devrait demeurer hermétique au profane.
Rebutante au départ, son économie de moyens fini par être attachante et ressort
comme une qualité, faisant de KDT un exercice oubapien savoureux.
Une uchronie sur fond de Croisades et de complexe d'œdipe. Des chevaliers
maniant aussi bien le sabre que le relvolver... L'arme suprême, le Gun Booster,
ne pouvant être manié que par les plus grands. Deux religions, des complots, des
intrigues politiques, des rivalités ancestrales, des amours contrariés, une mère
assassinée, des rêves troublants, une école de chevalerie...Au départ foisonnante
et semblant prendre son temps pour se developper sur une quinzaine de
volumes, l'histoire se clôt brutalement au tome 3. On devine que les auteurs ont
été amenés à conclure un peu hâtivement sans doute sous la pression d'un
éditeur peu emballé. Ainsi pour ceux qui auraient pu être séduit par l'univers et
s'attacher aux personnages, la lecture s'avérera de toutes façons décevantes. Les
autres lecteurs n'auront de toutes façons pas dépassé le tome 1.
S'adressant surtout à un public ado 'Metal Brain' est plutôt une bonne petite série
brassant de nombreuses références sans vraiment parvenir à les égaler (Blade
runner et K. Dick, Asimov, Ghost in the Shell...). L'histoire tourne autour de trois
thèmes : la prise de conscience des machines, la société fondée sur l'exploitation
et la légitimité de la révolte. Le crescendo dramatique du tome 3 est assez
entraînant.
Une bonne surprise quand on s'attend à lire une daube.
3 histoires de John Constantine dans ce recueil. Elles sont de tailles variées.
- La première, la plus courte, dessinée par Steve Dillon semble être le prélude à une histoire plus vaste, mais en fait non... Ou alors c'est pour plus tard.
Sympathique dans sa construction, avec deux conversations parallèles dans un bar.
- Un autre huis-clos dans la deuxième histoire,la meilleure, même si très classique. Un restaurant au bord de la route est le refuge de différents personnages fuyant une tempête de neige. Un meurtre et l'arrivée d'une bande de gangsters dont l'un est blessé exacerbe un climat déjà tendu à cause d'une légende local...
Une ambiance et un cadre très polar. Bien mené. Les dialogues sont bien senti. Le dessin de Frusin manque parfois de subtilité dans son rendu des expressions. Ainsi Constantine est bien trop souvent figé dans un sempiternel sourire sardonique, du meilleur effet la première fois, mais lassant au bout des deux recueils Toth.
- la troisième histoire est une potacherie mise en images par Guy Davis. Elle nous replonge dans le Londres punk de la jeunesse de Constantine. Bière, pipi, arnaque et artefact magique. Un mystérieux personnage est entrevu...
Même si j'aime bien Corben et Steve Niles, il me faut bien reconnaître que cet album n'est pas terrible et plutôt dispensable.
L'histoire est ultra-basique et le développement psychologique des personnages est soit primitif soit incohérent (le shériff).
La mise en scène de Corben comporte une bonne proportion de réussites, mais certains effets tombent à plat (la double planche avec le corps de l'ours qui tombe sur la bagnole : beurk ! Certains effets d'éclatement des cases : re-beurk).
C'est donc une série B pataude et sans surprises. On pouvait attendre mieux de ces auteurs et de l'utilisation d'une légende américaine.
Waaaooouh !
De cet album je n'attendais pas grand chose. Le concept me paraissait foireux et Paul Pope m'avait tout l'air d'un poseur prétentieux après que j'ai lu son Escapo vide et vaniteux. Seulement voilà... Dès les premières pages et son découpage rythmé, j'ai été englouti dans la lecture. C'est une excellente aventure, orientée action. Une vraie aventure de Batman, pas si futuriste que ça en fait. C'est haletant. Ce qui rend les péripéties si palpitantes, c'est que contrairement à l'habitude, on a vraiment peur pour notre Super héros. Il est la proie pendant toute la première partie du récit... Il est blessé et les ennemis sont balaises...
Si certaines cases se révèlent dures à déchiffrer, l'ensemble se lit avec fluidité. Paul Pope possède un graphisme singulier et une vraie vision des textures et des attitudes. Son découpage est jouissif.
Un livre assez déroutant. Plusieurs histoires écrites pour une revue japonaises mettent en scène les rêves d'une petite fille où elle retrouve un colosse, qui est une sorte de père virtuel. Beb Deum tente d'y exprimer toute sa tendresse paternelle, ce qui n'est pas évident avec son style graphique aux antipodes du chaleureux. Un travail plus spontané que ce qu'il a fait auparavant, un peu moins glauque et un peu moins réussi.
Comme beaucoup j'ai trouvé cet album un peu baclé. Un point de départ distrayant, des séquences un peu expédiées et une fin assez prévisible. On sent que le scénariste est un peu à l'étroit dans le format et dans le moule du concept de la série. Il se sort tout juste des contraintes sans déshonneur.
Dommage, il y avait matière à bien mieux... on peut imaginer qu'un Garth Ennis aurait fait beaucoup plus fort avec le concept de départ.
Ah oui, c'est un très bon livre autobiographique.
Ludovic Debeurme est sans pitié avec lui-même. Il couche sur ces planches ce que tout le monde aurait tendance à refouler. C'est impressionnant. Les différents stade des âges "ingrats" et "bêtes" sont bien exposés !
En plus c'est très bien dessiné et l'édition est belle.
Imaginez une série noire en BD qui dresse un panorama des Etats-Unis depuis les seventies, ou du moins un panorama de ses marges les plus dérangeantes. Le tout impeccablement découpé, dialogué avec tranchant, dans un noir et blanc de circonstance. Un panorama fait de dizaines de nouvelles se situant à différentes époques, dans lesquelles on recroise des personnages à différents âges. Imaginez que cette œuvre parle de la façon dont la violence contamine la société, comment elle marque les gens et les destins. Imaginez une œuvre digne de la cruelle concision d’un William Irish, de la verve d’un Tarantino, et de la vigueur d’un Scorsese.
Malheuresement Balles perdues est une série maudite en France. Commencée en 1995 par un encore jeune artiste américain, David Lapham, cette série noire a déjà connu deux débuts de publication par chez nous. La première par Dark Horse France en 1996 sous le titre original de Stray Bullets (2 volumes allant jusqu'au #7 américain), la seconde par Bulle Dog en 2001 (2 volumes allant jusqu'au #6 américain). Ces deux maisons ayant mis successivement la clé sous la porte, les quelques lecteurs français en sont restés à l’épisode 7 (sur les 32 publiés aux Etats-Unis).
Ne vous fiez pas à l'abominable maquette de Bulle Dog et à son format zoomé idiot : le contenu est réellement excellent.
Qui reprendra le flambeau ???
Une belle couverture et un intérieur moins excitant. Récit distrayant dans lequel on sent la volonté de rendre hommage aux comédies romantiques américaines de l'après-guerre, mais le résultat est à mon goût trop léger et superficiel. La chronique de moeurs ne vole pas très haut et les clichés sont nombreux. En France ça aurait donné un album de Martin Veyron, ce qui aurait été plus roboratif et plus incisif.
Un détective privé, ex-flic à la dérive, enquête sur les traces d'un serial killer... Grosses ficelles scénaristiques et situations convenues. L'emballage est agréable et les dessinateurs s'en sortent plutôt bien, donnant une vision réaliste d'une ville d'Italie qu'ils semblent bien connaître. L'histoire n'est pas un one-shot. A la fin, Nero semble avoir trouvé les coupables, mais il n'est pas au bout de ses peines. Le livre se lit sans déplaisir ni excitation. Il faudrait lire l'épisode suivant pour s'en faire une idée plus précise.
Dans un futur assez rétro, un tueur (Al) est le gendre d'un chef mafieux. Ce dernier exige un petit fils. Hors sa fille ne veut pas être enceinte. Le pauvre Al est donc obligé de porter l'enfant. Il en résulte une comédie franchement réussie. Le gros dur enceint et son conseiller attentif à ce que la grossesse se déroule bien forme un tandem irrésistible. Le créateur de Judge Dredd nous brosse ici des situations cocasses, des dialogues irrésistibles et des personnages marquants. Le dessin de Ezquerra, avec sa mise en couleurs à l'encre, est lisible et frais, empli de détails savoureux. Un bon moment avec une oeuvre originale qui ne se prend pas au sérieux.
Les volumes 43, 45 et 47 de la collection Superhéros de Glénat /comics USA regroupent les numéros 18 à 20 et 26 à 28 des New Mutants. Nous pouvons grace à ces reliures découvrir en français de nombreuses planches qui n'avaient pas été sélectionnées dans la revue Titans.
Ces donc deux aventures distinctes qui sont ici compilées :
- Dans la première les nouveaux mutants sont confrontés à l'Ours fantôme qui hante la mémoire de leur leader cheyenne Dani Moonstar. Ce dernier est la cause de la disparition de ses parents. Il entraîne toute la troupe dans une dimension parallèle. Périlleux.
- La seconde aventure met en scène les Nouveaux mutants, accompagné par le professeur Xavier et Moira, aux prises avec le fils caché de Xavier : le mutant qui sera nommé Légion... Une aventure à l'intérieur de son cerveau dérangé et schizophrène.
Claremont est encore ici au sommet de son art (nous sommes en 1984) et ses histoires délirantes ombrées de psychanalyse et de chamanisme sont magnifiées par le dessin de Sienkiewicz et ses mises en pages audacieuses.
Pour tout amateur des X-men ces volumes sont incontournables.
(avis concernant l'ensemble de la série) Voilà une histoire bien agréable à lire, emplie de personnages charismatiques qui s'efforcent de ne pas faire ce que l'on attend d'eux. Une partie d'échecs psychologique dont l'enjeu est la vie ou la mort des adversaires. La violence physique est très peu présente, contrairement à l'adaptation cinématographique. D'ailleurs il faut signaler à tous ceux qui ont déjà vu le film coréen qu'ils peuvent lire le manga sans craindre de s'ennuyer : l'histoire, son déroulement et sa conclusion sont nettement différents.
Un bon western sauvage peuplés de personnages déments. Le dessin de Buzzelli, accentuée par des couleurs psyché-criardes, renforce le caractère cauchemardesque de l'histoire. Pas le meilleur Buzzelli, mais assurément un western singulier par sa noirceur abrupte.
Ce manga est un one-shot. Il offre une lecture distrayante mais sans grande surprise : le récit est très en phase avec ce qui marche ou a déjà marché... On y trouve ainsi beaucoup de Matrix, ce qui désormais manque beaucoup d'originalité. Reste que les personnages sont attachants. L'ouverture sur la jeune fille au foyer se posant des questions sur sa condition laissait présager une orientation plus psychologique qui, si elle avait été poussée, aurait été profitable à l'histoire. D'un strict point de vue distractif et de mécanique narrative, le dénouement de l'action semble un peu précipité dans le dernier quart.
Une île était déserte avant l'arrivée d'un professeur amnésique. C'est parfaitement loufoque. Les protagonistes sont des moules à forme humaine créés par inadvertance par le professeur. Les animaux parlent. Patrick renverse une filtre d'amour et du coup c'est une mouche qui tombe amoureuse de lui. Un poisson rouge trop intelligent part chercher l'amour ou fond de l'océan... Cet album cumule les situations absurdes et pourtant il se lit avec plaisir et facilité. Sattouf a le chic pour écrire des dialogues hilarants. L'oeuvre est malgré tout empreinte d'une certaine poésie mélancolique fort plaisante.
Un western pendant la guerre de Sécession. Une histoire qui partait bien, servie
par un trait souple et vif. Des personnages intéressants (un peu réunion de
minorités ethniques mais bon, la rencontre entre un chinois et un indien engagé
dans l'armée ça a du potentiel narratif, Chinaman n'existait pas encore à ce
moment-là). Hélas, c'est "à suivre..." et il me semble que la suite n'existe pas.