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Cette histoire, tirée d'un roman de Douglas Kennedy, est magnifiquement interprétée par Cyril Bonin
A travers l'histoire de Sara on retrouve l'Amérique des années 40 et 50 soumis notamment au Maccarthysme et la chasse aux communistes. Une histoire prenante et dramatique assez émouvante.
Cyril Bonin s'est parfaitement emparé de cette histoire. Les personnages sont attachants et les dialogues bien construits.
A lire absolument qu'on connaisse ou non le roman
Malheureusement d'accord avec Diablotin. Cette histoire n'a aucun sens. A mourir d'ennui.
Je ne comprends pas comment un éditeur laisse passer une telle histoire. Il faut avoir le courage de dire stop même à un grand génie.
J'ai tant d'estime pour le grand Monsieur Hermann que j'en ai mal au coeur.
Mon grand coup de coeur de la rentrée.
Sacha a bientôt 8 ans. C'est un enfant qui est devenu complètement asocial. Il s'enferme dans son monde imaginaire inspiré d'un Manga appelé Mitsuo, un aventurier intergalactique. Ses parents sont désespérés car ils ne savent pas comment gérer, ni même communiquer avec lui simplement. Renvoyé de tous les établissements scolaires, sa mère refuse de le laisser dans un établissement spécialisé et s'enfuit avec lui. Pour communiquer avec Sacha, elle se décide à rentrer dans l'univers de son manga préféré. Pour comprendre, pour simplement retrouver des moments de tendresse avec lui.
Cette histoire particulièrement émouvante est merveilleusement racontée. Tous les personnages sont extrêmement attachants. On est totalement immergé. L'émotion se retrouve à chaque page. La révélation à la fin nous secoue particulièrement et on attend avec impatience la suite de ses aventures, cette fois, avec son père.
A lire absolument
Magnifique histoire sur la destiné d'un jeune héritier qui ne se voit pas suivre une route toute tracée en prenant la suite de son père, chef d'entreprise dans la tourmente. Magnifique histoire d'une rencontre entre ce jeune homme et un vieux cuisinier qui a tout lâché suite à un coup de colère. Avec un leitmotiv: IN VOLUPTATE VERITAS, la vérité est dans le plaisir on peut franchir tous les obstacles, ou presque. Une reflexion universelle passionnante, portée par le talent de conteur de Xavier Dorison et le dessin élégant de Servain.
Superbe.
Mon coup de coeur avant l'été
Bof Bof
Cet album est très cliché. Les personnages semblent sortir des vieux films de barbouze mais sans la moindre originalité. Je suis bon public mais là je me suis ennuyé.
Quand au dessin je le trouve très stéréotypé. Vallée ne se renouvelle pas et ne semble pas faire d'effort sur cet album
Une nouvelle Terre pour une nouvelle vie ». Ce slogan de la société Eden Corp qui organise des vols vers une nouvelle planète paradisiaque est tellement attirant que Gave Oximenko, sa femme et sa fille, qui survivent dans une terre en sursis, vont tenter le tout pour le tout : prendre la place de leurs voisins qui ont gagné un des si rares billets proposés au tirage au sort. Et tout fonctionne à merveille. Seulement dans le vaisseau le paradis va vite devenir l’enfer… Une histoire au scenario prenant et haletant parfaitement mis en image. Un excellent moment de lecture.
Un road trip bouleversant d'un père et son fils dans un monde post apocalyptique : émotion, partage, espoir, angoisses.
Graphisme incroyable. Larcenet franchit un cap avec cet album monumental. On peut en effet parler de chef d'oeuvre.
C'est la première biographie que j'ai dévoré en quelques heures sans pouvoir la lâcher. Et pourtant je ne suis pas un fan absolu de Star Wars. C'est exaltant de lire toutes les péripéties qui ont jalonné le film. On découvre ainsi que personne ne comprenait Georges Lucas. Même ses propres équipes de tournage le prenait pour un fou. Les producteurs vont le suivre seulement contraints et forcés et le film ne sort que dans 70 salles aux USA. Ce qui est devenu un chef d'oeuvre du cinéma, qu'on l'aime ou non, émane de l'énergie visionnaire d'un homme qui sera soumis aux contraintes budgétaires, techniques, humaines et parfois au hasard ou à la chance.
Le scénariste Laurent Hopman fait un travail remarquable en multipliant les anecdotes savoureuses rendant l'histoire véritablement captivante. Le dessin, très ligne claire, illustre parfaitement ce one shot et nous permet de plonger rapidement dans la magie de ce making off.
Indéniablement mon coup de coeur de la rentrée et une divine surprise.
Du très grand Chabouté. Au travers des échanges entre les statues et les peintures du musée d'Orsay, qui tous les soirs prennent vie pour commenter à leur manière l'attitude des nombreux visiteurs de la journée, Chabouté, tel un magicien, porte un regard tendre, naïf mais parfois critique sur notre monde. Une parfaite réussite
Bien d'accord. Cela semblait prometteur au vu du pitch de 4e de couverture.
En fait non ! l'histoire est assez banale et traine en longueur. Une désagréable impression de déjà vu.
Le dessin est remarquable mais l'ensemble est une grande déception
J'ai vraiment aimé cette nouvelle série créée par Serge Duval. On rentre très vite dans ce monde post apocalyptique et neo féodal, les personnages sont très attachants, l'action est soutenue, un mélange de suspens, de complots avec de vrais méchants et de vrais gentils. Très classique mais très agréable à lire. On attend la suite.
Un album que j'ai lu laborieusement. Rythme, histoire, dessin,.. rien ne m'a séduit. J'ai eu beaucoup de mal à finir.
Mon grand coup de coeur
Un western humaniste qui nous transporte dans les grandes plaines de l'Amérique. Des dessins de paysage époustouflants, une galerie de personnages très attachants, beaucoup d'émotions. C'est captivant de bout en bout.
Une superbe réussite dans une édition remarquable.
Cette série remarquable n'est toujours pas mise à l'honneur. Elle vaut pourtant le détour. Dans ce tome on s'éloigne un peu du cinéma pour parler intrigue politique autour de Marylin Monroe et des frères Kennedy. Un complot du FBI est au coeur de l'intrigue. La vision d'un japonais sur l'assassinat du président et aussi .... de sa maitresse ! Captivant
J'ai bien aimé aussi même si les personnages sont caricaturaux. La mise en scène de Rabaté est remarquable et on se prend d'affection pour les héros. Un très bon plaisir de lecture
Magnifique histoire et très belle surprise de cette rentrée. Un gros coup de coeur pour cette histoire : Sam, le jour de ses 35 ans, seul triste, saoul, dont l'activité sociale se limite depuis dès années à son boulot rébarbatif pour un patron odieux, va appeler le seul numéro qu'il a en tête, celui de sa jeunesse. Surprise c'est Sam, 10 ans qui répond. Suivent des échanges entre le Sam de 35 ans et le Sam de 10 ans. Cela va bouleverser la vie de l'un et de l'autre. On se laisse prendre par cette histoire qui nous parlent particulièrement car il est facile de se projeter dans la vie de Sam. Le dessin de Panaccione est hyper expressif sans être époustouflant mais colle très bien à l'histoire.
A savourer absolument et pas uniquement un soir de nostalgie.
Une série toujours aussi passionnante. C'est l'un des meilleurs mangas de ces dernières années. Les coulisses d'Hollywood au moment du McCartysme et de la chasse aux communisme aux USA. Chaque tome est un grand plaisir de lecture.
Tout à fait d'accord avec sidoetmat à une exception : pour moi ce n'est pas un one shot et j'attends une suite.
Sinon j'ai adoré ce livre
Très bel album qui doit beaucoup au dessin et encrage magnifique de Mastantuono qui est un maître en la matière. Le noir et blanc le met à l'honneur.
L'histoire raconte les aventures de Deadwook Dick, un jeune noir qui s'engage dans l'armée juste après la guerre de sécession pour échapper à ceux qui le traquent. Il rejoint donc le 9e régiment de cavalerie, exclusivement constitué de soldats noirs hormis l'officier supérieur. Il va devoir affronter une horde d'indien pour sauver sa peau. Un scénario peut être un peu simpliste mais qui permet de montrer les rapports humains et les traumatismes post guerre de sécession. Très agréable à lire.
Un excellent western dans la lignée d'"il était une fois dans l'ouest". Biasco-Martinez adapte remarquablement cette histoire de vengeance. Il y a de la violence et de l'émotion. Le récit est porté par un découpage et un dessin qui est meilleur d'album en album. Du vrai cinéma.
Gros coup de coeur de ce début d'année.
Une jeune journaliste vient interviewer un grand pianiste à la retraite, Eric Bonjour, dans sa riche demeure.
D'abord très réticent, le grand pianiste accepte. L'interview devient très vite une confession au travers de plusieurs flashback des années 30 à nos jours. On va suivre la vie d'Eric en parallèle de celles de Frédéric Simon, un authentique génie que la vie ne favorisera pas. Les secrets sont dévoilés au fur et à mesure de la confession rendant l'histoire de plus en plus prenante jusqu'à la révélation finale même si elle est attendue. Le parcours de ces 2 hommes est une réflexion sur le génie, la réussite, l'échec, les côtés sombres de la vie.
A souligner le dessin de Juan Cavia que je ne connaissais pas et qui apporte à l'histoire une très belle mise en scène.
A lire et à relire
Bollée est un scénariste remarquable. Il a le don de nous faire aimer l'Histoire avec un grand "H" en choisissant des événements forts qui ont changé le monde. Il donne vie à des personnages historiques en leur insufflant une âme et en les animant comme des personnages de roman. J'avais adoré TERRA AUSTRALIS (que je recommande au passage), j'ai été passionné par LA BOMBE qui raconte la genèse de la bombe d'Hiroshima. Comment a t on pu en arriver là ?
Les horreurs de la guerre vues de part et d'autres par 2 femmes aux destins radicalement différents mais que l'horreur des événements va rapprocher.
Je recommande chaudement
Mon coup de coeur de l'année assurément.
Une des plus interessantes et originales sagas de ces dernières années. Les auteurs nous révèlent la profondeur et la complexité de l'âme humaine dans un monde à la fois violent et naif qui se déguste comme un conte de Perrault revisité à la façon gothique. L'alternance des séquences BD et des textes de jointure apporte une densité et un rythme savoureux (il faut surtout ne pas faire l'impasse de ces textes). Les dessins de Gatignol sont sublimes. A lire absolument
J'ai adoré ce livre. Un grand coup coeur pour ces tranches de vie montées à l'envers et racontant l'histoire d'un amour impossible entre deux êtres qui ne peuvent vivre ensemble qu'au crépuscule de leur vie une fois assouvies toutes leurs passions. Lafebre ne démontre pas ici uniquement qu'il est un grand dessinateur mais également qu'il est un grand raconteur d'histoire. Incontournable.
Comme Herve26 j'ai savouré cet album. bien sûr l'histoire est un peu cliché mais c'est ce qui est drôle justement. Les multiples références aux albums de Franquin. Le dessin particulièrement soigné de Tarrin (grand coup de chapeau), le rythme et les dialogues sont excellents.
Pour ma part j'ai aimé l'album du début à la fin (ce qui est rare). Un régal.
Bonne dégustation
J'avais adoré le port des marins perdus et ce nouvel opus, même s'il est beaucoup plus classique (un peu trop peut être), est une des très bonnes surprises de cette rentrée. Les personnages sont attachants. L'histoire est bien menée. Le dessin semi-réaliste (très disneyen tout de même) est toujours très réussi.
Un très bon moment de lecture
Je recommande
Complètement d'accord avec Yannzeman. Je me suis fait avoir également et eu beaucoup de mal à finir. On ne rentre pas dans ce monde. Trop technique. Aucune empathie avec les personnages qu'on a du mal à reconnaitre les uns des autres. On glisse dans l'histoire sans pouvoir s'accrocher à rien. On est juste content d'être arrivé au bout pour pouvoir passer à autre chose.
J'ai bien aimé ce 2e tome. Cette série s'annonce comme un futur grand classique. Le scénario rythmé et intense de Runberg est porté par le dessin efficace de Toledano (déjà remarqué dans Ken Games) . Les personnages sont forts. La violence du monde apocalyptique est parfaitement retranscrite. Qu'il soit croyant, résistant fanatique ou entre les deux, chacun lutte pour survivre à cette invasion d'aliens par des actes souvent plus abominables les uns que les autres.
Un bémol : des couvertures qui ne sont pas à la hauteur selon moi.
A lire absolument
Le premier tome était un huis clos mystérieux et stressant se déroulant dans l'espace en 2020. Ce deuxième tome apporte toutes les réponses ... dans un polar américain de 1971. Deux univers très différents qui se rejoignent dans un final où la lumière apparait d'un seul coup. Bluffant pour ma part. J'ai trouvé ce dyptique remarquable tant du point de vue de l'intrigue que des personnages extrêmement attachants
J'ai acheté ce titre en 3 cahiers n&b car j'attendais cette reprise avec intérêt (Il faudrait songer à regrouper ces éditions).
Contrairement aux avis précédents, j'ai trouvé l'histoire insipide, sans queue ni tête, le scénario brouillon, les dialogues plutôt faciles et le dessin moyen.
A éviter donc.
Cette histoire s'inspire des violents heurts qui ont déchiré l'ex-Yougoslavie dans les années 90 et, plus récemment, des événements dramatiques qui ont secoué l'Ukraine.
Durant une guerre civile dans un pays européen indéterminé qui voit s'affronter des troupes légitimistes et révolutionnaires, Pernisi, un village tranquille, est relativement épargné jusqu'à l'arrivée de troupes légitimistes officiellement pour sécuriser la zone. Une tension de plus en plus insoutenable va peu à peu s'installer au grès d'évènements de plus en plus violents.
Avec beaucoup d'intelligence, les auteurs nous montrent que, de part et d'autre, on peut basculer d'en l'horreur et la violence gratuite. La civilisation est une coquille vraiment très fragile face aux intérêts personnels, quelque soit le côté où on est. En général ce sont ceux qui veulent vivre en paix qui payent le plus les pots cassés.
Un livre remarquable à lire absolument.
Un gros bémol toutefois pour l'éditeur qui se fiche de ses lecteurs puisque l'intégrale sort alors que le tome 2 n'est jamais sorti. Du coup ceux qui ont acheté le tome 1 (dont je fais partie) doivent payer 2 fois pour lire la suite.
Contrairement à ce qui est dit dans l'intitulé, ce 5e volume de cette passionnante série est consacré à Elia Kazan, le remarquable réalisateur de "'un tramway nommé désir" et "à l'est d'Eden", à son passé très court au Parti communiste et son retournement vis à vis de ce parti. Sous la pression de l'HUAC et du FBI il va finir par dénoncer auprès de l'Administration d'anciens camarades et cet acte lui vaudra une réputation de traitre jusqu'à sa mort. Il se justifie en réalisant le film remarquable "Sur les Quais" (avec Marlon Brando) qui lui vaut un oscar.
J'ai adoré les 3 premiers volumes de cette série mais j'avais trouvé le 4° un peu plus incipide et je craignais l'essoufflement. Ce 5° volume est remarquable et relance l'intérêt de l'histoire car on comprend à la fois les enjeux politiques de la guerre froide et de la guerre de Corée et l'ambiance execrable au Etats Unis vis à vis des non patriotes (voire les tièdes) notamment dans le milieu du cinéma. On voit clairement comment tout cela va influencer des films mythiques du cinéma américain.
J'aime beaucoup le dessin que certains pourront toutefois trouver un peu raide. Il est très ligne claire, assez proche du trait de Tanigushi.
C'est une série que je recommande chaudement que l'on soit amoureux du cinéma ou non.
Malheureusement j'ai exactement le même avis que Cellophane : Cette histoire est brouillonne et difficile à lire. La magie des albums de Will et de ses différents scénaristes n'est pas du tout là. C'est un album sans intéret
Assurément le Manga de l'année.
Magnifiquement mis en scène. L'auteur nous montre la montée de la traque anti communiste aux Etats Unis. La tension internationale indiscutable va provoquer une paranoia aux Etats Unis en particulier contre Hollywood où tous ceux qui ne soutiennent pas la politique américaine sont considérés comme communistes. La série évoque le tournage de films mythiques dans ce contexte de chasse au sorcières évoquant tour à tour le dessous de ces films, les actions du FBI et la vie, rendue insupportables, des malheureux scénaristes et réalisateurs qui sont dans le collimateur de l'Administration américaine Une fresque remarquable, dense, bien rythmée et magnifiquement dessinée. J'attends la suite avec impatience.
Bof, Bof,
Des nazis, des dinosaures et tout un tas de gros méchants perdus dans une zone de temps non identifiée à cause d'une machine réalisée par un savant juif pendant la seconde guerre mondiale.
Au milieu d'eux un groupe de gentils tombés là par erreur faisant des blagues à 2 balles en évitant les monstres.
Pas l'ombre d'une créativité dans ce mélimélo de clichés déjà vus. Franchement il y a mieux à lire en ce moment
Dans un monde post apocalyptique, on suit le périple d’un enfant noir, rejeté par sa tribu primitive, vers la ville de Niourk (New York). Il découvre les vestiges de notre civilisation au travers de sa conscience naïve qui s’ouvre peu à peu grâce à une intelligence décuplée par les radiations nucléaires.
Olivier VATINE, le créateur d’Aquablue, ressuscite parfaitement les visions d’un futur fantasmé par ce maitre de l’anticipation qu’est Stefan WUL. Qu’on ait lu ou non le roman original, cette série se savoure avec délectation.
« Il était une fois en Amérique » revisité par le talentueux Mikael qui, après le somptueux diptyque Giant racontant la construction des gratte-ciels, nous entraine, ici, dans les ruelles tortueuses du New York de la prohibition pour suivre la vie d’un jeune migrant, Al Chrysler. Passionnant.
Au siècle d’or espagnol, Pablos de Ségovie, un vaurien miséreux, cherche une vie meilleure dans ce nouveau continent, l’Amérique, que l’on appelle encore les Indes. Là-bas, pour qui cherche la fortune, les fables et légendes foisonnent. Pablos, lui, cherche à survivre et va utiliser son meilleur talent, conteur d’histoire, pour s’en sortir. Et de quelle manière ! La verve créative d’Ayrolle et le pinceau époustouflant de Guarnido font de cette aventure picaresque, haute en couleur, à la fois drôle, attendrissante et déroutante, un album absolument truculent.
L'histoire et les personnages se mettent en place dans cet album avec quelques flash back qui permettent de bien comprendre la psychologie des personnages. Voilà qu'on se prend de sympathie pour eux et patatra.. On arrive à la fin de l'album qui arrive beaucoup trop vite (c'est le principal défaut).
Pendanx revient à un dessin plus traditionnel et Kris livre une histoire basée sur une grande aventure humaine.
J'attends la suite avec impatience.