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Un dessin classique assez agréable et coloré pour narrer l'histoire d'un jeune paysan enlevé par des soldats français. Nous sommes au début du XVI° en 1511 sous le règne de Louis XII en plein dans les guerres d'Italie qui ravagent la péninsule et cristallise les tensions européennes. Il y'a un certain souci du détail, de réalisme (les ravages de la guerre,la condition de vie des soldats...) le tout agrémenté d'une pincée d'intrigue amoureuse. Il est réellement dommage que l'auteur n'ait pas continué cette série qui augurait favorablement.
Un des meilleurs pour ne pas dire le meilleur d'Alix, Jacques Martin peut être fier de ses successeurs qui assurent dignement la suite. Le dessin est toujours aussi agréable, réaliste. Cet album réussit à melanger subtilement sentiment, et suspense tout en donnant une belle leçon sur le monde des Vestales. L'intrigue est originale digne des meilleurs épisodes des Experts (Las Vegas)
Le second tome est encore meilleur que le premier en alliant suspense, secrets politiques et drame familial. Une réflexion pertinente et profonde sur l'amitié qui transcende les clivages irrémédiables créés par la 2° guerre mondiale. Une histoire émouvante et prenante, un vrai plaisir.
Graphisme agréable dans un décor montagnard. Les va et vient entre passé et présent rendent parfois la lecture compliqué et l'on se perd dans les personnages qui se ressemblent. Toutefois, le suspens est bien distillé.
Il est vrai que je ne suis pas fan des histoires de F1, mais il faut avouer que cet album manque de dynamisme, on s'ennuie un peu. On a tendance à se perdre dans le va et vient des deux rives du lac.Le seul atout reste bien sur les beaux dessins de Chaillet. On pouvait mieux exploiter le problème de la mafia en Italie.
Une histoire sympathique dans une république imaginaire qui n'est pas sans rapeller la principauté de Monaco. L'auteur y aborde le problème des gros interets financiers dans l'aménagement du territoire, la corruption des dirigeants politiques. Le graphisme est agréable. Lefranc est bien dans le peau d'un jeune homme des années 1980, il n'est plus le journaliste guindé des années 1960 avec cravatte...
Chaillet nous entraine dans le sud de la France, en particulier en Provence puis dans la Castille qui sombre dans la fameuse guerre civile entre Pierre le Cruel et Henri de Trastamare: autrement dit un épisode de l'Histoire souvent ignorée. Ce conflit est bien expliqué dans son enjeu international (rôle de l'Aragon mais aussi de la Grenade des Nazrides, c'est d'ailleurs de l'Alhambra que commence la 1° page). Les paysages , les dessins sont sublimes en particulier les panoramiques de l'Alhambra sous fond de coucher de soleil et celui de Burgos. Le fléau de la peste est bien mis en valeur, le suspens est bien ménagé du début à la fin et on a hate de lire la suite car on se doute que Vasco ne succombera pas à la terrible Dame Noire. Le seul petit souci historique me semble les circonstances exactes de la mort du sultan Abu Said (Mohammed VI) que Chaillet fait mourrir à l'Alhambra alors qu'il semblerait qu'il se soit enfui de Grenade avant d'être assassiné par des sbires du roi d'Aragon Pierre IV le Cérémonieux
Ce deuxième album de Lefranc a un peu la même structure que le précédent mais en mieux. Une première partie avec un bon suspens, une histoire qui se tient assez classique mais opérante. En revanche la fin est prévisible et fait penser aux films américains qui jugent la qualité de leurs films par la quantité d'explosion, de gros booms. L'auteur developpe le problème des ressources pétrolières et ses enjeux financiers. La fin est tristounette mais on ne peut le reprocher, elle est atténuée par la consolidation d'un belle amitié réciproque entre le héros et le jeune Jeanjean qui se lient à la vie à la mort
Résumer la vie d'Alexandre en 48 pages est un exercice difficile, globalement l'essentiel est vue. Cette B.D il est vrai est influencée par le film tournée en 2004. Elle a le mérite de ne pas oublier la jeunesse d'Alexandre. Toutefois,était il necessaire de réserver un page entière à la mort d'Hephaistion? rien n'est dit sur les noces de Suse. Il es dommage que les éléphants soient absents de la bataille de Gaugamele. Il y'a une erreur dans la note de la page 16, les Médares?? se révoltent or la note dit qu'on est en 356 av JC , et l'on voit dessiné un jeune Alexandre dans la fin de l'adolenscence. Quant on sait qu'Alexandre est né en 356...Nous sommes en fait en -340 puisque Philippe II combat Byzance. On regrette aussi le manque de chronologie qui est réduit à la portion congrue.
Pour ce qui est du graphisme, il reste agréable, classique, dans la lignée de J Martin
Cette aventure nous conduit au coeur du fameux phare d'Alexandrie,de sa grande bibliothèque avec comme toile de fond les rivalités au sein de la famille des Lagides . La situation d' Alexandrie est bien décrite. Le dessin est toujours agréable. Un album qui se lit avec plaisir avec un peu de suspense
Une intrigue originale, avec une certaine dose de suspense avec une demi happy end puisque le repenti de la dernière heure meurt. On entrevoit le monde impitoyable des tueurs à gage qui fleurtent avec la grande Histoire (l'assassinat de Kennedy). Le grand méchant a une bonne allure d'ange exterminateur.Une lecture agréable
Le dessin n'est pas encore bien maitrisé. Une histoire classique dont la seconde partie semble assez imvraisemblable... alors que la 1° partait bien avec un certin suspens.Il faut peut être voir dans cette histoire la menace de la bombe nucléaire, on est en 1954 donc en pleine guerre froide et la France n'a pas encore l'arme atomique...On retrouve bien dans cet album la vie des années 1950.
Quelle déception, le dessin certes est correct, mais l'histoire manque de dynamisme, on confond allégrement les personnages, le début semble un peu tiré par les cheveux. J'ai eu du mal à terminer le livre et n'ai pas eu envie de lire le second. C'est dommage car il y'a peu de B.D qui se déroule principalement dans l'Amazonie
Le trone d'argile continue sur la voie de l'excellence avec un réel souci du détail historique. Les raisons et enjeux deu traité de 1420 sont bien mis en valeur, un récit captivant, clair sur les heures les plus noires du royaume de France miné par la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons et la lutte contre l'Anglois. Le graphisme est agréable, peut être un peu sombre. J'attend la suite avec impatience
Histoire gentille mais assez prévisible. Le sujet (la perte d'une enfant tuée et violée) est traité de façon assez plate sans suspens. Le seul piment est apporté par le dynamisme et les remarques de Babette à propos de son petit ami confronté à la faim! Cet album nous ouvre sur le monde de la chasse et la découverte des gabions
Une suite bien décevante de ce triptyque si bien commencé. La qualité du graphisme reste le seul atout majeur de ce volume. L'histoire manque de dynamisme, de réalisme et est mal reliée avec les deux précédentes. Certaines péripéties sont parachutées de façon incongrue: l'arrivée du père (encore jeune) du bagne de Cayenne...la surprise de la fin est assez tirée par les cheveux. Enfin, on aurait aimé savoir pourquoi le héros finit sa vie à Paris dans une demeure orientale arabe et le pourquoi de sa supposée conversion à l'orientalisme voire à l'Islam.
Ce second tome,délaisse un peu le contexte historique et militaire de la guerre du Tonkin;mais est de la même veine que le premier. Le suspense de cette saga familiale est toujours bien mené, original, imprévisible. Les paysages, l'atmosphère sont bien rendus, cette série gagne à être lue et connue au même titre que les grands classiques de la collection Vécu
Cet album est une réussite tant sur le plan graphique, esthétique qu'historique; L'auteur nous plonge au coeur de la guerre du Tonkin avec un réel souci du détail (notament une bonne reproduction du Bayard, le navire envoyé par la France...) Un point cependant lui empêche d'atteindre la perfection, Saïgon fut prise en avril 1882, et non en 1883 année où se place le récit fort bien mené de l'auteur. La recontre avec Jules Verne est surprenante mais originale.Le suspense est tenant, les couleurs et les décors captivants. On a hâte de lire la suite
Si le graphisme est classique et correct, l'histoire reste faible, nous navigons de batailles en batailles au gré des coalitions sans explication sans lien le tout imbibé d'une dénonciation plus ou moins réussie des horreurs de la guerre. Une certaine monotonie des dessins s'installent au cours de la lecture.Le héros est un naïf (trop?) bavarois qui véhiculent des idées anachroniques à la fin de l'ouvrage.En effet, l'auteur a priori fervent partisan de l'Europe, prête aux héros des idées contemporaines qui étaitent loin des préocupations du peuple bavarois à l'époque de Napoléon I. Cela frise le contre-sens historique puisque c'est l'époque où se forge efficacement le sentiment des differents nations européennes et il n'est nullement question de fédérer les peuples européens dans un même cosmos. Cette idée germera dans les pensées de quelques rarissimes intellectuels au milieu du siècle.
L'histoire manque de rythme, l'idée d'une liaison amoureuse avec la jeune berlinoise est mal exploitée. Un album décevant même si les premières pages commençaient bien.