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Qu'est-ce qu'il m'a déçu cet Aquablue. Sans doute celui qui m'a transmis le moins d'emotions de toute la saga, et pourtant qu'est-ce que j'ai pu être fan de cette série.
Là, on est face à un album fan service au minimum syndical, il fallait sauver Rabah, pour clore le tout sans le laisser dans son état végétatif, et remettre le sromboli dans le ciel. Point barre. Pas plus d'histoire que ça. Pour moi ce n'est pas un album de transition. C'est la clotûre d'une serie façon Netflix, on bâcle tout en 1 épisode, pour que les fans aient leur fin et qu'on puisse enfin passer à autre chose.
Sauf que...Des pirates de l'espace, Nao y a déjà eu affaire das "Le Megophias," et c'était autrement plus riche, à tous les niveaux. Et c'est dans cet album qu'on faisait connaissance avec Rabah, justement. Une boucle bouclée ? Rabah deserte des pirates pour au final être sauvé par d'autres ? Et Nao qui cède si facilement son île, en étant déjà à la limite de sa légitimité suite aux évènements précédants, sans que personne sur Aquablue ne bronche à une nouvelle ingérence ? Sans que lui même ne tilte que par le passé il a déjà eu fort à faire avec l'arrangement foireux passé avec le capitaine du Mégophias ?
Sauf que ... Les différences entre Mi-Nuée et Nao, leur relation tendue à l'extrême, leur fils hybride, la légitimité de Nao en tant que chef de guerre leader d'Aquablue, tout ce contexte monté par Régis Hautière et Réno sur les 12 à 17 , est ici balayé en 3 ou 4 cases insipides, .
Ce Stromboli Reloaded est une coquille vide. Un scénario vide qui n'a soit pas été fini, soit été raboté à outranbce pour tenir en 48 pages.
Les dessins vides et sans âmes. Nao devenu tellement carré qu'on ne le reconnait plus qu'à son torse nu (et quel torse, il ferait pâlir une armoir normande qui abrite Dolph Lundgren...), et ses longs cheveux blonds... Je ne parle même pas de Carlo..
Les decors somptueux d'Aquablue n'existent plus, et le principal de l'action se déroule sur une planete désertique avec un décor plus que minimaliste... Je regrette tellement le travail d'Olivier Vatine sur le cycle 1 (que j'avais retrouvé avec tellement de plaisir sur son Niourk !!! ), ou celui de Reno, même s'il était moins dynamique , plus figé, trop posé par moment...
Et pour finir, cette action tellement facile, insipide...
Ç'aura été le dernier scénario de Thierry Cailleteau dans la série, paix à son âme, et vraiment MERCI pour l'oeuvre qu'il a créée. Mais là, plus rien n'est à la hauteur., rien ne lui rend hommage.
SI effectivement c'est un albm de transition, il va y avoir fort à faire pour rattrapper les fans....
Le grand retour du rythme !
Après le tome 15 qui ramenait du rythme à la série, l'histoire fait un nouveau grand bon, ce 16e tome nous plonge réellement au coeur de l'action, et se permet même de poser une question sur un eventuel (?) nouvel ennemi sur Aquablue... J'ai tout juste eu une petite impression de déjà vu sur les rapports entre Nao et la Légion qu'on a vu débarquer sur le tome précédent.
Et toujours l'echo dans l'actualité, terrorisme, ecologie, xenophobie....
Le dessin est tout bonnement magnifique, chaque case est à nouveau une oeuvre à part entière qui nous explose les rétines. Les personnages adoptent des poses plus naturelles, aussi.
Réno nous prouve s'l en était encore besoin, qu'il fait partie des très très grands illustrateurs, maitrisant autant le dessin traditionnel, la couleur et la 3D -toujours très présente dans ces cases même si elle est très habillement maquillée par cette magistrale mise en couleurs !
Ma seule critique serait que certaines actions paraissent toujours trop figées (par exemple lorsque un jet ski heurte un habitant d'Ouvéa, ou un bon coup de point dans la tronche), la faute à ce trait peut-être trop parfait pour ces situations là.
Pour moi, Rakahanga! est le meilleur album de ce "nouveau" cycle, et gomme les défauts du précédent, et redonne des culeurs à la série, qui avait pris un drôle de tournant sur les tomes 13 et 14....
Toujours aussi prenant, fantastique, beau. J'ai relu les 2 précédents avant, pour être sûr de garder le fil, et rien ne cloche. la fin est différente du roman. un peu. Mais elle cloture mieux cette trilogie que la fin du roman qui elle cloturait un roman unique... je veux dire par là que si vatine s'était vraiment calqué su rla fin du roman, il aurait peut-être fallu un 4e tome, qui lui aurait été sans doute moins rythmé, trop bavard, pas à la hauteur du reste de al trilogie.
Vatine s'est approprié l'oeuvre de Stefan Wul, en y imposant, en douceur mais avec force, son trait décidément aussi identifiable que la plus signée des voix de chanteur....
Sans doute l'une de mes série préférée, et à mon avis la meilleure des adaptation des Univers de Stefan Wul dans cette collecton d'ankama..
Pour prolonger le plaisir et la collection, je me suis aussi pris l'integrale en noir et blanc, qui renforce encore la force du propos à mon sens.
Un tome 2 qui ne fait que cnforter tout le bien que je pensais du tome 1.... Une tuerie. On est dans al continuité, ça claque à l'oeil, le scaénario file sans accros, plus encore que dans le premier, je crois. On en redemande, et sa tombe bien il en arrive un 3e..
Un peu plsu de rythme ici, l'hsitoire est désormais en place, on connait tout ce petit monde. la fin de l'album nous laisse dans l'impossible atente du 3e tome. Encore une fois Vatine nous a happé dans cet univers de dingue qu'a créé Wul.
Et toujours dans ce bel ecrin de couverture vieillie propre à cette collection des univers de Wul.
Encore un must
Un roman qui est une pure merveille comme base, et le trait très stylisé de Vatine font de ce premier tome une pure merveille, un hommage emprunt d'un profond respect pour l'oeuvre originale de Stefan Wul.
Un découpage aux petits oignons aussi précis qu'explosé (ça ne s'explique pas, ça se regarde....), une scénarisation implaccable du roman, le trait "vatinien" qui est définitivement une patte graphique , et pour longtemps... Tant d'éléments qui prouvent que cet olivier Vatine, aussi seul qu'il était sur cet album, fait parti des Maîtres de la bande dessinée française, et au delà.
A lire, à regarder, à déguster absolument !!!
Le dessin de Reno est encore une fois une tuerie, encore au dessus du tome précédent qui plaçait déjà la barre très très haut. Mais on n'aura plus je pense , la dynamique du trait de Vatine, qui a encore prouvé son savoir faire en la matière sur Niourk. Mais c'est splendide, vraiment !! Détails, couleurs, poses, lumières, ça claque !!!
Par contre un peu déçu sur les toutes dernières planches de l'album. Un dessin magnifique, très détaillé, que j'avais repéré sur la page facebook de Reno, qu'on retrouve copié-collé-recadré-zoomé pour en faire 3 cases bien distinctes, bah c'est un peu limite. D'autant qu'en plus c'est sans aucun retravail qu'il a été repris. On remarque tout juste un trait blanc dans une bouche pour donner l'impression que le personnage zoomé parle. On a même un morceau de bras de personnage qui traine au recadrage... ça au moins ça aurait pu être effacé numériquement, vu le côté très "chiadé" du reste de l'album... Idem pour la couv, qui finalement, est le mix de 2 cases de l'album. On est loin des autres couvertures du sieur Reno !
J'ai lu que l'album a été accouché dans la douleur, on a l'impression du coup qu'il a en plus été fini à l'arrache... J'imagine que Delcourt a poussé à la roue pour le publier le plus vite possible.... c'est dommage, il méritait mieux !
Reste que ça y est, on commence à avoir de vraies réponses aux questions lancées dans le 1er tome, et l'histoire avance. Ce tome a un bien meilleur rythme que le précédent, et dissipe mes doutes à ce sujet. même si une nouvelle question se pose à propos des "terroristes", qu'il faudra visiblement élucider en 1 tome.....
Mais Gan Eden reste un bon , très bon Aquablue, malgré tout. Et - hasard ou non ? - il colle malheureusement très (trop ?) bien à l'actualité noire de ces derniers mois/semaines : migrants, écologie, terrorisme, tout y est....
La clotûre magnifique d'une trilogie irréprochable. Le roman a beau dater un peu , l'adaptation BD le remet au goût du jour en se prenant quelques libertés sur les dates, certes , mais bienvenues !
Le dessin et le découpage de Vatine flattent les yeux, les couleurs sont un régal pour la rétine, le tout est un festin pour l'imaginaire.
Merci !
Carmen, fidèle à elle même. Froide. De plus en plus , d'ailleurs. trop peut-être. Et de plus en plus dans un côté diplomatique, et moins dans l'action. Il bouge moins, cet album. beaucoup moins que les autres.
Le scenario est fouillé, comme toujours, mais il me manque l'action des premiers tomes... Pourtant il n'y a aucun temps mort, on accroche très rapidement !! Mais on reste dans la parlote....
Aucun regret en revanche sur le plan graphique, le dessin d'Emem est toujours aussi bon, mais c'est surtout la mise en couleur qui m'a fait plaisir, après l'episode précédent qui m'avait clairement refroidi..... Là le trait du dessinateur reprend ses droits !
Hâte de voir la suite !
Un tome qui commence à me faire peur... A priori sur ce que j'ai pu lire à gauche et à droite, l'histoire s'étalerait sur 5 tomes...On en est déjà au 3e, et les intrigues se mettent seulement en place...tout doucement....
Trop doucement, même ..
Sur la série de base, on était au coeur du problème dès le premier tome. Là on a plusieurs histoires qui semblent s'entremêler, on commence à deviner des choses, mais j'ai peur que le dénouement sur les 2 tomes se fasse finalement à l'arrache....
Sinon,les dessins (oeuvres ? tellement chaque case est un tableau à elle toute seule...) sont tout simplement superbes et claquent la rétine, !! Mais la dynamique et la spontanéité du trait de Vatine laisse un manque, quand même...
Des couleurs qui claquent, des cases splendides, tout fait honneur à l'univers créé par Cailleteau et Vatine il ya plus de 20 ans...
Le scenario aussi prend une bonne tournure, et la menace se profile de plus en plus sombre sur la planète bleue...Trahisons, intrigues, tout se déroule et s'emmele avec beaucoup d'intelligence.
Pourtant, en grand fan d'Aquablue de la première heure, j'ai toujours une sensation de manque... Les dessins, même s'ils sont vraiment splendides, donnent une impression de "posé", les personnages ne semblent pas vivre. Les quelques scènes de baston, ne font pas mal,par exemple. Dans les cases de Vatine, ou même celles de Tota et Ciro, on sentait la force d'un coup de poing, on sentait la colère de Carlo et sa gestuelle d'italien à grande gueule...Mais plus ici... Carlo et Rabba semblent las.... Si tout flatte la rétine, il y a ce côté statique qui dérange. Peut-être que les traits parfaits de Reno sont trop parfait, justement. Ca en enlève au dynamisme de l'action....
Un album au dessin ébourrifant, magnifiquement coloré, des influences à la Crisse-Mitric (parce que Crisse au scénario, ou pure coincidence ???), un univers et une ambiance d'emblée bien travaillés, une aventure qui s'annonce vraiment bien !!
Hâte de voir la suite, les alliances entre les différents concurrents, les trahisons, (sisi, je le sens bien tout ça !!!) pour cette course aux Dragons !!!
Fan de la série, je l'ai acheté sans même l'ouvrir.
Quand je l'ai ouvert, je suis retourné chez mon libraire, car je pensais qu'il avait un défaut d'impression tellement les couleurs me semblaient passées, ternes, sombres et vieillottes .
Mais non.
Pas de défaut, il est colorisé comme ça, ce tome 12. On se croirait revenu il y a 20 ans, voire plus...
Super déçu du coup, car les mises en couleurs étaient bien plus claquantes et semblaient plus travaillées sur les précédents tomes. Du coup le trait d'Emem est moins mis en valeur. Que s'est-il passé ? Pourquoi ce changement de direction artistique si soudain, en plein cycle ?
C'aurait été compréhensible sur un nouveau cycle mais là.... Et encore, pourquoi la revoir, après tout ?
Du coup je ne sais pas si c'est les couleurs ou le scenario, mais ce tome m'a paru long, trop raconté, trop stratégie/politique, avec très peu d'action, finalement. Ce qui fait toutle charme et la force de la série m'a semblé inexistant dans nouvel opus.... J'ai même eu du mal à refaire le lien avec Nouméa Tchamba pour le coup....
Une histoire qui commence là ou 2001 odyssée de l'espace s'arrête, ou inversement, je sais pas.. on s'en fout. En tous cas pour moi le clin d'oeil au monolithe noir est bien là...Et finalment c'est le seul point commun. Mais il me fait automatiquement penser au film. Allez comprendre....
Je l'ai retrouvé ce week end, dans un carton, et j'ai repris le même plaisir à le lire qu'il y a 20 ans. Et encore une fois, j'ai trouvé flatteur d'envisager d'être un descendant de BomBom.....
J'avais pu avoir en main l'un des albums colorisé, ils sont à eviter, la couleur gâche le trait, nuit au détail. On sent bien qu'à la base, le trait n'a pas été tracé pour être coloré...
Une épopée fantastique , à découvrir, à redécouvrir... Certains diront que le trait a vieilli, qu'on a l'impression d'un remake d'une sorte de bible. D'autres critiqueront le gentil erotisme de certaines cases (qui ont eu le dont de ne pas me laisser de marbre, à l'epoque tout ado que j'étais...).
Mais le scenario reste très cohérent du début à la fin, et n'a vraiment pas à rougir devant certains albums qui sortent aujour'hui...
Sur le coup on est perdu.
Le changement radical de style graphique surprend indéniablement !
Mais très rapidement, j'ai retrouvé mes marques, et c'est avec un réel plaisir qu'en fan du premier cycle , je retrouve -ENFIN - Aquablue.
Plus les personnages qui ont fait d'Aquablue uneplanete vivante. Mi Nuée, plus bleue et au caractère plus trempé que jamais, le chef melkioch, le fils de nao, dont on connaissait l'existance, mais qui a complètement disparu dans les 3 derniers tomes....
Puis les inséparables, Carlo, Rabbah, Dupré, Béa...Et bien sûr Cybot, qui retrouve enfin une allure de robot, aux bras mécaniques bien droits (ce délire des bras en caoutchouc, courbés, quand même....)
Cette album est évidemment le pretexte à d'autres tomes, tant il est là pour mettre en place une histoire, présenter ou rappeler les protagonistes et les enjeux de la planete.
Les clins d'oeils aux autre tomes sont nombreux, et rappellent quasi tous les albums de la série. Hautière et Réno sont des fans de la série, c'est une evidence. Car même le simple dessin d'une photo de partie de pêche suffit à présenter l'un des nouveaux personnages (j'ai dit quelque chose ?? )
Ce nouveau cycle sent la vengeance, tant on retrouve d'anciennes connaissances (de près ou de loin...) et plus que jamais on sent Aquablue et ses habitants en danger, et Nao en coeur de cible. Même les habitants d'Ouvéa semblent souffir quelques rancoeurs à son égard.
En tous les cas, j'ai à nouveau vraiment accroché sur cet Aquablue, comme il y a longtemps que je n'avais plus accroché. Les frustrations des 4 derniers tomes sont rapidement balayées, et même si le trait est complètement différent, les couleurs , les détails et le scenario qui n'oublie rien de ce qui s'est passé avant, tout fait que l'on s'attache au nouveau tandem d'auteurs.
Bravo à Thierry Cailleteau d'avoir su céder votre bébé. Mais ç'aura été un mal pour un grand bien. (mais j'aimerais vous retrouver sur d'autres projet quand même, hein ?)
Merci Hautière pour ce cycle naissant, merci Réno pour cette nouvelle vision d'Aquablue !
Pareil que Grimm, je trouvais que la serie commençait à tourner en rond, qu'on ne sortirait plus du complot, et finalement, ce 14e tome offre un dénouement. Une bonne fin de cycle, avec son super vilain, le bon gros boss de fin.
Ce n'est pas pour autant une fin de série, car si Morvan et Buchet font le grand ménage dans ce tome, de nouveaux personnages plutôt intéressants -au moins un - laissent présager d'un nouveau cycle à venir...
Perdiode de renouveau dans les blockbusters de Delcourt ?
En tous cas c'est avec bonheur qu'on retrouve le bestiaire improbable de sillage, et les rappels et allusions aux premiers tomes de la série sont les bienvenus . Dommage qu'après avoir un peu tourné en rond sur les 2 derniers tomes cette fin arrive aussi vite et brutalement du coup.... Mais si c'est pour mieux sauter après, on y va !!