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Je n'ai pas aimé:
- Les dessins: les visages de Thorgal et Kriss sont parfois mal représentés.
- Les références un peu lourdes à l’univers Viking par une utilisation excessive de termes scandinaves
- Un pitch qui ne correspond pas à l'album: l'épée ne permet pas à Thorgal de se souvenir.
- des liens entre Kriss et Thorgal qui sont plus proches d’une relation toxique, alors que Kriss est folle amoureuse de Thorgal dans la série.
- des recherches de tombes un peu trop façon Indiana Jones
- une gestion du temps dans les recherches en écart avec la réalité.
Décu.
J’ai été un peu perdu par la forme : le chapitre suivant explique les évènements qui ont amené ce que l’on vient de lire dans le chapitre terminé. Je m'y suis perdu au milieu de l’histoire.
Cependant il y a de superbes couleurs, des dessins caricaturaux servant à souhait ce western moderne au sein d’un Paris des années 70, des gueules comme il y en a dans les fims de Blier et des tranches de vie qui ont chez moi fait référence à des détails de ce que j’ai vécu : amour, amitié, cupidité, trahison, envie de s’évader.
Un bon moment d’évasion pour ma part.
Sans l’avis des lecteurs je n’aurais jamais acheté cette BD : merci à tous de critiquer ce que vous avez lu !
Car je ne suis ni fan du dessin: un peu trop manga pour moi, ni des couleurs: un peu trop digitales. Sur la base de ces éléments je n’aurais jamais épinglé cette BD à ma collection.
Par contre quelle idée ! Se voir priver de son corps par un autre soi. C’est génial, bien construit, cela fourmille de personnages secondaires qui ont tous leur place et au-delà du « divertir », cela fait « réfléchir » à comment on remplit les jours qu’il nous reste avant qu’ils disparaissent.
Achetée le jour de sa sortie, lue seulement hier...
Il est clair que ce n’est pas la BD la plus rigolote que j’ai lue, cependant j’ai adoré l’ambiance que les auteurs ont réussi à décrire
Les dernières pages expliquent le processus de création cette BD atypique : cela a été un ping-pong entre l’auteur et le dessinateur. Connaitre ce process n’apporte rien à l’histoire, mais montre combien la symbiose entre les deux a bien fonctionné.
Je n’aime pas trop le dessin, mais les aplats de couleur permettent de créer une ambiance et de recadrer le trait parfois fouillis et volontairement imprécis.
On sort de là triste et joyeux à la fois : sensation super bizarre, mais finalement l’art c’est faire passer des émotions et là c’est réussi.
Je n'attendais pas spécialement cet album mais je suis content de l'avoir lu.
Le scénario est linéaire et la fin est plus que prévisible, mais on y retrouve tous les éléments d'un WS (contrairement au tome 13):
du zang ou Van Hamme s'autoparodie via notre héroïne principale, des avions, des camions (pour lesquels Denayer excelle), des hélicos, de l'exotisme et un petit complot.
Le dessin faiblit un peu, mais c'est le dernier Denayer: alors merci monsieur de m'avoir fait fait rêver depuis "les casseurs".
La couverture est de nouveau un point faible, mais elle fait parler d'elle avec son phylactère.
Un bon album!
A la fermeture de l'album, je me suis senti apaisé.
Malgré la noirceur du thème, la violence du scénario, il en ressort plein de bons sentiments: amitié, entraide, transmission inter générations
La vie peut être belle si on y met du sien.
Scénarii: nuls
Dessins: quelques belles trouvailles.
Les reprises de planches de la fin de l'album ressemblent à des essais de dessinateurs plus qu'à un hommage :-(
Maquette: zéro pointé, on passe d'un chapitre à l'autre sans rien comprendre.
Cette polyphonie narrative en 6 volumes trouve ici une fin magistrale.
Le boucle est bouclée, la bague retrouvée, Eugène décrypté et la morale un peu sauvée.
Toutes les bonnes choses ont une fin!
un petit OVNI que ce scénario: un samouraï américain qui vient prendre sa retraite au pays basque!
C'est réjouissant à souhait: plein de références aux années 70, à l’espionnage façon grand-papa, au code de conduite, à l'amitié et l'amour.
Côté dessin, c'est simple, bien mis en page et colorisé avec gout.
Un super moment de lecture.
J’ai adoré le message que l’auteur fait passer au travers de ce livre : oui le monde n’est pas facile, mais des petits gestes peuvent le rendre meilleur. Écrit comme cela, cela semble mielleux, mais la simplicité apparente des dessins et les couleurs rehaussant les ambiances font que l’on ne tombe jamais dans le mélo.
Merci pour les sensations d’apaisement que donne la fermeture de cet ouvrage.
J’y ai passé deux bonnes heures à essayer de voir tous les détails de vignettes (parfais un peu chargées et qui en fonction des angles de vue nécessitent un effort pour comprendre ce que l’on voit).
J'ai acheté cet album avec la promesse d'un bon petit polar.
J'aurais dû le feuilleter complètement avant de repartir avec.
Les dessins sont très agréables, même si le visage de la journaliste n'est pas fidèle de case en case.
Je peux passer ce détail, mais j'ai souffert en voyant les Dalton faire leur apparition, crié à l'arnaque en voyant des zombies venir combler le manque d'idées, puis avoir jeté cet ouvrage sur le mur en découvrant E.T. façon Pandi-Panda qui parle tout en fleurs.
Désolé, le mélange flic + second degré n'a pas pris.
De l'espionnage ancré dans l'Histoire, un peu de fantastique et de professeur foldingue, deux intrigues qui s’entrecroisent pour mieux se retrouver: ce "8 heures à Berlin" est un très bon cru.
C'est la BD que j'attendais depuis plusieurs mois, je me suis régalé à la lire au coin du feu.
Les dessins sont très lignes claires, les couleurs "historiques".
Le personnage d'Olrik est magnifique de prestance. trois bémols: un pour la couverture où les personnages sont trop figés, un autre pour les personnages féminins qui ne sont ni "beaux" ni nombreux, un autre pour le spoil sur la deuxième de couverture !
mais cela ne gâche pas le plaisir.
Monsieur Mertens sait raconter des histoires!
Monsieur Mertens sait dessiner et colorier!
Monsieur Mertens sait faire passer des ambiances: j'ai eu froid, j'ai senti la pluie, le tabac froid et l'odeur des cafés.
Ce livre nous plonge dans une ville hybride (Paris/ Brussels) des années 70, c'est un drame humain sur la volonté de s'en sortir quand on n'a pas le sous.
J'ai adoré.
merci à tous ceux qui ont posté un avis: c'est grâce à eux que j'ai découvert ce petit bijou.
L'histoire est simple, mais on y retrouve les ingrédients d'un Sherlock.
Les couleurs et dessins sortent de l'ordinaire, sans être mirobolants.
Par contre pour la mise en page, cela pousse dans ses retranchements ce que la BD peut nous offrir: un vrai bonheur de suivre, au sens propre du terme, le fil rouge de l'histoire.
en voyant la couverture chez mon libraire, j'ai pensé à une réédition de Dracula...
En relisant le titre, je me suis précipité pour le dévorer.
Du mythe Frankenstein, je ne connaissais que le monstre, j'ai découvert le reste de l'histoire qui traite de la difficulté de l'intégration et des relations familiales.
Merci pour les dessins, la mise en page et les émotions qu'ils ont provoquées.
Encore un chef d’œuvre !
Ce troisième album m'a enchanté.
On y découvre de nouveaux talents, des anciennes connaissances le tout dans un Paris vu au travers de notre jeune héros Célestin.
La profondeur donnée à chaque personnage, la mise en œuvre des couleurs, la cohérence avec l’univers halluciné précédemment mis en place en font pour moi l'une des meilleures séries fantastiques actuelles.
C'est le n°3, mais cela peut se lire comme un one-shot
Je suis un gros fan de la première saison: en allant chercher ma BD hebdo j'ai été surpris de découvrir une saison 2!
Bon, la première partie de l'album est assez fade et pose l'intrigue, la seconde s'emballe un peu à partir d'éléments récurrents: archéologie, religion et Histoire.
J'ai mis du temps à retrouver les personnages de l'épisode 1, c'est comme si on avait changé de casting, alors que c'est la dessinatrice qui s’approprie les héros.
Cela manque de second degré, l’élément qu’apportait le défunt Angélo manque clairement à ce second arc.
Mais bon, la deuxième partie donne envie de poursuivre, en espérant que l'on y retrouvera machisme et technologie portnawak.
L’histoire se poursuit au Mexique avec l'arrivée d'une intrigue policière sur une génération: plutôt sympa.
Par contre le lettrage de cet album est une horreur - des phylactères non remplies où le dessinateur compense en écrivant GRAS, les mots étrangers sont en italique, mais l'écriture de Maël en italique, c'est illisible. Comment l'éditeur peut laisser passer ça!
Un bon album dans la lignée des précédents.
J'ai trouvé l'action moins présente au détriment de la politique.
La même qualité de détail de la psychologie des personnages, mais le même défaut sur certaines cases dessinées trop facilement (des paires de bottes pour représenter une armée ou des erreurs de détail sur l'architecture quand on passe d'une case à l'autre) qui me gène à la lecture.
J'ai adoré voyager dans ce nouveau monde.
le scénario est classique: une alerte vient modifier les équilibres d'un royaume, il va falloir réactiver son réseau d'alliances.
Mais il y a un beau bestiaire, de l'architecture, plein de seconds rôles bien campés.
Le dessin est simple et efficace, le découpage et les couleurs sont parfaites.
Un bon moment de lecture.
Le connerie d'une foule est sans limite !
La 4éme de couverture raconte l'histoire dans son entièreté et précise "pour public averti". Il y a tellement de violence dans cette histoire que cela devrait être interdit au moins de 18 ans et enseigné en cours de psychologie.
C'est bouleversant, j'ai même du fermer le livre à deux reprises tant la torture est insoutenable. Je l'ai ré ouvert croyant sauver notre héros: sans succès, l'histoire était écrite.
Triste histoire mais aussi une belle histoire d'amour magnifiquement portée par le dessin et la mise en couleur (sans "s": il n'y a que du rouge).
C’est un album que je relis régulièrement pour les émotions qu’il me procure : du dégout pour le magicien, de la tendresse pour la jeune fille puis de la passion, de la compassion pour la femme, parfois un peu de honte.
J’appréhende toujours le fait de l’ouvrir (et en plus les vieux formats font que les pages se décollent) en doutant que je puisse à nouveau ressentir ce que j’avais vécu à la dernière lecture : mais la magie opère à chaque fois.
Le dessin de Boucq n’est pas aussi posé que maintenant, mais je m’émerveille sur sa capacité à érotiser les personnages et à donner de la profondeur aux différents lieux de l’intrigue. J’ai passé des minutes entières scotché par la vignette d’un pont dans la brume.
C’est pour moi un chef d’œuvre de la BD adulte (au sens noble du terme).
J'ai bien aimé le dessin de Boucq : pas de surprise, c'est bien lui ! Rien d'original dans le dessin (pour du Boucq), mais c'est bien posé, bien cadré, bien colorisé.
Côté scénario, je suis plus mitigé : on retrouve la patte de Charyn avec du fantastique dans sa plus simple définition : l'arrivée de quelque chose d'exceptionnel dans un monde réel (ici au travers d'un enfant). La galerie de personnages vaut le détour : à chacun ses caractéristiques physiques.
Cependant j'ai trouvé cela lisse, relativement linéaire - et avant de poster cet avis j'ai relu "la femme du magicien" pour m'assurer que ce n'était pas mon état d'esprit qui me jouait des tours.
C'est un bon album : pas de regret sur l'achat, mais je ne le relirai pas de sitôt.
Coté dessin c'est du Maël: un peu fouillis, pas super réaliste sur les visages, mais perso j'adore l'ambiance qu'il arrive à donner grâce à ses couleurs et les détails des décors.
Côté scénario, ce premier tome nous fait découvrir les trois protagonistes: c'est fluide, bien posé au travers d'un voyage atypique de l’Allemagne vers le Mexique. Le jeu entre les photos du photographe et les cases des planches est plaisant et permet de donner la profondeur aux différentes scènes.
C'est bien dessiné et bien mis en couleur.
Côté scénario c'est un peu confus sur la mise en place - c'est linéaire mais cela manque de liant entre les différents découpages, la fin sur l'allégorie sqaw contre KKK ne m'a pas convaincu.
c'est un bon album !
Le scénario nous propose plein de rebondissements, il prend de la profondeur et commence à nous faire voyager au sein de ce royaume introduit dans les deux premiers albums.
Comme à chaque fois la conclusion donne envie d'en savoir plus - et donc de poursuivre la collection de cette série.
Les couleurs et les dessins sont agréables.
Deux bémols pour ma part:
- j'ai l'impression que certains passages sont très enfantins (pour les enfants)
- certaines cases sont un peu vides et ne servent pas l'histoire en cassant la dynamique de planches entières.
Un récit initiatique au moyen âge. Rien de nouveau sous le soleil :
- un jeune en quête de son avenir
- des méchants
- des trahisons
- des amours
mais:
- c'est bien écrit
- cela déborde de bons sentiments
- un découpage bien rythmé
- des dessins simples mais agréables
A la fermeture de ce pavé, on est apaisé - mais je ne suis pas certain de le ré ouvrir
Enfant lors de la visite du Louvre, le "radeau de la Méduse" est le tableau qui m’avait le plus frappé.
A la lecture de cette BD je viens de comprendre pourquoi: merci aux auteurs d'avoir raconté l'histoire de ce tableau et de l'artiste.
Un scénario bien construit, un dessin simple mais efficace, un seul bémol sur les couleurs qui pour moi auraient pu être plus criardes sur certaines planches.
Pour son aspect historique, c'est à lire absolument.
j'ai été déçu.
J'aime bien le trait de M.Lauffray, cependant je l'ai trouvé trop facile sur certains visages en particulier celui des héroïnes, et la mise en page des doubles pages m'a troublé - confus.
j'ai trouvé les couleurs bien pensées - de beaux effets qui renforcent la mise en page.
Pour le scénario: il y une course au trésor à partir d'une carte! rien de neuf sous le soleil de Tortuga même si le casting est plutot bien étoffé - des gentils, un mentor, des méchants - tout est un peu caricatural, cela fait série B - pas déplaisant - pas transcendant.
je connaissais Lovecraft - mais pas Breccia
C'est magique: je suis un grand fan du N&B, Mr Breccia maitrise son sujet et j'ai compris a postériori qu'il était sorti de sa zone de confort avec des techniques qui sortent de l'ordinaire - cela m'a donné l'envie de revoir les dessins en faisant abstraction de l'ambiance pesante liée au monde de Lovecraft.
J'ai lu l'édition de 2018 - dommage que l'éditeur n'ait pas profité de cette réédition pour corriger les défauts de collage des traductions dans les bulles et oublié d'ajouter une numérotation des pages (le papier est de tellement bonne qulité que je me suis souvent demandé si je ne tournais pas plusieurs pages à la fois)
Fan des auteurs, je n'ai pas su attendre la sortie de l'album en couleurs.
J'ai donc une version N&B de bonne facture.
Le dessin c'est du Brüno - ni plus ni moins, mais c'est très bien.
La mise en page et le découpage sortent de l'ordinaire avec beaucoup de matériel (affiches, interview, etc.) issus de la réalité.
Pour l'histoire, j'avais adoré American Sniper le film, j'ai pu ici découvrir les histoires derrière cette histoire: fabuleux boulot de recherche et de découpage.
Merci messieurs
c'est avant tout un roman graphique qui revient sur la chute d'une petit société (qui s'est faite bouffer par la mondialisation) au travers de la vie d'une famille qui fabrique des ventilateurs.
Les dessins sont propres et il y a énormément de rappels entre les cases qui renforcent l’envie de décoder toutes les vignettes - mais aussi plein de défauts entre ses rappels qui m'ont agacés.
5 couleurs suffisent à enluminer ce pavé de 480 pages.
Je n'ai pas su m'identifier aux personnages présentés, mais j'ai ressenti tout ce qu'ils ont pu vivre: c'est pour moi la force de cette BD, faire passer des émotions que l'on ne voit rarement dans le 9éme art.
il faut lire cet album, rien que pour sa valeur historique cela vaut le coup! (et le coût vu la taille du volume).
C'est parfois un peu trop scolaire et linéaire, mais il n'est pas simple de développer tous les personnages qui sont à l'origine de cette bombe.
un découpage classique qui part en vrille quand la bombe explose: tout est beau, net et clair.
Une super série!
chaque album développe un personnage au sein d'un univers bien construit et cohérent.
Le découpage et les couleurs sont classiques, le dessin simple mais dynamique.
pour moi, un très bon moment de lecture.
c'est un album magique.
Magique par les couleurs, magique par l'ambiance rendue par les publicités et l’architecture omniprésente (un mix Paris - Brussels), magique par le livre rouge découvert par Béatrice, magique par les sensations qu'il m' a donné.
J'adore Berthet: de nouveau son dessin, sa mise en page et les couleurs m'ont enchanté.
Sur l'histoire, je n'aime pas les policiers qui se terminent en deux pages par un flashback qui dénoue le pourquoi de l'intrigue: aucun indice n'a été laissé et on est surpris par cette fin maladroite. Reste alors la vie sociale de quelques riches dépravés à la frontière mexicain dans les années 60 et les relations entre un homme, ses maitresses, ses amis et sa famille.
pas emballé par l'histoire.
c'est un long voyage - calme, dépaysant, reposant.
Mais ce voyage a une finalité beaucoup plus grave sous fond de terrorisme et d'espionnage.
La conclusion est très peu crédible et trop caricaturale : cela m'a sorti brutalement du repos amené par les tribulations de Léna.
Habitant Le Havre, j'ai bien aimé m'y retrouver.
Le scénario est impeccable, le dessin un cran en-dessous des albums précédents de par la mise en couleur qui joue moins sur les effets de lumière.
A lire absolument !
Voila le dernier tome de l'intégrale - le format incite à tout lire d'un coup, c'est plus facile pour la compréhension, même si le dernier tome nécessite un peu de réflexion pour tout recoller.
La couleur manque un peu à la compréhension: certains passages pour moi sont incompréhensibles si l'on n'a pas vu la version colorisée (en particulier pour la distinction entre les deux New-York).
Cependant, Andreas est un maitre (le maitre !) du dessin et de la mise en page.
Pour ceux qui connaissent - pas la peine d'y aller.
Pour les fans: allez-y !
Pour ceux qui ne connaissent pas: comment est-ce possible?
Quelle maitrise du noir et blanc!
Merci monsieur Bess - j'ai passé plusieurs heures à dévorer (sang jeu de mots) vos dessins et mises en page qui portent magnifiquement la noirceur du scénario.
J'avais aimé le premier tome pour les paysages et la mise en place des personnages (et l'avais surtout acheté grâce au scénariste)
Le second tome ne m'a rien apporté et ce troisième épisode encore moins: ce n'est pas l'histoire de Tango, mais un amalgame de péripéties qui se rapprochent plus d'une série année 80 que d'un grand film d'action.
Le n°4 ne sera pas pour moi.
déçu...
La moitié de l’album sert à la mise en place de l'action qui va se dérouler en huit-clos sur le bateau des pirates.
J'ai trouvé que ça manquait de rythme - je n'ai surement pas compris tous les jeux de mots - je n'ai pas réussi à accrocher à ce décalage de générations qui est à la base de l'histoire.
Les références à Aznavour, par contre, m'ont fait exploser de rire à chaque fois.
Je le refile aux enfants qui venaient de me l'offrir: j'attends leur verdict.
Chef d’œuvre scénaristique !
Un homme, en jetant en caillou sur une carte, localise tout ce qu'il cherche. Que faire de ce don? On peut traquer des personnes en tant que policier mais aussi trouver l'Amour.
L'auteur renforce l'univers du tome 1 avec plein de nouvelles familles (et dons associés) interagissant entre elles.
Le découpage ressemble à un story board, les dessins pas super clairs, mais la colorisation renforce les sentiments ressentis au fil de la lecture.
J'en suis à ma troisième lecture: toujours aussi jouissif !
Comme toujours avec Andreas, une fois l'album terminé il faut le recommencer pour comprendre les détails loupés... (même si cela reste plus accessible que d'autres albums)
Sur un fond politique, Andreas décline ses gammes:
- passage entre deux mondes - c'est du fantastique - pas un policier.
- architecture
- vers (ici remplacés par des serpents...)
- mélo familial (cf dernier cycle ARQ)
la mise en page est plutôt sobre, mais cela reste du Andréas.
La palette de couleurs d'Isa Cochet est sublime et aide à la compréhension du dessin.
Que du bonheur. Merci à vous!
C'est l'histoire d'un homme entrain de mourir qui revoit sa vie qu'il a passé à tuer et à aimer.
Mort, angoisse, amour et poésie vont rythmer cet album qui n'a rien d'un policier. Cela fait penser à "'l'état morbide" sous fond de fleurs du mal.
Le dessin n'est pas hyper léché, mais les couleurs accentuent l'ambiance de ce gros pavé.
Une bonne surprise, une fois passé le sentiment de m'être fait avoir par le pitch - mais en le relisant il n'y a pas tromperie sur la cam proposée: c'est addictif.
Schuiten me régale par sa capacité à dessiner les bâtiments. Ayant vécu à Bruxelles j'ai aimé me retrouver dans un univers connu.
Pour le scénario j'ai eu plus de mal - je n'ai pas aimé dans le désordre:
- Mortimer chez les Hippies
- Mortimer fait du parachute
- Un rôle de jeune fille que je n'ai pas compris
- un Blake en dehors de son costume d'homme d'actions.
bizzare...
je classe cet album qui prendra la poussière.
Ca sent la cigarette, le stupre, l'alcool, l'humidité, la poudre et la peur.
C'est glauque mais jubilatoire.
J'adore le dessin de Cabanes, même si il m'a semblé moins abouti que sur les albums précédents.
Les pastels soutiennent l'ambiance.
L'histoire tient a peu de choses: comment défendre ses idées au service de son intéret - c'est révolutionnaire si on se replace à l'époque, cela parait improbable de nos jours (et heureusement!)
Bravo aux dessinateurs et à l'auteur: je me suis régalé.
Alors oui les couleurs font vieilles, mais finalement c'est bien trouvé.
Alors oui, c'est de la ligne claire différente de Jacobs, mais les mouvements sont moins figés que ceux de Juillard. Peut-être parfois trop de détails?
Quand au sécénario, Sente en a fini avec les histoires de rencontre et de famille, on revient à des basiques: des méchants, un Olrik retors et maquillé façon Mission Impossible, des seconds rôles connus et inconnus bien campés, des machines improbables, un soupçon de fantastique, des chemins croisés entre le professeur et le capitaine et un suspens de fin façon journal de Tintin.
Un jour il faudra renuméroter tous les albums façon chronologie tellement le monde de nos héros s'étoffe.
Un super cadeau de Noël avant l'heure.
Déçu par le scénario: trop improbable dans sa conclusion et trop improbable dans ses rebondissements...
Déçu par la mise en page: je n'aime pas que l'on m'explique ce qui est dessiné, j'ai passé l'âge des Petit Ours Brun
Déçu par le lettrage: inconsistant suivant les pages
Déçu par le dessin: un peu trop 'carré'
Cependant les auteurs ne seront pas déçus: je l'ai acheté...
Quel bonheur!
On se laisse mener en bateau dans une petit ville des US dans les années 80. Les flic sont très flics, les femmes presques fatales, et le héros à contre-emploi. Les méchants sont méchants et forment une sacrée galerie de seconds rôles! Ca file à 100mph sur un ton décalé où l'aspirateur de l'époque ressemble étrangement à l'i.machi du moment.
Une mise en page fabuleuse, des couleurs qui rehaussent le tout. Le QRcode fait un peu anachronique - mais c'est super rigolo :-)
MERCI !
- femmes: ok
- argent: ok
- trahison: ok
- exostime: pas ok
- camions: pas ok
Il manque 2 deux des 5 ingrédients: ça ressemble à du Wayne Shelton, mais ce n'en est pas un.
Ca c'est de la BD pour adulte!
Un peu de sexe, de la satyre bourgeoise, une critique de la province année 70, un révolutionnaire bougon et alcoolique, une femme sans gène...
C'est éblouissant de fluidité, de cohérence, de couleurs crues malgré la noirceur du scénario.
C'est indispensable!
Sympatoche!
Un petit tryptique policier bien dessiné et colorié.
Pas la série de l'année, mais pour passer un agréable été, ca le fait.
Dessins: pas de mise en page spectaculaire (pour Andréas !, mais si l'on compare à Hergé, ce dernier est renvoyé à la préhistoire de la mise en page). Une maitrise du noir et blanc qui laisse croire que tout un chacun sait dessiner (des noirs, des blancs, du gris, des rayures, des zébrures)
Scénario: en prévision de la sortie du tome 17, je relis depuis 15 jours tous les albums. J'ai enfin compris le principe narratif d'Andréas: c'est linéaire, mais par ordre inverse, un peu comme dans Mémento pour ceux qui ont vu le film. On comprend les albums précédents à la lecture du petit dernier: MAGIQUE!!!
Je suis fan: vivement le dernier:à l'année prochaine
C'est un bon album.
J'ai bien apprécié que l'on me raconte une histoire qui s'inscrit à la suite de SPADS et que l'on ne passe pas la moitié de l'album à me raconter la jeunesse de Betty.
Un petit flash-back sur son engagement bien a propos.
C'est parfois un peu mièvre mais aussi bourrin à souhait.
Les dessins sont excellents, réhaussés par de superbes couleurs.
Le découpage pour nous cacher XIII fait un peu complot, mais cela ajoute au charme de l'album.
Un bon achat, merci aux auterurs.
Un tres bon moment de lecture:
Dessins en N&B magnifiques. Ceux en couleur sont dérangeants et participent à l'atmosphère glauque de cet album.
Notre héros est en fait un vrai romantique. Je trouve que la fin aurait pu se terminer avec son suicide: les dernières pages sont un peu poussives et gachent le faux rythme qui avait été distillé lors des précédents albums.
Cependant si on s'était arrêté sur le suicide, j'aurai trouvé ça convenu, c'était le seul échappatoire a road-movie campagnard.
C'est une BD humoristique adulte: non pas que l'on voie des scènes de sexe explicites, mais les sujets abordés ne sont pas à mettre en toutes les mains (suicide, nucléaire, tueur en série, racisme).
Ce sont des taches d'encre qui abordent les sujets.
Coté dessin: rien de formidable ce sont des taches, Mr larcenet a du en plus user de l'ordi pour faire de nombreux copier: coller pour ses taches.
Couleurs sympathiques, avec parfois un manque de contraste entre les couleurs de fond et la calligraphie: vu la qualité de l'impression, je ne comprends pas que l'éditeur ait laissé passé une telle erreur.
C'est drôle mais méchant.
La conclusion de Ferri est un petit bijou.
jubilatoire!
de suberpes couleurs,
des dessins facon Clarke mais dans une ambiance facon réaliste
des cases en décalage avec le texte mais qui donnent cette ambiance particulière.
un scénario qui ne me fait pas regretter de vieillir, mais regretter de ne pas avoir assez profité...
j'ai adoré ce polar facon série noire en BD!
c'est une lecture exigeante car certaines vignettes ne se comprennent que bien plus tard.
On croit deviner l'intrigue pour se rendre compte que l'on s'est fait manipuler (comme beaucoup de protagonistes de l'histoire)
Le découpage et la mis en page sont tout sauf classiques: c'est jouissif et permet de camper cette atmosphère facon seconde zone zone et second degré.
Un anti-héros des temps modernes qui se la joue à l'ancienne.
Je recommande.
une suite une peu longue, même si tous les ingrédients d'un B&M sont présents.
-des ennemis connus et inconnus
-des techologies futuristes
-des machines improbables
-de l'amitié.
il manque un ptt qqe chose pour rester scotché pendant toute la lecture
La couverture est une horreur!
J'ai bien aimé ce premier albulm:
-scénario bien ancré dans l'Histoire
-des dessins et couleurs dans la lignéee de ce que produsiait Jacobs
-des références bien senties à l'univers B&M
-des clins d'oeil science-fiction qui font sourire
-le développement de la jeunesse de Mortimer et sa rencontre avec Francis.
Un vrai régal
fan d'Andreas, j'ai pu lire ce scénario grâce à Ebay...
Deux histoires fantastiques, sans prise de tête, faciles à lire.
Berthet est au dessin, mais Andreas a du influencer le découpage.
C'est pas transcendant, mais c'est plaisant, et même si cela date, cela reste intemporel.
On se laisse porter par l'histoire, tout comme notre privé préféré qui finalement ne fait pas grand chose.
Belles aquarelles, beau bestiaire.
La mise en page est un ton au dessous des deux premiers: il n' y a rien à deviner des vignettes.
Un bon petit polar.
Merci Mr Gibrat pour cette relecture de notre histoire.
Merci pour vos aquarelles: chaque vignette est un émerveillement et permet de planter cette ambiance estivale pleine de saveurs, de soleil, d'erotisme, de politique.
Vous m'avez de nouveau fait plaisir!
Merci.
Comme pour Wayne Shelton, le scénariste récite ses gammes: c'est harmonieux, il n'y a pas de fausses notes, mais il commence à manquer le petit plus qui faisait de Lady S un personnage attachant.
Les dessins sont à la hauetur et dans la lignée des précédents albums.
Pour les dessins, j'ai toujours un peu de mal avec Boucq s'essayant à l'ultra réalisme.
Le scénario gagne en épaisseur et détricoter la pelote va demander beaucoup de subtilité pour le prochain album (qui se fait attendre par ailleurs).
C'est toujours agréable de redécouvrir un environnement connu.
Tres beaux dessins et belles couleurs.
La mise en place et le découpage sont parfaits.
Reste un sentiment de faux rythme sur l'histore, alternant entre plusieurs lieux et plusieurs personnages. C'est beuacoup moin linéaire que les précédents albums et finalement un épisode de transition qui apporte peu à la fresque globale.
Scénario: exigeant et compliqué. C'est à lire à tête reposée avec la volonté de vouloir comprendre. C'est esothérico-medico-histo-fanstastico-éotremachinenco. Cependant cela boucle à la relecture de l'oeuvre.
Dessins: beaux mais compliqués. Ils ne m'ont pas permis de fluidifier le scénario.
J'ai voulu lire cela comme une distraction: je le déconseillle! Posez-vous, prenez votre temps et laissez vous porter par le faux rythme de cette aventure.
Bonne lecture.
Je n'ai rien compris à l'histoire! Donc je relis, mais ne comprends toujours pas...
Déception au niveau du scénario!
Dessins et couleurs sont plaisants.
un 17éme albulm qui vient fermer quelques portes (une carte du destin va disparaitre) et amener des réponses à des questions que l'on se pose en relisant les épiosdes précédents. Mais d'autres portes se sont ouvertes, des personnages secondaires prennent de l'ampleur au détriment de CAP.
Scénario jubilatoire mais exigeant.
Coté dessin, peu d'innovations mais encore une page avec un découpage inédit: je ne comprends toujours pas comment Andréas peut continuer à inventer!
Un petit bémol pour les couleurs de l'album: trop sombres à mon gout, mais c'est suremt voulu.
Jeux de mots: Ok
Pirates: Ok
Voyage à l'étranger: Ok pour cette fois
Noms à la con: Ok
Engueulades:Ok
Potion magique: Ok
Romains: Ok
Banquet final: Ok
Pret au décollage,mission réussie pour le scénario même si on est en mode check-list de tout ce qui fait un bon Astérix.
Les dessins sont différents tout en restant dans le style, on apercoit quelques perspectives auxquelles Uderzo avaient peu recours.
Merci aux auteurs et longue vie aux irreductibles Gaulois!
C'est sans interet du point de vue du scénario....
Pourquoi la majorité des auteurs reviennent-ils presque systématiquement sur la jeunesse des personnages choisis?
Si cela a du sens pour la mangouste, car c'est un 2nd role récurrent de XIII, pour Billy cela est sans interet. Les 30 premières pages sont convenues et vraiment longuettes.
J'aurai préféré le développement d'un fait précis interférant avec XIII...
Il y a aussi qqs incohérences:comment un gamin de 10 ans peut-il transporter une femme d'au moins 50 kg?
Je suis déçu par le scénario.
Bravo au dessin: j'ai vraiment accroché, les couleurs: sont excellentes.
Il y a qqs références graphiques qui sont des copier/ coller de vignettes de Vance: c'est bien trouvé.
De mon point de vue l'un des moins bons de cette collection. Il n'y aurait pas XIII sur la couverture je ne l'aurais jamais acheté.
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C'est un tome 2, qui s'il fait avancer l'intrigue, reste bati sur le principe du tome1.
c'est propre et bien fait.
Une référence assumée à Indiana Jones.
Une découverte de Bruxelles plaisante.
Pas indispensable, mais un bien bel objet pour une bibliothèque.
Je suis tombé sur une EO en occase pas cher: j'aurai du me douter que la côte était représentative de la quilité de la BD.
Les dessins sont bien ancrés dans notre époque, le découpage est classique, les couleurs en peu trop sombres pour moi.
L'idée de base est pas mal, mais le développement fait passer nos services secrets pour les Dupont et Dupond français. Le scénario a trop de clichés (rivalité entre collègues, la belle de service, le rendez-vous de nuit sous la pluie) et l'on devine facilement la fin . Dommage...
Comme c'est un dyptique je pars à la recherche du tome 2: la fin laisse espérer de bonnes choses pour la suite.
Les dessins et les couleurs sont magnifiques. Jigounov a un sens du détail qui donne envie de s'attarder sur les vignettes.
Le scénario est dense (on a plus à lire que dans un Blake et Mortimer). C'est bien construit, comme tout ce que fait Mythic, mais il manque le petit truc qui fait que cela pourrait être parfait.
Merci messieurs.
Aprés avoir lu le très bon Loup des mers, ma curiosité a été piquée et je viens de terminer A bord de l'Etoile Matutine.
Le dessin est toujours aussi fabuleux.
Le scénario: j'ai été perdu. Il y a très peu de liens entre les scénettes proposées. Ni début, ni fin, pas de changement de rythme.
Le seul fil conducteur c'est l'étoile Matutine: un bateau fédérant plus ou moins volotairement un ramassis de pirates dont la majorité ne souhaite qu'une chose: redevenir un citoyen normal. Le capitaine n'y arrivera pas!
Fan de la série originelle, j'ai acheté ce tome par ce que le RER était en retard.
J'ai failli louper mon train tant la première histoire m'a scotchée: on y parle des Minutemen, les références à la série sont légions, s'y plonger sans la connaitre revient à louper la moiié des références, en particulier les références graphiques.
Le dessin sur Ozyamandis est chirurgical: quelle précision et quelle mise en page!
Seule l'histoire du comédien m'a décu.
Vu le prix c'est bluffant.
C'était mon premier Comics, je vais regarder ce qui se fait d'autres dans cette collection.
C'est une série exigeante.
Si vous êtes du genre à ne pas vous prendre la tête, passez votre chemin.
Si vous avez envie de vous surprendre car vous arrivez à comprendre là ou Andréas veut nous emmener, (mais finalemenr être perdu car le scénario bouscule les certitudes) c'est fait pour vous.
J'ai profité de ce week-end pour relire le dernier cycle: c'est magique et déroutant à la fois.
Dessins et scénario m'ont donné l'impression qu'Andréas a passé du temps pour moi: rien que pour celà , merci Mr.
C'est pas mal.
Les dessins sont un peu taillé à la serpe.
Quelques bonnes idées scénaristiques: changement de vision en fonction du pays , le clonage, religion/science,mais trop de stéréotype sur ladrogue, la politique ou la richesse. La double chute relève le niveau: dommage qu'il faille attendre les deux dernières pages pour voir autant de rebondissements.
J'ai arpenté pas mal de bouqinistes avant de tomber sur ce tome 2.
C'est une déception. Le premier tome était riche en idées neuves: c'était une BD d'actions (ie: comment un robot peut aider une équipe d'intervention d'élite) avec un peu de psychologie, et bien le tome 2 c'est l'inverse: on psychanalise notre société vilolente au travers du robot. Cela nécessite surement de lire la suite, mais je suis retrouvé perdu à la fin de l'album.
Pour les dessins et la mise en couleurs: rien à redire, merci Mr Meyer.
C'est un Buck Danny pas terrible.
Si les dessins de Bergèse sont précis, le scénario est un peu plus à la peine.
Je voulais des avions, j'en ai eu.
Je voulais de l'exotisme:il y en a.
Je voulais retrouver l'ambiance de la série: à part quelques gags lourdeaux, le petit plus qu'amenait Charlier manque.
Cependant il y a matière à lire: sous un parasol avec un cocktail ou aupres d'une cheminée avec un vin chaud, cela fait passer le temps.
C'est très bon.
Les dessins sont fouillés, la mise en page précise, les couleurs sublimes, les effets de cutter sur les flashbacks tombent à bon escient. Amoureux de l'art déco, prennez le temps de feuilleter ces planches.
Le scénario est dense sur fond d'amour, d'amitié, de trésor, de décadence et de tortures. Cela fourmille d'inventions et d'idées.
C'est inclassable: de la très bonne BD adulte.
J'avais trouvé le 1er tome très bon, sur ce dernier, j'ai été pris à contre-pied (d’arbre...).
Je m'attendais à de l'action et du fantastique, en fait c'est un road-movie chez les Vikings qui parle plus de l’éducation, de l’entrée dans la vie adulte et de la réalisation de son destin.
Le krakken n’est que prétexte à la prise de conscience de ce qu’apporte la vie.
C’est beaucoup plus philosophique qu’il n’y parait : pas inintéressant, mais la surprise de la tournure que prend cette histoire peut dérouter.
Quoi qu’il en soit, c’est à lire: 6/10.
Que du bonheur.
De l'action
Du fantastique
Du manga
De l'Histoire
De la Religion
De l'humour
Des corps bien roulés
Un peu de technologie James Bondienne
Un peu de mafia
Le mélange aurait pu être un gloubiboulga, que nenni!!! la mayonnaise prend bien.
Je prends énormémement de plaisir à suivre cette série.
C'est pas mal.
Scénario: c'est du Wayne Shelton: exotisme, argent, traitrise, femmes.
Dessin: Denayer a délaissé les camions pour dessiner des avions, sinon c'est du Denayer, agréable à regarder, sans trop de prise de risque, mais avec parfois le petit truc qui fait dire que c'est un peu bancal.
Il n'y a pas tromperie sur la marchandise, je voulais du WS, j'ai eu ma dose annuelle.
Je ne serai cependant pas en manque en attendant la suite.
10: chef d'oeuvre
merci mr Riff Reb's.
J'ai voyagé avec vos personnages, j'ai eu mal pour eux, j'ai eu faim, j'ai même senti la graisse de phoque...
Je n'ai pas lu le roman de Jack London, je ne connais donc pas qu'elle est la part de libre interprétation, quoi qu'il en soit c'est envoutant.
C'est une très bonne conclusion à cette série.
Dessin:
C'est dans le style Griffo, parfois un peu bancal, mais la mise en scène et le découpage tiennent la route. Les personnages sont facilement reconnaissables au travers des différentes époques.
Deux coups de gueule: certains personnages en arrière plan n'ont pas de visage: c'est déstabilisant...
Les bulles à cheval sur plusieurs cases sont mal dessinées: c'est dommage ca accroche le ragrd au détriment de la mise en place.
Scénario:
Dans le style Desberg, mélange à l'envie de différentes époques. Fausses pistes, cupidité, amour et amitié sont les thèmes couverts par ces 6 tomes aynt chacun leur point focal. On croit savoir ou l'on va rriver pour mieux être perdu.
Seul bémol: trop de redite entre deux albums consécutifs.
Couleurs:
c'est la partie magique de cette série: en fonction du camaieu de la case, on sait dans quelle époque on se trouve. Cela aide et porte le scénario: superbe.
Malgré les défauts c'est du très bon: 7/10.
Oui, le profeseur Mortimer n'est qu'un faire valoir dans cette aventure,
Oui, il y a des effets de scénarios un peu enfantins,
Oui, il n'y a pas de fantastique,
MAIS,
c'est bien dessiné et colorisé,
c'est une bonne histoire policière ancrée dans l'Histoire,
il y du texte à lire,
le scénario tient la route mieux que la moto de Lawrence et la voiture d'un des Lords.
Cela aurait pu se passer avec d'autres protagonistes, mais ne boudons pas notre plaisir:
c'est à lire.
C'est trè bon.
Noir à souhait: des morts, des branques, des arnaques, des loosers, des femmes fatales et faciles.
Scénarion bien ficellé (il faut suivre un tout petit peu de peur de n'y rien comprendre)
Dessin à la Tardi: peu précis mais envoutant par son sens de la mise en page et des sa maitrise du N&B.
C'est pas terrible...
Je n'ai rien compris... Histoire sans intéret, bien loin de la lignée du premier tome.
Pourquoi cet épisode? ou est le rêve? le dépaysement? Ou veut-on nous emmener?
Passer d'un triptypique à une série à rallonge en est surement la cause.
Les couleurs sont criardes, les batiments prêts à tomber, la caverne du pirate trop caverne du pirate, les chandeliers trop zombies, le découpage réalisé à la tronçonneuse, les plongées en manque de point de fuite, les femmes nues pas assez rondes...
Bref c'est pas terrible: je m'en va tout vendre les trois premiers tomes, j'arrête les frais.
C'est très bon.
Un mélange des Totaly Spies décomplexées et sexuées et de de Cat's Eyes...
Le tout est bien digéré, construit, colorisé et mis en scène.
On voyage, on s'inquiète, on rêve: c'est plaisant.
La chute est un peu rude et laisse plein de portes ouvertes.
Par contre je n'ai pas compris l'utilité des dernières planches...
c'est à lire.
Je n'ai pas appris grand chose: c'est très linéaire et s'appuie beaucoup sur les infos de XIII l'enquête.
C'est bien construit, mais on connait la fin: cela manque d'une intrigue plus poussée au mileiu de l'histoire.
Steve est gaucher ou droitier? ou ambidextre. L'un des seuls défauts que j'ai trouvé au dessin.
Scénarios: plein de pistes qui rebouclent sur les derniers albums, ca sent la fin... C'est la première fois qu'Andréas explicite autant les références: le puzzle prend forme même si on a pas encore toute la fresque.
Dessins: le parti pris pour la mise en page est assumé jusqu'au bout. Cependant au bout de qqs planches cela devient fatiguant, Andréas a du s'en rendre compte et a élargi quelques plans. La poursuite en voiture reste pour moi le point d'orgue de cette mise en page (allez jeter un coup d'oeil chez votre libraire aux planches 28 et 29).
Merci pour ce moment de lecture: a chaque Cap, je me relisla série en entier...
Bucqoy a préféré aller vers les images animées: Hulet reprend le scénario.
Et là, pas terrible. Apparament en plein "Etat morbide" Hulet fait des parallèles entre les deux univers, on y rêve et on y délire.
Sorti des ces pages indigestes, il se passe peu de choses: notre héros hésite à se rebeller et préfère subir: les chemins de la gloire passent par les latrines du fort et le renoncement à ses idéaux... On est loin du rythme des deux premiers épisodes.
Les dessins et couleurs restent maginifiques, c'est bien le seul point positif...
Dommage, ce dernier opus méritait mieux.
Un album un cran en-dessous des deux premiers. Cet avis est principalement motivép ar la chute de cet épisode.
On ne comprend rien à la mise en scène de l'attaque des Algériens: Hulet s'est fourvoyé dans un découpage statique à 100 000 lieus de l'effet attendu.
Bucqoy à quand à lui oublié, que 'il a difficille' est un belgissisme: ça le fait pas.
Malgré une fin un peu molle, le destin éloigne notre héros des chemins de la gloire: amour, bagarre et trahison sont au rendez-vous. Ecrit comme cela on dirait les feux de l'amour...
Si vous tombez sur ces albums en occase: n'hésitez pas, c'est à lire.
Suite fabuleuse: la gloire promise arrive, mais elle a un prix.
Ce deuxième album évoque moins les aspects politiques des années trentes pour se focaliser sur la psychologie des nombreux personnages secondaires.
Les dessins sont toujours aussi réalistes: la couverture a elle seule donne envie de rechercher tous les détails distillés dans cet épiode.
A lire absolument!
C'est indispensable: 9/10.
Quel sentiment de paix et de fraicheur! Cela faisait longtemps qu'Aire Libre ne m'avait pas pas apporté au tant de bonheur.
Une histoire de virilité (au sens propre...), de famille détruite, d'amours loupées avec comme trame de fond le Chili de Pinochet.
C'est apaisant, plein de bons sentiments faisant écho à la violence dictaturiale, beau, émouvant sans être mièvre.
C'est INDISPENSABLE.
Bonne lecture.
Dessins réalistes et surréalistes à la fois mettant en scéne la France des années trentes qui se cherche d'un point de vue politique et littéraire.
Coté scénario, c'est en refermant l'album que l'on en comprend toute la richesse: on se fait ballader de gare en gare en différents lieus pour mieux comprendre comment le destin tisse ses liens, cela aurait pu s'appeler le chemin du destin.
Espérons que les albums suivant offriront à notre héros prolétaire d'entre deux geurres, la Gloire promise.
A lire ABSOLUMENT: 8/10.
Cette série et pour moi le signe même qu'une bonne BD c'est avant tout un bon scénario.
Les flashbacks entre passé et présent (marque du scénariste que l'on retrouve aussi dans sa série Black-Op) sont tres intéressants et donnent beaucoup de profondeur à l'histoire, même si les caractères des personnages du présent ne sont pas du tout fouillés.
J'ai beaucoup de mal avec le dessin: je n'arrive pas à comprendre que l'on puisse le trouver intéressant: trop simpliste sur les visages, des couleurs de fond parfois agressives à s'en mettre des lunettes de soleil, des perspectives et des contres-plongées qui n'anèment rien à l'histoire et qui au contraire donnent envie de critiquer le travail et d'y trouver tous pleins de défauts.
Le scénario fait oublier ce désagrément: je m'en va m'acheter le numéro 3.
C'est très bon.
Une histoire de pêche au gros chez les vikings.
Coté dessins, j'aime bien le rendu de Meyer (il y a du Moebius sur certains gros plans de visages). La mise en page sort parfois du découpage classique, mais c'est toujours pour servir le rythme. Seul bémol, on ne "sent" pas le froid qu'il est sensé faire.
Côté scénario: c'est agréable et la tripotée de personnages secondaires est bien décrite. On n'hésite pas à faire mourrir des personnages a priori importants.
Le tome 2 devra révéler un peu du passé de notre héros, et connaissant Dorison une petite touche de fantastique devrait venir conclure tout ça.
Effectivement on a en tête Thorgal comme monde de référence, mais passé la mise à l'eau du drakar on est plongé dans un autre univers.
Merci pour ce très bon moment de lecture.