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Sans conteste l'une de mes meilleures lectures de 2015. Ne vous laissez pas décourager par le sujet : ce n'est pas un livre larmoyant, mais un récit humain et haletant, qui fait réfléchir.
Les personnages sont extraordinairement "vrais", profonds et attachants. Les dessins sont beaux et agréables. J'ai dévoré ce livre. Un immense bravo aux auteurs.
Je ne sais pas ce qui m'a pris d'emprunter ça à la bibliothèque.
Je m'attendais à un petit steampunk punchy se passant durant la première Guerre mondiale, je me retrouve avec un sous-Fantomas mou du genou et dessiné à la va-vite par ce qui me semble être un tâcheron imbécile (je crois que c'est la première fois que la lecture d'un album me donne une impression sur la personnalité du dessinateur).
Je passe sur les personnages qui se ressemblent tous et la tour Eiffel qui se promène dans tout Paris (p.50, deux cases côte à côte, elle s'est déplacée d'un bon kilomètre... à moins que ce ne soit la maison qui ait pivoté sur elle-même...) Ce sont surtout les articles de presse avec les vannes à deux balles (mal écrites) balancées à l'Association et Bodoï et l'histoire du mec qui encule son chien (quelle finesse !) qui ont fini de me gâcher la lecture.
Vraiment, vraiment, vraiment bien.
Ce mélange de bd et de textes est très agréable à lire et Posy Simmonds le maîtrise vraiment à fond. Ça se lit tout seul. Même qualificatif pour les dessins : très agréables, frais.
Le scénario, enfin, est un vrai petit bijou, avec des personnages vrais et extrêmement bien trouvés (mention spéciale pour les deux ados, qui sont d'un réalisme étonnant).
Enfin, bref, au risque de me répéter : vraiment, vraiment, vraiment bien.
J'ai détesté.
Les personnages sont grotesques (le dieu de la mort qui ressemble à une sorte de grand clown gothique, le super détective que le monde entier admire et son bras droit dont on ne voit jamais le visage.... ri-di-cule !) et l'intrigue est pathétique ("si je fais ça, il va penser que ceci et faire cela" "Ah, ah ! Mais tu as fait ceci, ça veut dire que cela, alors je sais que tu es blablabla").
Ça ressemble à un mauvais film d'action pour adolescents.
Je ne comprends pas le succès de cette série.
Excellent début pour cette série.
Il s'agit avant tout d'une mise en place des personnages et de l'intrigue, mais l'ambiance de ce Paris inondé en 1910 a quelque chose d'extraordinaire que les magnifiques aquarelles très "aqueuses" de Stéphane Perger incarnent à merveille.
J'attends de voir la suite, mais pour l'instant, je suis enchanté.
Pas mal du tout.
C'est si dense qu'on a un peu de mal à vraiment se plonger dedans au début, mais au final, c'est très agréable. Les personnages sont finement dessinés (si j'ose dire), ils ont des personnalités complexes... On jurerait lire une histoire vraie.
Très déçu par le dernier Joe Matt.
Strip Tease et Peep Show m'avaient fait beaucoup rire, mais celui-ci m'a ennuyé à un tel point que j'en suis venu à me demander ce qui avait pu me plaire dans les précédents. Ça tourne en rond. Le coup du type qui montre au grand jour qu'il est un loser pathétique qui se masturbe quinze fois par jour, qui élève la radinerie au rang d'art et qui est égoïste, c'est drôle un peu, mais au bout d'un moment, c'est lassant.
L'album est très bavard et il ne se passe absolument rien. Ce ne sont que les jérémiades de Joe Matt sur son état. Le lecteur a un peu l'impression de jouer le psy... sauf que c'est lui qui paye.
Une très bonne surprise qui semble malheureusement ne pas avoir trouvé son public (il y en avait trois en occasion "soldées" chez Gibert Joseph).
Je ne m'attendais pas à être aussi pris par cette histoire de journaliste looser qui enquête sur un type se faisant passer pour Elvis ressuscité. L'accent est mis d'avantage sur la passion Elvis et le fanatisme qu'elle génère que sur le King lui-même.
La succession des "interviews" peut avoir un côté un peu rébarbatif au bout d'un certain temps, mais le suspense reste entier jusqu'à la fin (c'est-y lui ou pas ?).
J'ai beaucoup apprécié le dessin, notamment au niveau des ambiances et des couleurs (qui à elles seules méritent une mention spéciale).
Cela faisait longtemps que je me promettais de lire cette série au vu des bonnes critiques qu'elle recevait.
Et bien, après avoir lu les quatre premiers tomes, j'ai peur de bientôt virer fan !
Les trois premiers m'ont plu, mais je dois avouer que c'est surtout ce tome 4 qui m'a ravi le plus.
Le scénario est prenant et complexe (mais tellement bien ficelé qu'il est parfaitement clair), avec beaucoup de personnages impliqués, et toujours de petites touches d'humour (mais plutôt fines), c'est un vrai régal !
En outre, alors que le dessin ne m'intéressait pas trop au départ, j'ai trouvé qu'il devenait beaucoup plus abouti et que la composition était souvent excellente, avec un très bon rendu des ambiances.
En bref, j'ai passé un excellent moment et je suis impatient de lire les tomes suivants.
Grand admirateur de Will Eisner (notamment du remarquable Big City), j'ai été extrêmement déçu par cet album. Will Eisner tient tellement à montrer que le protocole des sages de Sion est un faux qu'il sombre dans la caricature. Sa description des comploteurs russes n'a pas grand chose à envier aux caricatures antisémites de la Seconde guerre mondiale (Ils sont laids et vraiment très méchants... Pour nous prouver à quel point ils sont vilains, Will Eisner dépeint l'un d'eux enfant en train de voler le collier de sa mère... on fait difficilement plus belle calomnie). La répétition "Mais coment des gens peuvent-ils croire à cela ? Il a été prouvé que c'était un faux !" devient vite lourde (au bout de cinq fois, on a compris).
Les amateurs d'anachronismes ne manqueront pas de remarquer la Tour Eiffel, qui sert de décor dans l'une des cases (ben oui, pour représenter Paris : hop ! La Tour Eiffel !)... en 1898 (si mes souvenirs sont bons), soit un an avant qu'elle ne soit achevée.
Enfin, la traduction pitoyable n'arrange rien. Les textes sont de vrais calques de l'anglais, ils manquent horriblement de naturel et plusieurs faux-sens ont de quoi faire bondir (infamous traduit toujours par "infâme", alors que le sens dans le livre serait plutôt celui de "notoire" ou "tristement célèbre"). Grasset n'avait-il pas assez d'argent pour acheter une vraie traduction professionnelle ?
C'est vraiment dommage car le thème de la création du protocole semblait extrêmement intéressant. En somme : un grand manque de finesse qui conclut bien tristement la carrière de ce géant du comics. Tiens, je vais aller me relire un Big City pour me réconcilier avec ce bon vieux Will !
Je n'ai pas du tout aimé. Le scénario m'a fait penser à vieux film érotique à la Emmanuelle, mâtiné d'un peu d'histoire (et encore). Ça sent le vieux fantasme occidental, avec la belle anglaise coincée au début, mais qui en redemande à la fin, la jeune métisse farouche qui se sert du sexe pour arriver à ses fins, le gros pervers dégoûtant et pédophile de surcroît... Que de clichés, que de clichés !
J'attendais une approche plus historique et réaliste du harem (qui pouvait certes exercer une influence certaine sur le pouvoir, mais sûrement plus par le jeu des hérédités que par les prouesses sexuelles des concubines), j'ai été très déçu.