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Une curiosité venue de l'est du Canada (Nlle-Ecosse) avec traduction par un Québécois, mais sans plus que quelques très discrètes expressions locales.
[Je signale à J. Milette (voir ci-dessus) qu'il existe encore au Canada des communautés francophones parfois importantes hors Québec, même si, notamment en Nlle Ecosse, certaines peuvent être en voie d'extinction. Ces communautés connaissant aussi l'influence québécoise peuvent utiliser des expressions québécoises. Les unions mixtes et familles bilingues existent aussi. Il n'y a rien de saugrenu à traduire certaines expressions d'anglais courant par du vocabulaire québécois, il aurait pu y en avoir nettement plus. La division Canada anglais/Canada français est une simplification à base légale, mais pas si tranchée dans la réalité. De plus, des véhicules peuvent porter des inscriptions en français ou en anglais ou les deux, surtout au Nouveau-Brunswick, la province bilingue voisine et seul contact terrestre de la Nouvelle Ecosse avec le continent !].
Une ambiance enquêteur Club des 5 en fin de lycée ou début post scolaire (série biblio verte des Alice ?), entourés d'adultes dont ils se méfient plus ou moins.
Les ingrédients (société secrète, enlèvements, meurtres, hypnose, prémonition) ne nous éloignent pas des productions destinées à la jeunesse selon la loi de 48 (E. P. Jacobs), notamment sur les plans amour, sexualité et sentiments, complètements absents.
Une solidarité d'habitude de fréquentation dans une petite localité nord-américaine unit les héros, et est étendue sans réticence au nouveau qui débarque, malgré son arrogance de citadin savant.
Les dialogues, basiques et sans relief, hésitent entre sitcom de collégiens, mangas pour ados, ou la parodie des deux (les 2 sportifs sagement logés chez papa maman et leurs dialogues de pré ados !).
Si on opte pour une lecture distanciée d'une parodie décalée, c'est agréable à lire.
D'autres volumes sont annoncés.
On a du mal à croire qu'entre le nouveau pas laid et très ingénieux, les deux footballeurs (américains), la jeune cassandre et la fille à papa, il ne se passera jamais rien. Mais je me trompe peut-être.
La chronique semble avoir été écrite par quelqu'un qui n'a lu que les premières pages de l'album.
Dans la BD, l'auteur présente finalement l'histoire comme réellement survenue dans les années 70.
La tentative de rendre compte des tourments de l'enfant est assez réussie et les dessins souvent saisissants. On remarque aussi quelques maladresses (comme l'insistance sur la part de responsabilité du grand-père – évidente – et le lien suggéré avec son homosexualité réprimée...).
Excellent album que Je connaissais par l'édition de 1985. Ce qui fait que je ne comprends pas pourquoi l'édition 2015 mentionne Première édition