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Si Skottie Young est toujours irrésistible au dessin, il faut bien reconnaitre en revanche que le scénario s'essouffle un peu. Le récit souffre de sa linéarité ainsi que d'une impression de déjà-vu. Le tout reste quand même suffisamment plaisant mais certains pourraient facilement se lasser.
Le sujet est intéressant mais il faudra accrocher à l’aspect documentaire en BD (ou carnet de voyage) pour pleinement apprécier ce récit. De même la façon dont les auteurs décrivent et parlent de Tchernobyl pourra étonner mais ils ont néanmoins le mérite de nous présenter ce qu’ils ont vu et pas ce qu’on aurait voulu voir.
Petite pause avec ce tome puisqu'on quitte Clint Barton pour suivre Kate Bishop à Los Angeles. Les déboires de la jeune Hawkeye ne sont pas dénués d'humour en plus d'être rafraichissants.
Daytripper ou les différentes morts de Bras de Oliva Domingos, jeune écrivain en devenir. Une écriture fine et un style agréable qui tente de nous faire prendre conscience de l'importance de la vie et des petits moments. Un récit touchant et rafraichissant.
Une histoire plaisante sur deux frères que tout oppose. Il est juste dommage que le carnet noir de Niko à la fin face doublon avec une bonne partie de la BD, peut être aurait-il été plus intéressant d’avoir celui d’Ivan. Pour le reste voilà une BD de bonne facture.
Une BD coup de poing, très forte et très dure à lire en même temps, qui nous confronte à la situation en Birmanie. Un récit sans concession extrêmement instructif.
Suite du run incontournable de Frank Miller sur Daredevil, cet opus, peut être un chouïa en dessous du premier (si l’on veut chipoter) n’en reste pas moins culte. Les épisodes proposés sont excellents et nous montrent en plus une nouvelle facette de Daredevil qu’on ne lui connaissait pas. L’ouvrage se conclut avec le très bon graphic novel Guerre et Amour accompagné des superbes dessins de Sienkiewicz. En revanche il est étonnant que Panini n’ait pas intégré l’arc Born Again quand on c’est que cela représente sans doute le meilleur de Miller sur DD.
Pari réussi pour Scott Snyder qui nous propose un zero year convaincant. Cette première partie très agréable à l’œil (merci Greg Cappulo) se révèle vraiment plaisante à suivre.
Avec pour thème principal le deuil ce troisième tome d’Animal Man a un ton résolument mature qui sied parfaitement à la série.
Ce troisième album de Swamp Thing regroupe les épisodes de la créature du marais et d'Animal Man pour nous proposer l'intégralité du "Rotworld". Le résultat est plus que satisfaisant et ce monde apocalyptique dominé par la Nécrose s'avère très réussi. Le récit est vraiment plaisant à suivre et ne cesse de se bonifier à mesure qu’on avance et tandis que d’autres personnages bien connus des lecteurs DC viendront prêter main forte. Pour ne rien gâcher la conclusion de Swamp Thing est juste magnifique.
Le récit part bien avec un ton léger et humoristique mais se perd un peu dans le n'importe quoi sur la fin et la conclusion, dommage. Néanmoins ça se laisse lire facilement.
Après un premier tome sympathique, ce second volume continue sur la même lancée. Si l'intrigue n'avance pas très vite, les réactions et l'évolution des premiers X-men restent intéressantes et suffisent pour l'instant à maintenir notre intérêt.
Voici le début d'un arc épique pour Thor. Jason Aaron introduit un nouvel ennemi charismatique, Gorr le "massacreur de Dieu", au centre de son récit et nous fait voyager à trois époques différentes. On suit donc Thor à diverses périodes de sa vie à l'aide de flashbacks et flash-forward astucieux qui nous permettent de suivre l'évolution du duel entre le Dieu et le Déicide. Avec ce premier album on tient là un début extrêmement prometteur et attrayant. Le tout est en plus superbement illustré par Ribic.
Ce cinquième tome de Justice League est placé sous le signe du crossover puisqu’il nous propose de découvrir Trinity War. Et autant le dire tout de suite le résultat se révèle plutôt fade. Décidément Geoff John n’est pas dedans, lui qui a offert tant de bons récits à bien du mal à appréhender la Justice League et est très loin de ce qu’il peut faire de mieux. Les relations entre les personnages sont quasi-inexistantes, aucune psychologie, scénario guère intéressant (et qui au final ne sert qu’à lancer le prochain event Forever Evil), Trinity War cumule les mauvais points et se lit sans réel plaisir. Seules les ultimes pages nous laissent quelques lueurs d’espoir pour la suite mais on reste tout de même méfiant.
A noter qu’à la lecture de ce volume, on se rend compte que le précédent consacré à la Justice League of America (et qui pour rappel était assez moyen) n’était pas indispensable à la compréhension de Trinity War et on peut légitimement regretter qu’Urban l’ait intégré à la série JL car au final on se retrouve avec deux tomes d’affilés à la qualité moyenne, on espère que le prochain redressera la barre.
Ce sixième volume d’American Vampire n’est pas la suite directe du précédent opus mais un interlude composé de courts récits réunis sous le nom « American Vampire Anthology ». Pour l’occasion plusieurs artistes de renom (Jason Aaron, Jeff Lemire, Gail Simone) se sont prêtés au jeu et nous proposent des histoires agréables bien que finalement assez anecdotiques. Si l’initiative est sympa, le fait que les récits soient très courts ne permet pas un grand développement et limitent l’intérêt de certains. On retiendra surtout celle de Gail Simone sur Hattie Hargrove qui s’avère très bien écrite. A noter que cette anthology est précédé d’un chapitre, « The long road to Hell » par Scott Snyder qui se révèle excellent en tout point et vaut à lui seul le détour.
Le monde d’Oz connait déjà son quatrième tome en comics ! L’adaptation d’Eric Shanower est toujours aussi fidèle et réussie, accompagnée des superbes dessins de Skottie Young. Si le récit se veut moins innovant, l’absurde fait toujours mouche et l’ensemble reste une lecture agréable et rafraichissante. C’est avec plaisir qu’on se jettera sur le prochain.
Attention réédition d’un run CUL-TE ! On retrouve le Frank Miller des années 80 et qui écrivaient des comics qu’on aime. L’auteur américain trouve tout de suite le ton juste avec Daredevil et nous offre un run passionnant qui va notamment voir apparaitre pour la première fois Elektra ! Amour hier, ennemie aujourd’hui, Miller traite à merveille leur relation. Le Caïd et Bullseye sont également au rendez-vous, mieux cernés que jamais par Miller. Un album indispensable tant il a fait date dans la carrière du diable de Hell’s Kitchen.
Après avoir suivi les déboires des enfants Wolf, Willingham se recentre sur Blanche neige et nous sort un classique des contes à savoir l’enlèvement de la princesse. Si cette nouvelle histoire, qui se déroule en parallèle du tome 21, peut paraitre moins importante elle reste quand même très agréable à suivre et risque d’avoir des conséquences non négligeables pour la suite de la série. De son côté le petit Ambrose n’est pas oublié et on a hâte de voir quel rôle lui réserve Willingham. A noter enfin qu’on assiste au dénouement des aventures passionnantes et touchantes de Bufkins et Lyly. L’auteur offre même un magnifique épilogue au singe et à la lilliputienne. Voilà une série qui continue de nous tenir en haleine.
Avec Annihilation Dan Abnett et Andy Lanning se lancent dans un récit cosmique ambitieux faisant intervenir plusieurs personnages face à une nouvelle menace, Annihilus. Ainsi on voit apparaitre Nova, le Silver Surfer, Ronan ou encore Thanos dans divers récits avec comme point commun cette vague d’annilation. L’album commence très fort avec pas moins que la destruction complète de Xandar et du Nova Corp qui va avoir des conséquences considérables. Les récits proposés sont tous de qualité et donnent vraiment au lecteur l’impression de lire quelque chose de grand, d’épique. Voilà un début de run qui bouscule l’univers cosmique de Marvel et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est plutôt réussi.
Comme le suggère la couverture, ce tome de Green Lantern nous surprend en délaissant Hal et Sinestro au profit d’un nouveau Green Lantern, Simon Baz. On suit donc les débuts malchanceux de ce novice auquel on s’attache rapidement. La suite s’attarde davantage sur la menace de la troisième armée et fait intervenir Guy Gardner. Toujours aussi cabotin, le personnage peut vite agacer tandis qu’on regrette que la troisième armée soit aussi impersonnelle et uniforme, même si c’est totalement justifié par le scénario. En fait ce tome bien que sympathique sert surtout d’introduction au tome 4 et au départ de Geoff Johns que l’on espère épique même si on ne se fait pas trop de souci de ce côté-là.
Dernier baroud d’honneur pour Manu Larcenet et Polza Mancini. La grasse carcasse finit le récit de son histoire et complète le puzzle débuté dans le premier tome. Il nous parle de Roland et aussi et surtout de son attachement à Carole, celle dont justement on l’accuse du meurtre. Il nous raconte la vérité, ce qui s’est passé entre ces trois personnes jusqu’au moment de son arrestation. Mais les apparences sont parfois trompeuses et lors d’un habile épilogue les deux inspecteurs effectue un retour en arrière sur toute l’enquête, nous donnant une tout autre vision des évènements décrit par Polza, offrant un caractère insaisissable et complexe à cette masse de chair. On peut dire que Manu Larcenet aura maitrisé son récit du début à la fin et il vient le clore magnifiquement avec un dernier volet intense et surprenant.
En 2003 Dan Slott s’attèle à l’écriture d’une mini série, Arkham Asylum: Living Hell. Se déroulant au sein même d’Arkham, lé récit nous propose de vivre à travers un nouveau venu l’intérieur de l’asile de fou. Si le récit reste assez simple Slott se démarque en créant toute une nouvelle galerie de personnage (Jane Doe, Great White Shark, Humpty Dumpty, A. Cash,…) possédant chacun un vrai background et s’intégrant parfaitement dans l’univers de Batman. Les méchants historiques comme Double Face, le Chapelier ou Scarface sont relégué à des rôles de « guest » savamment utilisés. Dommage que le récit se perde un peu dans l’occulte et le surnaturel sur la fin nous laissant sur une dernière impression bizarre. Quoi qu’il en soit l’album peut valoir le coup pour qui veut voir un peu de sang neuf dans l’univers de Batman.
Avant-dernier tome de la série Blast, Manu Larcenet délaisse quelque peu la recherche et la sensation de "Blast" mais va plus loin encore dans le sordide. De fait un passage du livre est très dur et on peut d’ailleurs se demander s’il était nécessaire d’aller jusque là. Si auparavant on pouvait avoir de la peine et de l’empathie pour Polza cela va bien au-delà de ça après ce troisième tome. Et pourtant, malgré cela il est bien difficile de lâcher prise une fois la lecture commencée d’autant que la fameuse Carole Oudinot apparait enfin et que le puzzle promet d’être résolu au prochain tome.
Ce second volume confirme tout le bien qu’on avait pensé du premier. Polza continue son récit entre galère, fragment du passé et recherche de liberté. Sur sa route, il croisera un drôle de personnage, "Saint Jacky", qui lui permettra de goûter au blast apocalyptique mais cet énergumène n’est peut pas celui qu’on croit…Toujours brillamment illustré, Blast continue de nous tenir en haleine et de nous offrir un récit hors norme.
Oliver Queen alias Green Arrow n’est certainement pas le héros le plus populaire de DC mais avec cet album Lemire et Sorrentino compte bien lui rendre ses lettres de noblesses. A eux deux ils réinventent toute une mythologie autour de l’archer vert. En résulte une aventure haletante, des planches complètements folles et un casting de haute volée avec l’apparition d’un nouvel ennemi et la remise au gout du jour d’un autre. Sans doute un des meilleurs albums DC renaissance d’Urban.
Il aura suffit d’un seul tome à Blast pour déjà s’imposer comme un chef d’œuvre. Manu Larcenet y sonde l’esprit et l’âme de Polza Mancini, obèse répugnant et hypersensible mais terriblement charismatique et touchant. Le récit fonctionne parfaitement et il est bien difficile de décrocher de sa lecture une fois commencé. Le tout est sublimement illustré en noir et blanc par un Larcenet à son top niveau. Venez vivre le blast en compagnie de Polza.
Une fois de plus un tome exceptionnel (une récurrence pour cette série). Dans ce volume IV on retrouve le mythe d’Orphée retranscrit fidèlement et s’inscrivant parfaitement dans l’histoire de Sandman. On fait également plus ample connaissance avec le Délire qui entrainera Morphée dans une quête un peu folle à la recherche de la Destruction, le fameux frère prodigue qui a décidé jadis de quitter sa fonction. Nous découvrirons que ses motivations sont loin d’être dénuées de sens et vont jusqu’à remettre en cause le rôle même des Infinis. C’est toujours aussi beau et bien écrit, parfois humoristique (Mervyn, hilarant dans sa façon de se moquer du Sandman), parfois doucement absurde (par le biais du Délire qui demande par exemple s’il y a une différence entre un faux mouvement et un vrai) et toujours captivant. Et plus que tout on assiste à l’évolution du Sandman que ce soit dans ses agissement ou sa façon de pensée, le Sandman n’est plus le même qu’à ses débuts, tantôt froid, tantôt touchant, il révèle toutes les facettes de sa personnalité. Neil Gaiman continue de faire un travail de titan sur cette série rentrée au panthéon des comics.
Dernier tome des New X-Men et du travail de Morrison sur les mutants. Cette conclusion est à la hauteur de tout ce que l’écossais à livré jusque là, c'est-à-dire excellente. Les masques tombent, la vérité éclate et le moins que l’on puisse dire c’est que « Momo » s’est bien joué de nous.
La deuxième partie du récit nous emmène dans le futur, 150 ans plus tard pour un résultat étonnant et détonnant qui risque de faire chauffer les méninges mais qui est indéniablement de qualité.
Ce tome de grande qualité conclut un run tout aussi excellent qui fera date dans l’univers des X-Men.
Une excellente anthologie pour peu que l’on s’intéresse un minimum à l’histoire des icônes DC. L’éditorial et le rédactionnel sont très bon et l’ouvrage remplit parfaitement son rôle informatif. Couvrant l’âge d’or jusqu’à la renaissance DC, les épisodes choisis sont globalement bons et permettent de découvrir certaine pépite comme le Green Lantern d’Alan Moore. Un recueil de bonne facture qui pourra convenir autant au néophyte qu’au connaisseur de l’univers DC.
Ce quatrième tome nous emmène non pas du côté de la Justice League habituel mais de la Justice League of America, une nouvelle équipe censée pouvoir s’opposer à la JLA en cas de problème. Si on apprécie l’hétéroclisme de cette équipe et les têtes choisies pour la composer, la caractérisation de certains personnages est un peu maladroite (Martian Manhunter notamment). De même on reste un peu sur notre faim au niveau du récit qui sert surtout à mettre en place les évènements à venir. Le tout se laisse quand même agréablement suivre mais fait un peu simple.
A noter que J'onn J'onzz a droit à un traitement spécial et des chapitres centrés sur lui nous permettent de redécouvrir son passé. L'intention est louable mais ce n’est pas la meilleure chose qu’on est vu sur le personnage (Le DCAU a fait bien mieux par exemple) et on ne reconnait pas vraiment le Martian Mahunter qu'on aime.
Un tome de transition correcte en attendant les évènements importants qui devraient arriver.
Réédition de cet album considéré comme culte des aventures de Miracleman par « celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom ». Pour l’occasion Panini a mis les petits plats dans les grands et nous offre une très jolie édition. Le récit quand à lui n’a pas usurpé sa réputation. C’est bien écrit, intelligent, fin, parfois sarcastique, parfaitement illustré. Bref un incontournable.
Dans ce deuxième tome de Fairest Willingham confie les rênes à Lauren Beukes et pour l’occasion Raiponce va s’envoler en direction du Japon à la recherche de ses enfants.
Ce nouveau récit permet d’en découvrir plus sur Raiponce et son passé, l’auteur arrive à mêler habilement l’univers de Fables avec le folklore japonais pour un résultat sympathique. L’album se conclut avec Goupil sur une histoire amusante. Un spin off à suivre.
Voici le huitième et dernier tome du long run initié par Morrison sur Batman. Explosive, intense, dramatique, cette conclusion ne déçoit nullement et l’écossais fait ses adieux à Batman de fort belle façon.
Ce cinquième tome conclut de façon efficace et explosive le premier cycle d’American Vampire. Pearl Jones et Skinner Sweet reviennent sur le devant de la scène pour un final sanglant qui va changer la donne pour chacun des deux protagonistes. Le tout est clos par un prélude au second cycle qui donne plus qu’envie de lire la suite.
Panini a la bonne idée de ressortir l’excellent run de JMS sur Spider-Man. Et mine de rien Straz a su apporter un vent de fraîcheur dans la vie de Peter Parker. Au niveau professionnel déjà Peter devient professeur, l’occasion de le rapprocher plus que jamais des gens ordinaires et de la rue. Mais là où Straz fait fort c’est au niveau de la relation entre Peter et May, engluée depuis X années dans une relation figée, JMS fait voler tout ça en éclat pour nous offrir un moment d’émotion intense entre la tante et son neveu. Straz ne s’arrête pas là et jette également le doute sur les pouvoir de Peter, les entourant de mysticisme sans pour autant renier leurs origines, osé et intéressant. Un excellent album qui nous offre un Spidey plein de fraîcheur avec en plus un Romita Jr au meilleur de sa forme qui nous offre de très jolies planches.
Ce nouvel album de la collection Némésis s’intéresse à Double Face, adversaire mythique de Batman souvent éclipsé par le Joker.
Ici Jenkins nous offre un récit glauque qui insiste sur la schizophrénie d’Harvey Dent tout en faisant un parallèle avec Batman. La question que pose Harvey est d’ailleurs très intéressante, Batman est-il également une sorte de Jekyll et Hyde ? Même si on aurait préféré que Jenkins s’intéresse exclusivement à Double Face, le récit est plutôt bien ficelé et le dénouement, malin, nous propose une nouvelle interprétation de la schizophrénie de Double Face. Dommage que pour illustrer tout ceci Jae Lee ne s’occupe que de la première moitié du livre car s’il fournit un travail vraiment intéressant Sean Phillip est lui moins convaincant.
Un récit complet de bonne facture pour cette collection dédié au méchant de l’univers DC.
Suite et fin de la guerre de Sinestro, Geoff Johns ne déçoit pas et continue dans la même veine que le tome précédent.
On se retrouve donc avec une multitude de combats réellement impressionnants, menés à un rythme d’enfer et qui mettent en avant tous les Green Lantern (et pas seulement Jordan). Ainsi des Lantern comme Killowog ou encore Yat on droit à leur combat épique et leur heure de gloire. Le récit est maitrisé de bout en bout, jusqu’à la fin qui ouvre la porte à Blackest Night. Au niveau des dessins ça explose de partout amenant parfois un peu de surcharge mais on en prend plein les mirettes.
Un très bon volume avant le prochain qui nous amènera du côté des Red Lantern.
Ce troisième tome de Justice League nous offre une très bonne aventure, une lutte entre l’Atlantide et notre monde. Aquaman se retrouve donc au centre de ce tome pour un combat fratricide intense qui va faire radicalement évolué la situation de l’atlante. A noter aussi des dessins remarquables où on en prend plein les yeux. Le tout est précédé par une histoire en deux chapitres vraiment sympa axés sur Wonder Woman et Cheetah.
Une fois de plus ce tome est centré sur les enfants Wolf, et si on pourrait croire que Willingham se perd il n’en est rien et Fables est toujours aussi passionnant.
Après avoir prophétisé l’avenir chaotique des enfants Wolf dans le précédent volume, Willingham n’attend pas et commence déjà à le mettre en œuvre au travers d’un récit captivant où on découvre le destin tragique de Thérèse et Darien. Immanquable, on a déjà hâte de lire la suite.
Cet album inaugure la Révolution Marvel now et avec elle le renouveau des X-men par Bendis.
On se retrouve donc avec un début de run correct qui laisse entrevoir beaucoup de potentiel grâce notamment à l’excellente idée de départ (ramener les premiers x men pour les confronter aux erreurs de leur "moi futur"). Comme souvent avec Bendis peu d'action et beaucoup de dialogue mais des dialogues qui ne parlent pas pour rien dire. Notons enfin qu'au dessin Immonen est irrésistible.
Un album sympathique de bonne augure pour la suite.
On ne le répétera jamais assez, Saga a réussi à devenir une référence en Space Fantasy en très peu de temps et continue encore à le prouver avec ce troisième tome.
Cette fois notre couple souffle un peu pendant qu’on suit l’enquête de deux (géniaux) journalistes et les déboires du Testament et de ses compagnons de fortune. On se retrouve donc avec un rythme volontairement calme avant que tout ne s’accélère dans le dernier tiers du livre pour un final impressionnant.
Atypique, original, rafraichissant, Saga est sans doute l’une des meilleures créations de ces dernières années !
Tout le monde n’aimera pas la direction prise par la série mais au moins Morrison ose tenter de nouvelles choses. En résulte Batman Inc un groupe de Batmen à l’échelle mondiale que Morisson se plait à nous dévoiler par le biais de diverses histoires ayant toute un point commun, Léviathan une mystérieuse organisation qui en veut à Batman.
Si l'idée de départ est vraiment intéressante, il est dommage que les histoires ne soient pas toutes du même niveau et que le récit nous perde quelques fois, passant d’un évènement à un autre sans transition, allant parfois trop vite. Au moins les choses avancent et la dernière partie du tome n’annonce que très bon pour la suite.
Après un cinquième tome assez moyen et inutilement tiré par les cheveux, ce 6éme opus revient à quelque chose de plus abordable et de plus plaisant.
On assiste à la fin de toute la partie avec le docteur Hurt et Morrison apporte enfin des réponses attendues. Le récit est bien écrit et agréable et une fois de plus le Joker a un rôle de choix (très bon traitement du personnage par Morrison d’ailleurs).
L’arc se conclu en apothéose avant d’ouvrir de nouvelles portes pour Batman. Maintenant place à Batman Incorporated !
Saga s'impose encore un peu plus comme une référence du space opéra. L'univers regorge d'idée et de création originale et on suit avec beaucoup d'intérêt les péripéties de notre jeune couple.
Mais l'auteur ne se concentre pas que sur eux et n'hésite pas à s'attarder sur d'autres personnages comme les parents de Marko, le Testament ou encore le Prince Robot. Une très bonne pioche pour le comics indé.
Un album IN-DIS-PEN-SABLE pour tout ceux qui aiment et suivent la série Fables.
L'histoire (et les histoires) de ce hors série se situe bien avant la série mère et s'attarde sur différents Fables que l'on a l'habitude de côtoyer comme Bigby, Goupil, le roi Cole...
L'occasion pour l'auteur de développer et approfondir brillamment ses personnages (mention spéciale pour Ambrose qui prend ici une vraie tournure tragique).
Ce 1001 nuits de neige est un condensé de récits de qualités secondé par des dessins de tout aussi bonne qualité. Un vrai cadeaux pour tous les amateurs de Fables.
Ce troisième tome des aventures au pays d’Oz (deuxième dans l’ordre chronologique) nous amène à la rencontre de nouveaux personnages en la présence d’un petit garçon Tip, d’un homme-citrouille et d’un cheval de bois animé.
Ils partent tous trois pour la Cité d’émeraude mais vont vite se retrouver dans quelque chose de bien plus grand. Une fois de plus l’histoire nous embarque totalement et est truffée de création et petite trouvaille entre absurde et merveille.
Toujours aussi plaisant, cette mise en image des romans d’Oz est décidément un très bel hommage au travail de L. Franck Baum.
Le Joker revient sous la plume de Snyder plus terrifiant que jamais.
Cet arc instille une tension énorme et explore parfaitement la relation entre Batman et le Joker. La Némésis instaure le doute tout au long de ce tome et même si on se doute vite que Snyder n'ira pas jusqu'au bout, le récit fonctionne parfaitement. Plus que la conclusion on retient surtout le chemin emprunté, les ruses du Joker et les sentiments des deux protagonistes. Oh et si besoin est de le préciser les dessins de Capullo sont excellents.
Malgré quelques facilités, un arc de qualité.
Avec ce tome débute la guerre de Sinestro et sans doute un des meilleurs travail de Geoff Johns.
On assiste donc à l'assaut féroce de Sinestro contre le Green Lantern Corps et le combat s'annonce terrible. Les affrontement s'enchainent et les morts tombent par pagaille.
On en prend plein les mirettes, l'action va à 100 à l'heure, on passe d'un groupe de personnage à un autre, G. Johns nous emmène sur plusieurs fronts pour un résultat vraiment haletant.
Un tome crucial dans la mythologie Green Lantern à ne surtout pas louper.
Fairest est une nouvelle série spin off de Fables, œuvre déjà très prolifique du génial Bill Willingham, qui prend le pari de d’approfondir et de développer les seconds rôles féminin de la série principale.
Pour ce premier tome on retrouve donc La Belle au bois dormant et La reine des glaces. Le récit en plus d’être vraiment sympa, lève le voile sur beaucoup de chose et s’assure des dessins de très grande classe en la présence de Phil Jimenez. Cette histoire fait directement écho à la Grande Guerre vu dans la série Fables et nous permet de voir ce que sont devenus Eglantine et Lumi, les fans devraient apprécier.
La dernière partie de l’ouvrage est constitué d’une histoire très efficace où on suit une enquête de la Bête. En résulte une révélation pour le moins étonnante à propos de la Belle (celle de La Belle et la Bête cette fois). Surprenant mais dans le bon sens du terme.
Voila un nouveau spin off qui démarre sur les chapeaux de roue.