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"L'aigle sans orteils" nous entraine donc dans le sillage d'Amédée Fario et nous n'aurons de cesse de vivre avec lui les efforts, les espoirs et les déceptions qu'il collectionne. Porteur dont la mission est de hisser à la cime du pic du midi du matériel pour la construction de l'observatoire, il fait la connaissance de Camille, scientifique. Ce dernier se fait apporter par Amédée "l'Auto", journal dans lequel il se régale de la lecture des résultats sportifs de cette nouvelle compétition qu'est le Tour de France. Amédée, conquis par l'enthousiasme de son nouvel ami, finira par se fixer l'objectif de s'essayer à la grande boucle, de se mesurer aux "grands" de l'époque. Les événements feront que l'achat de son premier vélo n'aura pas été de tout repos: il lui en coutera même la totalité de ses orteils. Mais ce handicap ne freinera pas la motivation d'Amédée dont la volonté est de fer...
Tadam... je me force à ne pas en dire trop plus...
"L'aigle sans orteils" est une très belle BD dont la palette de couleurs peut rappeler celle des vieux journaux et des vieilles photos. Elle met l'accent aussi, sans contrastes, sur l'importance de la force des ennemis d'Amédée; le bleu de la neige glacée, les ocres de la boue des chemins avalés par les roues des vélos... Le trait de Lax rend sympathiques les personnages qui doivent nous le paraitre autant qu'antipathiques ceux dont le rôle l'est: les journalistes exclusifs, les contrôleurs de l'épreuve du Tour de France, le commerçant "rapace"... Cette histoire est une chronique comme je les affectionne, le récit de l'histoire de gens simples. La notion de héros y est présente, mais il est question là de héros au quotidien; ces gens que seules des oeuvres comme cette BD savent rappeler à notre bon souvenir.
Le lecteur que je suis a suivi Amédée "dans la roue". J'ai donc regretté que la fin du scénario soit si brutalement apportée, mais je sais que c'est pour éviter un certain "hors-sujet", pour laisser le lecteur dans l'ambiance de la course cycliste, et pour nous faire participer, à notre niveau, à la douleur d'une destinée comparable à une ascencion sans sommet...
Arnold Paul s'est converti à l'Islam et revient sur les terres de sa famille, en Serbie. Ce retour est mal vécu; d'une part parce qu'il reprend son bien en mettant des profiteurs dehors, d'autre part parce qu'il est "le traitre" aux yeux de beaucoup. Une femme saura prouver qu'il est bien qui il prétend être après des années d'absence et ainsi lui redonnera sa place. Mais...n'est-ce que la jalousie qui mènera cette femme à vouloir lui nuire par la suite ? En effet, celle-ci est à l'origine du meurtre de la (fraîchement épousée) femme d'Arnold Paul et ce dernier va être victime d'un complot quasi-général ayant pour but de se débarrasser de lui aussi. Mais il a la peau dure, le colosse, et, comme le laisse entendre le titre de ce tome 1, il... reviendra. Là, on passe la porte d'une dimension qui nous éloigne du réalisme: le médecin local et le mystère de certaines de ses pratiques nous font nous poser des questions sur Arnold Paul (meurt-il, finalement ?) et sur le devenir de Mirko, complice dans les affaires de meurtres mais désormais lié à sa victime par le sang; Mirko que l'on retrouvera assurément dans la suite...
D'une très belle qualité de dessin, cette histoire est prenante. Le récit est assez linéaire, donc il a l'avantage d'être simple. On note qu'à un moment, la narration est faite un peu à la manière d'une chanson illustrée. Si la "première mort" d'Arnold Paul est lentement amenée, le rythme s'emballe sur la fin et la succession des événements est de plus en plus rapide. Un tourbillon de violence et de mystère. Puis, tout à la fin, après une planche se déroulant dans un certain "au-delà" où les personnages sont comme en apesanteur, le rythme se recale sur une vitesse de récit normale, le récit revient "sur terre": le tome 2 peut commencer !
Ce tome 1 de la série Galata ("Le poète assassiné") est une très jolie BD. Un dessin dynamique et des couleurs superbes. Au niveau du scénario, on déplorera peut-être que le prévôt Ogier (le héros) ne s'occupe finalement que des affaires qui le concernent personnellement; mais sans doute est-ce parce qu'elles sont étroitement liées à la mission qu'il a de faire règner l'ordre dans cette enclave chrétienne en terre musulmane ?... Les deux prochains tomes nous le diront. On aime ou on n'aime pas ces personnages dessinés parfois à la limite de la caricature - on se croirait parfois dans un film d'animation du style "Sinbad le marin" ou "Sur la route d'Eldorado" - où les plus baraqués voient leur tête se réduire à pas grand-chose en comparaison de leurs musculatures hyper-développées (je trouve que ça enlève un peu au réalisme et au sérieux que pourrait vouloir véhiculer une BD qui se veut basée sur des contextes historiques). N'empêche, au-delà de ces remarques très personnelles, c'est un régal ! A lire !
Paulina est retrouvée morte, noyée dans le Tibre. Elle était promise à Julius qui se met à rechercher Marcus, celui-ci semblant être le coupable idéal. Esclave dans la maison de ce dernier, Salomé se voit donner pour mission, par le père de Marcus, de faire la lumière sur cette affaire. Salomé ayant des dons de voyance, elle est effectivement la détective toute indiquée !!!
Comme pour les autres séries de cette collection Dédales, le premier tome expose des faits, présente des personnages. C'est une lecture agréable, même si le style dessin n'est pas parmi ceux que je préfère (cela n'engage que moi)...
Les séries Dédales n'annonçant que 2 ou 3 titres (par cycle ? ça, l'avenir le dira !) j'attends quand même avec impatience de lire la suite: ce n'est pas dans le ènième tome d'une série sans fin qu'on connaîtra le fin mot de l'histoire ! Chouette !
Intrigue bien amenée. Personnages gardant bien tout leur mystère. L'histoire, prévue en 2 tomes, est servie par un très sympathique dessin. Très bien !
"Le Serment" est le premier tome d'une série dont on espère qu'elle sera au moins toujours de la même qualité. Certes, le scénario est sans trop de surprises: on apprend à connaître les personnages principaux et on obtient des indices sur le style d'aventure auquel on va avoir droit. Mais le dessin est souvent très bon et les couleurs transfigurent les cases en véritables tableaux. Des couleurs dominent en fonction des lieux. C'est très bien fait. Bravo !
Suite et fin de ce premier cycle, mené de mains de maîtres.
Une vraie lecture plaisir. Une intrigue assez complexe, de par la multitude de protagonistes, pour nous dérouter "juste ce qu'il faut" et nous inviter à nous replonger dans cette très bonne BD.
Ce tome 2 est dans la continuité du tome précédent: un superbe dessin et une histoire bien menée au cours de laquelle on fait connaissance plus précisément avec de nombreux personnages.
Très bonne BD. Un dessin de qualité et une intrigue intéressante.
Ce tome 2 du dyptique "Bouclier humain" (Suite et fin) est dans la continuité du très intéressant tome 1. Le style du dessin est ce qu'il est. On dirait qu'il évolue (très) légèrement dans ce deuxième tome, mais peut-être est-ce mon exemplaire dont les couleurs semblent être plus pâles, qui me donne cette impression ? En tout cas, passé le débat du "on aime ou on n'aime pas le coup de crayon du dessinateur", le lecteur sait que l'important est avant tout le message transmis au travers l'expérience d'Amara. Une expérience faite d'allers et de retours, de volontarisme et de reculs, d'hésitations. Bref, un reportage fait par quelqu'un comme vous, comme moi.
On comprend (et l'actualité nous l'a bien montré) que même si les boucliers humains n'ont pas servi à grand-chose, au moins auront-ils eu le mérite d'exister. On assiste à l'écrasement des initiatives de paix par les sourdes grosses machines de guerre guidées par des intérêts dont sont loin les victimes. (Dans le même ordre d'action, on se souvient des tee-shirts, avec une cible pour motif, portés par les serbes qui défendaient leurs ponts).
On comprend également (mais... ne le savait-on pas déjà ?) qu'il s'est passé en Irak beaucoup de choses qu'on a su, mais aussi beaucoup dont on n'a pas eu vent. Et cette BD apporte sa pierre au mur des témoignages. Il fallait qu'elle soit éditée pour que les photos prises par Amara (qu'on ne pourra jamais voir pour cause de "censure américaine" manu-militari) puissent quand même nous parvenir en images.
Réjouissons-nous ! La BD ne se cantonne plus au récit d'histoires: c'est un outil. Qui dérangera ou pas, mais qui donc s'imposera de plus en plus comme un support inévitable.
Les auteurs, Denoël et Pierret, nous invitent à suivre les aventures de Pylos et Asinée, jeunes grecs destinés à devenir esclaves en Crète.
Lors de leur acheminement vers leur triste futur, ils arrivent à fuir, à la faveur de l'abordage de leur embarcation par des pirates. "Auto-affranchis", ils vont vivre des situations extra-ordinaires, prétextes à nous faire mieux connaître l'antiquité de cette zone géographique, que la mythologie nous a fait connaître au travers le labyrinthe du Minotaure, Thésés et le fil d'Ariane... Car attention, messieurs-dames "défenseurs de l'Histoire authentique" (avec un grand H): Pylos et Asinée sont bien des héros de BD: c'est de la fiction - même si les recherches par les auteurs sont indéniables.
En outre, le scénario met en parallèle cette histoire avec une autre, actuelle, se situant sur un lieu de fouilles archéologiques qui n'est autre qu'un lieu qu'on découvrira abondamment dès ce premier tome. Pas de grande originalité en vue de ce côté-là de la narration, d'autant plus qu'on tombe dans le "truc" surexploité de la collaboration homme-femme sur le chantier...
Mais surtout... Le dessin est décidément très agréable et la mise en couleurs est délicieuse. Un régal. Le rythme de l'histoire est également mené de mains de maître: on ne s'ennuie pas dans l'enchainement des situations. Beaucoup plus de plaisir à la lecture de cette BD qu'avec "Aathon" (de Rocca et Cébé chez Soleil), pour ceux qui connaissent.
Ravi d'avoir acheté cette BD, je vous la conseille vivement et attends déjà la suite de pied ferme !
Le tome 4 des Forêts d'Opale continue de nous guider pour notre plus grand plaisir dans les aventures de Dharko, d'Urfold et des délicieuses Sleïlo et Tara.
Point de vue scénario, si ce tome est très bien mené, il n'en est pas moins qu'un chapitre de plus, qui aurait pu être le tome 6, le tome 9 ou un autre encore. Seules certaines situations sont réellement créées pour faire réellement évoluer la quête: d'une part le fait que Darkho s'essaye (avec un certain succès) aux pouvoirs qu'il doit désormais pouvoir maitriser, et d'autre part le combat contre Xarchias, à la fin du tome.
Ce tome 4 m'a décidément bien emballé: les dessins et les couleurs sont irréprochables: du pur bonheur ! Rien que pour cela, inutile de dire que je sauterai sur le tome suivant !
Enfin ! Après 4 ans d'attente (deux éternités !) voici qu'est sorti le tome 2 des "Derniers jours de la Géhenne" !
Et c'est une bonne surprise. Après un premier tome qui posait les pions d'une manière que j'avais trouvé quelque peu difficile à suivre, voici que cette suite précise le type de mystère dans lequel il faut s'attendre à se voir embarquer.
Le dessin reste comparable à celui du T1. On remarquera que le trait dans certaines cases est plus gras que dans d'autres. Ersel travaillerait-il à différentes échelles pour une même planche ? (Je vous rassure, ce détail ne gâche en rien la lecture.) On regrettera cependant la difficulté que semble rencontrer le dessinateur à reproduire d'une case à l'autre un même visage. Mais là, je chipote un peu trop !
Au niveau du scénario de ce T2, on apprécie les parallèles entre le passé et le présent. Parallèles qui sont le ciment de l'intrigue. Ces voyages dans le passé sont un bon prétexte à de belles scènes médiévales qui sont bien dosées et équilibrent les scènes du présent.
Autre chose: je trouve la pochette particulièrement plus réussie que celle du tome 1 (où le visage de cet homme m'a toujours paru un peu trop tordu, ce qui était peut-être malhabile dans la mesure où une pochette est souvent la vitrine de ce qu'on doit s'attendre à voir dans la BD...). (C'est que je dois préférer voir des belles femmes, aussi !!!) ;-)
Allez, et, pour finir, petit détail pour les chasseurs d'erreurs (qui s'en était donné à coeur-joie à propos du bracelet d'Aline qui changeait de bras, dans la librairie, tome 1 !); une erreur de couleur sur le panneau "Interdiction de tourner" (scène de rue, le soir, où on voit un couple se promener) sur lequel les couleurs blanche et rouge ont été inversées...
De nombreux personnages aux identités toutes plus mystérieuses les unes que les autres, un dessin sympathique et qui pourrait s'affiner encore plus, un joli travail de recherche sur les lieux et les monuments visités, le tout pour une histoire dont on ne peut qu'attendre la suite pour se faire un avis plus précis.
(Cet avis est rédigé à la fois pour le T1 et pour le T2.)
"Meilleurs voeux" est la première série que publie Didier Millotte. C'est un récit complet en 2 tomes. Il n'est pas certain à ce jour que l'auteur ne décidera pas de redonner vie à Abd El Hak, le héros, mais ceci est une autre histoire.
Le dessin de Didier Millotte est assez particulier. Il est bien mis en valeur par les couleurs de Lise Chapelier.
L'histoire est agrémentée de nombreuses situations ou dialogues humoristiques. Il faut dire que quand un génie est libéré après des attentes parfois très longues, il est normal que ce dernier se défoule un peu ! Librement inspirée des ambiances des Mille et Unes Nuits (loin de l'Aladin de Disney), l'histoire nous réserve quelques surprises qui ne font pas pour autant de cette BD une BD au top de l'originalité.
Le tome 2 est dans la continuité du tome 1. Le graphisme de la série est simple, épuré, et sait se montrer plus généreux sur les grands visuels. L'auteur utilise, et cela uniquement lorsque c'est nécessaire (heureusement), des astuces de mises en page classiques (mais adéquates) telles une case qui sera copiée-collée avec ou sans le génie visible, de manière à voir la scène telle que le héros la vit puis telle que les autres personnes la voient (car seul celui qu'accompagne le génie peut le voir; enfin... exception faite de... Non, je ne vous en dis pas plus !). Ou encore la case de la vision subjective, lors d'une reprise de connaissance du héros, qui sera précédée de la même image... passée au filtre "flou".
Bref, cette BD est un cocktail de bonnes intentions, de couleurs, de petits détails qui servent les ambitions de ce jeune auteur. Les lecteurs que le dessin n'aura pas fait de suite refermer la BD (on aime ou on n'aime pas) sont sûrement curieux de savoir sur quelles autres ambiances travaille Didier Millotte.
Attention, la notation "2/10 - Pour amateur uniquement" ne se veut pas une note destructive mais vise à mettre l'accent sur la spécificité du style de la BD !
L'intérêt d'une vie pourrait par exemple se mesurer au nombre d'anecdotes, vécues dans la semaine, à raconter lors d'une soirée. C'est bien beau d'avancer cela, mais les semaines qui se suivent sont-elles toutes aussi riches les unes que les autres ?
"Je vais te montrer quelque chose" nous conte la malchance d'un Monsieur Tout-le-Monde, qui, non content d'avoir le moral au plus bas, se voit embarqué malgré lui dans une aventure dont il se serait bien passé. Le quotidien bascule parfois dans l'invraisemblable...
Etrange BD (animalière) que celle-là, servie par un dessin aux antipodes de Blacksad - le héros est un félin.
Le rythme et le style donnent à cette BD un caractère suranné, comme ce que serait un vieux film au cinéma; sauf qu'au lieu que l'image noir-et-blanc soit diffusée à une vitesse plus rapide avec les apparitions furtives de parasites visuels, c'est lentement, en couleurs (pour la première fois dans l'oeuvre de Jason) et d'un trait très épuré, carré, qu'est scénarisée et dessinée l'histoire.
Un monde bien à part, à l'arôme des strips qu'on trouvait au bas des pages des vieux journaux. Le style de Jason, semble-t-il. Un style pour public averti.
Bon scénario que les tomes suivants devront confirmer, car surfer sur des thèmes d'actualité (Afghanistan, Irak) ne suffit pas toujours à faire d'une série un must.
Soupçon de paranormal apprécié pour justement nous décoller d'une simple histoire de héros-qui-ont-la-bougeotte.
J'attends la suite avec impatience !
Belle histoire, servie par la maîtrise graphique de Stalner.
Attention par contre à cette calligraphie "voix off" que j'ai trouvée pénible à déchiffrer.
(Cet avis vaut pour les 2 tomes)
La série "Le vol du corbeau" nous offre, pour notre plus grand bonheur, une prolongation du plaisir que la lecture de "Le Sursis" avait fait naître. A lire absolument.
(Cet avis vaut pour tous les tomes.)
Tout d'abord merci à VICH pour son avis posté plus haut, relatif à cette série: je m'y suis fié car pour moi aussi, c'était ma première lecture Manga.
Et mon premier achat Manga - là c'était un coup de poker, car j'ai acheté les tomes 1 à 4 d'un coup, sans même avoir lu le premier !
Ma réticence était dans le fait que le style japonais rimait pour moi avec histoires inintéressantes, combats à 2 francs (en euros, ça aurait fait des centimes, alors j'ai évité !!!), cases saturées de traits d'action inutiles, dialogues creux, les personnages ont toujours la même trombine, etc, etc... bref la totale de l'a-priori !!!
Puis à force de lire des critiques sur la nouvelle émergence Manga (car le choix est exponentiellement croissant en France; les éditeurs se régalent à sortir à vive allure des BD déjà sorties parfois depuis longtemps au Japon...), j'ai compris que ce style proposait aussi un choix qui me paraissait plus intelligent que l'idée que je m'en faisais.
Alors je me suis lancé, comme je l'ai écrit plus haut.
Et j'en suis ravi, en tout cas pour cette série ! (Mon porte-monnaie me pardonnera donc) C'est vrai que certaines cases sont réduites à des visuels très simplifiés, mais l'équilibre est vraiment là avec des surfaces généreuses de graphismes époustouflants (vues urbaines, vues en montagne). On sent que le dessinateur ne se fout pas du lecteur.
Il y a parfois redondance dans les textes ? ...Mais comme on suit la quête d'une personne, on peut mettre ces répétitions sur le compte de l'entêtement du perso.
Finalement, les longueurs se sont transformées pour moi en un moyen de prolonger le plaisir que j'ai (eu) à lire cette série. Des milliers de pages, quand on apprécie, c'est chouette !!! Et le fait que ce soit du noir et blanc ne m'a vraiment pas gêné. Il est de qualité.
Je recommande donc cette série à tous, principalement ceux qui n'ont pas fait le pas vers le Manga. Si on doit ne posséder qu'une série Manga, celle-là fait sans doute partie de la liste.
Soyons bien clairs: cela ne signifie pas que je recommande tous les Manga: je ne connais, à la date de cet avis, que celui-là !!!
J'attends le tome 5 avec impatience (le dernier, je crois). Reste une question, comme après un super film qui fait oublier tous les autres et fait douter qu'on se régalera autant avec les prochains: à être tombé sur quelque chose qui m'a tant plu, trouverai-je un jour une autre série qui aura au moins toutes les qualités que j'ai trouvées à celle-là ?
Amateurs de Manga, excusez mes tons de scepticisme. Comprenez que toute conversion ne peut pas se faire d'un seul coup (et finalement je n'aime pas parler de conversion, car il n'est pas question que je me coupe du reste de ce que propose la BD !!!)
En conclusion: chapeau bas, Taniguchi-San. Autant de boulot et un résultat si chouette, ça méritait le détour !
On ne saura rien du tout au bout de ce premier tome qui pose énigmatiquement tous les pions sur le jeu... D'où cette envie pressante de dévorer le tome 2 ! Et puis, c'est chouette, les séries courtes, y'a pas à dire ! ;-)
Vivement la suite de ce témoignage ! Le dessin n'est pas au super-top, certes, mais cette BD est d'un intérêt certain et est un bon à-côté de tout ce que l'on aura pu lire, voir et entendre sur les évènements en Irak.
On croyait tout savoir du peu qu'il est possible à un occidental de savoir sur la Corée du Nord. Bonne surprise que cette BD qui m'a scié en m'apprenant l'existence de cette sous-traitance relative au monde de l'animation ! Un témoignage humoristique hors des sentiers battus. Très très chouette ! Ca-pi-taine Sin, tu n'es paaaaaas.....!!!!!!
Dessin vraiment chelou, mais un scénario qui (heureusement) s'annonce bien plus captivant que la série des 4 tomes précédents (Pas difficile !). J'espère que le T14 confirmera cette tendance.
Cette troisième série m'a vraiment déçue. Pas de problème côté dessin même si on a tendance à comparer avec les séries précédentes et que ce style m'a moins plu. Mais alors le scénario, l'histoire, my God, pas terrible du tout ! On verra à la relecture si cette amertume passe...
Ce deuxième volet de 4 tomes est très plaisant. L'histoire est sympa et les dessins ainsi que les couleurs sont vraiment très chouettes.
Cette première série est vraiment géniale. Le dessin évolue très vite pour notre plus grand plaisir. A lire et relire !
Pour ma part, je ne suis pas fan inconditionnel de ce type de dessin, mais cette BD est bien un chef d'oeuvre à noter comme tel quand même: scénario au top, couleurs merveilleuses, longue histoire qui permet au lecteur de plonger dans un certain bonheur... qu'il est difficile de quitter après la dernière page de ce tome 2 !!! Les séries moins longues (que d'autres !) sont parfois bien bien meilleures: celle-ci en est la preuve.
Pour ma part, je ne suis pas fan inconditionnel de ce type de dessin, mais cette BD est bien un chef d'oeuvre à noter comme tel quand même: scénario au top, couleurs merveilleuses, longue histoire qui permet au lecteur de plonger dans un certain bonheur... qu'il est difficile de quitter après la dernière page du tome 2 !!! Je ne regrette pas la somme qu'il m'aura fallu sortir pour attraper une EO de ce T1...
J'adore. Vous tomberez aussi sous le charme de cette BD !
BD qui laisse espérer une suite intéressante et originale. Beaucoup de surface de dessin perdue à cause de bulles surdimensionnées n'accueillant que peu de texte, dommage !