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Je suis fan de western, j'ai donc naturellement acheté cette BD, qui traite d'un sujet assez peu abordé, l'esclavage des blancs (devenus captifs lors des guerres, indiennes ou pas).
Le dessin réaliste est sympa mais manque de profondeur et de détails, l'histoire est intéressante mais manque de rebondissements, le récit manque d'émotion et je n'ai pas trouvé les personnages attachants malgré les épreuves qu'ils traversent, ET les couleurs sont ratées (merci le numérique).
J'ai eu du mal à terminer ma lecture, surtout à cause de la couleur.
Je n'ai retrouvé nulle part dans l'album de planche que j'étais en droit d'attendre au vu de la couverture. Nous sommes à des années lumières des paysages grandioses de Prugne, s'il fallait faire une comparaison ! Les quelques cases dans lesquelles la nature apparaît sont petites, manquent de détails et ne font pas rêver.
Je me suis penchée sur l'histoire de Susanna, dont les auteurs se sont inspirés. La 1ère version de son livre (dont elle n'est pas l'auteure) a été publiée en 1796 (42 ans après les faits), la traduction française est de 2003, l'édition la plus fiable semble être celle de 1807 (réédition à laquelle elle a participé).
Son mari (James) est un militaire anglais et non pas un coureur des bois comme on peut le penser, il décédera en juillet 1758 lors de la bataille de Fort Carillon (qui deviendra Fort Ticonderoga). Merci à internet pour ces 2 points.
Susanna était-t-elle atteinte du syndrome de Stockholm, ou de sénilité ? Ce qui expliquerait ces Indiens Abénaquis pas trop méchants et ces notables français pas trop méchants non plus (propriétaires tour à tour des captifs).
Susanna a été vendue 700 livres au gouverneur de la Nouvelle France, et est restée 2 ans en prison à Québec.
Le récit se déroule il y a 250 ans, on mourrait littéralement de faim en France (Métropole), et je n'ai pas retrouvé au travers des planches la sauvagerie ambiante de cette époque.
Bref, j'ai été déçu.
J'ai adoré Red Road.
Je ne suis pas fan du format intégrale (lecture pas facile, et rangement encore moins) mais comme je ne trouvais pas les tomes 2 3 et 4, je l'ai acheté. Et j'ai terminé ma lecture tout chamboulé...
Le premier tome de Red Road est sorti en 1988, la première intégrale en 2007, et cette dernière en 2021.
Les couleurs et le découpage sont agréables. Le scénario ne révolutionne pas le genre, c'est la vie qui passe, et il s'inscrit dans la continuité de l'oeuvre de Dérib.
L'histoire met en scène des amérindiens au XXème siècle, et la série est donc classée dans le western. C'est aussi une chronique, un documentaire sur la vie dans une réserve indienne et l'ouverture à la spiritualité.
Dérib est passé de mode, l'a-t-il jamais été ? et l'a-t-il jamais souhaité ?
Pour beaucoup, Dérib fait du western gnan-gnan. Chacun ses goûts, je pense que c'est un humaniste et que le western classique n'est pas son truc.
Chacun sa vision des choses.
Après les guerres indiennes, les gouvernements du Canada et des USA ont tenté d'assimiler les différentes tribus, ils ont échoué. (Pour ce que j'en sais) les amérindiens n'avaient pas d'écriture et la transmission de leur Histoire se faisait oralement, 100 ans se sont écoulés, qui peut dire avec certitude que leur quotidien était comme ci, ou comme ça ? Nous ne connaissons leur Histoire qu'au travers des récits et des témoignages des blancs (des hommes, et même pas des femmes !).
Une intégrale à lire, et je vais même relire Buddy Longway une énième fois.
Je suis un fan de Franck Thilliez.
Je suis souvent déçu par les adaptations, mais j'ai passé un très bon moment.
Les romans sont indépendants les uns des autres, seul le duo d'enquêteur est récurrent.
L'univers de Lucie Hennebelle et de Franck Sharko est noir, pas seulement à cause de leurs enquêtes, mais surtout à cause du type d'enquêtes. Ils sont policiers à Lille (Lucie) et au 36 (Franck) et leur domaine d'action est le Noir Absolu. Chaque enquête est violente et les confronte à des psychopathes tout droit sortis de l'enfer, ou de l'asile (au choix).
L'adaptation oblige les auteurs à faire des omissions, qui est ce 'fantôme' qui vit avec Sharko dès les premières planches ?
Le lecteur de Franck Thilliez aura reconnu Eugénie, qui hante l'enquêteur suite au stress des enquêtes précédentes.
Mais même ce détail ne fait pas tâche dans la BD.
Le suspens est là, le scénario est conforme au roman, le dessin sombre (parfois abrupt) retranscrit l'humeur et la vie hors normes du duo.
Runberg et Brahy ont à mon avis réussi une excellente adaptation des 3 romans.
Un plaisir de retrouver Soda après tant d'années !
Je me suis régalé, suspense et humour sont toujours au rendez-vous, dans un New-York toujours aussi speed !
Vivement le prochain album.
J'ai terminé ma lecture épuisé, des rebondissements, de l'amour, de la jalousie, des personnages aux caractères bien trempés, de la grandeur (personnages et décors), des indiens, des cavalcades, des morts, des ...
et une fin qui laisse entrevoir une possible suite, cf dernière case (je l''espère en tout cas).
Tous les ingrédients pour Un GRAND Western.
Je suis amateur, régulièrement déçu, mais les 80 pages d'Hacendado m'ont réconcilié avec le genre pour un bout de temps.
Et j'oubliais le très beau visuel du 1er plat.
Album composé de 3 histoires sur le thème de la perte de l'enfant dans la Chine de l'enfant unique (1979-2016).
Dessin de Ni Shaoru réaliste et très complet dans la 1ère histoire de 21 pages (Seul dans la vie) avec des pleine-pages et des cases sur lesquelles on s'attarde (détails et mouvement). Le fils disparaît (enlèvement sans doute) vers l'âge de 7/10 ans et ses parents ne vont cesser de le chercher. Le dessin est parsemé de slogans (dans les rues des villes) glorifiant le planning familial de 1 puis 2 enfants (post 2016), il montre la destruction des quartiers populaires pour favoriser le développement des villes, et la maison familiale termine au milieu d'un énorme échangeur routier. On ressent l'angoisse et le désespoir des parents au travers de cet écrasement par la ville, et par l'état chinois présent tout au long de l'histoire (slogans).
Dessin réaliste et clair de Xu Ziran dans la 2ème histoire de 33 pages (L'amour continue). Leur fils décédé, un couple adopte une fille, mais ne se remet pas totalement de la perte du 1er enfant. Scénario et dessins assez simples dans un univers de rêve qui aborde la possibilité d'adoption suite au décès. L'enfant est un outil remplaçable, l'humain devant avant tout servir la nation.
3ème histoire de 25 pages dessinée par Qin Chang (Le dernier voeu). Dessin clair avec un découpage des cases différent tout au long de l'histoire, ce qui rend la lecture agréable. Histoire en partie racontée par l'enfant vouée à une mort prématurée, et élevée seule par sa maman. Maman qui a refusé de refaire sa vie, et s'est consacrée à son enfant. Avec une fin surprenante qui montre la solidarité du peuple face à l'absurdité de certaines situations.
Au final, 3 histoires sans pathos, à lire en voyant plus loin que la simple lecture ! Comment faire face à la disparition de son enfant unique ? Refuser sa disparition et vivre dans une quête sans fin OU Le changer pour un autre et continuer à participer au développement du pays OU Réaliser tous ses voeux (tant qu'il est présent) au détriment de sa propre vie ? Dans un état policer où vos sentiments peuvent vous conduire en camp de rééducation ! Brrr.
Ma note serait de 3 au lieu de 2 après avoir posté mon avis, j'imagine qu'il n'est pas facile d'aborder cette situation en Chine, pays où l'on peut s'attirer les foudres de l'état, sous prétexte d'une remise en cause du planning familial.
TRES TRES très déçu par cet achat.
Achat fait les yeux fermés car je n'ai pas fait attention que c'est une nouvelle série, dont le dessin (comme bien d'autres séries de Swolfs) a été confié à un tiers.
Le dessin n'est pas abouti,
CF le visage du jeune héros page 1 (imberbe et sans ride car jeune, mais quand même !),
et la poursuite page 2 qui manque cruellement de réalisme.
De même page 5 le héros éprouve le besoin de nous dire ce qu'il fait pour échapper à ses poursuivants !
La fusillade page 39 et suivantes manque de réalisme.
Nul besoin de bla-bla, le dessin aurait du être plus explicite.
Bref le dessin ne m'a pas convaincu.
Quant au scénario, rien de palpitant ni de nouveau.
A moins de gros efforts dans le tome 2, je vois ce spin-off mal parti et finir par faire de l'ombre à Durango.
Je suis Swolfs depuis ses débuts.
Ses héros présentent de nombreuses similitudes, physiques et spirituelles, mais je les trouve toujours attachants.
Ses scénarios western présentent aussi des similitudes mais j'ai rarement été déçu, cette série sera-t-elle l'exception qui confirme le règle ?
On aime ou pas le Western italien et ses héros taciturnes, solitaires et violents qui se révèlent être les héros à la fin de l'histoire.
Mais là c'est mal barré pour les épisodes à venir.
Une BD western de plus dans un genre à la mode. Ce n'est que mon avis et je le partage.