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Dernier tour de piste de Corto Maltese avec lequel Hugo Pratt clôture sa série, dans ce qui s'apparente à une sorte d'album-somme. En effet, on y retrouve tous les personnages marquants de la série, comme Raspoutine, Lévi Colombia ou encore le professeur Steiner, pour une dernière aventure poussant le bouchon de la magie et de l'onirisme aussi loin que possible. Mais autant Les Helvétiques mêlait onirisme assumé tout en restant maîtrisé et en sachant garder du recul, autant celui-là se perd dans un scénario assez confus, où l'on ne comprend pas tout, et où le propos demeure nébuleux et abstrait. Malgré ces réserves, on doit reconnaître la capacité de Pratt à nous immerger dans un univers, et avec le dessin qui s'accorde bien avec le thème de l'album. Donc, malgré tout, on n'en ressort pas totalement mécontent pour autant.
Après un album Tango en demi-teinte, Hugo Pratt rebondit avec cette avant-dernière aventure pour Corto Maltese. Soyons clairs, il n'est clairement pas à mettre entre les mains des néophytes, qui risquent d'être fort déroutés. Hormis cela, même si l'aspect aventure est absent, il reste un album remarquablement dessiné et mis en images, à travers un voyage mémorable où Pratt semble faire éclater tout son imaginaire dans un voyage à l'onirisme débridé mais totalement assumé.
Un magnifique album de Corto Maltese. Un récit superbement narré et dessiné, avec des personnages nombreux et charismatiques, un récit d'aventure convoquant les seigneurs de la guerre chinois, les révolutionnaires bolcheviques mongols ainsi que les forces russes blanches contre-révolutionnaires aux prises dans la Mandchourie aux lendemains de la Première Guerre mondiale. Hugo Pratt arrive à jongler entre aventure, chasse au trésor, guerre civile, personnages récurrents comme Raspoutine et des personnages historiques comme l'ataman Semenoff ou le baron von Ungern-Sternberg, qui voulait restaurer l'empire de Gengis Khan, au sein d'un récit solide et dense. Un album dont on ne se lasse pas de relire.
Ce n'est pas une histoire complète, mais un recueil de cinq histoires pouvant se lire indépendamment les unes des autres. Mais cela n'en reste pas moins un bel album de Corto Maltese. On retrouve les ingrédients composant la plupart des albums de Hugo Pratt, avec de la magie et une dose de surnaturel, présentes surtout dans le troisième épisode, qui est à mon goût le meilleur des cinq. Les cinq histoires sont différentes chacune, avec leur propre personnalité, mais sont magnifiées avec le même trait de Hugo Pratt parvenant à entretenir et laisser planer le mystère, avec parfois un ton sarcastique bienvenu.
C'est une excellente BD de Tardi. Après avoir oeuvré pour Adèle Blanc-Sec, Tardi s'est tourné vers le polar social, en adaptant Léo Malet avec la série des Nestor Burma. Ici, il est également question d'un détective privé, et on peut noter des similitudes avec Nestor Burma. Mais surtout, Tardi imprime sait ce qu'il sait faire le mieux : des personnages bien croqués et particuliers, une intrigue qui multiplie les fausses pistes mais qui reste néanmoins prenante, un dessin en noir et blanc retranscrivant une ambiance à la fois lourde et désabusée, avec en prime le contexte du Paris du début des années 1920, ainsi qu'un événement historique dont on parle peu. Bref, c'est un très bel album.
C'est un bel album de Corto Maltese. Une histoire avec un scénario complexe mais foisonnant, nous emmenant au coeur de la Sérénissime. Hugo Pratt parvient à créer et constituer un univers où s'entremêlent sociétés secrètes, franc-maçonnerie et magie. On a un univers original à base de légendes orientales, d'histoire, d'ésotérisme et d'une quête quasi-mystique. Le tout, magnifié par un trait et des couleurs retranscrivant à merveille le mystère, et plus encore, parvenant à entretenir le mystère.
Je me lâche rarement, mais là, je dois dire que j'ai été conquis par ce comic book!
C'est absolument magnifique, tant au niveau du dessin que de l'histoire. En fait, par rapport aux autres comics de Batman, on a une intrigue beaucoup plus souple et aérienne, et qui est bien ficelée sans être non plus alambiquée. De plus, elle est jalonnée de répliques ironiques, ce qui n'est pas pour déplaire, et avec des personnages bien caractérisés (en particulier pour le Sphinx).
Mais surtout, cette intrigue nous emmène à Rome, magnifiée par le trait subtil et aérien du regretté Tim Sale. Ses dessins mettent très bien en valeur la Ville éternelle, dans des plans somptueux, avec un dessin à la fois sombre et aérien, très nuancé, et qui se rapproche presque de l'aquarelle.
Mais le plus intéressant dans cet ouvrage, c'est le fil directeur, qui est la quête identitaire de Catwoman, et qui nous réserve quelques surprises, ce qui nous renvoie au caractère bien ficelé de l'intrigue évoqué plus haut.
Il y a certaines imperfections, mais c'est peu de choses pour une oeuvre qui ne peut qu'emporter l'adhésion.
En voyant cet ouvrage que l'on m'a offert, je me suis demandé "Mais que va-t-il m'apprendre de plus qui n'ait été dit sur la guerre, la bombe et la destruction. Je me suis dit "Mais au fond, peu importe comment c'est raconté, le but est la manière dont l'histoire est racontée".
Et là j'avoue m'être pris une grosse claque. Tout d'abord, le fait que l'histoire soit racontée du point de vue de l'Uranium est excellente. C'est elle qui raconte son histoire, et raconte aussi les personnages qu'elle a raconté. A partir de là, il n'y a aucun manichéisme, chaque personnage est présenté tel qu'il est.
Ensuite, cela permet de faire une histoire des plus complètes, avec un découpage parfait alternant les divers événements, évitant ainsi la répétition, et ce grâce à un jeu de couleurs et de contrastes hallucinants avec les différentes pages.
La fin est elle-même un exemple d'objectivité : pendant que les militaires et politiques s'auto-congratulent, les civils calcinés sont montrés. Et tout cela sous l'oeil de l'Uranium.
Voilà, cet ouvrage ne m'a rien raconté de nouveau, mais la manière dont il l'a raconté, c'est du jamais vu ! Les auteurs ont mis cinq ans à produire cet ouvrage, et m'ont donné une grande piqûre de rappel. Un ouvrage monumental.
Cet album a le mérite d'être cohérent et de proposer un scénario habile qui mêle deux histoires. Il y a une atmosphère qui se dégage de cet album qui est loin d'être déplaisante. Cependant, j'ai l'impression que l'intrigue fait trop de surplace et n'avance pas assez, elle demeure assez molle pour tout dire. Pour le prochain album, il va falloir que l'album propose quelque chose d'inédit pour que la série puisse se remettre dans les rails.
Cela dit, je reste confiant pour la suite. A suivre, donc.
Cette seconde partie se tient bien. Je n'ai pas été autant emballé que pour la première partie du diptyque, qui nous proposait quelque chose de vraiment unique en terme d'intrigue, d'atmosphère, mais je dois reconnaître que cet album se perçoit comme une réussite. Les ingrédients qui ont fait le succès du premier sont bien repris, à savoir ce mélange entre récit d'espionnage et d'aviation. Le dessin se tient encore une fois, mais tout va peut-être un peu trop vite dans cet album, d'autant qu'il est dur de suivre une intrigue se déroulant dans trois espaces différents. Néanmoins, cet album se tient, donc cette série est à suivre.
Cet album marque le retour de Moynot après l'interlude des deux opus signés Barral. C'est somme tout assez inégal, mais on peut néanmoins trouver cet album sympathique et somme tout assez cohérent et bien ficelé, même si la dernière partie prête un peu à la confusion. Le dessin particulier et authentique de Moynot est agréable et sert le récit (il est quelque part plus introspectif que celui de Barral). Et puis Burma qui tombe amoureux, c'est quand même inattendu et vaut le détour! Rien que pour cela, on pourra prêter de la sympathie à cet album.
J'ai hésité entre la note de 2 et celle de 3, mais j'ai décidé de mettre la moyenne.
Un très bel ouvrage qui donne un choix judicieux pour les différents épisodes. Le fait de mettre différents paragraphes avant les histoires est une bonne idée, car on en apprend plus sur l'univers des X-Men. Il s'agit d'une très belle anthologie de chez Panini et qui donne envie de découvrir les autres.
Je trouve que ce spin-off ne va pas, car il n'apporte rien à la série principale. Il fait plus office de remplissage qu'autre chose, et l'on ne peut s'empêcher de s'ennuyer durant la lecture. Reste le dessin qui est correct et en lien avec la série mère, mais sans plus.
Ce second tome est à la hauteur du premier. Il reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier tout en évitant d'en faire un copier-coller. On a donc un album qui distille une ambiance noire servie par le même dessin exceptionnel que pour le premier, mais qui apporte aussi son lot de nouveautés. Le scénario est aussi très bien ficelé et pensé. A suivre donc pour voir ce que donnera le troisième tome.
Très bon album! Il est vrai que l'histoire est très classique, mais parfaitement maîtrisée en terme de narration (qui sait se montrer parfois inventive cf. La scène vue du point de vue du serpent) et de découpage, mais également en terme de mélange des genres (western, mafia, polar) et qui ne tombe jamais dans le too much. Le dessin sert particulièrement bien le contexte, tandis que la voix off permet de prendre un recul étonnant quant à l'histoire, et sert beaucoup dans la narration. On a une véritable ambiance très bien rendue.
Ce troisième album de ce triptyque sur la bataille de Verdun, mais qui se situe après la guerre, a une histoire qui se tient bien et les dessins sont à la hauteur des deux précédents albums. Un bon album qui clôt bien la trilogie.
Cette suite qui retrace un autre épisode de la bataille de Verdun, à savoir la résistance du fort de Vaux, est dans la lignée du précédent tome. Quant au dessin, il se tient et illustre bien l'histoire.
Un album correct qui retrace bien les premiers jours de la bataille de Verdun (la prise du fort de Douaumont), avec un dessin classique mais correct.
C'est un bon album, avec une histoire bien racontée mais qui n'est pas assez aboutie à mon goût. Il manque quelque chose qui ferait adhérer à cette histoire, qui revisite la fameuse oeuvre de George Orwell.
Quant au dessin, il est bon mais lui aussi pas assez abouti, et ressemble trop à du Disney. A suivre pour voir ce que donnerons les prochains tomes.
J'ai trouvé cette adaptation décevante. Effectivement, comme la plupart des gens, j'ai lu le roman de Albert Camus. Je trouve que cette BD retranscrit bien l'oeuvre originale dans son contexte et dans le lieu, mais sans lui apporter quelque chose de plus. Je ne remet pas en cause le dessin.
Cet album m' a laissé un sentiment mitigé. Pourtant, en racontant une histoire mettant en scène le fameux justicier Wyatt Earp, les auteurs ont choisi d'éviter les clichés en nous racontant autre chose que le duel d'OK Corral, et ont ainsi décidé de s'orienter vers une intrigue policière tout en s'éloignant du mythe de la frontière. . L'intention était louable, mais j'ai eu du mal à m'y retrouver, car j'ai eu l'impression que cette intrigue pouvait être applicable à n'importe quel autre justicier de l'Ouest, et pas seulement pour Wyatt Earp. Donc malgré son parti pris, j'ai trouvé cela bien maigre en fin de compte, et ce malgré de beaux dessins. Une déception donc.
Je trouve que cet album n'est pas à la hauteur car il est un peu une répétition des précédentes saisons. le scénario aurait pu être plus trépidant. Cependant, il faut noter que les beaux dessins de Marchal sont toujours là et permettent de suivre agréablement l'aventure. A suivre donc.
J'ai trouvé cet épisode 24 assez décevant. Ce n'est qu'un jeu de pistes sans suspense et assez ennuyeux où l'on se contente de faire se déplacer Mortimer d'un point A à un point B. Cependant, le dessin de Juillard est toujours bon.
Le début est très efficace tout en étant assez classique et on a envie de connaître la suite, cependant on a du mal à reconnaître les personnages du fait du graphisme. Mais globalement c'est un assez bon album dont on a envie de connaître la suite.
J'ai trouvé ce Double 7 un peu décevant. En effet, même si le dessin est bon, l'histoire hésite trop entre l'histoire d'amour, la politique et la guerre, alors que le contexte est passionnant. De plus, ce qui tourne autour d'Hemingway est sans grand intérêt. Cependant, la fin est bien amenée et les avions et combats aériens plutôt bien faits. Une impression mitigée pour cet album donc.
Ce second tome est moins bon que le premier, et ce à cause du fait que plusieurs histoires simultanées se déroulent et que l'on a du mal à suivre, ce qui provoque une certaine confusion, renforcée par le fait que les personnages se ressemblent. Cependant, cet album est globalement bon, avec de beaux dessins, ce qui fait que l'on a plaisir à suivre l'intrigue malgré tout.
Un très bon premier tome muni d'un scénario complexe mais très bien ficelé liant fantastique, guerre et espionnage. Le dessin très réaliste et froid met parfaitement en valeur cette histoire.
Cet épisode clôt de façon assez honorable l'histoire commencée avec le tome 5 et la statue de Cybèle. Le dénouement de cette histoire est plutôt bien amené, ce qui fait que cet album est correct.
Pour cet album, je trouve que le scénario n'est pas à la hauteur et que le dessin est beaucoup moins bien que dans les précédents épisodes.
Ce cinquième tome est en baisse par rapport au précédent, notamment au niveau du scénario que je trouve nettement moins bien. De plus, la castration de Khephren n'a rien à faire dans un album de cette série.
Ce quatrième tome est dans la lignée du troisième. Un bon scénario et un bon dessin en font un album très agréable à lire.
J'ai trouvé ce troisième tome meilleur que le second. Le dessin est le même, mai il y a un rebondissement à la fin qui fait que j'ai adhéré et qu'on a envie de lire la suite.
Je n'ai pas lu le premier tome, donc je trouve l'histoire un peu embrouillée. Trop de choses à suivre ou à comprendre, ce qui rend la lecture un peu pénible. Sinon, le dessin est correct, mais sans plus.
Ce deuxième tome nous entraîne dans le Rif cette fois-ci. En effet, on se trouve plongé dans la guérilla entre Rifains et Espagnols. On suit nos deux personnages, au gré des rebondissements et de l'action. Très bon album!
Pour ce neuvième album, Van Hamme revient au scénario. Ce tome est sympathique et reste d'une lecture agréable.
Cet album est toujours aussi prenant que les précédents, on découvre de nouvelles espèces et de nouveaux paysages, d'autant plus que le troisième cycle des Mondes d'Aldébaran va se terminer et que l'on a hâte de savoir.
Des trois tomes lus de cette série, je trouve que celui-ci est le meilleur.
Le scénario est à la fois simple, cohérent et bien ficelé, et se double en plus d'une relecture de la Bible tirant parfois vers le second degré.
Quant au dessin, il n'est pas exceptionnel ni révolutionnaire mais il sert admirablement l'intrigue et son lieu.
Je met 5/5 car cet album est vraiment surprenant.
Bon album. Un dessin particulier mais qui correspond bien à l'histoire et au personnage. L'histoire est surprenante car elle ne se dévoile véritablement qu'à la fin, cette dernière étant des plus surprenantes.
Très bel album historique. Les différents personnages historiques sont très bien croqués, tandis que l'atmosphère est très bien rendue (notamment les couleurs penchant symboliquement vers le rouge ou vers le noir, mais dans les deux cas assez sombres).
Un album sans intérêt. Le scénario est incompréhensible et les dessins tentent vainement d'imiter ceux de Jigounov (les fonds de mer et de ciel hyperréalistes ne l'aident pas).
Une bonne BD. Même si les dessins laissent parfois à désirer, cela ne m'a pas empêché de rentrer dans l'histoire qui s'avère intéressante. La fin laisse présager l'aspect aventures/pirates que l'on attend pour la suite.
Dans ce deuxième tome, on apprend l'existence du royaume de Niangara. Les dessins sont pourtant moins sombres que pour le tome précédent. A suivre
Cet album est une bonne histoire de chasse aux sorcières. L'histoire est prenante et les dessins sont globalement corrects. Les monstres sont bien réalisés.
Ce deuxième tome possède des dessins et un graphisme excellents qui sont à la hauteur du premier. Même si les pirates restent à terre et qu'il n'y a pas de combat maritime, cet album est prenant.
J'ai été globalement assez déçu par cet album qui donne une impression de déjà-vu. Quant au dessin, je l'ai trouvé dans l'ensemble très moyen et il ne séduit pas. On est très loin des Mondes d'Aldébaran.
C'est un très bon album sur le thème de la piraterie. L'histoire est classique mais prenante. Les dessins sont très bien car ils correspondent au sujet.
En outre, Puerto Blanco, l'île aux pirates, est très bien représentée et mise en valeur par le dessin.
Ce nouvel album de Buck Danny 'Classic' est une réussite
Le dessin très 'vintage' est très beau, l'intrigue sur fond de guerre froide et de menace nucléaire est prenante, et les décors enneigés sont d'une grande beauté, avec une mention spéciale pour la couverture très réussie. Et on est heureux de retrouver les scènes de combat aériens.
On notera également un clin d'œil à James Bond avec notamment l'un des agents nommé 'Felix Leiser'
Je n'ai rien d'autre à ajouter, à par : Vivement la suite !
Excellent premier tome signé par le tandem Nury-Vallée. Le dessin est très bon mais ce qui est excellent, c'est qu'il n'y a aucun partis pris ni pour les mercenaires ni pour les fonctionnaires et politiciens corrompus
Un album qui clôt la saison d'une bonne façon, en mettant en scène un combat final dantesque avec avions, bombardiers détruisant le QG des envahisseurs. Le dessin de Marchal est correct.