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Les 2 autres avis postés ont déjà évoqué le contexte de cet album, pas besoin d'en dire plus... Une bonne intrigue selon moi, un déroulé bien construit, j'ai même été surpris de voir arriver la dernière page...
A ce stade de la série, je pense que Tibet & Duchateau sont vraiment dans leur vitesse de croisière : les albums sont bons : scénarios intéressants, dessins et décors soignés...
Bon, ces extra-terrestres ont une allure plutôt rigolote, qui ne laisse planer aucun doute sur leur origine... qui est plus à rapprocher des personnages du village que de la planète Oxo.
Mais l'histoire est plaisante, avec une guest-star présidentielle que j'ai adorée !
La première lecture ne m'avait pas vraiment emballé... bizarrement j'ai plus accroché par la suite.
Le scénario de ce 20ème Ric Hochet, tout comme ceux des albums qui l'entourent, est plutôt soigné : il faut vraiment attendre les dernières planches pour avoir une idée du dénouement.
Un scénario qui se tient du début à la fin, un changement de décor dans le sud de la France (même si les auteurs ne résistent pas à quelques clichés), Nadine furtivement en maillot de bain et bourdon avec sa bouée canard... tout y est !
Un bon album en résumé.
Sans préambule, on se trouve de suite plongé dans l'histoire, et même dans sa partie terminale. Ric est en bien mauvaise posture, amnésique de surcroit... Il est soupçonné d'être le responsable de bien vilaines choses, qui se sont déroulées dans la région une petite ville du coeur de l'Aveyron. Quelques planches plus tard, flashback sur le pourquoi-du-comment il en est arrivé la...
Un bon Ric Hochet cet album n°17. Le scénario est efficace, tout comme le rythme de l'histoire qui diffère un peu des enquêtes classiques, et reste soutenu jusqu'à la dernière planche. En prime, décors et ambiance sont soignés.
Aie aie aie...
Autant le dire tout de suite, je me suis replongé dans cet album au beau milieu d'une relecture des tous premiers de la série, pour lesquels je souhaitais poster quelques avis sur ce site. Je possède les 30 premières BD, et ce "Silence de mort", daté de 2005 et numéroté n°70, est arrivé je ne sais trop comment dans ma collection. Quel contraste !
Plus de 30 ans séparent ces 2 périodes. A première vue, pas de dépaysement possible, les repères sont toujours la : les personnages sont identiques, caractères, vêtements et certains accessoires n'ont pas évolué.
Le souci, c'est que tout le reste si, car l'histoire est sensée se dérouler en 2005 !Dans cet album, on parle de DVD, d'Internet... un peu bizarre quand les personnages sont toujours habillés de vestes à carreaux, de cols roulés et de velours. Limite si Bourdon n'envoie pas des télégrammes depuis son téléphone portable...
Si ce n'était que ça... pas la peine d'en écrire des tonnes, le scénario comme les dessins n'ont plus rien à voir avec ce qui faisait le charme de cette série. C'est creux, fade, simpliste, presque baclé... Une case sur deux (j'exagère à peine), le personnage est présenté sur un fond monochrome. Parfois, les expressions des personnages ne correspondent en rien à ce qu'ils disent ou à la situation !
La justesse et la rigueur a complètement disparue. Un autre exemple : l'histoire débute mi-novembre, les arbres sont tous verts et en feuilles, et dehors, les femmes sont en jupe-tee-shirt et font du vélo... 2 planches plus loin, Paris est sous 50 cm de neige et Ric Hochet poursuit sur les toits de la capitale un faux père Noël... en moto neige. Sur les toits. Hum... J'arrête la.
Je mets 1/10... pour le papier et l'encre !
Je n'ai pas accroché cet album sur fond de kidnapping. Le scénario, un peu léger même si quelques idées auraient pu faire mouche, entraîne quelques longueurs au fil des pages.
En dehors d'"Enquête dans le passé", les histoires où le père de Ric Hochet est présent ne m'emballent pas vraiment...
Une bulle sympa tout de même : Hermelin qualifiant Bourdon de "Maigret du pauvre"...
Vite vu : du solide. Un très bon album.
Les 2 premières planches posent le décor de façon remarquable : on est tout de suite dans l'ambiance. Cette entrée en matière (la pluie, la nuit, les rues désertes) se retrouve de temps à autre chez Ric Hochet.
Je trouve d'ailleurs que c'est un (le?) point fort de la série et de ses auteurs, qui sur certains albums - en particulier du début - arrivent en quelques cases à créer une atmosphère marquante : le Paris des années 70, le milieu policier, l'ennui apparant des petites villes de province.
(ils seront moins bons sur d'autres aspects, notamment dès que la numérotation des albums va dépasser plusieurs dizaines...)
Pour revenir au monstre de Noireville, même en connaissant la fin, j'ai beaucoup de plaisir à relire cette histoire.
Un scénario plutôt bon, un milieu du show biz qui rappelle "Suspense à la TV", sur fond d'idole qui disparait tragiquement... bien sur, c'est trop gros pour Ric, qui ne va pas tarder à douter de la version officielle.
Album sympa, un déroulement que je trouve bien construit, à lire.
Ca commence plutôt pas mal... avec comme "voix off" non pas l'habituelle description impersonnelle, mais le récit vu par un ennemi de Ric Hochet. Celui-ci se trouve embarqué dans une véritable chasse à l'homme en pleine nature, sur un vaste territoire cloturé. Ces 2 points originaux auraient pu constituer un album intéressant, tranchant avec les précédentes aventures.
Cependant, le scénario demeure étonnamment pauvre, et tourne un peu en rond. Les personnages - autres que les héros de la série - sont plus des figurants que des éléments à part entière. La fin tombe comme un cheveux sur la soupe. Je trouve le dessin également moins bon, avec quelques incohérences qui sautent aux yeux.
Bref, selon moi, pas top du tout.
Un petit coup de moins bien messieurs Tibet et Duchâteau ?
Allez, on se reprend sur le prochain...
Une aventure "classique" où Ric Hochet recroise son père en bien mauvaise posture...
Personnages habituels, un scénario correct, une intrigue plutôt bonne...
Pas mal, sans plus.
Un album à ranger dans la catégorie phare des recettes de la série, grace à des ingrédients savamment dosés : un mystérieux revenant à travers les temps (l'alchimiste), une petite bourgade de province, les 4 ou 5 notables qui se tirent dans les pattes...
Ca rappelle du déjà vu (Le monstre de Noireville, Les spectres de la nuit...), mais ça marche ! Les auteurs sont rodés à ce type d'intrigue, moi j'aime bien.
A conseiller.