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Scénaristiquement bien au dessus de BATMAN Nouvelle aube dont il est la suite version NEW 52.
Paul Jenkins accompagne Finch au scénario et ça se sent. Dessin est d’un très bon niveau, composition dynamique, découpage rythmé.
Une bonne entrée dans l’univers de Batman, noir, violent et complètement dingue.
Et puis un vrai plaisir de retrouver BANE, quelques temps après son triomphe au cinéma dans TDkR.
C'est un véritable conte fantastique que nous propose cette fois Dufaux avec SORTILEGES. Et cela autant dans la forme que sur le fond. Il ne manque rien. Dés lors, personne d'autre que Munuera, dont les planches dégagent toujours une forte sensation de magie et de mystère n'aurait été mieux à même de rendre de telles ambiances. C'est beau, c'est bon, on en redemande !
La fierté d’un père, l’admiration d’un jeune garçon, la maladresse des sentiments aussi ainsi qu’une certaine forme de malaise des retrouvailles difficiles. Tels sont les sentiments entre ces 2 là.
Et comme toujours avec Ducoudray, ils sont purs, ils sont vrais car les mots sont justes. Les émotions ne préviennent pas mais vous embarquent bel et bien. Les dessin de Quignon est très beau et très riches en sensation lui aussi.
Nouvel essai, nouvelle réussite pour Ducoudray qui nous enchante à nouveau et nous fait encore découvrir un dessinateur de talent.
Une histoire sous pression dans laquelle tous les codes du polar sont parfaitement digérés. Les ambiances sont lourdes et soutiennent un suspense qui tient en haleine tout au long du récit. La réalisation graphique et les ambiances colorées proches du sépia y sont pour beaucoup. Les planches sont très belles et rendent bien les atmosphères pesantes qui annoncent une tempête de fin du monde.
Un vrai bon western classique avec indiens, histoire d'amour, de famille, sales vilains, digne de John Ford. Ah, le grand ouest, ses rivières fougueuses comme le sang de ses hommes... et ses femmes fortes qui veulent tenir leur rôle. On en redemande !
Après seulement quelques pages lues, vous avez déjà la sensation d’avoir entre les mains une BD particulière, une de celle qui ont ce petit quelque chose en plus qui font les grands albums. Mais vous sentez aussi que son écriture subtile ne révèlera pas toute sa profondeur dès première lecture et vous imaginez déjà le plaisir que vous aurez à le relire.
La réalisation graphique est très belle. Le style peint de Brion est somptueux. Chaque case est un petit tableau. Dommage que l’impression d’ensemble rende une impression trop statique. La faute sans doute à l’incrustation de larges bulles carrées et à un découpage trop rigoureux.
L’adaptation quand à elle propose ce à quoi l’on s’attend mais surtout ce que l’on en attend. ISTIN est un spécialiste du genre. Rien de bien original donc, mais les choses sont bien écrites.
Aymond nous entraîne dans un contexte géographique et historique rarement exploré dans le genre. Tous les ingrédients qui forgent les grandes séries sont présents : passions interdites, jalousie, trahison, complot… tout cela sur fond de tensions politiques entre l’Angleterre et l’Ecosse. Le théâtre parfait pour cette intrigue rondement mené dans laquelle l’auteur parvient même à distiller un soupçon de poésie et qui nous fait découvrir chez lui un vrai talent d’écriture.
Côté dessin, son trait réaliste est à la hauteur et plus encore pour décrire ce XVIIIème siècle écossais. La mise en couleur très agréable qu’il réalise ici par lui même est peut-être aussi pour beaucoup dans cette impression.
Les dérives et les paradoxes de la vie dans un état totalitaire. Les auteurs traitent de la liberté de penser avec beaucoup de finesse et mettent en avant le mal-être de chacun avec beaucoup d'intelligence.
Dommage que l'impression soit si sombre et rende si peu honneur au dessin de Sandrine Revel.
XIII dans l'antiquité grecque. Un traitement intéressant pour cette série dont le héros, amnésique, se révèle avoir les réflexes d'un grand guerrier alors que les bribes de souvenir lui revenant ne sont pas là pour le rassurer.
Beaucoup de mystère, un voile de fantastique mythologique, un dessin efficace mais qui aurait pu être très agréable sans l'abus de textures numériques qui est le grand défaut de cet album.
Je vous invite vraiment à découvrir cet album plein d'audace narrative, d'une grande qualité graphique et d'une maturité certaine pour un premier album. J'ai passé un très bon moment de lecture. Même si le thème peut sembler manquer un brin d'originalité au 1er abord, laissez-vous tenter car le parti pris du traitement vous surprendra et vous découvrirez un artiste plein de talent et très prometteur. Il n'y a que trop rarement d'auteur de cette trempe pour passer à côté
Dufaux, l'art et la manière de composer une histoire et de nous faire passer un nouveau très bon moment de lecture avec un pitch qu'on a déjà vu 100 fois.
Le dessin d'Aouamri est efficace et accompagne très bien ce récit viril et rude.
Pour son retour à la BD en solo, Brüno ne nous déçoit pas. Il nous livre vraiment une histoire qu'il maîtrise de bout en bout au niveau de l'écriture. Il y a dans Lorna toute l'étendue de son talent en matière de découpage, dans la maîtrise de l'ellipse qu'il manque parfois dans ses albums écrits par d'autres. Son style graphique si caractéristique s'exprime ici dans sa pleine mesure.
Les dialogues sont un régal, et on se croirait vraiment accoudé à un fauteuil de vieux cinéma crasseux. On en redemande !
Un album magnifique en tous points. Un histoire magique qui nous absorbe instantanément. Un univers totalement captivant dans lequel fantastique est porté par un imaginaire très novateur. Le tout servi par un dessin de très grande qualité, véritable plaisir des yeux qui renforce l'onirisme ambiant.
Le début d'une grande série !
Un Batman très noir, très bien réalisé avec un très beau dessin de David Finch et un Jay Fabok qui tien la marée. En revanche, beaucoup moins convaincu par le côté fantastique de l'histoire. L'utilisation de personnages comme Blaze & Etrigan lorgne plus vers les amateurs de série comme Spawn. Le côté polar urbain que j'aime chez Batman n'est pas assez marqué. Mais c'est bien aussi de retrouver Bruce Wayne sous le masque.
On lit avec plaisir malgré tout.
Quel plaisir que de retrouver les petites ambiances auxquelles nous a habitué Hubert dans ses différentes séries. C'est frais, c'est plein d'humour et juste assez décalé pour accrocher le lecteur sans le perdre. Sans oublié bien sûr un petit côté acidulé, un zeste de cynisme pour agrémenter le tout. Il sait rendre ses personnages très attachants en quelques pages seulement car ils sont pleins de petites aspérités en creux et en bosses qui les rendent plus vrais.
C'est aussi un vrai plaisir de retrouver le dessin de Zanzim, qui avait déjà dessiner La sirène des pompiers, dont le trait s'accorde à la perfection aux ambiances du récit.
Une bonne lecture. Un scénario suffisamment ambitieux pour accrocher le lecteur et donner envie de lire la suite. Le dessin fait son office et est suffisamment sombre pour le ton dans lequel baigne le récit sans non plus révolutionner le genre. Pour ceux qui aimeraient se lancer dans Hellblazer mais qui ont peur des 25 ans de continuité !
Une nouvelle série d’héroïc-fantasy chez Soleil, ça c’est pas un scoop. Mais un album comme Brögunn mérite largement que l’on s’y intéresse de plus près.
On y retrouve des hommes, des nains et des elfes unis dans l’adversité. Mais le scénario de cette nouvelle série évite le piège classique de la “confrérie de guerriers complémentaires en lutte contre le mal pour sauver le monde libre”. Et pour cause, ici il semblerait qu’il n’y ai plus rien à sauver ! Et cette troupe là ne poursuit rien, elle est belle et bien fuyante. Elle fuit le monde connu après sa débâcle sous les assauts du tyran Yclomedias.
Quel rôle Brögunn, puissant et mystérieux guerrier vivant avec une colonie de faunes dans les monts du grand nord, a-t-il pu jouer dans celle-ci.
Arrêtons-nous un instant sur l’originalité du scénario de ce premier tome intitulé “Après la fin”. Il est vrai qu’après lecture, on est en droit de se demander si on a lu un début, ou une fin. Car c’est bien la fin d’un monde qui ouvre cette série, la fin d’un monde qui appelle le début d’autre chose. Qui, maintenant que plus rien n’est, nous apportera les réponses aux questions soulevées. Un jeu d’écriture habile qui accroche irrémédiablement le lecteur et fait que dés la fermeture de l’album, l’envie d’une suite se fait cruellement sentir !
Graphiquement, Brögunn s’écarte aussi du style des principales productions de chez Soleil. Le dessin est très marqué, plein de personnalité et très agréable. Le trait plutôt fin nous révèle des visages, des caractères forts. Il donne un côté sombre aux ambiances, elles-même renforcées par une mise en couleur harmonieuse et sobre. Une très belle réussite !
J'avoue que moi qui n'est pas du tout amateur du personnage, j'ai passé un agréable moment à la lecture de ce DEADPOOL MAX. Le parti pris de faire de Bob le personnage principal est intelligent. Deadpool, plutôt énervant en général devient presque touchant et cela rajoute de l'intérêt au personnage qui n'en a pas du tout, selon moi, par ailleurs. On apprécie même le graphisme résolument grotesque et les tonalités douces des couleurs.
Cette série possède un charme indéniable qui opère instantanément sur le lecteur. Son dessin rond et sans encrage, l'harmonie sucrée des couleurs, le décalage fantaisiste de l'intrigue et ses petites ambiances rétro-futuristes forment un savoureux cocktail. Le tout relevé d'une subtile petite pointe de cynisme. A découvrir, vraiment.
Un traitement tout en pudeur et plein d'austérité pour décrire cette Italie rurale du début du XXème siècle. On ressent bien la rudesse de ces vies pétries de ferveur religieuse. Le décalage et l'incompréhension des plus jeunes face au regard des adultes. Pourtant aucun écart n'est permis.
Un fort sentiment de confusion à la lecture de ce tome 1. On a l'impression d'avoir à faire à un fourre tout dans lequel toutes les créations du Kirbyverse se retrouvent. Malheureusement c'est trop d'un coup et l'histoire en devient lourde et difficile à suivre. Même les quelques pages d'Alex Ross ne sont pas aux niveau et un peu criardes. Déception. Peut-être que les vrais mordus du King et de son univers apprécieront, les autres avec plus de difficultés.
Amy Breis a 26 ans. Elle se cherche et trop souvent (toujours) se réfugie dans les rediffusions du programme TV Mister Dangerous. Elle vient de se séparer d’avec Eric et croit certainement que déjà, tout est foutu. Sa mère ne l’aide pas vraiment et ses amies\collègues de boulot font ce qu ’elles peuvent mais ne sont pas non plus “son coach”. Heureusement parfois, il y a Michael à l’autre bout du fil, et Mister Dangerous.
Un récit plein de sensibilité, de retenue mais aussi de lucidité. La désillusion règne mais l’espoir n’est jamais totalement absent. Un dessin « ligne claire américaine » qui lorgne du côté de chez Dan Clowes mais des ambiances plus proche d’un certain Adrian Tomine. Une composition à la base plutôt classique mais qui s’autorise tout de même quelques audaces narratives qui rythment judicieusement la lecture, tout en finesse.
Bien que l'on puisse suivre assez clairement l'intrigue et que l'on entrevoit bien l'issue (la confrontation entre les armées napoléoniennes et autrichiennes), il en ressort un certain sentiment de confusion lorsque l'on referme l'album.
Il y a de nombreux personnages et à la longue il s'avère difficile de les identifier clairement. Les nombreux régiments, leurs généraux, leurs subalternes, les uniformes très variés... tout cela fait qu'au bout d'un moment on ne sait plus qui est qui, ni qui fait quoi hormis Stendhal & Napoléon. Il n'y a pas de personnage principal assez fort qui puisse servir de marqueur et on manque cruellement de repère. La tenue d'un mémo ne serait pas de trop.
D'autre part, un certain nombre d'exposés stratégiques assez hermétiques pour le profane peuvent encore ajouter à la confusion.
L'album n'est surement pas un mauvais album mais il est à réserver aux initiés ou aux amoureux des épopées napoléoniennes.
Je dois reconnaître que malgré ma méfiance vis à vis de la production à la pelle de Corbeyran, le scénario de Blackstone est plutôt accrocheur et bien mené. Il parvient même à faire passé le dessin de Chabbert, que je trouve assez grossier et auquel je n'accroche pas. Je recommanderais si on me demande conseil sur l'album !
Un personnage intéressant, peu connu, qui pourrait faire le sujet d'une bonne BD si j'en crois ce que j'ai pu lire dans le dossier qui accompagne l'album. Car oui, c'est bien là et seulement là qu'on en apprend sur le personnage. Exploratrice improvisée de l’Afrique de l'ouest durant les 8 dernières années de sa vie. De tout cela, l'album ne fait que le survol, s'attachant davantage à une potentielle et aventureuse idylle avec un chef de tribu de cette région, qui mourra héroïquement pour sauver la belle européenne qu'il aime. Inutile, décevant et dommage.
Retour sur révolution mexicaine, dans les pas de Pancho Villa et de ses amis. Cette épopée nous est rapportée par Rudy Fierro dit El Carnicero (Le Boucher), un proche du général et unique survivant pouvant encore raconter.
Léonard Chemineau s'empare du roman James Carlos Blake et nous le restitue en bande dessinée. Un exercice plutôt périlleux pour un premier album. Mais il faut avouer qu'il s'en sort plutôt bien. Très agréable, son dessin rend parfaitement l'idée que l'on se fait du théâtre de la révolution mexicaine sans oublier une petite ambiance western pas déplaisante. Une mise en couleur chaleureuse et franche composée d'une large palette de tons relève le tout avec beaucoup de talent.
L'adaptation peine parfois à se détacher de la structure du roman et à certains moments cela peut nuire à sa compréhension. Bien qu'on ne le reste jamais longtemps, il peut arriver de se retrouver perdu en passant d'une page à l'autre. La fluidité aurait gagné à quelques petits ajustements de narration.
Mais au-delà de ça, ce vent de révolte populaire agrémenté d'un petit souffle « burlesque » (qui vient forcer le trait héroïque de personnages), est un vrai plaisir. On retrouve des ambiances proches de romans comme Le vieux gringo de Carlos Fuentes ou bien encore dans L'escadron guillotine de Guillermo Arriaga.
Un récit haut en couleur à la hauteur de ses héros, certainement plus proche de la légende que de l'histoire et qui tient désormais du folklore mexicain. Les amoureux de la culture mexicaine se régaleront et les autres devraient apprécier ce premier essai très prometteur.
Naïm préfère l’école buissonnière à l’école coranique ou son indiscipline lui vaut bien des brimades. Aussi, il ère à longueur de jour dans des ruelles pleines de vie tout en essayant d’échapper à son frère qui tente de le garder dans le droit chemin. Pourtant, ce petit bonhomme de 11 ans a l’esprit vif de ceux qui ont compris beaucoup sur la vie et la débrouillardise de ceux qui ne se laisseront jamais aller. Ce sont ses pas d’enfant, tour à tour fuyants et flânants, qui nous guident, à la découverte de ces lieux pleins de vie, à la rencontre des hommes qui la leur donnent.
Ce premier de 2 albums s’applique lentement à planter le décor dans lequel va se jouer une intrigue liée à une ancienne légende orale africaine. Celle-ci, dévoilée peu à peu tout au long du récit, finit par se mettre en place en quelques planches peu avant la fin. Un jeu d’écriture habile qui ne distrait pas le lecteur de sa découverte des lieux, des ambiances et des acteurs qui les composent. On comprend rapidement que la principale ambition de l’auteur est de faire voyager le lecteur, tout en l’ouvrant à la réflexion.
Et c’est une vraie réussite ! On se régal de bout en bout tant les situations et les personnages sonnent juste et tant les propos avancés sont réfléchis. Chaque protagoniste y va de sa petite phrase et c’est un bonheur. Mais tout cela ne serait rien sans la qualité du dessin à la couleur directe de Flao. Sombre ou lumineux, mais toujours magnifique.
Une bonne petite baffe que la lecture de ce one-shot. Schultheiss nous y livre sa réflexion très personnelle et intelligente sur les fondements du catholicisme.
Son dessin expressionniste sers son propos à merveille.
On ferme le bouquin, on est chamboulé, on réfléchit !
Un très bon comics à la Mad Max avec quelques raccourcis un peu rapides. Dommage, on en aurait bien lu davantage. Mais laissez-vous tenter quand-même, vous ne le regretterez pas.
Un final excellent pour cette série en 2 volumes. Véritable hommage aux collectionneurs de comics de tous âges et aux bandes dessinées petits formats qui ont fait le bonheur de plusieurs génération. A lire absolument si vous êtes fan de comics, mais aussi de bande dessinée en général. Alors vous ne pourrez pas rester insensible au Masque du fantôme.
A mon avis, le meilleur album de la série Marvel Noir. Luke Cage est vraiment le personnage marvel qui a le plus sa place dans cette époque. Comme dans les autres séries, le dessin rend bien les ambiances de cette période. Si vous n'en lisez qu'un, lisez celui là.
Un délicieux feuilleton auquel on se laisse aller avec plaisir, avec des personnages vrais, attachants. On irait volontier s’en jeter quelques uns au bistrot du coin avec Jasmin & Jean-Seb.
Je vous préviens, vous allez adorer. Pour moi c’est trop tard, je me suis fait avoir. Et euh, il sort quand le volume 2 ?
Une manière originale de traiter cet épisode mythique et si important quant à l'issue de la guerre 39/45. Un récit entre petit courage et grande lâcheté, entre égo démesuré et dévouement total, accompagné d'un très bon dessin semi-réaliste qui s'attache très bien à rendre les ambiances tendues qui règnent entre les personnages d'un même camp quand l'horreur est quotidienne.