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Très jolie conte pour les enfants, sur l'attachement d'une enfant et d'un vieux chêne. Une histoire simple qui sensibilise les plus jeunes au respect de la nature.
Le dessin de Labourot, tout en finesse et légèreté, est parfait pour illustrer cette
histoire.
Une jolie bande dessinée qui change des séries habituellement proposées aux
plus jeunes .
J’avoue que quand l’album est sorti, cela ne m’a pas du tout attiré.Je ne sais pas
pourquoi un a priori idiot, mais cela m’a paru etre tape à l’œil.
Il a fallu que je le lise chez un pote pour me convaincre de mon erreur. Cette BD
est tout simplement géniale. Il y a une telle créativité graphique que c’est un
régal quand on est passionné de dessin.
Run prend le parti de changer de style plusieurs fois au cours du même livre.
C’est plus que risqué, mais il s’en sort toujours haut la main, car on sent chez lui
cette curiosité qui le fait évoluer.
L’histoire quant à elle est un joyeux délire, dans la ligné de tout un tas de films
que j’affectionne, tels ceux (entre autres) de Tarantino ou bien de Miike.
À lire !!!
L'avis précédent m'a particulièrement intéressé. J'ai profité de la sortie du tome
14 pour m'offrir toute la série.
Dans l'ensemble j'ai bien aimé, même si effectivement le départ de Ledroit est
dommage. Pontet s'en tire pas mal, mais son trait subit mal les différents
changements de coloriste. Le dernier en date lui donne plus de personnalité, mais
au risque de le ré interpréter.
Le scénario est pas mal, cela a été plutôt agréable de les lire tous à la suite, mais
j'imagine facilement la déception, de ceux qui ont été fidèles dès le départ.
L'histoire est sympa pour son côté grandiose et épique, mais la mise en place de
certaines scènes est longue. Et finalement pour une série avec autant de
personnage, je trouve que les caractères sont mal, voir pas du tout développé.
Pour conclure bien mais ça ne tient pas les promesses des premiers albums.
J'ai lu un peu par hasard cet album et cela a été une bonne surprise.
Effectivement l'album ce lit un peu vite, mais j'ai trouvé l'histoire juste
et efficace, pourquoi faudrait-il en faire plus.
C'est un premier album et je trouve cela très encourageant pour la suite.
En plus le dessin est déjà bien abouti, quant au couleur c'est un régal.
Ça place tout de suite l'ambiance.
Un album que j'adore pour son humour de mauvais goût, mais quand même un
peu inégale. Dans la même veine, Chez Francisque est plus abouti.
Graphiquement par contre, je trouve ça intéressant car Larcenet y diversifie sont
trait. Un album intermédiaire dans l'évolution du travail de Manu.
Surtout pour les inconditionnels.
Je ne suis pas fan des série à parution massive et au graphisme plus que
variable. Pour une fois c'était une série politique, ce qui m'intéresse plus que
les fictions à répétitions sur la religion.
Ce qui m'a aussi attiré pour lire cette série, c'est de savoir Desberg au
scénario. J'aime beaucoup ses scénarios mélangeant économie et politique, il a
toujours un point de vue original et détaillé.
La volonté de reprendre les points fort de 24h chrono, pour en tirer un thriller
de politique-fiction, pourquoi pas, Desberg est capable de s'en sortir.
Mais le rythme volontairement rapide de parution de la série est une
aberration. Cela génère tout un tas de défauts tant dans le scénario que dans
le dessin.
Donner un peu plus de temps à cette série, six mois, un an, aurait permis
d'avoir des albums plus travaillés.
Cela traduit, a mon goût, une volonté de Dargaud, qui vise à s'imposer dans le
rayon nouveauté. Ça tient plus du remplissage que du travail éditorial.
Le déroulement du scénario se veut rapide, mais ça manque cruellement de
rythme. Si le premier numéro est une bonne ouverture, le second est lourd car
surchargé d'informations, avec parfois des ellipses un peu trop abrupt.
Les numéros 3 & 4, eux sont un peu plus mous, certaines scènes sont trop
longues par rapport au rythme de l'ensemble. Je trouve qu'il y a aussi un abus
des flash-back dans tous les sens.
Malgré ces quelques réserves, sur le fond rien à redire, car Desberg a toujours
de bonnes idées.
En fait ce qui me gêne le plus, c'est l'utilisation de plusieurs dessinateurs, je
trouve toujours ça nuisible pour une série, surtout avec un calendrier de sortie
aussi rapide. Si Griffo est celui qui s'en tire le mieux, il est quand même bien
en dessous de son style habituel. Quant au autres, c'est catastrophique, il est
évident qu'ils n'ont pas eu le temps de travailler suffisamment. La mise en
couleur ne masque pas la faiblesse de certaines pages.
J'espère au moins que l'on pourra voir les recherches de Marini pour cette
série.
Au final une série intéressante mais sacrifiée par la fausse bonne idée d'un
rythme de parution rapide.
L'album de la maturité pour Bastien Vives, ça ne plaira pas à tout le monde, mais
les lecteur de BD exigeant seront satisfait.
Par petites touches discrète et sensible l'auteur nous raconte l'histoire d'une
rencontre. C'est un album très contemplatif, avec un rythme lent mais qui laisse
le temps à l'histoire d'évoluer, de prendre son sens.
L'auteur mise beaucoup sur la mise en page, les cadrages, c'est audacieux on
dirait presque un film ou un documentaire.
La retranscription de l'ambiance d'une piscine est aussi très bien maîtrisée.
Pendant la lecture, on est vraiment comme dans une piscine, avec ses odeurs de
chlore, la bruit etc.
Pour moi une des plus belles séries de Sfar. Au bout de trois pages on est déjà
plongé dans l'histoire. C'est une aventure tout à la fois drôle, humaine et sensible.
Sfar mélange les genres et les histoires au gré de ses envies, tout en restant passionnant.
Pour moi c'est aussi un véritable exercice de style, il s'éloigne complètement des contraintes de la bd pour créer un univers graphique aussi vivant que de la
musique. Il y a une liberté fabuleuse dans son dessin.
Les commentaires à la fin de chaque livre est un superbe complément à l'histoire.