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Splendide album à tous points de vue. Je ne m'étends pas vu qu'Erik67 en a déjà beaucoup dit. En tous cas je recommande vivement. Je ne connaissait pas l'auteur, voilà qui est fait et je vais sans doute suivre de plus près ses prochaines productions.
Voilà le huitième tome de Titeuf que je lis, et je ne trouve que très peu de gags drôles...
Je veux bien que la série soit plus délurée que "Bill et Boule", par exemple, mais c'est aussi bien plus grossier voire vulgaire, parfois !
Pour ce qui est de l'humour, le véritable, je cherche encore !...
Je ne comprends pas cette série. De l'humour ? Mais où ?
Je ne trouve absolument rien de drôle dans les trois premiers volumes...
La période fin des années 80 - début des années 90 a été une période calamiteuse pour la Bande dessinée en général.
Le Petit Spirou en est un magistral exemple
Bon, on ne va pas faire les difficiles. Après je ne sais combien d'années de piètre production, un album correct ne se refuse pas.
J'avais des craintes en sachant que Fabcaro était aux manettes avec Conrad pour cet opus, n'étant pas un fan de Fabcaro...
Je dois reconnaître que, hormis quelques jeux de mots vaseux et inutiles dans les premières pages, et la répétition un peu lourdingue des "sentences" positives tout au long de l'album, le tout tient la route pour notre plus grand bonheur.
Comme il a été dit dans les avis précédents le mien, on sent l'influence d'albums anciens comme la "Zizanie" et le "Devin".
Eh ben moi je préfère des références comme celles-là, plutôt que certains albums de la période Uderzo seul ! Pour rappel, qu'on se souvienne de "Le ciel lui tombe sur la tête", opus fatal dont Uderzo ne s'est jamais remis...
Question dessin, Conrad approche admirablement le style Uderzo, à une exception notable près: Jules César demande à être amélioré; tel qu'il est depuis la reprise il n'est franchement pas terrible !
Et puisqu'on a atteint le 40ème album des Aventures d'Astérix, ne serait-il pas judicieux d'arrêter là une bonne fois pour toutes, après un album digne de l'ensemble ?
40 tout rond, ça serait pas mal pour une série légendaire, non ?
Je pense que c'est l'album de la série à ne pas négliger. On en apprend beaucoup sur le Royaume et sur certains personnages, le tout avec humour comme toujours, mais cette fois-ci avec une certaine tension dramatique qui réhausse indubitablement l'ensemble.
Après voir lu cet album, on peut trouver les deux derniers (6 et 7) pas vraiment indispensables pour le coup.
Pour savoir ce que je pense de cet album, lisez l'avis précédent et inversez toutes les phrases.
Ainsi je pourrais commencer par : "Je tiens à préciser que je suis un grand fan des oeuvres de Jean-Claude Denis...
Auteur que je connais depuis les années 80 (et oui déjà...) avec les début de Luc Leroi et d'André le corbeau, il est unique en son genre.
Dessin reconnaissable au premier coup d'oeil, humour fin et analyse sans concessions de la boboïtude, il fait partie de ces anciens auteurs de BD qui ont su marquer leur époque sans vulgarités, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de ceux d'aujourd'hui, la surrenchère au tape-à-l'oeil étant de mise au détriment de l'humour et de la réflexion...
Le premier dans l'ordre de parution qui ne m'a pas vraiment convaincu, si on laisse de côté le tout premier album qui était un premier jet. L'humour n'est pas le plus fin qu'on ait pu goûter, le scénario n'est pas grandiose. Eh oui, même du temps du grand Goscinny il n'y avait pas que des bons Astérix !
Autre époque, autre dessin, pas mauvais d'ailleurs. Le scénario est bien dans la continuation des précédents épisodes, l'humour idiot avec le crétin Sonny Tuckson aussi, hélas !!
Pour une série réaliste de ce niveau, je trouve que les gags tucksonniens sont trop fréquents, trop lourds et tellement grotesques que je me demande parfois si je lis bien un Buck Danny ou un épisode des Schtroumpfs !!!
En effet le titre à lui seul est une énigme. Piger quoi ?
Tout est dit dans les avis précédents, pas besoin d'en rajouter.
J'ai rouvert des pages des dix premiers albums de la série, et je me suis dit: ah mince, c'était autre chose !!
D'où cette nostalgie sans doute, qui me contraint malgré moi à continuer de lire une série qui me répugne carrément...
Un album de bien-pensance magistrale. Je résume:
- Les noirs: bien
- Les blancs: pas bien
- Anti-racisme: bien
- Racisme: pas bien
- Noirs exploités qui se révoltent: bien
- Méchant KKK: pas bien
Et je ne parle pas de l'humour... Plutôt au compte-goutte, l'humour, et grâce aux Dalton seulement.
Le reste tombe à plat lamentablement...
Breum, breum !! On a ici, de toute évidence, une BD s'adressant aux jeunes ayant le désir d'en savoir plus sur cette période troublée qu'est la prohibition aux États-Unis à l'époque d'Al Capone.
Si je m'en réfère aux nombreux renvois de bas de page, il est sûr que cet album a pour vocation première d'instruire.
D'instruire entre autres sur la condition des noirs et des indiens, et par là, se rendre compte ce que devait être une vie humaine lorsqu'on était Noir ET Indien. ...
Vers la fin de l'album, une note précise ce qu'était le Ku Klux Klan...
Bon, je n'ai rien contre les BD à destination de la jeunesse, mais franchement malgré les beaux dessins, il faut bien le dire : on s'ennuie ferme !!!
Le scénario n'est pas captivant une seconde, les Blancs sont méchants, et le KKK est très très très très méchant !!!
Je m'attendais à du plus solide. Ben tant pis...
Je pense que tout est dit ou presque dans les avis précédents, à quoi bon en rajouter...
Je trouve que le travail d'Emile Bravo est tout simplement proche de la perfection !
Un des meilleurs albums qui me sont tombés dans les mains ces dernières années.
Une série qui aurait pu être intéressante malgré les visages un peu approximatifs parfois... Mais que c'est mal écrit, mon dieu, que c'est très mal écrit !!! Les dialogues sont d'une nullité...
Je ne sais pas ce qui m'a pris de me lancer dans cet album, mais je peux dire que ça fait longtemps que je n'avais plus lu de BD aussi nulle !
Je mets une étoile pour le dessin parce qu' acceptable.
Pour le reste... Un scénario et un univers qui se veulent originaux, moi qui croyais que ce genre d'histoire ne se faisait plus depuis les années 90 !!
Mais surtout là où je ne suis pas d'accord avec certains autres avis, c'est à propos de l'humour que je trouve con du début à la fin. Je crois bien que je n'ai pas esquissé le moindre sourire tout au long de l'album.
Bref, une BD pas pour moi visiblement...
C'est pas la BD du siècle, d'accord, mais pas trop mal néanmoins. Les histoires de jumeaux où l'un se fait passer pour l'autre, je n'y crois guère, surtout quand il s'agit d'intimité avec une fille... Les visages des personnages ne sont pas terribles dans l'ensemble, mais le dessin est plutôt bon pour les décors.
Par contre, petite mise au point à l'intention de l'éditeur, et même du chroniqueur de cette série: Cambremer et les autres bourgades environnantes: Dozulé, Crévecoeur-en-Auge, Beuvron-en-Auge ne se situent pas dans le Bocage Normand, mais dans le Pays d'Auge comme certains noms l'indiquent, avec pour capitale Lisieux. Cette région se trouve dans la partie Est du Calvados, contrairement au Bocage Normand qui se trouve à l'Ouest, et qui déborde même un peu dans la Manche voisine.
Je sais bien que ça ne changera rien à l'histoire, mais il fallait que je le dise !
Il n'y a rien à faire ! Le dessin d'Hermann me répugne tellement maintenant que je n'arrive plus à apprécier ses histoires. Quand je compare ses anciens "Jeremiah" ou ses premiers "Tours de Bois-Maury" avec ses productions actuelles, je ne peux m'empêcher de constater à quel point ses dessins sont devenus hideux et approximatifs!!
Kurdy Malloy ne ressemble plus au Kurdy que j'ai connu. Le fait qu'il avait 17 ans dans la présente histoire n'est pas une excuse.
Si Hermann a encore des admirateurs, tant mieux pour lui, mais sans moi...
Très bon album qui fait suite à la Femme-léopard qui m'avait frustré à cause de la suite à venir.
Moi, cette histoire en 2 tomes m'a bien plu et je ne comprends pas bien les avis négatifs précédents.
Je conseille aux pisse-froid de lire Picsou, je pense que ça sera plus à leur niveau...
La reprise de la série par Lapierre et Sikorski n'était pas si mauvaise que ça, contrairement à ce que j'aurais pu croire. N'étant ni un fan de Tif et Tondu en général, ni de Will en particulier, je n'ai absolument aucune nostalgie de la série classique.
Je trouve même que le cantonnement pur et simple au polar est nettement plus digeste que certains albums fantastiques d'autrefois comme le très chiant "Magdalena" par exemple...
Et puis en ce qui concerne l’histoire de cet album, qu'il est bon de couper court avec la morale à papa ! Le meurtre des trois abominables vieilles peaux n'est regretté par personne, ni par les différents protagonistes (excepté le fils de l'une d'entre elles), ni par les auteurs, dirait-on !
Très intéressant ! Mais pas facile à suivre. Si vous n' avez pas un minimum de curiosité scientifique, passez votre chemin.
Le propos est même passionnant, et le dessin qui l' accompagne est d'une qualité plus que bienvenue pour essayer de digérer ce sujet complexe.
Je ne prétend pas avoir tout compris, loin de là, mais au moins j'aurais appris des notions qui m'étaient complètement étrangères.
Pas le genre de livres à lire tous les jours, mais qui décrasse les neurones. Ça peut pas faire de mal...
J'enfonce le clou pour dire que moi aussi je trouve la critique de J. Milette complètement ridicule. C'est vrai qu'on peut se demander s'il a vraiment lu cet album !
Ce LL de Bouzard est hilarant d'un bout à l'autre. Je ne m'étais pas éclaté comme ça depuis longtemps sur une BD...
Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, ne tenez pas compte de la critique pour les raisons évoquées dans les avis précédents.
Gallimard n'est pas réputé pour sa production de navets. Même dans sa branche BD on y trouve des perles comme celle-ci, qui sont tout à l'honneur de ce prestigieux éditeur.
Cette histoire est passionnante du début à la fin, menée de main de maître, puis-je dire, même si l'auteur est inconnu du grand public. Je le découvre d'ailleurs avec cet album.
Le dessin est ce qu'il est, sans être rebutant, et largement convenable dans le sens où tous les personnages (pas si nombreux que ça, faut pas exagérer!) sont parfaitement distincts et reconnaissables au premier coup d’œil, ce qui n'est pas toujours le cas parmi les réputés faiseurs de "beaux dessins"... Non, non, je ne citerai pas de noms !
La galerie de personnages est des plus intéressantes (Hannibal bien sûr, Houdè sa fille, el Ghoul, Roger, Balthazar...) et leur histoire à chacun s'imbrique superbement dans la trame générale.
Et puis, s'il fallait une explication rationnelle à l'existence du Suaire de Turin, et bien en voilà une !!
Super album, je recommande sans restrictions.
Dessin magnifique et belles couleurs, c'est ce que l'on peut retenir de cet album. Par contre, quelle histoire ennuyeuse ! Des batailles, des escarmouches, des coups de canon, des coups de sabre... Le tout sur une narration des événements par Blueberry à un soldat, alors qu'ils sont tous les deux provisoirement à l'abri dans la cave d'une vieille maison.
Royalement barbant et totalement inintéressant !
Le géologue Stingley, pour démontrer sa théorie du "monde parfait", ôte son falzar et se promène les couilles à l'air ! Je n'avais encore jamais vu de truc pareil. Sans doute, le genre d'album qui "éclate" les bobos.
En dehors du dessin, qui est tout de même très bon, cette BD représente tout ce que je déteste. Sans intérêt...
Je croyais, en commençant cette série, avoir affaire à une bonne série. En fait, en dehors des ados qui parlent "djeun", je ne vois pas trop qui elle peut intéresser...
C'est bien beau d'avoir de l'imagination, mais est-ce que ça suffit pour en faire une bonne série ? Pas sûr.
Je résume ce tome : du grand n'importe quoi !
Pas trop mal mais rien d'extraordinaire non plus. Beaucoup de clins d’œil à l'actualité et à l'univers juif en général, mais rien qui ne soit vraiment drôle. Je préfère, et de loin l'humour classique qui a fait le succès de la série. Là je trouve que rien ne sort naturellement, toutes les trouvailles sont laborieuses. La scène avec la tribu indienne est plutôt grotesque comme, au début, l'évocation de Bill Gates et de Harry Potter lors d'un trou de mémoire... Les anachronismes ne sont pas habituellement la marque de fabrique de la série.
Donc épisode agréable à lire mais humour très moyen quand-même.
Une série remarquable qui s'achève sur un cinquième tome superbement ficelé. Quand je pense que j'avais eu plutôt du mal à rentrer dans le premier épisode...
Thématique bien pensée autour de la question omniprésente de l'attitude des dirigeants US vis à vis du reste du monde. Très intéressant même si l'on n'est pas particulièrement anti américain comme moi...
Dommage toutefois que l'histoire ne se termine pas sur une note plus optimiste.
Du très bon boulot !
Il n'y a aucun doute. J.Y. Delitte dessine à merveille les navires à voiles et les paysages. Tout cela est magnifiquement reproduit.
Quant au reste... (hum hum) Certains personnages marqués par l'étonnement ouvrent la bouche à la manière des brochets...
Malheureusement aussi, il est un piètre conteur. Et un très mauvais dialoguiste !
Au final, ses très belles planches sont gâchées par ses personnages hideux ayant tous le même visage (y compris les filles du vieux Flamand), mais de plus par tous ces phylactères renformant des inepties ridicules (comme Black Crow se parlant à lui-même pour que l'on comprenne bien sa pensée...)
Cet album ne contient pas assez de dessins de bateaux pour sauver l'ensemble!
Meeeeeeerde ! Il devait y avoir un quatrième tome. On ne saura jamais comment l'histoire aurait dû finir...
Dommage parce que Philippe Jarbinet raconte bien et dessine tout aussi bien. Tant pis pour les lecteurs qui, comme moi, auront apprécié cette série très malencontreusement stoppée au troisième volume.
Sympa comme premier album. J'aime bien la série Châteaux Bordeaux, alors forcément dès qu'il s'agit de vin et de vignes ça me botte bien ... Bien sûr on ne dira jamais que c'est la bédé du siècle ! Mais de beaux dessins et une histoire sans prétention, des fois ça suffit à passer un bon moment.
Non, le Maître d'armes n'est pas un chef-d'oeuvre ! Un bon album, sans plus, qui se lit plutôt bien, quoique l'absence continuelle d'adverbes de négation (ne...pas, non...pas) dans les phrases négatives m'énerve un peu .
Je suis en partie d'accord avec l'avis de yannzeman quand il dit que beaucoup de bédéphiles n'ont plus de sens critique à force de lire des navets. Cet album n'est pas si mauvais que ça (ce n'est qu'une BD divertissante) mais il pue le manichéisme à plein nez . Que la plupart des lecteurs n'en tienne pas compte, je trouve ça inquiétant !
D'accord, graphiquement c'est très beau! Mais de là à l'ériger en chef-d'oeuvre comme certains le font...
Album typiquement "Glénat" ! Très beau dessin, bonnes couleurs mais affreusement mal scénarisé. Dialogues d'une pauvreté parfois ridicule...
Dommage ! Visuellement, très bel album, mais un peu pénible à lire. Les scènes de pleurnicheries de la part d'adultes sont pour moi d'une mièvrerie insupportable ! Et je pèse mes mots. Je ne crois pas que pour faire une bonne BD d'aventure il soit nécessaire d'y introduire des scènes romantiques larmoyantes !... Franchement, quel gâchis !!
De plus, je ne sais pas quelle était la situation administrative de Cancale vers 1910, mais aujourd'hui cette ville se trouve en Ile-et-Vilaine c'est-à-dire en Bretagne !!! Pas en Normandie comme il est répété dans l'album...
Oui, vraiment, du pur Glénat.
Suite et fin de l'album précédent.
Enfin des filles dans un album des Castors !! C'est pas trop tôt !
Il aura fallu attendre l'aube des années 80 pour voir apparaître la gent féminine... A moins que ce ne soit Charlier qui faisait de l'opposition à la présence de créatures du Diable !!!
En tout cas voilà un album qui me donne une furieuse envie de voir la Sardaigne d'un peu plus près.
Très bon album des Castors, compte tenu de l'époque, le début des années 60.
Mais ce qui surprend un peu, c'est le choix du titre. On ne comprend le sens du titre qu'à la toute fin de l'histoire, dans la dernière case !! Et de plus on n'a aucune idée de ce à quoi pouvait bien ressembler ce "signe"...
Étrange titre donc de la part d'un Charlier pas très inspiré semble-t-il.
A part ça, une aventure à l'ancienne plutôt bien menée.
Suite du conte pour enfants d'après Winsor McCay. Succession de niaiseries sans intérêt dont on devine aisément la fin.
Franchement, Moebius est bien meilleur dans les œuvres originales que dans les adaptations comme celle-ci !
Adaptation de la très ancienne BD de Winsor McCay. Les lecteurs qui ont gardé une "âme d'enfant" sont sans doute émerveillés par la lecture de cette série parsemée de "hi, hi" et de "hé, hé".
Les autres, comme moi, se font copieusement chier...
Alors ça ! C'est la meilleure ! Avant de me lancer dans "La colère du Marsupilami", je me dis qu'il serait bon que je lise tout de même le précédent volume de Spirou. Les connaître dans l'ordre chronologique, c'est toujours mieux...
Voilà que j'attaque le Groom de Sniper Alley, et au fil des pages il me semble que les dessins, du moins certains, me disent quelque chose... Et plus je rentre dans la lecture, plus il me semble que je l'ai déjà lu !
Effectivement je l'avais lu quelques mois après sa parution. L'incroyable c'est que j'en avais gardé aucun souvenir !... Je dois dire que ça m'est arrivé 1 ou 2 fois pour d'autres BD mineures de ne pas m'être souvenu les avoir lues. Mais là je parle d'un tome de Spirou et Fantasio !!!
Est-ce grave, docteur ? Est-ce que ça vient de moi ou de la série?
Suggestion aux Editions Dupuis: pourquoi ne pas laisser la plume et les pinceaux à Trondheim ou à Larcenet pendant qu'on y est ?...
Et ça continue encore et encore ...
En 2025, on en sera au tome 38 avec Louis de Crozenc se battant aux côtés de François 1er.
En 2033, tome 51 avec Edmond de Crozenc aux côtés de Louis XV.
En 2041, tome 62 avec Hugo de Crozenc dans une campagne napoléonienne...
Question aux auteurs, ou plutôt à l'auteur, cette série finira-t-elle un jour ?
Bon ! Si je comprend bien, une vraie histoire de Natacha, hôtesse de l'air, c'est pas demain la veille !...
Franchement, qu'est-ce qui lui a pris, à Walthéry, de sortir un scénario vieux de plus de 60 ans pour une histoire de Natacha "hôtesse de l'air" ? Je ne lui conteste pas le droit d'être un admirateur de Sirius et de son Epervier Bleu, bande dessinée précambrienne s'il en est, et affreusement dessinée par dessus le marché.
Mais pourquoi mêler Natacha à tout ça ?
Encore s'il avait adapté Sirius avec de nouveaux personnages pour en faire une histoire plus moderne, soit.
Au lieu de ça, voilà une nouvelle fois le procédé de la narration par Natacha d'une aventure de sa grand-mère Natacha en 1948. Procédé que je trouve un peu lassant à la longue...
Le grand mérite de Walthéry, c'est d'avoir créé le personnage de la fabuleuse Natacha. Son moindre mérite, c'est de l'affubler dans chacun de ses albums de ce grotesque et fatigant Walter.
Et son moins grand mérite, c'est que sur la totalité des volumes de Natacha, seuls 4 ou 5 sont réellement intéressants, les autres étant ou insipides ou carrément nuls...
D'où le paradoxe insoluble: Natacha est un personnage emblématique de la BD franco-belge, mais la série (qui devrait se nommer Natacha et Walter) étant trop inégale et manquant de fil directeur, ne sera jamais une série majeure.
Sans blague ! Ça un album de Natacha, hôtesse de l'air ???
Franchement j'ai jamais vu ça !
Natacha pour les tous petits, sans doute...
Un étalage de connaissances sur les espèces de dinosaures, c'est tout ce qu'on retient de cet album nullissime.
Même la plastique de Natacha ne retient pas l'attention, c'est dire !...
Et cette truffe de Walter qui filme au caméscope même quand une petite fille est en grand danger...
Non, j'ai jamais vu ça !
Quel dommage que la série se soit arrêtée au troisième tome !
La narration est épatante et le dessin du regretté Delaby sublime !
J'adore ce genre d'histoire qui évite le récit trop linéaire et j'adore les dialogues intelligents et non-convenus comme il n'y en a pas assez dans le domaine de la BD à mon goût.
Je ne comprends pas que Dellisse n'ait pas cherché à continuer la série avec un autre dessinateur... Enfin tant pis pour ceux qui, comme moi, ont apprécié les 3 premiers volumes !
Avis sur l'ensemble de la série, les 2 saisons.
Avant de m'attaquer à la 2ème saison, je me suis retapé la 1ère en entier, histoire de tout avoir en tête.
Et ben verdict : Très bien ficelé tout ça. J'en redemande ! C'est vrai que je préfère certains dessinateurs à d'autres, mais chapeau pour ce travail collectif magistral. Il est rare que je mette un tel avis pour une série complète.
Sans entrer dans le détail, le scénario est captivant et convaincant du début à la fin, chose que j'ai rarement constaté dans une série dépassant les dix tomes !
En outre, la lecture aléatoire proposée n'est pas si courante que ça dans le monde de la BD. L'exemple de Donjon n'est pas comparable: c'est de l'humour, du fantastique et ça finit en queue de poisson après plusieurs années d'interruption...
En tout cas cette série m'a bien fait voyager (avec Google Maps seulement hélas). Tous les lieux mentionnés un peu partout dans le monde existent bien. Beau travail de documentation en plus !
Une bonne fiction donc que je recommande à tous ceux qui recherchent de l'originalité.
Ne nous voilons pas la face. Serge Morand était une série sans intérêt comme en regorgeait la défunte publication des années 80 Circus.
Mais ce que je trouve poilant dans cet album, et qui montre le peu de rigueur de son élaboration, c'est ceci:
page 15: un extrait de presse indique qu'une jeune femme, Carine Nordin, 27 ans, s'est tuée avec sa voiture.
Plus loin, page 22, on nous montre sa pierre tombale avec écrit dessus: Carine Nordin 1946-1983. Donc morte à 37 ans !
Cherchez l'erreur...
C'est merveilleux !! La mythologie nordique est la solution à tous les problèmes. Personne ne meurt jamais, il y a toujours une apparition divine pour contourner les problèmes. C'est fabuleux je vous dis ! A part ça, j'aurais aimé voir le jeune Thorgal et la jeune Aaricia évoluer dans un monde un peu humain tout de même. Mais c'est trop demander au scénariste qui n'en a que pour les dieux et surtout les déesses pour tout régenter dans cet univers thorgalien...
Un peu lassant à la longue, la mythologie nordique !
Bon. Soyons bref !
Autant j'adore La série mère et je trouve un intérêt à Kriss de Valnor en tant que spin-off (bien que hideusement dessiné), autant cette série parallèle de Louve n'est franchement pas folichonne !
A mon avis, Yann, en tant que scénariste, a fait beaucoup mieux que ça. Non seulement cette série n'a pas grand intérêt dans l'univers de Thorgal, mais je dirais même que c'est une série complètement idiote ou débile, au choix...
Plus on avance dans les épisodes, plus ça me paraît nul ! Et pourtant je n'ai rien contre le dessin. Surzhenko assure très bien !
Je crois bien que Louve est le spin-off de trop, vous croyez pas ?
Je lis de moins en moins de BD et pour cause: de plus en plus décevant tout ce que je lis.
Ce premier tome de Long John Silver n'est pas une mauvaise histoire, mais les dessins ne sont tout de même pas bien terribles...
Et une autre chose que les professionnels de la BD ont tort de négliger, c'est la lisibilité des caractères aussi bien dans les bulles que dans la narration. Comparez avec les BD dites classiques, et vous verrez à quel point beaucoup de contemporaines, dont celle-ci, sont franchement pénibles à lire rien qu'à cause de cette négligence.
Une bonne BD doit être aussi bien travaillée sur la forme que sur le fond, à mon avis.
Bon, il y a des B & M assez moyens, d'autres plutôt bons et encore d'autres franchement mauvais (comme le précédent "L'onde Septimus"), mais alors ce "Bâton de Plutarque" est vraiment excellent ! Cet album représente un travail remarquable tant sur le plan du dessin (j'ai toujours adoré Juillard) que sur le plan du scénario.
Effectivement c'est l'album indispensable pour enfin démarrer la série si je puis dire.
Série abandonnée à juste titre. Dans cette histoire faut-il y voir une allégorie à quelque chose en particulier ? Cette série n'avait aucun avenir. A mon avis, les auteurs ont perdu leur temps à produire cet album bien dessiné mais au scénario royalement indigent...
Excellent ! Voilà le genre d'histoire qui me rappelle les vieux Harry Chase, en plus actuel. Le style du dessinateur tranche avec la plupart de ce qui se fait en BD aujourd'hui, mais ce n'est pas pour me déplaire. J'adorais les séries de Walter Faher et de Micheluzzi par exemple.
Le scénario est plutôt bien goupillé pour l'instant, et ce premier tome en amène un deuxième que j'attends impatiemment. S'il a la bonne idée de paraître un jour...
Mouais... J'avais lu cette BD il y a longtemps à sa sortie et elle ne m'avait pas très emballée. Après relecture, je m'aperçois que j'avais complètement oublié la trame du récit... Pour dire comme ça ne m'avait pas marqué !
Pour moi cette histoire est une fable idéologique sans grand intérêt, aux dialogues très mauvais et à la finalité très pessimiste. Lob était beaucoup plus intéressant dans le registre humoristique !
Qu'on m'explique pourquoi Proloff, à la fin de l'album, tire dans les vitres du wagon avant que sa compagne et lui soient à l'abri si ce n'est que pour se suicider ? Qu'on m'explique aussi pourquoi ses cheveux repoussent et pas ceux d'Adeline dont le crâne est poli comme un oeuf jusqu' à la fin ?
Cela et d'autres invraisemblances (pourquoi des contrôleurs dans un tel train??) m'empêchent de considérer ce livre comme un bon livre.
Les séries initiatiques sont toujours un peu chiantes, je trouve.
Celle-ci est tellement complexe et confuse (certains disent "riche" et "dense") que ce premier tome n'est pas vraiment captivant. C'est le genre de BD conçues pour les intellos très cultivés. Jusqu'au bout on ne comprend pas très bien où cela voulait en venir. Il faut revenir souvent en arrière pour piger un évènement soudain. Et la différenciation des personnages n'est pas toujours évidente...
Bref, voici une série très "prise de tête" à éviter si on veut passer un vrai moment de détente.
J'avoue que je suis surpris par la lecture de cet album. N'étant pas un grand fan de B. et M., je le reconnais, voilà une histoire que j'ai dévorée d'une traite sans pause. Alors que d'habitude je m'y attelle en plusieurs fois, tellement je trouve ça pénible à lire...
Sans doute le cadre parisien des années 50 y est pour quelque chose. Peut-être aussi, aucune séquence de "savant fou" ne vient polluer la narration. Et puis il me semble que les commentaires narratifs sont moins longs et moins omniprésents. Jacobs commence seulement à moins prendre ses lecteurs pour des ilotes !...
Bien sûr il y a encore l'indéboulonnable Olrik, mais l'ambiance polar de cet album me convient beaucoup mieux qu'un navet comme "l"énigme de l'Atlantide" par exemple...
Ouf ! Je suis rassuré de voir que cet album est moins bien noté par les lecteurs que les 6 précédents. J'ai mis trois jours à le lire tellement je l'ai trouvé rébarbatif ! Je ne vais pas rentrer dans les détails mais qu'Olrik "le traitre" se retrouve encore une fois dans l'aventure, et bien sûr du côté des "méchants", ça commence à devenir lassant...
Je sais bien que c'est une BD antédiluvienne avec un protocole scénaristique archi-simple, mais là, l'envie de rentrer dans l'action comme on dit, n'y était pas du tout !
Quel dommage qu'il n'y ait pas de suite après ce troisième album !
Parce que voilà une histoire diablement bien racontée avec des dialogues truculents. Le dessin et les couleurs sont impeccables. Et puis la Jérusalem antique dans le monde de la BD c'est plutôt rare, non ?
Cette trilogie sur la guerre d'Espagne est vraiment magnifique. On oublie souvent de dire que Giardino est non seulement un très grand dessinateur, mais aussi un très grand conteur. En tout cas, moi, je n'hésite pas à le hisser à la hauteur d'un Hugo Pratt, par exemple !
L'histoire est captivante d'un bout à l'autre, sérieusement documentée. Giardino a fait là de l'excellent travail.
Au bout du compte, Max Fridman s'en sort bien, alors que les Républicains sont en train de perdre la guerre. Ainsi va l'Histoire...
4,3 comme note en moyenne pour 83 votes !!! J'en reste baba !
Le dessin de Boucq que je trouvais plutôt pas mal autrefois est carrément hideux maintenant. Là où il pèche le plus c'est envers les animaux. J’axais déjà constaté que le dessinateur n'était pas très fort pour dessiner des créatures autres qu'humaines.
Effectivement, dans cet album, que ce soit chien, loups, chevaux, ours ou serpents, rien n'est réussi.
Mais s'il n'y avait que ça...
Le scénario ne vole pas très haut, les dialogues sont affligeants, les poncifs sont légion, la psychologie des personnages est grotesque. On dirait une BD de gare comme on les appelait autrefois...
Vraiment je ne comprend pas un tel engouement pour un navet pareil !
Trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès mauvais !!!!!
Une idée idiote au départ, de l'humour foireux tout du long de l'album. Exemple: un banquier a essayé de refiler des stock-options à Jack ou à William. Ah ah ah! comme c'est drôle! J'en pleure encore....
Et tout est de la même stupidité d'un bout à l'autre de l'album.
Bon c'est entendu, on ne retrouvera jamais le Grand Spirou et Fantasio de la Grande époque. Mais quand même ! Je n'ai pris aucun plaisir à lire celui-ci. Ni intéressant, ni drôle et ce ne sont pas les différents clins d’œil à un passé révolu qui réhaussent l'intérêt de cet album...
Et puis, Spirou et Fantasio sont-ils devenus des personnages de BD pour adultes ? Est-ce que le monde réaliste de la finance passionne-t-il les jeunes d'aujourd'hui ?
Des phrases du genre : " Un tweet du Financial News parle de "flou dans les stratégies de groupe"...débarrassons-nous de nos actions avant de perdre trop d'argent." ou " d'autres investisseurs se sont manifestés, persuadés que si la Viper avait voulu nous acheter, c'est que nous avions un gros potentiel..." ou encore " La société Hyperluxe rachetait depuis longtemps en douce des actions de la Viper, par le biais de sociétés-écrans, et attendait le bon moment pour porter le coup de grâce." ou encore : " on vient de m'apprendre que vous n'étiez plus actionnaire majoritaire de votre entreprise." ...ces phrases ont-elles lieu d'être dans une aventure de Spirou ? On se croirait dans Largo Winch !
Je ne suis pas sûr que les lecteurs aient envie de se prendre la tête avec des imbroglios financiers en lisant Spirou. Il y a assez de bonnes séries réalistes dans le genre pour ceux que ça intéresse...
Très bonne série en général, que j'ai découvert tardivement. Grand fan de Leo, il fallait absolument que je me plonge dans cet univers si radicalement différent de celui d'Aldébaran.
Cet album clos de manière fort sympathique cette suite de 8 albums de très bonne qualité.
Je dois dire qu'à mon goût, Leo est un des rares dessinateurs à reproduire très efficacement les expressions des visages. Nul autre que lui, je trouve, n'arrive à dessiner les émotions diverses des personnages de manière aussi réaliste.
Je recommande donc vivement cette série, d'autant plus que les westerns canadiens sont plutôt rares...
OK pour le dessin, mais l'histoire c'est pas fameux. Le premier tome m'a plus qu'ennuyé, mais celui-ci ne m'a pas plus emballé que ça.
Où donc les auteurs veulent-ils en venir, finalement? Voilà deux albums dont on se demande bien à quoi ils servent... J'hésite à lire la suite...
Non, tout ce que fait Loisel n'est pas bon. Pour preuve, ce Grand Mort qui me fait bailler à m'en décrocher la machoire !
J'avais écrit un avis sur cet album, mais je ne sais pourquoi il n'a pas été pris en compte...
Comme je n'ai pas envie de réécrire tout ce que j'avais mis, je vais abréger en disant que
cette série est de plus en plus nulle, et que seuls comptent les albums du début, ceux de
Vicomte aux dessins magnifiques, qui ont fait la réputation de la série. Tout le reste n'est que du remplissage abscons, et les dessins de Laval NG sont particulièrement horribles !...
Franchement pas terribles ces trois derniers cycles !
Je ne sauve que le troisième parce que les dessins de Faure sont bien meilleurs que les
autres, même s'ils ne conviennent pas tout à fait au genre de la série, et même si Argon est représenté d'une manière complètement grotesque et caricaturale !
Les 2ème et 4ème cycles sont vraiment minables. Je ne m'attendais pas à quelque chose de grandiose, au vu des notes des lecteurs, mais tout de même quand je pense à la période Vicomte...
Ouais, ben désolé, moi je ne suis pas très emballé!
En général, j'adore les oeuvres de Brüno, qu'il soit scénariste ou non, mais là...
Moi, le cinéma de quartier à 2 balles, j'en ai rien à secouer... Voilà peut-être
mon manque d'enthousiasme à la lecture de ce volume.
J'aime bien le côté graphique, mais c'est à peu près tout ce que je retiendrai de cet album.
Chouette série que Zambada !! Tout y est : dessins bonnards de Maltaite, scénarios passionnants et bien mis en oeuvre du grand mais trop méconnu Autheman, de l'humour comme j'aime, de l'aventure et un poil d'érotisme... Oui, vraiment bonne série, et ce deuxième tome ne fait que confirmer l'impression que j'ai eue du premier.
Je vais illico me procurer le troisième...
Eh ben! Si je me doutais qu'un jour cette série formidable continuerait à dégénérer de la sorte ... Le dessin, s'il ne vaut pas celui de Vicomte, est acceptable et on a même droit à de splendides planches.
Mais l'histoire !! Le baba cool Makyo nous sert un plan de transfert de consciences sur fond de "sciences" hindoues ... vraiment nul ! En plus, tout cela est mal traité. La psychologie des personnages ne vaut pas tripette.
Arthis a décidé d'appeler la fille du nom qu'il a choisi, c'est-à-dire Ariane, et donc tout le monde l'appelle ainsi, même les fous qui n'ont pourtant rien suivi de l'histoire !!!
Vraiment affligeant ! Conneries à l'état pur...
Assez décevant finalement ! J'aurais encore préféré qu'il n'y eut jamais de suite. Au moins on aurait eu droit à une série mythique inachevée...
Bon, le dessin est valable tant qu'il est dessiné par Vicomte, c'est-à-dire en début d'album, mais après c'est plus ou moins réussi.
Pour ce qui est de l'histoire, le mystère commence par s'éclaircir de manière assez inattendue mais hélas, il faudra un troisième album au moins pour savoir le fin mot de l'histoire.
Enfin, pour faire court, tout ceci est composé sous l'égide de la bouffonnerie joyeuse, puisque sachez qu'une jeune égyptologue française du dix-neuvième siècle qui se vautre par terre s'écrit :"shit!" comme dans la France de 2011!
Pas encore d'avis sur cette bonne série ? Curieux tout de même...
Je ne connais que les trois premiers tomes de cette série, j'ai le 2ème et le 3ème, mais j'avais lu ce premier épisode il y a fort longtemps quelques années après sa parution, et j'en avais gardé un très bon souvenir. De l'avoir redécouvert me conforte dans mon opinion première. Voilà une bonne BD d'aventure, très bien écrite par J.P. Autheman, qui est un bon auteur injustement méconnu à mon avis.
C'est une série qui commence à dater, mais les scénarios intelligents et intéressants comme celui-là étaient plutôt rares à l'époque, dans les années 80. Le graphisme et les couleurs n'avaient pas besoin d'être travaillés à l'ordinateur...(Non, je n'ai rien contre les ordinateurs!)
En tout cas, voici un album d'aventure qui n'a rien à envier à la production pléthorique d'aujourd'hui...
Tout est dit dans l'avis précédent. Je ne fais que confirmer: voici une adaptation superbement réussie d'un chef-d'oeuvre absolu. A la fin de cette lecture, j'ai été autant bouleversé qu'à la fin de l'oeuvre originale, autrefois.
Les pages supplémentaires à la fin de l'ouvrage nous font bien comprendre la genèse du roman et la personnalité d'Alain-Fournier.
Un album à lire pour tous les amateurs de beaux classiques.
Ennuyeux à mourir, d'une platitude absolue, des poncifs éculés malgré ce qui se dit dans les avis précédents... Autant de raisons pour ne pas avoir envie de connaître la suite.
D'ailleurs, d'après le titre "Kabbale", il faut s'attendre à une suite irrationnelle qui ne me tente pas.
On dirait que l'auteur est passé à autre chose puisqu'il n'y a pas d'albums depuis 2006...
Le moins qu'on puisse dire c'est que tout ça n'est pas très clair ni d'un grand intérêt!
Déjà que je n'avais pas capté grand-chose du premier tome, on se demande à quoi va bien pouvoir aboutir ce deuxième ...
D'après les dernières planches, tout cela tiendrait d'un gros delirium suite à un accident de voiture provoqué par je ne sais plus quel empêcheur de tourner en rond.
Il n'en reste pas moins que cette histoire est aussi prétentieuse qu'abstruse, et qu'il serait étonnant qu'il y ait une suite un jour.
On ne peut pas dire qu'Archie Cash a été une série indispensable, mais je trouve quand-même que les derniers albums à partir de "The Pop-corn brothers" étaient assez intéressants en comparaison des premiers titres plutôt brouillons aussi bien au niveau du dessin qu'au niveau du scénario d'ailleurs. Graphiquement l'Archie Cash des années 80 s'est un peu distancé de l'aspect Charles Bronson des débuts. Avec le temps la série a gagné en maturité et donc en intérêt, mais pas suffisamment sans doute pour durer plus longtemps que ce 15 ème album... Dommage, j'aurais bien aimé connaître une suite à ce "Curare" qui finit sur une note amère: une brouille avec son vieil ami Teng englué dans une sale affaire!
PEUH !!!! Rien à ajouter à ce qui s'est dit précédemment sinon que je n'ai pas un seul "gag" à sauver. Non, je ne vois pas ce que je pourrais dire de positif, c'est vraiment trop nul !!!
Absolument nul !
Très moche de dessin et irrationnel au possible. Tout ce que je déteste.
En plus je n'aime pas les histoires où les protagonistes appellent leurs frères ou soeurs "soeurette" ou "petite soeur" ou "frérot" etc... Je ne connais personne qui emploie ces termes pour s'adresser aux membres de sa fratrie dans la réalité. Je sais, ce n'est qu'un détail, mais qui a le don de m'énerver...
D'accord avec les avis sévères ci-dessus. Cet album est une BD piège! Les dessins sont absolument magnifiques mais alors le contenu du scénario est lui complètement nul ! Je ne vais pas revenir sur l'incongruité de mêler une fiction (en l’occurrence un spin-off de XIII) avec des éléments réels ayant existé, mais pourquoi ne pas avoir nommé cet album "Elroy Wittaker" ? La présence de la petite Jones n'est qu'un prétexte à parler d'une forme plutôt convenue de l'histoire des Blacks Panthers. Quant à elle-même, on n'en sait pas plus que ce qui avait déjà été évoqué dans un épisode de la série mère, à part son prénom qui n'apporte rien...
Bref tout cela sent l'oeuvre de commande, je ne reconnais pas le génie habituel de Yann qui m'avait habitué à beaucoup mieux! Les dialogues sont d'une niaiserie invraisemblable, d'un manque de naturel auquel je ne m'attendais pas. D'autre part Yann a dû oublier que Jones n'avait que 10 ans parce qu’il la fait parler et penser comme une adulte du début à la fin de l'album. La psychologie n'est pas le point fort de Yann, dirait-on... De plus, la gamine dit à 2 reprises, je crois, que les adultes sont trop cons, mais elle ne rêve que d'une chose: rejoindre le monde des adultes en étant soldat !...
Autant j'ai bien aimé les deux précédents XIII Mystery, même s'ils n'étaient pas dépourvus de défauts, surtout le premier, autant je me suis ennuyé à lire ce Little Jones, malgré un graphisme impeccable. Je le dis tout de suite, cet album ne sert pas à grand-chose, sinon, comme il a été dit plus haut, à compléter la série !...
Certainement le meilleur Jess Long que j'ai pu lire jusqu'à présent. Une histoire complète qui se déroule en Belgique et sans son coéquipier habituel Slim Sullivan sur un scénario plutôt bien ficelé.
Plus que correct à mon avis.
Très bonne saga que cette série d'aventures. Le découpage n'est certes pas toujours très bien vu, mais l'ensemble est plutôt réjouissant et visuellement très beau. Au fur et à mesure de l'avancée de l'action, on s'attache à cette joyeuse bande, mais on pressent que tout cela ne durera pas éternellement!
Pour ce qui est de cette intégrale, le format est un peu petit pour de la BD, mais en revanche le rapport qualité/prix est vraiment intéressant. Je conseille donc ce livre aux amateurs...
Je dois avouer que j'ai un peu perdu le fil de l'histoire, mais il me semble que l'intérêt de la série a un peu décru depuis l'aventure cubaine.
Autant j'ai trouvé passionnants les premiers albums, autant je trouve cette histoire cubano-mexicaine quelque peu lassante...
Je trouve que la dialectique des auteurs est méprisante pour l'Occident en général et les Etats-Unis en particulier, comme s'il n'y avait que les occidentaux qui soient cupides et hypocrites... Remember la Bande des Quatre qui dirigeait la Chine dans les années 70!!! Cette approche de la repentance des habitants des pays riches est décidément très en vogue en ce moment!...
Je trouve, d'autre part, que cette vision du monde à travers le prisme de la "lutte des classes" n'est pas la bienvenue dans une série comme celle-là! Et je pense que le Tueur nous fait une philosophie d'adolescent pas très compatible avec son personnage!...
Heureusement, il reste un dessin impeccable avec des voitures sublimes...
Pas mal, mais sans plus...
J'avais lu quelques uns des premiers albums à l'époque de leur parution, et je me rappelle avoir été épaté par le dessin d'Yves Swolfs. C'est vrai que je les trouve toujours épatants ses dessins.
Mais pour le reste, je pense que Durango est une série très largement surévaluée. Je suis même étonné de constater le niveau de notation de chaque album!
Les scénarii sont d'une simplicité presqu' enfantine, j'ai envie de dire. Les dialogues sont d'une platitude qui frise la nullité. Et la psychologie des personnages est en général proche du néant absolu...
Reste l'ambiance qui, il est vrai, est le principal atout de la série avec le dessin et la mise en couleurs. C'est d'ailleurs pour ça que, malgré les faiblesses du genre, cette série reste agréable à lire.
Une note spéciale à propos de cet album "Loneville": si Swolfs dessine à merveille les chevaux (si ce n'était pas le cas, ce serait grave pour un auteur de western!), en revanche jetez un coup d' oeil au chat page 24! Pauvre chat! J'en rigole encore... On dirait je ne sais quel animal mythologique!...
La boucle est bouclée, tout est bien qui finit bien!!
Voilà une superbe série de bout en bout, magnifiquement construite et intelligemment écrite, et de plus très bien dessinée (quoique ce dernier tome me semble moins soigné graphiquement, il me semble...)
En tout cas, du très bon travail de la part d'Isabelle Dethan qui signe là sa meilleure production jusqu'à présent. A comparer avec d'autres séries qui traitent de l'Egypte ancienne, "Sur les terres d'Horus" est de loin, et même de très loin la meilleure BD que j'ai lue pour l'instant.
Je trouve même dommage que cette série ne soit pas plus connue à l'instar de certains navets qui ne méritent pas autant de notoriété...
Cette série commence à se dégrader sévèrement à partir de cet album. Pourquoi l'appeler encore "Une aventure de Cliff Burton" puisque, pour la deuxième fois de suite on a droit à un délire du grotesque inspecteur Wigelow tout au long de l'album! Cliff Burton en est réduit à de la pure figuration!
Oui, cette série part en sucette et n'a plus rien de commun avec ce qui faisait d'elle dans les premiers albums. Ce n'est plus que de la piètre parodie sans intérêt...
Ben, c'est plutôt rare chez moi, mais j'ai abandonné la lecture de cette BD après dix pages environ... Ben non, ça ne m'accroche pas du tout ! Ni le dessin très héroïc-fantasy, ni l'histoire de ce pseudo Japon médiéval avec ces loups venimeux bidons et sa poésie à trois balles bien surfaite !!...
Des histoires sur le Japon ancien, il y en a d'autres et des bien meilleures...
Enfin un album de cette série qui soit agréable à lire du début à la fin!
Enfin un épisode qui n'est pas prétentieux, qui ne nous barbe pas avec la "volonté des dieux", et qui n'est pas en relation avec le clergé d'Amon, ni avec Pharaon d'ailleurs.
Juste une histoire intimiste, simple, d'enlèvement.
Quand je pense à la façon dont avait démarré la série, notamment les cinq premiers albums, je n'aurais jamais imaginé que les personnages puissent devenir attachants comme dans cet opus.
Par contre, Néphérouré qui est maintenant grand-mère, a toujours l'air d’être une jeune femme de trente ans! C'est donc probablement ça l'immortalité !...
Jusqu' à présent le plus mauvais de la série, si on excepte les bêtisiers qui ne sont pas terribles non-plus!
Intéressant sans être passionnant, ce genre de dessin convient mieux à des dessins
parodiques ou humoristiques, je pense. Enfin, c'est plutôt bizarre comme histoire, pas vraiment exaltant mais pas inintéressant non plus...On a l'impression de lire du Françoise Sagan en BD. Enfin la comparaison entre l'araucaria (le "désespoir du singe") et l'amour de Josef pour la femme qu'il aime est des plus surprenantes.
A découvrir tout de même à titre de curiosité inhabituelle.
Tous les albums de Charlie Schlingo sont pour moi des chef-d'œuvres . Il tient tant une place à part dans le monde de la BD, son approche des choses est si unique que si j'avais un auteur et un seul à retenir, il pourrait bien être celui-là!!
Dans les années 80, son peu de succès (compréhensible vu les délires idiots du bonhomme) avait rendu ses albums difficiles à trouver. Moi qui voulait posséder toutes les publications de Schlingo, je m'étais cassé les dents à essayer de dénicher ce "Josette de rechange". Je ne l'ai jamais trouvé jusqu'à ce qu'un éditeur savamment inspiré décide d'en rééditer une édition complète. Pour mon plus grand bonheur car je ne connaissais pas du tout le début des aventures de Josette!
Oui, je sais, Schlingo ce n'est que de l'humour crétin et très dispensable en vérité, mais foncièrement plus intéressant à lire que de nombreuses séries prétentieuses, mal fichues, absconses ou réellement niaises qui ne manquent pas dans les rayons!...
Et puis entre un André Malraux et un William Faulkner, quel plaisir véritable de s'offrir une lecture Schlinguesque!!! Oui je dirais même "Gaspature"!
Une histoire incroyable pour l'époque! Une imagination comme je n'en ai jamais rencontré depuis dans aucune BD, tous genres confondus.
Je suis peut-être attaché à la nostalgie qui se dégage de cette histoire, puisqu'elle était parue dans Spirou en 1960, année de ma naissance !
Je l'avais découverte, encore môme, justement dans de vieux mag. de Spirou, et partiellement puisqu'il manquait des numéros.
Aussi, quand grâce au net, j'ai su que le Coffre à BD l'avait exumé de l'oubli...
Quel dommage que Gigi n'ait jamais continué cette splendide série ! Le Japon de la première moitié du XVII ème siècle est plutôt rarement dépeint en BD, surtout à cette époque, dans les années 80 !
Oui dommage, parce que Gigi dessinait formidablement bien, racontait des histoires prenantes et se documentait sérieusement comme en témoigne la bibliographie en fin d'album.
Et enfin dommage parce que dans ce Sud du Japon où vient de se dérouler la sanglante répression de Shimabara, on ne saura jamais si Kioga Schichirô, personnage principal de cet album, se sera vengé du perfide seigneur Ko No Yoshimori.
Et on ne saura jamais en fin de compte si Ugaki, le héros, parviendra à venger son maître, comme il était dans ses intentions dès le début de ses aventures, dans le 1er album...
Une série très injustement oubliée, à mon avis.
Les inepties parapsychologiques de Makyo continuent de plus belle ! Mais qu'est-ce que cet excellent dessinateur de Rossi est-il allé faire dans cette galère ? Si j'avais pu prévoir, en lisant le premier tome, que ça aboutirait à de telles crétineries !!!
On nage en plein délire ésotérique. Ce volume est une succession de fadaises toujours plus aberrantes les unes que les autres.
Je ne vais pas tout passer au crible, mais sachez que le mal que l'on voit tout les jours peut être jugulé grâce à ce qui se passe dans "l'infra-monde"!...
Tout cela sent un peu la secte de farfelus...
Certainement le meilleur Freddy Lombard et hélas le dernier. Yves Chaland n'aura plus l'occasion d'exercer ses talents mais Yann, lui, nous montre déjà à cette époque combien il est capable de composer un vrai scénario avec de vrais dialogues.
Ce huis-clos à l'intérieur d'un futuriste F-52 est un pur chef-d'œuvre. A la fois drame familial, intrigue d'espionnage, et satire sociale, ce livre est passionnant du début à la fin et on peut mesurer l'évolution de la série quand on relit dans la foulée le tout premier " testament de Godefroid".
Qui sait quelle place tiendrait aujourd'hui cette série dans l'univers de la BD, si le destin de Chaland avait été tout autre ?
Je ne parlerais pas d'abjection à propos de cet album, mais c'est vrai qu'on frise la nullité absolue!
Je pourrais énumérer tous les détails ridicules ou grotesques qui émaillent tout au long de cette BD ainsi que les précédents, mais ce serait fastidieux et à quoi bon...
C'est étrange, dans la collection "Vécu" des éditions Glénat, il y a beaucoup de séries intéressantes, même comprenant des défauts et lacunes, mais aucune à ce point au ras des pâquerettes comme ces "Héritiers du Soleil" !!!
Heureusement que Convard a fait beaucoup mieux par la suite...
Mon Dieu comme cette série est mauvaise! Comme c'est très mal raconté, comme c'est trainant, verbeux, pathétique au possible !
J'avais bien fait, autrefois, d'arrêter la série après avoir acheté le premier tome.
Alors pourquoi la lire aujourd'hui ? Tout simplement parce que l'occasion m'en est donnée et que j'étais curieux de voir la tournure que cela prendrait...
En fait de tournure, le récit biblique ou plutôt d'inspiration biblique prend le pas sur la création romanesque. Je ne suis pas sûr que ça soit suffisant pour faire une bonne série. En tout cas, jusqu'à présent, la narration est tellement pénible et les dialogues sonnent tellement faux, que c'est d'un ennui, mais alors d'un ennui... Dommage parce que les dessins de Convard étaient encore acceptables au regard de ses scenarii.
Hum ! J'avais acheté cet album autrefois à sa sortie et je l'avais trouvé si nul que de colère je l'avais donné à quelqu'un qui était versé dans l'antiquité.
J'ai eu l'occasion de le relire, et je dois dire que je le trouve toujours aussi nul!
Il faut pourtant reconnaitre que les dessins de Convard étaient pas mal, mais alors l'intrigue !!! C'est d'un minable ! Et le verbiage dans chaque case, vraiment insupportable, on croirait parfois lire un Alix! Et puis ce qui m'avait frappé à l'époque de sa découverte, c'était le nombre effarant des mots "mort" ou "mourir" à chaque planche. Après une lecture pareille je devais me replonger dans Charlie Schlingo !
Comme dans le livre de Théophile Gautier, Convard se sent obligé, quand il aborde l'Egypte, de parler des Hébreux. Je trouve que ça parait très conventionnel...Et puis contrairement à ce que pense l'auteur, les Egyptiens ne rapportaient pas toujours tous leurs actes à leurs dieux, ils avaient aussi une vie normale comme nous. Donc beaucoup de folklore dans cet album.
Ce qui m'a étonné par la suite, c'est qu'après un ratage complet pareil, la série a tout de même continué jusqu'à comporter 13 volumes ! Convard a du être protégé des dieux !!
Voilà le prototype de ce qu'on appelle une œuvre imbitable. Malgré un dessin de Servais toujours très bon, on a ici une BD construite sur le texte d'un poète du genre "adolescent perpétuel". Pas la peine de chercher une quelconque rationalité dans ce livre, mais pour ce qui est de trouver des délires abscons, là on est servis!
Moi qui aime bien l'œuvre de Servais en général, je dois dire que ce volume ne figurera pas en bonne place dans la liste des lectures à retenir. Une BD oubliée à juste titre...
Pas d'accord avec tous les avis précédents. Ce n'est pas le meilleur album d'Hermann, loin sans faut. L'histoire n'est absolument pas réaliste ni même crédible.
Pour démontrer l'insondable bêtise humaine, nul besoin de tout un déballage outrancier tel que celui-là! De plus la fin est confuse voire apocalyptique, un épilogue aurait été le bienvenu pour rendre compte du résultat de cet aberrant massacre.
Et puis contrairement à beaucoup, je préfère les dessins classiques d'Hermann, je ne suis pas un grand fan de la couleur directe.
Une histoire loin de valoir Sarajevo-Tango en tout cas!
J'avais vu un reportage-fiction sur cette histoire, il n'y a pas si longtemps sur je ne sais plus quelle chaîne, et en lisant cet album j'ai pu suivre fidèlement ce que je connaissait déjà.
Quand on pratique ce genre de lecture, il ne faut pas oublier de mettre des chaussettes, on attraperait facilement froid !
En tout cas, voilà un album haletant à lire, avec de beaux dessins et de belles couleurs, une bonne écriture.
Une aventure peu connue et qui a eu lieu à un très mauvais moment, au début de la Grande Guerre. Bref je le recommande vivement!
Cette intégrale chez Futuropolis est une escroquerie !
Non seulement des planches entières ont disparu, j'ai pu le constater avec les albums originaux, non seulement ce n'est plus en couleurs, mais en plus certains textes ont carrément été modifiés dans bon nombre de bulles, ainsi que les commentaires au-dessus des gags.
Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée d'avoir enlevé les traces du contexte historique de cette superbe série, pour ce qui est de l'humour !...
Peut-être qu'un jour lors d'une prochaine réédition, si le Hamas n'existe plus, ou si Israël n'existe plus, il faudra encore supprimer des planches et réécrire les textes pour les adapter au futur contexte...
Pas très bon ce genre d'intégrale. Dommage que la série originale soit devenue introuvable !
J'avoue ne pas comprendre pourquoi tous les avis précédents sont si élogieux sur cet album. On est là en présence d'une série du niveau de Sillage, sans plus. Une histoire inter-galactique sur fond de philosophie puérile, où tous les habitants de l'univers sont des humains malgré leurs tronches pas possibles, sauf les Terriens qui ont eu, semble-t-il, bien du mal à se faire accepter de la communauté universelle.
Mouais, bof, bof, pas de quoi péter une durit... Les aventures de John Difool, dans les années 80, étaient autrement plus intéressantes !...
Voilà une série dont on se demande bien à quoi elle va aboutir. Après deux albums j'ai quand même l'impression que les auteurs cherchent surtout à nous en mettre plein les yeux, ce qu'ils font très bien d'ailleurs. On a droit à un festival de belles images, fort impressionnantes par ailleurs, et l'intérêt de la série réside essentiellement là... Car comme il est dit dans un précédent avis, ça part dans tous les sens, dans tous les endroits de la planète, à différentes époques historiques et préhistoriques, bref une vraie tambouille.
Peu importe la narration et le scénario en fait, du moment qu'on a de belles planches sur lesquelles figurent des spécimen de mégalodon. Là où je trouve qu'ils en font trop, c'est dans l'apparition inopportune de nouvelles créatures. Soit pour le mégalodon, mais faire apparaitre des bêtes venues du Jurassique supérieur comme le liopleurodon dans le 1er album ou le kronosaurus dans le 2ème, voilà qui ne rajoute pas au vraisemblable.
Et le comble du ridicule, l'apparition du Yéti et la représentation qui en est faite...
Voilà à quoi se résume cette série: faire défiler une galerie de monstres! Un bon point pour Henninot, donc, pour les magnifiques images. Par contre scénario parfaitement dispensable!
Bof, pas très convainquant ce dernier Spirou... Le dessin y est pour beaucoup dans mon manque d'enthousiasme: je n'aime pas, mais alors pas du tout, le graphisme de Yoann. Désolé, mais la nouvelle génération de dessinateurs à succès qui bâclent leurs dessins à dessein - si je puis dire - c'est pas mon truc ! Les Trondheim et autres Larcenet n'ont fait que décrédibiliser l'art du dessin, ce qui est détestable et Yoann ne manque pas à la règle, quoi qu'il en dise...
Quant à l'histoire elle-même, je trouve quelle est ratée et inintéressante. Mais peut-être que je suis trop vieux pour apprécier une BD censée être à la portée de tous...
Le seul point positif, et qui m'a fait sourire, c'est quand Dupilon, des clés dans la main, à côté d'une espèce de poivron rouge géant, se demande pourquoi il n'arrive pas à ouvrir cette "voiture" !...
Peuh! Autant de pages pour ça ?!...
Voilà, à mon avis, un auteur dont la réputation est bien surfaite...
Des albums comme ça il peut se permettre d'en produire des centaines!!!
Je ne vois pas bien où est l'intérêt d'un tel album. Cette collection "Poisson Pilote" contient pourtant des bonnes BD, qui pour autant qu'elles sortent des sentiers battus, n'en sont pas moins captivantes. Mais cet "Homme mystère", non, vraiment je ne vois pas...
Avec un dessin tout juste acceptable, on dirait un récit illustré plutôt qu'une vraie BD. Malgré que le texte soit très bien écrit, cette histoire n'a pas réussi à me passionner vraiment. A vrai dire, tout n'est pas fait pour intéresser tout le monde!...
Bon, jusqu'aux deux premiers, je trouvais que l'histoire tenait pas trop mal debout.
Le style "julesvernesque" étant plutôt de mise pour une histoire comme celle-là, avec un fond historique assez crédible si on n'y regarde pas de trop près, voilà une série qui promettait pas mal...
Mais voici qu'avec ce troisième opus, tout le travail précédent est flanqué par terre en moins de deux !!
Alors comme ça l'arme secrète des Aztèques que leur avait transmis auparavant les Mayas, c'est leur dieu en chair et en os Quetzacoatl lui-même et ses émanations ectoplasmiques !!! Ben voyons ! Pourquoi pas...
Et pour continuer dans le grand n'importe-quoi sensationnel, voilà qu'apparait des profondeurs de la mer, je vous le donne en mille, un plésiosaure, et oui...
Tout ça pour prouver au crédule Georges que les monstres existent bel et bien!
C'est vraiment dommage d'en passer par des stupidités pareilles, car l'intrigue d'espionnage autour de la Guerre de Sécession se suffisait largement à elle-même sans avoir à rajouter des inepties au goût de navet...