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Excellent album comme les autres de la série du reste.
L'ensemble est méconnue et aujourd'hui introuvable. On y trouve les éléments de la petite série historique sans prétention avec de bons personnages et d'excellents seconds rôles, des drames, de l'amour... Pas une grande fresque historique mais dans la lignée d'une bonne série télé... ce que la série devait être au départ.
Plutôt qu'un discours inutilement long et pompeux et une critique façon "Telerama", restons modeste et ne boudons pas notre plaisir. Certes Chaillet a été formé à l'école "Alix", ça se sent. Après, il reste une reconstitution rigoureuse, documenté, un contexte historique respecté, sans aberration ni anachronisme flagrants. Pas d'artifice, pas de magie, pas de raccourci historique ...
Les séries sur l'Antiquité sont de plus en plus nombreuses (enfin !) et celle-ci tient sa place honorablement.
La particularité principale de cet album est que le personnage principal est l'auteur lui-même puisque Dimitri participa à la bataille de Koursk en tant que simple soldat dans la Werhmacht, enrolé de force en temps qu'Alsacien. L'album reprend une partie du récit autobiographique de ses années de guerre intitulé 'Le soldat oublié' que l'auteur a publié sous le nom de Guy Sajer. Paradoxalement, alors que l'album est composé de souvenirs personnels et d'anecdotes vécus, il manque de force et de conviction. Rien à voir avec l'émotion qui se dégage du livre 'le soldat oublié' dont la lecture lui est préférable.
Décevant ! Et à plusieurs niveaux. Déjà le dessin et les couleurs, somptueux jusqu'alors et brouillons dans ce tome 3. Plus de plans audiacieux non plus, contre-plongées, angles tarabiscotés, etc. Tout se passe de nuit, en hiver et dans la neige, bien pratique pour n'offrir que des décors minimalistes. Evidemment, plus de superbes trois-mats. Quant à l'histoire, on a l'impression d'y consacrer un temps de lecture très court, beaucoup plus court que dans les deux autres tomes (déjà le dessin ne nous ralentit guère).
Incroyable. Tout d'abord, une histoire sur la vie à bord d'un sous-marin allemand capable de sortir des sentiers battus.
En choisissant (sur les deux premiers tomes) la période qui précède la Seconde Guerre Mondiale, l'auteur s'ôte pourtant la facilité de raconter un torpillage, le pilonnage des grenades sous-marines... scènes efficaces mais vus et revus. Pourtant l'histoire est passionnante. Passionnante parce qu'elle s'interesse aux hommes, aux sous-mariniers plus qu'au sous-marin lui même.
Mais ce n'est pas tout, le découpage, la mise en case, les bulles, les bruits... tout est rendu à la perfection. Les deux albums fourmillent de trouvailles, d'astuces pour rendre compte de l'ambiance à bord. C'est imaginatif, loin de la bande dessinée à papa sans pour autant tomber dans le côté intello de la nouvelle vague du Neuvième art. A lire absolument.
A lire absolument pour la qualité graphique... Même si l'histoire peut sonner un peu bancal, notamment la fin, cet album ne peut laisser indifférent en raison de son dessin et sa mise en couleur qui collent parfaitement avec l'ambiance glacé et le huis-clos.
Montespan, le plus célèbre cocu de France. Philippe Bertrand se propose de transposer en bande-dessinée le roman de Jean Teulé sur ce personnage pittoresque dont le plus grand malheur fut d'avoir aimé sa femme. En quelques répliques habiles, quelques cases subtiles, Philippe Bertrand nous plonge dans cet univers impitoyable de la société aristocratique du XVIIème siècle dans laquelle faux-semblants, hypocrisie, ambitions ne font pas bon ménage avec amour. On est très vite touché par "LE" Montespan, personnage tragique, cocu célèbre qui très vite ne donne plus envie de rire mais devient émouvant. A lire absolument.
Un bon ensemble bien composé. De l'histoire locale mais intéressante même sans être originaire de la région. Des dialogues bien écrits qui sonnent vrais. Des situations et des personnages attachants et bien campés. Le tout sort de l'ordinaire.
Un récit hallucinant et documenté de Malherbe illuminé par le dessin de Perriot. Un mélange bigarré de peuples insolites, de situations cocasses, un peu d'humour. Des personnages haut en couleur, bien trempés, aucunement stéréotypés. C'est beau comme du Pratt (on retrouve d'ailleurs le baron fou de Corto en Sibérie) trempé dans du Sfar. Vivement la suite.
Superbe ! Un hommage touchant et poignant de notre probable ancêtre commun. Plus totalement singes mais pas encore totalement humains, il faut un talent fou pour parvenir à donner aux Australopithèques de l'album une certaine humanité malgré leur visage encore simiesque.
Même si les missions de sauvetage sont un peu répétitives, "K, l'ivresse des sommets" est un bon album, ne serait-ce que parce les bandes-dessinées sur la montagne sont rares. Les auteurs maîtrisent le sens de l'escalade et cernent assez bien le rapport particulier entre l'homme des sommets et la montagne. On retrouve aussi un peu de ce sens japonais de la nature. Cet album est en tous cas à conseiller aux adeptes de l'escalade et de l'alpinisme.
Un album bien documenté, calibré pour les passionnés d'aviation ou nostalgiques de Buck Danny (croyais-je) et qui se laisserait lire avec plaisir si les auteurs n'avaient pas eu le goût douteux d'y introduire un chien qui parle ?! Un pacte avec le diable ?! Quel dommage ! On ferme vraiment cet album avec le regret de cet écart narratif bien inutile. Puisqu'une suite est prévue, espérons que les auteurs sauront se rattraper (il faudra une sacrée pirouette mais bon !).
Alef-Thau reste l'un des rares BD de science-fiction des années 80 que l'on parvient à relire sans la trouver totalement naze, démodée et chiante. Il faut dire que la série est supportée par l'excellent dessin du regretté Arno et vaut le coup d'oeil rien que pour la finesse de son trait. Quant au scénario de Jodorowsky, même s'il n'est pas sans défaut, il a le mérite de ne pas être totalement hermétique pour le lecteur non averti. A lire donc même si on n'est pas un fan de science-fiction.
Un scénario intéressant et un postulat original : Et si c'était l'Angleterre au lieu de l'URSS et des États-Unis qui avait dominé la conquête spatiale, le monde en aurait-il été meilleur ?
Chef d'oeuvre. Un avis tout personnel pour cet album qui n'a pas vraiment bien marché malgré un excellent scénario et le graphisme époustouflant d'un maître de la ligne claire (le regretté Arno).
Il est vrai que cette histoire entre fiction et réalité (à tel point qu'on a du mal à démêler le vrai du faux) peut dérouter d'un prime abord. L'action se situe dans des lieux et à une époque assez méconnus mais la lecture de Kriespiel (album d'accompagnement) ou mieux de Kriespiel "Le jeu de la guerre" (l'intégrale reprenant à la fois l'album et son complément) éclaire la vraissemblance du scénario.
Il faut lire Anton Six comme une sorte de polar historique qui n'est pas sans rappeler certains films d'espionnage des années 50/60 dont le genre est un peu passé de mode certes, mais qui se découvrent toujours avec délice au hasard d'une soirée télé sur quelques chaînes cablées.
Si vous croyez que les Vikings étaient de vulgaires assassins, violeurs, pilleurs sanguinaires, alors cette série est pour vous et ne vous décevra par son côté vulgaire. Si au contraire, vous pensez qu'un peuple qui a découvert l'Islande et l'Amérique 500 ans avant Christophe Colomb, qui a mis au point des techniques de navigation que les Européens du continent mettront des siècles à dépasser... Si vous pensez que leur présence attestée par l'archéologie en Russie, au Moyen-Orient, en Méditerranée... Que la beauté de leurs objets artisanaux relève plutôt d'une culture supérieure face à l'austérité des objets liturgiques qu'ils sont censés être venus piller dans les monastères chrétiens... Ou tout simplement si vous êtes normand... Alors abstenez-vous de la lecture de cette série.