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Humour noir et grinçant, malaises, clins d’œil à la culture geek et jeux de mots foireux, la petite mort est de retour. Plus libre dans la forme, ce cinquième tome est peut-être le plus profond, éventuellement le plus drôle, en tout cas mon préféré.
Laissé pour mort, c'est un Bragon amnésique qui tombe entre les mains de la secte du Signe, qui veut se servir de lui pour tuer Mara et son père.
La quête est toujours de très bonne qualité, rythmée, drôle, bourrée d'action. Le nouveau changement de dessinateur se fait sans douleur et même si après 5 tomes de préquelle, je ne sais toujours pas bien où vont les auteurs (j'espère juste qu'eux le savent), impossible de bouder mon plaisir.
L'Ordre d'Occident a décidé d'en finir avec l'Ordre d'Orient une bonne fois pour toute. La matriarche charge donc ses Ombres de se débarrasser d'Amarelle, le chevalier félon à la tête de l'Ordre dissident. Les espionnes de l'ordre menées par Lou, véritable atout dans la main de la matriarche, suffiront-elles à mettre fin à la guerre. D'autant que Lou commence à douter.
Le fil rouge de la Geste des Chevaliers Dragons s'épaissit d'album en album. Moins de sauts dans le temps, quasi plus d'anecdotes sur l'histoire de l'Ordre. La guerre des Sardes, le schisme entre Orient et Occident et leur conséquences sont au coeur des derniers tomes. On s'éloigne des dragons, du Veil (dommage) et des chevaliers en armures minimales (pas un mal en soi), pour des intrigues toujours très humaines mais plus politiques. Ici, l'intrigue avance à bon train (trop?) à coup de rebondissements (trop?) jusqu'à un final qui s'il n'est pas surprenant a le mérite d'être satisfaisant.
Après avoir relu l'ensemble de la série, ce dixième tome à un léger gout d'épisode de trop.
Fonctionnant plus comme un one shot que comme l'intro d'un nouveau cycle, l'intrigue est trop légère et le ton en décalage avec le reste de la série.
Takeo perd en superbe, en froideur, en talent... et donc en intérêt.
Dommage
Suite (et fin ?) de la préquelle des Gardiens du Maser... mais quel dommage !
Cet opus est juste incompréhensible.
Ca se tape sur la gueule dans tous les sens mais comme les personnages ont à peine été présentés dans le tome précédent, on ne sait pas bien qui est qui, qui fait quoi, ni pourquoi ni comment.
Ne parlons même pas de la magie ou de la technologie utilisées... Pourtant un point fort du premier cycle grâce aux annexes.
Du coup, là, les rebondissements tombent à plat, on subit complètement l'histoire.
Grosse, méchante déception !
Amoureux des trois premiers tomes et ayant beaucoup aimé la fin de l'histoire du premier cycle. J'étais curieux de voir ce qu'allait donner cette préquelle...
Verdict : c'est joli, c'est pas Frezzato, mais c'est joli !
En revanche, je n'ai toujours pas compris l'utilité de faire une BD sur une histoire déjà connue, racontée plus clairement dans le tome précédent ?
J'espérais que la suite me donnerait la réponse... Hélas...
Incompréhension. Puis déception.
Incompréhension d'abord parce que, lorsque je suis tombé sur cette BD, je n'ai pas compris l'intéret de transposer Naheulbeuk sur papier quand le MP3 était si bon. Curieux, j'ai quand ouvert le livre. C'est vrai quoi, les dessins étaient marrant, bien foutu...
Et boum, déception. Parce que les dessins sont souvent photocopiés d'une case à l'autre, les couleurs font mal aux yeux et que, surtout, la BD n'apporte rien.