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Le must du pirate pour un collector.
Imprimé sous le manteau par une bande de fondus du petit Belge à la houppette le plus célèbre du monde.
Distillé au compte goutte dans le cercle restreint des étudiants de polytechnique de Montréal, à l'occasion du 20ème anniversaire du journal Le Polyscope … c'est un des pirates les plus recherchés et presque un mythe.
Bienheureux les détenteurs de cette petite merveille, les portes du château de Malinsourt leurs sont ouvertes !
Qui a déjà humé l'air des hauteurs, le frais de la vie, là ou les oiseaux se la font belle en planant … appréciera le bonheur de l'altitude et des neurones aérés de l'auteur.
Ce type est un génie absolu, là ou il va on plane avec lui.
Agréable à lire mais pas non plus la perle cosmique du siècle.
Un album qui s'oublie aussi vite qu'on l'a lu.
Ayant lu les 2 le même jour, autant le Jacolass est imprimé nettement dans mes souvenirs, autant celui ci … podzob, rien de rien si ce n'est la plastique de Laureline.
A relire donc pour imprimer la bande passante.
Deux ronds, cinq traits cela ne fait pas une BD.
Dessin niveau 5 ans mais dessiné avec le pied, scénario yaourt avarié, histoires débiles.
Pas drôle, même pas absurde.
Pourtant avec un tel sujet il y avait de quoi faire, mais quand c'est mauvais … c'est mauvais.
Tronchet … va te coucher.
Le niveau Zéro de la BD, aussi mauvais que l'émission.
C'est ringard à souhait,.
Sûr que ça bloque le développement intellectuel.
Le seul point positif, c'est un bon laxatif.
Donc sa place est dans les toilettes, comme papier d'essuyage.
Le véritable vrai voyage inouï dans la matière de l'espace du temps, là ou sommeillent les rêves spongieux de nos cerveaux ramollis.
A lire tout habillé sous la douche, les jours de pleine lune, en mâchant bien fort la pâte dentifrice qui suinte du plafond
Drylander, le suppositoire du bonheur.
Page après page Cartier nous promène dans l'irrationnel et la bêtise à l'état pur.
Un condensé de loufoquerie.
Un vrai régal … avec les doigts dedans et les oreilles autour.
Oyez oyez manants, Damien vous attend avec ses gros ciseaux.
Celui qui n'a pas lu " Le Pigeon Maltais " et " Epices et Love " ne connait pas toute l'étendue de l'absurdité.
Cartier, au sommet de son Art, nous colle des étoiles plein les yeux, des confettis plein la bouche et de la guimauve dans les oreilles.
Le pire c'est que c'est bon.
Le titre parle par lui même.
Toujours aussi beau, toujours aussi bon, à en gerber de plaisir.
Mais pourquoi les auteurs se sont arrêtés là ?
Messieurs … on attend la suite et un tome 4 depuis 17 ans … allez un effort, refaites nous rêver.
C'est beau, c'est bon, ça dégouline de partout.
De la BD comme on aime, sans restriction et sans modération.
Rien que la couverture est une œuvre d'art.
Bravo aux auteurs.
Le bonheur de lecture à l'état pur.
Jouissif, décalé, poisseux … à l'abordage que diantre.
On touche là au sublime, un tant soit peu qu'on arrive … comme disait si bien Coluche … à en gratter une sans toucher l'autre, l'érection est instantanée.
C'est bon … encore !
Après avoir lu et adoré le grandiose : Le Bal de la sueur et vu tous ces avis positifs sur Anita Bomba, j'ai voulu tester.
Bin c'est Anita la Bombe qui fait Pschitt !
Bof, bof et re bof, cela ne m'a pas tiré un sourire, ni une ride, ni une crampe, je me suis tellement ennuyé que j'ai décroché, ce qui est extrêmement rare.
C'est tellement " barré " que c'en est raturé.
Evidemment les coups et les douleurs ne se discutent pas, chacun à son niveau de compréhension, le mien n'a rien suivi ni compris, certainement pas à la hauteur de la situation.
Toujours aussi fun pour cette descente dans les égouts avec Lennox, Mose et la belle Dolores, le triumvirat de la loose.
Sans être transcendant, voilà un second album qui se lit comme on sirote une bière, avec le plaisir de se lécher les babines, voire les corones pour les plus souples.
A quand une suite ???
Bonne petite histoire traitée avec humour, sur le thème universel du looser chronique.
C'est léger, coloré, acidulé et ça colle au string comme un paquet de bonbon Kréma.
Vite, vite … passons la seconde.
Génialissime et délirant.
Comment dénoncer des choses sans en avoir l'air.
Eric et Julien c'est bien plus " Hot " que Jacky et Michel.
La nouvelle bible des cerveaux rétrécis surdimensionnés.
Bien ventiler le tabernacle avant de plonger dans cet océan d'informations aléatoires, car peu en ressortiront indemnes.
Que du plaisir.
Le petit ventre qui gonfle, les doutes, les remises en question, c'est trop beau la Vie !
Avec Max & Nina c'est notre propre vécu qui défilent sous nos yeux et on en redemande, c'est " La Série " qui nous rend humain !
C'est la Magie dessinée.
Un grand Merci aux auteurs.
Forcément on est tous passé par là, les émois, la rencontre, le cœur qui … Boum Boum … , les débuts de la vie à deux,, le désir, les mensonges … bref, la vie quoi.
Max et Nina c'est notre vie dessinée là, sous nos yeux émerveillés et gourmands. Encore, encore et plus fort !
Dodo et Ben Radis au sommet de leur Art.
Cela se lit comme on déguste une tartine de Nutella, en se pourléchant les babines, les crocs, le nez et partout ou ça coule.
Un pur bonheur !
C'est joliment raconté, agréablement dessiné et sans être la BD du siècle, on passe un réel bon moment à lire Mechanics.
Hernandez fait partie des talents qui ne sont pas assez mis en avant.
A découvrir pour ses héroïnes bien déjantées et l'univers barré ou elles gravitent. Un petit joubi.
Cette parodie du fils de Crom : Jérôme, la couille gauche de Tauride, cimmérien par nécessité et anti-zéro par excellence nous entraine aux confins de la bêtise … là ou c'est le meilleur.
Une BD pour tous les fondus du cerveau, les cramés de la bougie, les décapsulés du tabernacle et tous ceux qui aiment se mettre le coude dans le nez.
Du génie en hauteur, la vraie intelligence des alpages.
Qui n'a pas fait son CM2 ne peut comprendre et apprécier.
C'est bon à chaque page, à chaque case, à chaque bulle.
Du bonheur à l'état pur, comme un petit Gervais.
Grandiose. La Couverture m'a attiré, l'intérieur m'a subjugué.
Le dessin est splendide, avec beaucoup de choses à voir.
C'est riche et inventif, avec quelques clins d'œil à Don Lawrence et franchement, prendre un préretraité comme personnage principal, fallait oser.
Pari réussi, le Capitaine CulPoivré s'en frise les moustaches et nous avec. Coup de cœur assuré.
Autant la couverture donne envie, autant l'intérieur fait fuir.
Le dessin est du niveau classe élémentaire, les couleurs sont horribles et l'histoire niaise à souhait.
A la limite un lendemain de cuite, pour finir de vider l'estomac.
Tintin à la sauce Storm, un ravissement.
On tourne les pages sans s'en rendre compte, c'est de la bonne … de la grande … de la sublime bande dessinée, comme on aimerait en voir plus souvent.
A dévorer sans modération.
Oyez oyez bonnes gens, il serait temps de couper vos télévisions, ces déverseuses de mensonges, ces laveuses de cerveau dont la seule fonction est de nous rendre obéissant et soumis.
Réveillez vous, il est temps de ré ouvrir des livres, de ceux qui nous apprennent l'histoire, la vraie, comme celui ci et de se ré approprier son identité par la curiosité active de la lecture.
Ce livre devrait être remboursé par la sécu.
Encore un " Tortillas " d'or pour le duo Nury / Bruno, ce qui se fait de mieux dans la BD actuelle.
Une ambiance poisseuse comme le raisin sanguin qui coule.
Un pur délice pour le lecteur-vampire qui aime s'imprégner et boire l'histoire qui coule devant ses yeux.
A consommer sans aucune modération.
Grandiose.
Tout est beau, les lumières, les ombres, les contrastes, les formes, la sensualité sauvage de ces héroïnes.
Une page un tableau un monde un rêve.
C'est sincèrement beau et franchement bon.
Celui qui n'a pas les yeux qui pétillent devant cette Maestria visuelle aura besoin d'une petite révision chez son garagiste binoculaire, afin de décrasser la morve décrépitude de sa vision.
Olivier Ledroit dessine comme on respire, avec la majestueuse innocence de la spontanéité du naturel.
C'est là la véritable grandeur du souffle de vie : la Création
Ted Benoit c'est toujours du pur bonheur.
Propre et classieux étendard de la ligne claire, Ted est le digne fils spirituel de Rémi Georges et de son héros à la houppette.
Encore une série Soleil qui ne cherche que l'argent.
Histoire à ras des pâquerettes, dessinateurs différents sur chaque tome, les gars ne sont même pas investi par la flamme, les dessins sont fades et sans vie.
Tout ça pour sortir 5 tomes sur 2 ans.
Heureusement on me les a prêté.
Quand c'est mauvais c'est mauvais.
Zig et Puce c'est le retour du rêve en culotte courte.
Avant de savoir courir vite il a fallu apprendre à se tenir debout, c'est le b.a.-ba de notre déplacement et bien pareil , Zig et Puce c'est le b.a.-ba de la bande dessinée.
Un des premiers mécanismes de la machine à rêves.
Grandiose. Cette intégrale est une vraie plongée dans l'univers de Roudier : la préhistoire.
C'est beau, l'histoire prend aux tripes, les dessins sont sublimes, le dépaysement total.
C'est à travers de tel livre que la BD gagne ses titres de noblesse et s'affirme comme un art majeur.
S'il vous plait Patron Roudier vous remettrez une tournée ?
Du Saive pur jus, dans la lignée de son " Virage " mythique sorti chez Magic Strip.
Du loufoque, du non sens, avec en plus une galerie de personnages pas piqué des vers.
En commençant par Japhy, l'homme au sparadrap et à qui tout arrive et en passant par cette bonne " Je ne suis pas une fille facile " qui se tape un streap tease alors qu'on lui demande un stylo 4 couleurs.
Un bon moment de lecture, avec ces petits " tout " qui font un grand " rien ". A lire, relire ou découvrir. C'est sans gluten.
Un ovni dans la BD, mais quel ovni.
Un monde à lui tout seul, onirique et déroutant, des couleurs à la hauteur de l'imagination, du rêve et l'éternelle quête de l'amour.
Un moment de lecture à part, mais un moment de pur plaisir.
A lire, relire ou découvrir, ce serait tellement dommage de passer à côté ... sans même regarder derrière le miroir.
C'est la curiosité qui nous apprend.
Au Génie Pur. Arnon est au sommet depuis le départ de ses publications.
Décalé, inventif, impertinent, il a fait son monde et nous le fait partager avec émotion, rire et réflexion.
Je suis fan et en transe à chaque lecture.
Alice ... oh Alice ... ma soeur, ne vois tu point venir le doux souvenir de la sorcière ?
Une bluette pour ado attardé, public 6 à 10 ans.
Fan inconditionnel de Dodo depuis le début, cet album est une déception.
Dessins pour enfant, scénario hyper cliché ( le méchant président, les gentils ), dialogues pré-pubères, pas de décor, pas d'émotion, pas de rêve. Bof de chez Bof.
Un album pour ma petite soeur de 8 ans.
Et encore j'ai peur qu'elle s'ennuie.
Autant j'étais fan des 6 premiers, autant là ... bof !
La magie s'est envolée avec le temps, même le dessin en a pris un coup. Moins frais, moins gai.
Tout ce qui faisait la beauté de cette série : les personnages secondaires truculents, les situations cocasses, l'action rythmée à chaque page ... là plus rien.
Juste un long face à face pour remuer le passé, un huis-clos qui placé dans une nouvelle histoire aurait suffi de quelques pages.
Cela reste du Mauro Caldi mais comme dernier album pour l'instant, ça laisse un gout amer.
Les auteurs devaient avoir besoin de manger pour pondre un album aussi fadasse. Ils nous doivent une revanche.
On avait eu droit aux jumelles pestes dans la Baie des menteurs, voici les frérots belges et leurs combines à deux balles.
Cela part dans tous les sens mais c'est toujours aussi jouissif car tout est bien maîtrisé et travaillé en profondeur.
De la BD haut de gamme qui tamponne le cerveau.
On en redemande. Mauro ... encore.
Des belles voitures anciennes, des personnages bien fouillés, des situations à tiroir, pas de temps mort et ça fait mouche
De l'action à chaque page, on sent que les auteurs se sont bien amusés à le faire et c'est du bonheur à lire.
Pourquoi s'en priver.
De la BD comme on l'aime.
Toujours aussi bon et aussi efficace.
Des personnages secondaires avec de la profondeur et des situations cocasses, c'est bon et frais comme un diabolo menthe.
C'est la meilleure des ordonnances pour aller mieux.
Ici les jumelles s'en donnent à coeur joie et il faut le lire pour le croire.
De la BD avec un grand B comme bonheur.
La fabrique à rêves continue, ça donne envie de s'envoler.
Une galerie de personnages bien trouvés, attachants, attendrissants et bien travaillés : Mauro le gaffeur et ses chaussettes à damier, Gigi le bougon et ses mystères et l'arrivée de la belle " voleuse ".
C'est simple mais c'est efficace, de la grande BD.
C'est bon, c'est léger, ça aide à aller mieux et ça met de bonne humeur.
Ici pas de branlette intellectuelle, mais de la machine à rêver.
Le charme désuet de l'Italie des années 50 et des personnages attachants comme on en connait tous.
Bravo une grande et bonne série.
C'est pour des séries comme celle ci que j'aime la BD.
Simple, sans prétention mais terriblement efficace, cela se lit comme on boit du petit lait ... avec délectation.
Un must.
Voyage initiatique, rêve éveillé ... on débranche et on déguste.
Du pur bonheur pour qui aime s'évader, lire cet album c'est découvrir la liberté. Pas celle imposée par ces outils de contrôle et de propagande que sont télévision, tablette et portable ... non, celle qu'on se crée soi même dans son petit cerveau.
De la pure, de la vraie.
Ce livre devrait être remboursé par la sécu.
Re Bof. Pas mieux, pas pire.
On s'attendait à trouver le dessin en progression ... même pas.
L'histoire avance peu, c'est brouillon, approximatif et loin d'être jouissif. Les personnages sont peu travaillés, autant dans le dessin que dans leur histoire et profondeur.
On survole tout cela sans vraiment trouver un endroit ou se poser pour apprécier.
Après le Fast-Food la Fast-Lecture, une fois fini ça laisse l'impression d'avoir rien lu.
Bof bof bof. Ni transcendant, ni grandiose.
Le dessin est figé, sans finesse ( un visage peut changer de forme d'une case à l'autre ), l'histoire tient surtout par le rythme et l'action mais manque de profondeur et de vraisemblance ( par ex. l'attaque en pleine ville d'un hôpital au lance-roquettes par un type en moto, on se demande comment il est arrivé là ? On l'imagine aisément arrêté au feu rouge avec le lance-roquettes sous le bras ... ). Le postulat est foireux : subvention du FMI détournée par la mafia russe ... mais le FMI c'est aussi la mafia.
Cela se lit comme on ingurgite un Mac Do, on se dit que ça doit être bon, tout en sachant que c'est de la daube.
Un cran au dessus du premier. Encore meilleur.
L'univers carcéral, entre violence et folie, une plongée dans ses peurs. C'est sûr la lecture va laisser des traces mais c'est cela qu'on aime, qu'une histoire nous imprègne.
Totalement indispensable.
Trop fort et sans pitié. A s'en limer les canines.
C'est du jouissif pur jus, ça colle et ça dégouline.
Irrésistible et immanquable. A dévorer.
Grandeur et décadence de la folie de quelques militaires se prenant pour des dieux sur terre.
Un road-movie pédestre à travers le Niger, effacé de la mémoire collective, comme beaucoup des crimes et génocides perpétrés par l'armée française.
A lire absolument pour retrouver cette mémoire qu'on nous efface jour après jour, mensonge après mensonge.
Notre histoire n'est pas celle qu'on nous apprend mais celle qu'on nous cache . La Colonne lui rend hommage.
Comme quoi les goûts et les couleurs ... c'est chacun sa palette.
Je la trouve belle la couverture, c'est d'ailleurs ce qui m'a fait découvrir cet album.
Et belle découverte, une part de notre histoire cachée, mais on nous ment tellement sur notre histoire, une part de honte enfantée par le colonialisme, ce monstre hideux qui dévore tout sur son passage.
C'est sale, c'est méchant et on en apprend plus sur une partie de notre histoire dans ces 2 tomes, que pendant les cours d'histoire de l'école. Merci aux auteurs de nous ouvrir les yeux.
On le saura maintenant, Gazoline roule sans culotte et c'est un réel plaisir de la suivre dans cette aventure marijuanesque.
De partout ça gratte, ça démange, ça fume, ça donne envie de la rejoindre pour savoir enfin si la peau-léopard ... c'est tout doux ?
Sans être la BD du siècle c'est un bon petit délire qu'il faut savoir se faire au moins une fois dans sa vie. Sinon quoi ... ?
Dommage que cette série ne comptent que deux tomes, tellement c'est beau et intense.
Une aventure à cent à l'heure qui vire au carnage avec l'arrivée des romains dans la cité punique.
A lire absolument pour pas mourir idiot.
Excellent, de l'aventure historique drôle, mais aussi grave.
Du bonheur à l'état pur. Bien écrit, beaux dessins.
A recommander pour un grand moment de lecture.
On monte d'un niveau, toujours plus beau toujours plus fort.
Et on en redemande, c'est si bien fait.
Servitude c'est comme une drogue, si tu mets le nez dedans t'es sûr d'y rester.
C'est ce qui se fait de mieux dans le genre.
Un monde à découvrir, c'est profond, fouillé, pensé, une histoire qui s'imbrique petit à petit, des dessins travaillés.
A consommer sans modération.
Rhhhaaaa ... pourquoi il est jamais sorti le T3 ???
On devrait faire un procès.
En attendant, ce début d'histoire au pays du vaudou est un must et ce comics une vraie pièce de collection.
Heureux qui possède un exemplaire pour savoir comme c'est beau.
Une statue pour El Spectro.
Déjà la couverture est plus belle, l'histoire déroule, la route explose, ça part dans tous les sens et ça fait du bien.
Du plaisir à l'état pur , sans se poser de question, on tourne les pages et c'est déjà la fin. Rodier revient.
Sans être grandiose les 2 albums se lisent d'une traite, fingers in the nose, avec envie, plaisir, gourmandise, délice et même délectation.
C'est frais, léger, ça reste pas sur l'estomac.
Si la BD était un gâteau, El Spectro c'est la cerise sur le paquebot.
En route vers de nouvelles aventures.
Aussi bien que le premier.
Seul regret : que cela s'arrête un peu " brutalement " et surtout qu'il n'y ait pas de suite.
A découvrir pour qui aime les légendes celtiques.
Ayant acheté les 2 albums dans un lot, j'ai eu la chance de découvrir cette aventure qui se lit d'un trait. Sans être la BD du siècle j'ai apprécié cette légende celte coquine. Dessin et scénario sont à la hauteur et Manunta nous entraîne dans son monde avec efficacité.
A découvrir pour un bon moment de lecture.
Impressionné par la couverture et la qualité du dessin, j'ai acheté le livre. Sans être un grand fan de la BD érotique, je voulais malgré tout découvrir le travail de Filobédo. Si le dessin est à la hauteur de mes attentes, le scénario m'a laissé en rade et se résume à rendre hommage à Sodome. Forcément déçu car le dessin mériterait un scénariste et une histoire. Cela ne m'encouragera pas à découvrir les autres, dommage. Pas à la hauteur de Giunchiglia de Manunta, moins porno, juste coquin, une jolie légende celte en 2 albums à dévorer sans modération.
Elle est belle ... mais très conne, c'est Luana la nounou.
Il est laid ... mais c'est un petit génie, c'est Mickael, l'enfant gardé.
Elle est soumise à tous ses désirs et délires, avec la candeur et innocence d'une enfant attardée.
Lui est un petit dictateur, sexiste et raciste, très inventif mais cela se retourne toujours contre lui.
Elle cherche par tous les moyens à faire plaisir à son Miku.
Lui son seul but est de découvrir ce qui se cache derrière le string de sa Nounette. Le Grand Mystère de ce monde.
Dessin noir et blanc précis rendant très bien l'ambiance, avec des petits détails partout, un peu voyeur mais pas porno du tout. Humour décalé et corrosif.
Le tout est extrêmement jouissif. Merci Daniele.