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D'abord, il faut m'expliquer le titre ! Aucun rapport avec l'histoire si ce n'est que ce "loser" professionnel d'Olrik est encore et toujours là...où il pourrait ne pas y être, vu qu'il ne sert quasi à rien. Ah si, il pilote la taupe dont les commandes sont sans doute identiques à celles des Espadons...et je me demande comme d'autres l'ont dit avant moi, où il a apprit à les piloter ! Franchement, l'histoire est assez bancale et sans réalité historique contrairement à l'opus précédent.Et puisque je parle d'histoire, que dire du prêtre qui déclare tout de go à Mortimer que les troupes de César ont envahi la Bretagne en 43 après J.C !!! Pas doué ce prêtre sois disant spécialiste de l'histoire locale. La conquête de la Bretagne par César date en réalité de 54 et 53 avant J.C et il a été assassiné en 44 avant J.C . Je l'avais dejà dit pour l'album précédent, il semble qu'il n'y ait pas de comité de lecture aux éditions B&M ? Tant qu'à citer une tranche d'histoire, on vérifie Damned !
Les spécialistes me contrediront peut-être, mais j'ai vu page 21 un clin d’œil à un album de B&M, le dernier de Jacobs pour être précis. C'est pas flagrant mais...
Quand au reste de l'album, tout a déjà été dit, on aime...ou pas ! Un petit plus pour les dessins du regretté Juillard (sauf la couverture que je trouve très laide). C'est loin d'être le meilleur album de B&M mais quand même mieux que le Moloch (C'était pas très difficile !)
Échaudé par certaines reprises et notamment Astérix dont les différents albums parus depuis le retrait (et le décès) d'Uderzo sont malheureusement d'un niveau très inégal, j'ai agréablement été surpris par cette reprise de Gaston. Dessins et gags sont du niveau du Gaston original, mêmes si toutes les histoires ne sont pas hilarantes (mais même chez Franquin, il y a des hauts et des bas!). Cependant l'esprit est là et on a plaisir à retrouver notre bon vieux Gaston toujours aussi décalé.
Pas d'accord avec Minot qui regrette que les dernières volontés de Franquin n'est pas été respectées. Que seraient devenus les Pieds Nickelés sans la reprise des personnages par Pellos ? Sans doute oubliés aujourd'hui! Et que dire de Blake et Mortimer dont les derniers albums par Jacobs sont loin de faire l'unanimité, même si là encore, les repreneurs ne sont pas tous au même niveau. Si l'on raisonne ainsi, alors il faut arrêter de jouer du Molière ou du Racine au théâtre, interdire les concerts de Mozart ou de Bach !!! Sans public, sans acheteurs, les personnages de BD ou de romans ne sont rien et s'ils finissent par leur "appartenir", c''est la loi de la notoriété. Même Hergé finira par être repris lorsque Tintin tombera dans le domaine public. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut faire n'importe quoi : Respect de l'esprit, du graphisme et de l'univers des personnages sont les bases d'une reprise réussie.
Par contre, je suis de l'avis d'Hervé26 : Pourquoi avoir numéroté cet album 22. Il eut été plus judicieux de lui attribuer le numéro 16, suite logique de la série Gaston. Marketing oblige sans doute!
Un album assez plaisant au premier abord, mais c'est vrai qu'en le relisant le plaisir retombe vite. Que d'incohérences et d'inutilités dans cet opus. Je ne vais pas reprendre en détail ce que d'autres lecteurs ont dit avant moi, mais il faut reconnaître...On se demande ce que viennent faire nos trois héros dans cette galère où ils ne servent quasi à rien à part jouer les utilités. Comme disait Coluche, ils ne seraient pas venus, on était pas fâché ! Pour coller à la tradition, on trouve même une case avec les pirates ! Totalement inutile. Et le plus gros (non, ce n'est pas Obélix) pour la fin, quel est ce monstre dans la glace ? Un tricératops...disparu il y 65 millions d'années ! Ben voyons! Le rêve de tout paléontologue, malheureusement totalement impossible. Un animal genre mammouth ou rhinocéros laineux aurait été plus crédible, on en trouve encore aujourd'hui dans le permafrost Sibérien. Encore une bestiole qui n'a rien à faire dans l'univers d'Astérix, à l'instar des dragons, vaches volantes et autres licornes. Et je ne parle pas des extra-terrestres qui apparaissent dans un album qui, comme le dit Obi-Wan135, ne peut servir qu'à caler un meuble bancal. J'ai mis trois étoiles, pour le dessin.
Bref : Peut mieux faire sans aucun doute !
Et bien, on l'aura attendu celui-la ! Au final, un résultat pas si mal que cela malgré sa fin un peu tirée par les cheveux et la présence encore une fois de l'éternel loser, j'ai cité Olrik. Franchement marre de le voir à toutes les sauces celui-la ! Quel gros méchant mégalomane serait assez idiot pour l'embaucher alors qu'il n'a que des échecs à son palmarès ! Même Jacobs s'en était passé dans un de ses albums. Un peu d'imagination messieurs les scénaristes, by Jove ! Quelques bémols également : Il manque les traductions de certains textes en russe et en allemand. Ainsi planche 55 (page 57), on lit "...le garde...voit Aigle 2 piler devant lui." C'est quoi Aigle 2 ? Ah oui, page précédente, Mendoza s'annonce au garde de faction en disant : Adler zwei... Pour ceux qui ne parlent pas allemand pas évident de savoir qu'Adler veut dire Aigle. Et comment Mendoza sait'il que c'est le nom de code de son véhicule ? Pas trouvé la réponse. Une traduction aurait été la bienvenue. Quand aux scénaristes, manifestement ils ne savent pas compter : Dernière image de la planche 61 nous sommes bien le 26 juin 1963. Case suivante, on nous dit : Londres, six mois plus tard, par une glaciale soirée de Novembre... Tiens !! Chez moi quand j'ajoute six mois au 26 juin, j'obtiens 26 Décembre ! En aucun cas le 22 novembre, date exacte de l'assassinat de Kennedy à Dallas. Besoin d'un comité de lecture aux éditions Blake et Mortimer ??
Ceci dit, je suis un peu réconcilié avec les repreneurs grâce à cet album et au Dernier Espadon. Faut dire qu'après l'horrible Moloch, cela ne pouvait être que mieux ! On attend le prochain si possible sans Olrik, sans Marque Jaune, sans Espadon et sans Pyramide...On peut rêver ! Au fait, Voronov, il est devenu quoi lui ??
Pas terrible du tout ! Les vilains qui veulent envahir notre planète... on a pas déjà vu cela quelque part ? Pour moi un album totalement raté qui n’éclaircit en rien la fin de l'onde Septimus. Avec en plus des dessins fabriqués à la palette graphique, très moches, . Quand à Blake et Mortimer, on se demande si dans certaines cases c'est bien d'eux dont il s'agit tellement ils sont mal dessinés. Un album à oublier !
1/5, ça vaut pas plus !
Bon album, très drôle et scénario dynamique. Mais quel scénariste se cache sous le pseudonyme de Kb2 ?
Cet album est le premier ou le format de 4 strips par planche passe à 3 ce qui amputera tous les albums suivant ainsi que certaines rééditions, d'une quinzaine de planches. Fatigue du dessinateur ou intérêt commercial ? Les deux sans doute !
Mais les scénarios vont désormais en pâtir et devenir de plus en plus bâclées.
Un dessin à la Pellos mais un scénario un peu léger et un peu bâclé, comme pour tous les derniers albums, le passage à trois strips par page y étant sans doute pour quelque chose. Commentaire valable aussi pour l'album suivant.
On attendait mieux du petit fils de Louis Forton. Ca sent le réchauffé et ce n'est pas franchement drôle. dommage !
Comme pour les "Soviets", cet histoire fait suite à une demande impérative du patron d'Hergé au "Petit Vingtième", l'abbé Wallez. Il fallait montrer l'aspect civilisateur des Européens, en l' occurrence des belges, dans ce pays (vaste colonie Belge) peuplé de "sauvages". Et si possible, motiver un maximum de colons à s'y installer. Hergé aurait préféré envoyer Tintin chez les indiens, ce sera fait dans l'album suivant. Encore une fois, toujours se mettre dans la peau de l'auteur et dans le contexte de l'époque avant de critiquer. L'écologie n'existait pas, tous les riches "Nemrod" allaient faire des cartons en Afrique et ce encore aujourd'hui ! Et si les congolais parlent le "petit nègre", encore plus dans la première version, c'est comme cela qu'on les voyait à l'époque, ce qui d'ailleurs les fait beaucoup rire aujourd'hui, preuve qu'ils ne manquent pas d'humour ! Plus en tout cas que certains bien pensant de chez nous, l'album ayant d'ailleurs été retiré de la vente dans les années 60 (voir les 4ème plats de cet époque). Cela reste une aventure de Tintin, pas bien passionnante, au scénario pas très bien ficelé, bref, en devenir, ce qui ne tardera plus!
Je vote 5/5 car indispensable ! Pourquoi : C'est le premier, tout simplement. Oui c'est anticommuniste, oui, ce n'est pas le reflet de la vérité (quoique...), oui, c'est complètement dépassé, etc etc. On a tout lu à ce sujet mais ce que la plupart des critiqueurs oublient, c'est de se mettre dans le contexte de l'époque. Pour cela il faudrait lire cet album en ayant 20 ans en 1930. D'une part, aucun (ou très peu) d'européens ne connaissait la vérité sur la Russie soviétique, et encore moins Hergé qui ne disposait quasiment d'aucune documentation. D'autre part, cet histoire (comme le Congo qui suivra) est une commande de l'abbé Wallez, patron d'Hergé à cet époque, anti-bolchévique viscéral, futur rexiste et collaborateur pro-nazi, ce qui lui vaudra un séjour en prison à la libération. A lire donc comme une curiosité et je dois reconnaître que colorisé, c'est un petit plus qui fait oublier (un peu) les défauts de jeunesse d'Hergé, défauts aussi bien graphiques que narratifs. Mais comme le dit "Pokespagne" on trouve déjà le dynamisme, certes parfois puéril et irréaliste, du personnage de Tintin, destiné à devenir une célébrité mondiale.
Mince alors ! Moi qui pensait que les auteurs allaient monter dans la gamme, les voilà qui baissent d'un cran ! Graphisme OK, mais le scénario...plutôt bâclé. Si l'idée à le mérite d'exister, il y avait sûrement moyen de la développer bien mieux que cela. Faire du Goscinny ne se limite pas aux jeux de mots et on a vraiment l'impression que cet album est uniquement construit autour de ceux-ci ! Cela manque de fondations et le soufflé retombe rapidement. On va être indulgent et attendre le suivant, en espérant que les auteurs ne renouvellent pas deux fois la même erreur!
Du mieux sans conteste. Un graphisme qui tend à se rapprocher de la meilleure période, beaucoup de jeux de mots, un rapport avec notre époque du tout informatique et électronique... Quand au final, Random n'a pas accroché, moi j'aime bien. Une petite touche d'humour qui rappelle certaines planches parues dans Pilote lorsqu'il s'agissait de présenter un nouvel album ou d'expliquer la venue d'une idée chez les créateurs. Reste ces satanées licornes, qui n'ont rien à faire ici. Allez, encore un effort, et cela va devenir vraiment bon.
Pas d'accord avec Nimajneb2. Une série ne doit pas forcément s'arrêter avec les auteurs. Que seraient devenu les Pieds Nickelés sans Pelos, et Spirou sans Franquin...Sans doute passés aux oubliettes alors qu'ils ont acquis leurs lettres de noblesses avec des repreneurs !
Ceci dit, ce nouvel opus d'Astérix est sans conteste bien meilleur que les derniers Uderzo, il faut dire aussi que plus mauvais aurait été difficile ! On retrouve un peu de l'univers Astérixien, même s'il reste du boulot pour arriver à la cheville de Goscinny. Et surtout, arrêtez de faire apparaître des animaux de fiction, cela rappelle trop les dérives d'Uderzo (Dragon, atlantide, extra-terrestres...). le monstre du Loch Ness n'a rien à faire ici. Conrad et Ferri vont malheureusement récidiver dans l'album suivant avec des licornes cette fois ! En résumé : Pas mal, ce qui n'était pas évident au départ, mais peut mieux faire.
Le summum de la nullité. Un univers bafoué, une histoire débile, tout est à jeter. On est loin de la double lecture et des jeux de mots Goscinnyens ! Ce sera heureusement le dernier Uderzo et ce n'est pas un mal, on se demande ce qu'il aurait pu inventer de plus stupide après celui-là ! Cet album est sans intérêt à part celui de gonfler un peu plus le compte en banque de l'auteur !
Texte insipide, limite grossier par moment (ceux là n'ont rien à faire dans l'univers Astérix). Un scénario mince comme une feuille de papier à cigarette, des personnages inutiles, bref, rien de bon. Et on a pas tout vu, le pire est à venir !
On continue dans la dégradation de l'univers de notre héros. Mais que vient faire l'Atlantide la dedans ? Et ce pauvre Obélix qui devient un gros (énorme) idiot qui ne comprend rien à rien, lui qui ne manquait pourtant pas de finesse parfois, pourquoi diable Uderzo l'a t il fait évoluer ainsi ? Quand à se transformer en granit, une idiotie de plus. Et ce n'est pas fini, voir l'album suivant...
2 sur 5 et c'est bien payé !
Un cran en dessous du précédent. Brutus (qui a changé de physique par rapport aux autres albums où il apparaissait !) n'est pas drôle du tout, Obélix semble devenir de plus en plus idiot, et dans l'ensemble, les gags manquent de percutant, bref, on sent que Goscinny n'est plus là, et cela ne va malheureusement pas s'améliorer avec les albums suivants !
Le début de la saga, dont même les auteurs ignoraient le succès qu'elle aurait quelques années plus tard. Graphisme encore hésitant, un Obélix un peu survitaminé dessiné dans le style Oumpah-Pah et qui n'a quasiment aucun rôle dans l'album, mais déjà l'humour de Goscinny qui permet une double lecture (enfant-adulte) qui ne sera pas pour rien dans le devenir glorieux de la série.
Indispensable !
Une version couleur effectivement tronquée de nombreuses images originales et montées parfois dans le mauvais ordre. Je possède la version 4c, bizarrement remaniée : Sur la couverture, le nom d' Harry Edwood a été remplacé par celui d'Hergé et le 4ème plat n'est plus celui de Rodier, (bien que crédité en page 2) mais un type B modifié. Paru semble-t-il peu de temps avant la version officielle colorisée(complète celle là!), celle-ci n'a plus d'intérêt hormis pour un collectionneur acharné !
Dernier "Pieds Nickelés" de Pellos. Le scénario reste moyen, comme beaucoup des derniers albums mais tient encore la route. Ce ne sera plus cas des suivants (ainsi que des cinq précédents), y comprit au niveau du graphisme. Seul Gen-Clo arrivera à tirer son épingle du jeu, malheureusement pour deux albums seulement. Comme pour Goscinny, n'est pas Pellos qui veut !
Même titre que le numéro 13 (pourquoi, les deux étant de Pellos mais avec des scénaristes différents ?) mais scénario sans rapport avec ce dernier. Depuis le numéro 80 et le passage à 3 strips par planche au lieu de 4, les différent scénaristes semblent en manque d'inspiration et nous servent du déjà-vu! La quantité prime sur la qualité, le chiffre d'affaire y était sans doute pour quelque chose! Cette remarque reste malheureusement valable jusqu'à la fin de la troisième série.
Il semblerait que cet album n'ait pas été réédité dans cette série pour cause de censure. A confirmer.
Cet album débute de façon abrupte car il manque le début de l'histoire, soit 10 planches et demi, non reprises dans l'album qui aurait fait 58 pages !
Le titre est trompeur, le trio ne se retrouve aux jeux olympiques que pour les dix dernières pages et l'histoire de la page 19 à la page 36 n'est ni plus ni moins qu'un repiquage mot pour mot et image pour image de la page 31 à 48 du numéro 33 (Les P.N courent la Panasiatique) ! Pellos était il en manque d'inspiration ?
Nouveau titre, nouvelle couverture mais contenu identique au numéro 30 ( Les Pieds Nickelés en pleine bagarre).
Réédité en 1973 avec le numéro 79 avec une nouvelle couverture et un nouveau titre : Les Pieds Nickelés contre les Kidnappers.