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Pour tout dire, j'ai été un peu déçu. J'ai l'impression d'être déjà passé par là. Un scénario sans grande originalité, même si ça bouge pas mal, des dessins au ras de la médiocrité, que dire de plus, à part que LA guerre Noire , ne restera pas gravée dans ma mémoire. J'ai connu un Desberg plus en forme ;-)
Si l'assertion de Nietzsche en ouverture de l'intégrale, "L'homme est une corde tendue au-dessus de l'abîme", avait de quoi attirer le lecteur, Dusk, (tome 1)demeure tout de même assez soft. Le "mythe revisité des sorcières de Salem" est incongru, et ne prend malheureusement pas. Les auteurs ont bien tenté de balancer à tire-larigot des ambiances morbides et de semer à qui mieux mieux du brouillard partout, tout reste plat et sans grand intérêt. Si Pauvre Tom sent le réchauffé, c'est sans doute que la bd franco-belge et la bd en général a bien du mal à s'imposer dans ce genre "kingien", qui prend davantage en roman...
Ce troisième opus, est un des meilleurs de la série...La dérision atteint ici son paroxysme, l'humour flirte avec un degré avancé de suspense...Tout est bon dans ce tome. Si le choucas enfonce le clou, Lax, en tous les cas, n'est pas prêt de toucher le fond...
Le tome 2, après le tome 1 qui laissait augurer une très bonne suite, m'avait vraiment déçu. Le tome 3 se devait d'élever cette série, et c'est chose faite, je crois. Même si l'action est un peu longue à se mettre en place, le suspense est présent, les rebondissements aussi. Cependant, 59° ne révolutionne pas le genre pour autant. Ca se laisse lire, c'est pas mal, et laisse présager de bonnes péripéties futures...
De la Trilogie USA, collection Signé, c'est peut-être liens de sang qui tire le plus son épingle du jeu. Peut-être un peu confus par moments, ce qui jure un peu, forcément. Les dessins sont très réussis.
Sans folie, sans fioritures, cette bd se laisse lire comme un bon petit thriller à l'américaine...
L'idée du King est pas trop mal. Mais pour le reste, ça sent le rechauffé, et ça joue malheureusement sur la qualité de la bd. Rien d'étonnant, rien d'exceptionnel. Juste à lire, en cas d'ennui ou en attendant le train...bd de gare;-)
J'ai cru lire un remaeke du Dahlia noir, de James Ellroy...Au niveau graphisme, rien à dire, c'est excellent. Par contre, la forme romancée, "casse" un peu le rythme. C'est dommage. Du coup, à la fin, tout s'essoufle un peu. Un bon polar, rien de plus...
Que dire de plus...juste sensationnel.
Les plus réticents, plongez-y, les yeux fermés, vous risquez à coup sûr de na pas être déçu.
Dessins fantastiquement beaux, scénario d'une extrême finesse.
J'approuve de vive voix et je vote pour Où le regard ne porte pas...
Vraiment fantastique!
Un graphisme saisissant et touchant, un scénario inventif qui prouve encore une fois toute la probité de Vaughan.
Un regard candide sur la guerre di'Irak et sur la guerre en général, avec une perception de la liberté tout à fait touchante.
Pride of Baghdad est la perle rare de cette fin d'année...
Objet sympa, à découvrir. De bons clins d'oeil au cinéma américain, un humour qu'il faut prendre au 43ème degré, mais qui se laisse apprivoiser dans toute sa splendeur. Loufoque, désopilant, cocasse et parfois cynique, The World is yaourt, nous permet de nous évader dans un univers burlesque.
Littéralement séduit par le dessin, l'histoire, les personnages. Hasta la victoria, trace le parcours d'un marin italo-corse, dans le cuba des années 50. Le trait de Casini, agressif, expressif, -n'est pas sans rapeler celui d'un certain LAX- dégage de vives émotions qui plairont sans doute à un large public. Hasta la Victoria! opus d'une série très prometteuse, est à l'instar de son auteur, une valeur sûre, à ne pas oublier de sitôt...
Bizarrement je ne suis pas arrivé à me laisser convaincre par cette bd. Je n'adhère pas au dessin, qui manque souvent de précision. L'histoire est parfois ambiguë, laissant quelques doutes subsister. Une petite déception qui sera, et je l'espère, effacée avec la suite de cette série...prometteuse?
Un très bon moment bd. Un graphisme qui parle de lui-même. Un scénario original, au plus près des comics noirs américains.
Human Target, du noir, du noiiiir.
Vraiment séduit par ce roman graphique. En temps qu'inconditionnel de la première heure de ce cher Truman, et d'autant plus fan que je suis fou de De Sang-froid, il est certain que j'allais être vraiment pointilleux et sévère en cas de "dénaturation" du travail de Capote. Pari risqué donc de s'atteler à ce travail; mais je dirai pari réussi. Un graphisme en noir et blanc profond et expressif; un scénario linéaire et juste, qui creuse la psychologie des personnages. Seul petit bémol: la longueur. Non pas que Capote in Kansas est trop long, mais trop court. On ne s'en lasse pas, et je pense que 120 pages, c'est un peu juste, mais bon...Une très bonne bd, dans le parfait style américain que j'affectionne tt particulièrement.
J'ai passé un très bon moment. Je ne connaissais Bec que grâce à de très bons échos sur sa série -dois-je dire culte?- Sanctuaire. Bunker est une série très haletante. Une montée en puissance progressive, servie par un graphisme implaccable et irréprochable. La série étant fixée en 5 tomes, j'espère en tous les cas, que le chemin ouvert avec Les frontières interdites, est de bonne augure pour la suite...
Le propre des bd de Marini, Le Scorpion dans ce cas de figure, c'est qu'on n'est jamais déçu. Au nom du Père, est absolument somptueux. J'ai l'impression qu'il s'améliore à chaque fois. Tout est minutieusement parfait. Les couleurs, les plans, le mouvement etc. J'ai adoré ce numéro 7. Il faut aussi féliciter Desberg, qui rete très fidèle à la tradition du Scorpion. Il nous livre un des meilleurs scenarii qu'il n'ait peut-être jamais "pondu", si j'ose m'exprimer ainsi. Splendide!
Pour tous les fans de Bendis et autres...un polar/comics comme il en existe peu, à savoir Génial!
De la même trempe que Torso, dans la droite lignée de Goldfish, Jinx s'impose dorénavant comme un must pour tout fan de Mister Brian Michael Bendis qui se respecte.
Près de 400 pages d'un polar très noir, qui se laisse dévoré tout cru, sitôt qu'on l'a ouvert.
Je recommande donc (vous l'aurez compris) ce petit chef d'oeuvre comme il en existe peu de nos jours!!!
Vive Bendis!
Dans la droite lignée des Acme Novelty, cette bd graphique, non sans évoquer un certain "A l'ombre des Tours Mortes" d'Art Spiegelman, est touchante de par son ton, est de par sa "naïveté". Colin et Ciluffo nous livrent un roman graphique en toute candeur. C'est vraiment pas mal.
Plebiscite pour cette bd vraiment sensationnelle. Peu de polars en ce moment attirent mon attention, mais Nero semble ne pas s'identifier aux archétypes des autres polars ennuyeux et barbants. Du suspens, du réalisme, du caractère, de la noirceur, tous les ingrédients pour avoir un très bon polar entre les mains.
Un polar correct, servi par un scénario relativement bien construit (le manque de dialogues est à déplorer car on se lasse vite de la "voix-off" qui rythme cet opus). Le graphisme de Loustal (je ne suis pas fan) n'est pas très adapté à la noirceur du récit. Ledit graphisme manque peut-être de caractère et de profondeur. C'est dommage, car il gâche ce one-shot, qui aurait pû être somptueux.
Un très bon polar, qui reflète très bien cette ambiance noire, très noire...Le dessin, pas très révolutionnaire, quoique, désoriente totalement le lecteur, qui croit être replongé dans une ambiance "d'avant guerre" pour reprendre les mots d'Ar sparfel. Un très bon cru, qui se lit d'une traîte, malgré ses 236 pages.
Je suis peut-être quelqu'un d'atypique, mais bon...ce tome, c'est du pur ennui! Je m'y suis prit à trois fois pour terminer ce tome plat, mou et ennuyeux; rien d'exceptionnel et de bien fringant. Autant certains auteurs arrivent à faire du bon voire du très bon avec un sujet très moyen, mais là, tout reste très bas! Le caractère des personnages, qui ont du mal à être crédibles; un graphisme qui manque de nervosité, des couleurs trop aiguës, bref! On est loin du Desberg du Scorpion ou de l'Etoile du Désert...Que de regrets, qui n'arrivent malheureusement pas à m'enchanter! Déception donc! Espérons qu'India Allen (tome 3) relèvera le niveau! La tâche s'annonce difficile! Courage Messieurs, la route est longue...
Colorado...Ce n'est peut-être pas le meilleur, mais on retrouve toujours cette ambiance si particulière propre à Swolfs. Le désir de terminer ce tome ne vous lâche pas, et vous tient à cran jusqu'au bout. Très bon!
Western quand tu nous tiens! Quel série super, vraiment. J'ose le dire ici, je crois que Durango est supérieur à Blueberry (mais de peu!). Swolfs, c'est le nec plus ultra! A lire, à relire...à lire ABSOLUMENT! Vive Swolfs, Vive Durango!
Comme toujours, lorsqu'il y a un Swolfs dans l'air, on approche de la perfection. Seul petit bémol, le dessin de Girod; bien que potable et efficace il n'égale pas celui de M. Yves Swolfs (qui est pour moi, un des meilleurs dessinateurs de ces dix dernières années)! "Un pas vers l'enfer", pourrait très bientôt se transformer vers "Un pas vers le summum" (de la perfection bien entendu!).
Même si le scénario a déjà été visité maintes et maintes fois (cf. La Liste, Alpha, de Jigounov), tout comme le thème de la guerre froide, qui semble être le leitmotiv des scénaristes du moment, cet opus dessiné et écrit par Stalner, est toutefois très agréable à lire. Je doit avoué que j'ai passé un moment plaisant à lire ce tome 1, même si parfois le découpage perd de son efficacité. La Liste 66 n'est surement pas une des meilleures Bd lues cette année, mais je suis tout de même loin de renier et de jeter cet album. Plus que potable, je dirais simplement qu'un inidividu qui aime le thème traité ainsi les USA, ne sera pas indifférent à la lecture dudit tome. Un seul avis donc: A lire!
La déesse noire est déjà le cinquième tome de cette superbe série, et il paraît a priori normal, à ce stade de la création, que le scénario et l'histoire s'essoufflent un peu. Delaby, est certes moins performant, mais il peut toujours compter sur un Dufaux, qui manie la plume avec une exemplarité notoire. Je pense qu'il est inutile de dresser des bilans désastreux et accablants si tôt (cf Karpzov), car en fan de Murena, je garde confiance, et je fais le pari que les ultimes opus nous réservent d'énormes surprises. En attendant, je ne me lasse pas de lire et relire les tomes qui figurent en bonne et due forme dans ma bibliothèque.
Merci en tous les cas, de nous satisfaire...
Comment dire: Majestueux, merveilleux, splendide...Les mots ne manquent pas.
Une série qui m'impressionne à chaque nouvelle lecture, du très haut niveau, tant sur le point du graphisme que du scénario plus qu'original. Du grand, du très grand neuvième ART! Merci Turf.
J'ai été, à mon grand regret, un peu déçu par ce tome 2, qui, je le pensais allait être bien plus "explosif", mais au lieu de cela, on tombe inéluctablement (et cela était prévisible) dans les vieux clichés et dans une banalité absolue sur les Etats-Unis et sur la période de la guerre froide. C'est dommage! Cela vient peut-être du fait que cette période à justement trop été "vulgarisée" et traitée abusivement par la Bd, et que du coup, il est difficile de tenir en haleine un lecteur déjà bien informé sur le sujet et de sortir un sujet, somme toute "original". Voilà ce que j'en pense en tous les cas!
Heureusement que les dessins somptueux de Hugues Labiano relèvent le niveau, car les scénarii de Desberg sont depuis quelque temps...en totale chute libre!!!
très émouvant!
C'est avec plaisir que j'ai lu cette bd, qui se ressent avant tout. Une histoire émouvante, des dessins non sans rappeler un certain Gibrat (?), des personnages attachants, expressifs et émouvants, enfin et surtout, une fin, déchirante, et quele fin ! Le seul petit bémol, c'est que certains passages (surtout en fin d'ouvrages) tassent un peu l'histoire, mais à par cela, le sourire du clown, est un ouvrage essentie et nécessaire.
A vrai dire, ce sont les dessins qui m'ont attiré plutôt que le scénario. Ayant déjà lu la nouvelle de Gogol,je suis tout de même resté sur ma faim. Mais dans l'ensemble, cela reste une assez bonne bd. A lire! (PS: commencez peut-être par le livre, comme ça, pas de mauvaises surprises!)
Une ambiance orientale plaisante à souhait...
J'ai découvert cette série récemment, et je dois dire que je suis agréablement surpris. Les premiers tomes sont vraiment très agréables, et que dire de ce tome 7, qui m'a vraiment plu. L'ambiance orientale, suave et sucrée, confère à ce volume toute sa force, et cela est d'autant plus vrai grâce aux couleurs chaudes de J.J. Chagnaud. Le scénario est bien ficelé, et ce nouveau cycle démarre sur les chapeaux de roues, les dessins sont toujours aussi superbes, cependant, avec un léger manque d'originalité et d'authenticité, et c'est ce point d'après moi, qui plombe un peu ma note. Mais dans l'ensemble, cela reste un tome, à l'image de la série: Excellent!
Le meilleur de la série selon moi...
Les dessins sont nickels, très chauds, très faciles d'accès. La force de ces derniers est d'autant plus renforcée grâce à l'expression des visages apportée.
Le scénario est construit, cohérent, pointus, bref, c'est, pour l'instant, le meilleur des trois mouvements actuellement parus.
Du fait que les histoires ne se suivent pas et que les mouvements s'assemblent, je conseille ce tome, pour tous ceux qui souhaitent commencer "agréablement" la série, puis le premier "Dora Mars" et enfin, pour finir, Alban Méric, le moins réussi de tous, du fait des dessins de Gillon, avec qui, j'ai du mal à me familiariser...
Je ne ferais que compléter les excellents avis déjà postés, et je parle pour la collection entière. Série excellente, scénario hillarant, personnages sublimes, histoire d'une originalité exemplaire, le chef-d'oeuvre des chefs-d'oeuvre!
A POSSEDER DE TOUTE URGENCE !!!!!!!!!
Elftor est un peu strict tout de même...
Ce n'est pas la Bd de l'année certes, mais j'ai vu pire personnellement, et malheureusement, c'est souvent le cas pour les fins de cycle. Les auteurs ont du mal à préserver la magie et l'intrigue des débuts, et du coup ils s'essoufflent rapidement; je pense qu'ils ne devraient pas fixer à l'avance un nombre prédéfini de tomes, car cela cloisonne un peu l'histoire et l'intrigue du coup. C'est dommage, car dans le cas de "L'Autre", cela affecte un peu l'intrigue, et on le ressent très vite...
Mais bon, dans l'ensemble, on peut dire que "L'Autre" est pas trop mal, et que les dessins de Léo, sortent cet opus de la médiocrité...
La platitude, maître mot de ce...décevant tome 4...
Ah qu'elle est loin la magie des deux premiers opus. Le tome 3 avait déjà amorcé un tournant vers la banalité, mais dans "Interventions", la platitude résonne et sonne déjà! la fin de cette série. Le scénario est léger, très peu de rebondissements, las, les animaux préhistoriques qui s'extirpent des boîtes...bon d'accord...mouai, bof bof...On sent un essoufflement patent, et on voit bien que l'histoire a du mal à être cohérente et harmonisée comme dans les premiers tomes...C'est dommage...En espérant que le tome 5 et ultime opus de cette série de moins en moins palpitante, soit riche en rebondissements, et apporte un peu plus d'action...
Les aficionados de cette série (je l'étais au début, mais avec ce tome je m'en éloigne vivement!), trouveront peut-être leur bonheur, mais pour tous ceux qui souhaitent la découvrir, je leur conseille d'aller voir du côté des Mondes d'Aldébaran (de Léo, dessinateur et scénariste), où la magie règne en grande maîtresse....
Le dernier Momo est pas trop mal...
L'univers de Margerin est toujours aussi plaisant, mais a du mal, parfois, a sensibiliser le lecteur, comme il le faisait auparavant avec Lucien, ou même Manu. De bons petits gags nous font sourir...
Pour les accros de Margerin, biensûr, sinon je ne vous le conseille pas, sauf si vous êtes curieux biensûr...
Un avis de plus, pour confirmer l'excellence!
Je ne répetterai pas ce qui a déjà été dit, à part que ces six bd, sont sans doute six des meilleures que j'ai lu dernièrement. Je les ai engloutti, et j'attends hätivement la suite. Je suis insatiable, non pas de sang comme le serait notre cher Kergan, mais de ces histoires là.
Tout à fait SENSATIONNEL!!!
Rhésus, un récit de la même trempe que Le prince de la nuit...
1917. Les facteurs sanguins sont découverts. Autant dire que jusqu' à cette importantissime découverte (prix Nobel), toute transfusion se soldait par la mort.
1899. Un médecin belge part à la recherche d'un vampire dans l'espoir un peu fou de recueillir quelques gouttes de son sang ...Et peut être élucider le mystère de la transfusion sanguine.
Un récit passionnant basé sur des faits authentiques.
Histoire très attirante, même flippante parfois. Cela nous rappelle fortement le prince de la nuit, la fameuse histoire de Vladimir Kergan, du même auteur évidement, l'irremplaçable Yves Swolfs.
Cette Bd -ce carnet de voyage- est absolument magnifique. L'authenticité est rendue par la nature épaisse du papier (papier pastel 216g, couleur ivoire, en bichromie noir et sépia), par la beauté de la couverture cartonnée cuir Munidor avec sa dorure à chaud, bref, un bijou en matière d'edition et de Bd bien sûr.
A posséder et à conserver très précieusement, pour tous les fanas de vampires et tous les aficionados de Swolfs!
Bravo Tarek, Bravo Perger!
Je ne pensais plus que cela était possible. Traîter de la seconde guerre mondiale, d'une telle façon, c'est vraiment extraordinnaire. En effet, tous les albums retraçant cette époque sont semblables, sauf qu'ici, le désarroi devant une telle barbarie nous laisse pantois. Le scénario est super (bravo Tarek!), le dessin, impeccable (bravo Perger!), prenant, saisissant...Que dire de plus...! J'adore. Vivement l'ultime tome qui cloturera cette saga INDISPENSABLE!!!
Il est bien dommage que Dixie Road soit méconnue du grand public; quelle excellente bd pourtant. Les dessins sont nickel (j'adore Labiano!), le scénario original, et bien mené. Bref, le must-have des must-have. Le seul petit bémol, c'est que cette histoire se soit arrêtée.
Il faut que cette série reprenne à tout prix!!!
Comment peut-on éditer de telle Bd!
De vieilles images de synthèses plus que limite.
On se croirait dans jeux vidéo pourri.
Désolé pour les auteurs de plomber la bd, mais là, c'est vraiment ridicule!
Sambre...EXCEPTIONNEL!
Sambre est bien plus qu'un chef-d'oeuvre, il faudrait des notes supérieures à 10 pour pouvoir le noter convenablement!
Je ne fais que répéter ce qui a déjà été dit, mais cela me tient à coeur.
Un classique des classiques. Merveilleux. Un incontournable!
Quoi de mieux que de lire Sambre, à part Sambre!
Merci Yslaire. Merci Ballac.
Merci Sambre.
Magnifique!
Je viens de terminer le premier opus de Fritz Haber, L'esprit du temps, et déjà, je languis la suite. Quel magnifique album! Tant au niveau du scénario qu'au niveau du dessin, qui sont menés admirablement par un Vandermeulen plus que talentueux. Les aquarelles aux tons sépia, amènent une certaine dose de nostalgie et de mélancolie, et on ne s'en lasse pas. Tout est cohérent, tout est coordonné à la perfection, pour notre plus grand bonheur. Vivement la suite!
Un polar digne de ce nom!
En grand amateur de polar, j'ai bien évidemment accroché à la nouvelle série de Daoudi et de Bonifay. Le scénario reste très près de l'histoire de Léo Mallet, et l'univers de la pègre dans les années 20 est admirablement servi par un Daoudi, qui utilise avec maestria les tons beiges et les couleurs passées des cartes postales de ces années là...
Seul petit bémol, et cela a déjà été dit, le personnage de Jean manque un peu de charisme.
A part ce "détail", La vie est dégueulasse, doit figurer en bonne place, dans le coin polar d'une bibliothèque digne de ce nom!
Ce n'est pas du cinéma, mais c'est tout comme!
L'histoire se passe aux Etats-Unis, dans les années 35. Le pays sort de la crise de 29, et le spectre de la seconde guerre mondiale se profile à l'horizon. A Cleveland, ville gangrénée par le crime, la corruption, les gangs, la pègre locale, doit être nettoyée. C'est ainsi qu'apparaît Eliot Ness, chargé par le maire, d'apporter un peu plus de sécurité dans cette ville. Eliot Ness, devenu monstre sacré depuis l'arrestation d'Al Capone, à Chicago, se voit dès le début confronté à une affaire de crime. Torso, nom donné par la presse, derrière lequel se cache un nouveau profil de meurtrier: le tueur en série. Commence alors une enquête dangereuse où Eliot Ness et son équipe devront composer avec les intérêts politiques et une opinion publique terrorisée pour arrêter une vague de meurtres inexplicables, sans raison apparente...
On connaissait déjà Bending (co-scénariste et dessinateur) pour ses comics(Daredevill), mais Torso bat tous les records. Récompensé aux U.S.A de nombreuses fois, Torso sera bientôt adapté au cinéma. Cet ouvrage, merveilleusement dessiné et documenté, est un chef d'oeuvre en matière de polar.
L'ambiance des années 30 est parfaitement retranscrite. L'intrigue, solide et bien ficelée, ainsi que la noirceur des dessins, confèrent à ce volume un aspect cinématographique exceptionnel.
Du grand art donc!