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Premier volet d'une histoire où le «paranormal» prend, comme il se doit, une place croissante au fil des pages. Lecture agréable mais sans plus, Corbeyran et Bec connaissent leur métier et distillent leur effets avec savoir faire.
Les rendus photographiques de Bec lorgnent vers le cinéma mais réussissent mieux aux plans généraux et aux décors qu'aux expressions humaines parfois étrangement figées.
Bien que le scénario réserve son lot de «surprises», on ne peut pas dire pour autant que le genre risque d'être renouvelé.
Si le double est bel et bien maléfique, il est à craindre que le second volume ait les mêmes travers.
Un petit bijou. Dès les premières pages la magie opère et impossible de lâcher l'album avant sa fin. Les souvenirs de Fernande, (quelle belle idée), nous entraînent dans ce Paris du début du vingtième aux cotés d'un Pablo en devenir et d'une galerie de personnages très vite familiers. Chapeau bas devant l'apparente simplicité d'une narration qui rapproche inexorablement les trajectoires de Fernande et de Pablo, devant l'évocation de cette bohème attachante et cruelle, pleine de trognes, d'airs qu'on se donne et de travers humains. Bravo pour la justesse et la beauté des moyens (dessins, couleurs, textes).
Bonne surprise. Bonnes surprises même. Couverture élégante et sobre. Contenu foisonnant, limite chaotique. Ce Monsieur Huangjiawei a une véritable identité graphique, audacieuse, tour à tour délicate et dynamique, avec de belles trouvailles. Morvan lui offre un scénario à sa mesure, violent et bien rythmé.
De grandes figures de l'histoire de l'art et des sciences, revisitées version super héros... Pourquoi pas? L'idée avait de quoi séduire. Mais ce ixième combat entre factions rivales pour l'avenir de l'humanité peine à se mettre en place et souffre de ne pas être à la hauteur des ambitions de ses auteurs.
Scénarisation inutilement confuse et ésotérisme indigeste. Quelques belles planches dynamiques malgré tout.
Dommage que le sexe et la violence, que l'époque et le lieu caractérisent forcément (Samouraïs, Geishas, Daimyos, ...) soient traités d'une manière aussi frontale. Le récit n'y gagne pas grand chose et le lecteur non plus. Adamov, lorsqu'il s'en charge, signe d'ailleurs ses planches les moins réussies de l'album. L'intrigue est néanmoins bien amorcée et la galerie de personnages laisse entrevoir bien des développements. J'attends de voir la suite.
Une histoire plutôt bien tournée. Réflexion et cohérence dans ce monde ou l'utilisation de clones a transformé bien des aspects de la vie sociale. L'intrigue policière qui s'en nourrit y gagne en profondeur. Mention spéciale pour le choix d'un traitement graphique aux antipodes de ce qui se fait généralement dans la représentation d'une réalité "technologique". Bien que parfois limite, (dessins dédoublés, décors simplifiés à l'extrême), la mise en forme vaut surtout pour son aspect brut et son traitement coloré, qui donne à l'ensemble une ambiance originale. Honte à Delcourt pour la face de Bruce Willis en couverture, la galerie de couvertures originales, présentée à l'intérieur, offrait 7 alternatives plus judicieuses.
On connait l'affection ,(l'obsession?), de Christophe Bec pour les situations où un groupe humain est confronté à l'impensable, dans des ambiances menaçantes généralement amplifiées par une forme ou une autre de démesure. Idem pour ses constructions, et ses références, toujours très "cinématographiques". "Under", tout en ayant toutes ces caractéristiques (ou justement par ce qu'elles y sont) est assez décevant, surtout à cause des personnages, et des situations dans lesquelles ils se trouvent, tellement stéréotypés: un héros ténébreux et torturé par son passé, une "intello" sexy au beau milieu d'une bande de machos, un maire magouilleur, les gros bras patibulaires, etc..., etc...
Le dessin de Stefano Raffaele alterne le bon et le moins bon mais manque de caractère pour compenser les faiblesses scénaristiques. La mise en couleur de Christian Favrelle est étrange. Dans le contexte, ce n'est pas un défaut.
La cohérence d'ensemble (dessin, scenario, découpage) mérite d'être remarquée.
Tous les ingrédients d'une bonne série sont là, et plutôt bien dosés. Mais la recette est connue (futur sinistré, jeunesse et destins croisés, personnages de pouvoir et de contre pouvoir, ...) et aurait méritée d'être relevée d'un brin d'originalité pour qu'on attende la suite avec impatience plutôt que curiosité.
Dans le genre, une vraie réussite. A partir d'une situation statique où le lecteur partage la réclusion et le voyeurisme du personnage principal, Gibrat réussi à nourrir un récit subtil et dynamique particulièrement attachant. L'ambiance, les personnages, la richesse du dessin et des couleurs, tout concourt à faire du Sursis une œuvre remarquable. Une seule (petite) ombre au tableau, lors d'un évènement dramatique décrit dans ce premier album, une incohérence scénaristique accrochera peut-être les lecteurs attentifs. C'est bien peu pour autant de qualités.
Le contexte historique est intéressant et Delitte est visiblement bien documenté. Le scénario prend le temps de s'installer sans effets racoleurs et on a plaisir a voir personnages et évènements se mettre en place tout au long de l'album jusqu'à sa fin énigmatique. Dessin irréprochable sauf pour les expressions des personnages, parfois un peu figés. Les détails sur la sexualité des marins de la fin du XIXème n'ajoutent pas grand chose, on aurait pu s'en passer.
Quelques idées scénaristiques intéressantes, surtout dans le détail (les combi-ballons, les papillons), et un dessin correct mais parfois inégal, ne parviennent pas à faire de la lecture de cet album une expérience inoubliable. La contrainte éditoriale des « Septs » compresse ici le récit dans des passages obligés prévisibles sans toutefois donner une vraie profondeur à l'ensemble. Par ailleurs, l'extrême violence du contexte proposé apparaît au final plus comme un artifice facile que comme un parti pris maitrisé.
Pas franchement convaincu par ce volume. Peut être que ce jugement mériterait d'être pondéré par la lecture des autres "Uchronies", mais en commencer par "New Harlem" ne se révèle pas inoubliable.
Le scénario est assez conventionnel et parfois pénible (assez de ces scènes de sexe sans aucun intérêt dans l'histoire, psychologie somme toute primaire des personnages). Le dessin quant a lui, manque de personnalité et reste au mieux, fade. Dommage, l'idée de l'uchronie est une bonne base de départ.