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Dommage !
Dans le premier tome, Rodolphe avait créé un univers onirique, poétique, attachant, qui m'avait beaucoup plu.
Hélas, dès le tome 2, il choisissait de se tourner vers de la scifi classique. Et c'est là où d'après moi, ça rate complètement!
Ça rate parce que les éléments scénaristiques qu'il avait mis en place dans le premier tome et qui fonctionnaient parfaitement pour une histoire plus symbolique deviennent complètement incohérents quand on les replace dans un univers qui au final se veut réaliste. Incohérents tant scientifiquement que scénaristiquement parlant.
Car je suis désolé mais (ATTENTION SPOIL TOME 1 ET 2) si le vaisseau dérive dans l'espace, comment peut-il y avoir des alternances jour-nuit en surface? Et la chaleur qui permet aux "surfaciens" de survivre, d'où vient-elle? Qui plus est, les personnes qui ont choisi de vivre en surface du vaisseau l'ont fait sciemment, sans être rejetés par ceux qui ont décidé de rester à l'intérieur, du coup, pourquoi n'y-a-t-il eu aucun contact en deux siècles entre ces deux mondes? Et Mandor? Si c'est un "guide" (et un guide spécial) envoyé par le monde intérieur pour prévenir les surfaciens de revenir au sein du vaisseau avant que celui-ci ne se remette en marche, pourquoi a-t-il perdu la mémoire et s'est retrouvé tout nu allongé dans une tombe?
Ce sont toutes ces incohérences (je les ai pas toutes citées pour pas spoiler le tome 3) qui font que je ne peux pas considérer cette série comme réussie.
Et Rodolphe nous promet un cycle deux -comme il a l'habitude de le faire- qui sera un planet opera comme il en existe déjà à la pelle...
Bon, on connaît "Les mondes d'aldébaran" et ceux qui n'ont jamais accroché ne vont pas se découvrir un intérêt soudain pour la série à la lecture de ce tome-ci !
Passons donc sur le scénario et les dessins... J'aimerais juste faire part d'une impression. Il me semble que, depuis le tome 3, les dialogues sont parfois bâclés. L'histoire peut être passionnante, je décroche trop souvent à cause de dialogues trop plats, certains phylactères comprennent également des répétitions, ce que je trouve gênant ! Je ne me rappelle pas avoir eu cette impression sur "Aldébaran" ou "Bételgeuse". C'est dommage parce que pour moi, cette série reste très imaginative et aborde des sujets intéressants !!
Espérons que Leo corrigera le tir pour les prochains volumes !
Ce 23ème épisode me semble d'un meilleur niveau que les derniers volumes. Avec cette huitième et dernière croisade qui se prépare, la série reprend un petit côté historique pas déplaisant, même s'il y a du déjà lu !
Il faut dire qu'on tournait un peu en rond avec les derniers tomes ! Cet épisode est donc le bienvenu.
Sigwald s'en va donc restituer le coffret aux templiers (il est temps!) avant qui sait, de peut-être rejoindre l'armée des croisés, comme son père jadis ? On verra. En attendant, pour ma part, l'intérêt est quelque peu relancé !
Une nouvelle série pour un semblant de déjà vu, c'est la crainte que j'avais au moment d'acheter l'album !!
Des colons (survivants d'une mission qui foire!) qui se retrouvent paumés sur une planète inconnue du bataillon, on connaît ! L'originalité du récit réside, une fois de plus, dans le talent de Leo à proposer un bestiaire et des décors attrayants.
A l'instar des Iums sur Bételgeuse, Leo peuple cette nouvelle planète d'une race d'autochtones primitifs... Moins mignons que les Iums d'ailleurs !
Evidemment, il faudra attendre la suite pour se faire une idée précise de la chose mais cette série pourrait se montrer un poil différente des autres en ce qui concerne principalement la présence d'une vie extraterrestre intelligente sur les lieux.
Entreprise familiale en péril, famille désunie avec en prime un fils accusé de meutre en cavale... "Les Munroe" aurait pu s'appeler "Les Steenfort en Afrique". Je plaisante !
L'originalité du récit tient au lieu où il se déroule ; le Kenya. Le dessinateur peut nous régaler d'images de grands espaces. L'histoire, elle, se plante doucement et nous présente les différents personnages dont le sympathique inspecteur Njoya, chargé de retrouver le fils en cavale.
Histoire dépaysante, donc, qui nous dresse le portrait d'un Kenya moderne où les tensions entre communautés sont encore bien présentes et où la justice inique tranche, pour une fois, au désavantage des blancs.
"Aucun blanc n'est innocent en Afrique" dixit le commissaire Ojiango.
Autant le dire d'emblée, les dessins et les couleurs sont superbes. Sur certaines cases, j'avais même du mal à détacher le regard ! Voilà comment voyager pas cher !
Africa dreams raconte l'histoire de la colonisation belge au Congo. On suit le personnage de Paul Delisle, un séminariste qui découvre le sort peu enviable des travailleurs forcés (Qui a dit esclaves ?) congolais.
Evidemment, il est toujours difficile de se prononcer sur un premier tome mais celui-ci me semble plutôt réussi. On en apprend pas mal sur cette partie de l'Histoire qui reste relativement méconnue. En plus, je trouve que les personnages sont vite attachants, aussi bien le séminariste un peu coincé (de fait !) que son père, personnage fort en gueule.
Vous l'aurez compris, je recommande vivement cet album qui s'adresse à tous et pas seulement aux férus d'Histoire.
En effet, ce troisième tome nous mène au coeur d'Antarès. La petite équipe de Kim tente de rejoindre à leurs risques et périls le camp de base (où je rappelle séjourne une bande de fous fanatiques, rien n'est simple !). A leurs risques et périls, parce qu'il n'est pas aisé de se promener sur une planète inconnue et légèrement farouche !! Rassurrez-vous, Leo n'est pas en panne d'imagination lorsqu'il s'agit d'étoffer le bestiaire, le contraire aurait d'ailleurs été étonnant !!
Côté scénario, Leo parsème le récit de mystère et de points d'interrogation. Mystère quant à la nature d'une partie de la jungle et points d'interrogation quant aux comportements de certains persos.
A propos du mystère principal de la planète (à savoir, la disparition subite de mammifères) Leo lève un coin du voile et semble nous promettre une suite assez intense !!
J'ai cependant une réserve. Certains dialogues (les sentimentaux) ne sont pas très spontanés et gênent la lecture (je trouve).
Marcus Valerius Falco a vieilli. On le retrouve sans son "frère", débauché et apparemment devenu grand soldat. En contraste avec l'image du Marcus jeune qui était plutôt peu doué pour l'art de la guerre et plus "romantique" que ne l'était Arminius.
Très vite, on fait marche arrière et on découvre les évènements qui ont transformé Marcus ; Amour déçu et obligation militaire (surtout quand on est le fils d'un instructeur). Rien d'extraordinaire en définitive ! Mais le décor est planté et nous brosse une époque dans laquelle il est impossible de pouvoir partager la vie de l'être aimé puisque les filles sont promises aux fils, où il est difficile de pouvoir choisir sa destinée puisque on se voit directement promu aux champs de bataille. Rajoutez à cela les prémisses d'un complot contre Auguste et l'avènement d'une guerre qui ne laissera pas la grande Rome indemne.
Bref, un très bon épisode. Je pense que si Marini continue à maintenir la qualité de cette série, il va nous faire dans l'incontournable !!
Quelle claque !
Un album policier de très très bonne facture !
Les dessins sont époustouflants et les couleurs sombres collent parfaitement à cette atmosphère tout droit sortie d'un roman noir. Le seul reproche qu'on peut faire, à mon avis et à celui de la preview, provient de la trop grande noirceur de certaines cases qui empêche de bien suivre l'action. Mais là, on chipote !
Le découpage est également à souligner. Certaines planches valent le détour juste pour la mise en page (différents angles de vue, gros plan,...)
Le scénario, quant à lui, nous livre un bien beau mystère digne de la "reine du crime". L'histoire propose son lot d'indices et de pistes. La révélation finale laisse le temps à la réflexion et au brassage des pages pour vérifier les enroules.
Le personnage principal, Fern Britten, est une intrigue à lui tout seul ! Ingénieux et... Je ne sais pas ! "L'absolue moralité est un luxe réservé aux myopes" J'adore !
"Beurp" : c'est l'effet que l'on a après avoir mangé un bon repas bien consistant, la bonne recette après laquelle vous êtes bien repus. A la lecture de cet album le mot qui me vient à l'esprit ressemble plus à un "Boarp"; Une sorte de trop plein qui ne me laisse plus repus mais gavé !
L'histoire est pourtant sympathique, un peu comme une sorte de "Grande vadrouille". Il y d'ailleurs une référence à la "Traversée de Paris" qui m'a bien fait marrer.
Cependant, l'histoire principale qui voit Spirou, résistant, essayant de percer le mystère de l'arme secrète alliée est noyée par une multitude de clins d'oeil. Hé oui, le clin d'oeil est normalement censé être léger, à peine perceptible, juste repérable pour un oeil autrement novice. Ici, on parlera de flashs voire d'appels de phare. Les références à Hergé, Franquin mais aussi Buck Danny, Black et Mortimer, sont légion. Même le Brusselère est utilisé à outrance et finit par devenir un peu "casse-couille".
En gros, trop, c'est trop !
Et pourtant, l'histoire n'était pas mal, je le répète. Certaines réflexions de Fantasio sont très drôles et le coup de force des résistants est bien foutu. Mais bon, Il y avait sûrement moyen de rendre hommage à la bd belgo-belge sans pour autant faire un étalage culturel.
Pour rester dans le culinaire, le plat de départ est bon mais beaucoup trop assaisonné à mon goût !
Très bonne idée que de rassembler les quatres premiers tomes de cette série ( deux histoires) en un album. De plus, à l'heure où les formats deviennent de plus en plus grands et donc les albums de plus en plus chers, celui-ci est de petite taille et donc très démocratique (Un peu moins de 20 euros, pour quatre tomes, je rappelle). Et je ne crois pas que la taille réduite affecte le plaisir de lecture. Les dessins (bâtiments, lieux publics, marécages, ...) sont plus que bons et les couleurs superbes.
Les deux histoires rassemblées ici sont très interessantes. Des intrigues ; Secte mystérieuse dans une ville secrète, meurtres au harem royal, qui sont bien rythmées et démêlées, des personnages attachants et de bons dialogues, voilà de quoi passer un excellent moment de lecture.
Une série vivement conseillée.
Pour ma part, c'est toujours un plaisir de retrouver Hughes, Sigwald et même Al Mansour d'album en album puisque étant un fan de la première heure et du premier tome, je suis un "conquis d'avance".
Cependant, "La main du prophète" est loin d'être le meilleur album de la série. L'histoire, si elle est loin d'être inintéressante, est assez prévisible. Sigwald, qui tenait le rôle principal dans le dernier épisode (ce qui pouvait ressembler à une passation de pouvoir) est ici relégué en seconde zone... Peut-être pas dans le prochain... A voir. Le siège du château de Noirlac, quant à lui, est bien rendu mais n'est malgré tout pas hyper passionnant !
Malgré ce scénario sans réel suspens mais non dénué de quelques traits d'humour, ce tome 21 se laisse lire avec plaisir, certes, mais... seulement peut-être pour les inconditionnels de la série (dont je fais partie !).
Hé ben, on l'aura attendu celui-là !!
Voilà Kim et compagnie en route vers Antarès, une sympathique planète où vivent sorte de ptérosaure et autre félin pas franchement accueillant ! Un bien beau bestiaire digne de Leo, quoi !
Mais la route vers ce nouveau monde est loin d'être de tout repos tant les rapports sociaux au sein de la navette entre le groupe de Kim et les pionniers sont houleux !! Encore une bande de méchants qui dénigrent les femmes et qui débarquent avec leurs grands sabots !
Ce qui m'a plu, ce sont les dérives dues au projet de colonisation par une entreprise privée (envoi de kamikazes, matériel bon marché, point de vue égoïste...).
Leo fait encore preuve de beaucoup d'imagination également dans la création des engins motorisés (cf airbags futuristes)
Quant aux dessins et couleurs, je suis de ceux qui apprécient !!
Par contre, le tome se lit beaucoup trop vite et j'ai regretté l'épisode 1 avec ses 55 planches contre 46 ici. On peut en raconter des choses en 10 planches !! Foutu format 46 traditionnel !!
Enfin, en espérant qu'il ne faudra pas encore attendre deux ans...
O'Boys ou les péripéties d'un jeune blanc et d'un travailleur noir dans l'Amérique des années 30.
L'histoire sent bon l'escapade et les coups en douce. On suit Huck Finn dans ses mésaventures (échappées nocturnes, bagarre et gros "canulars") qui nous font nous rendre compte d'une certaine Amérique. Si le récit ressemble plus à une suite de situations mettant en avant plan les deux antihéros, l' "enroule" de Huck agrémentée de la haine du shérif ajoute une touche de suspens et confère à l'album une base scénaristique pour les prochains tomes.
Le dessin est, pour ma part, très bon. Les gueules et les paysages sont très bien foutus. Il ne reste plus qu'à attendre le prochain tome.
La Rome antique... Après Murena, un must, j'ai hésité à me lancer dans le premier tome de cette série. Et finalement, je ne le regrette pas ! Même si le scénario n'est pas des plus novateurs ; deux jeunes, l'un germain et l'autre romain, qui se haïssent cordialement et qui après quelques péripéties deviennent "frères de sang", c'est du déjà vu. Malgré cela, l'histoire reste interessante et pose les bases nécessaires aux prochains tomes. La fin annonce une suite qui risque d'être moins linéaire. A voir.
Côté dessin. Whaw ! Marini fait fort, très fort ! certains paysages sont carrément superbes et font penser à des aquarelles. Les personnages sont très bien représentés avec un Marcus qui ressemble à un certain Lucius ;)
Petit bémol, très petit mais bon... Le langage est parfois un peu trop moderne pour l'époque genre "vachement intelligent..." voire "tête bourrée de conneries" dixit la gd-mère de Marcus.
En conclusion, c'est du bon !
Pas mal, pas mal !
L'univers de Muraille se complexifie ! Les magouilles politiques prennent de l'ampleur et les différents personnages semblent presque tous avoir de petits secrets. Si le premier tome n'est pas full action (bien au contraire !!), ce deuxième album est un peu plus nerveux. On explore une autre partie de ce monde ; le gynécée, rempli de nanas ;) et d'autres points d'interrogation viennent densifier le scénario.
Les dessins sont, pour ma part, toujours aussi bon. Il y a de chouettes lieux comme la bibliothèque, la maternité ou encore le tribunal (ici, la maîtrise).
toujours aussi dépaysant et original. Vivement la suite !
En voilà, un bon album !!
L'univers est interessant. Une civilisation isolée au milieu d'un monde marin, voilà qui est original !! Cette civilisation est divisée en castes, des bâtisseurs de la muraille aux architectes en passant par des nourriciers et autre soldat. L'histoire tourne autour de plusieurs personnages issus de ces différentes castes. Ce premier tome nous permet donc d'explorer l'univers de Muraille et pose déjà certaines luttes de pouvoirs entre castes.
Pour ma part, je trouve qu'on rentre rapidement dans l'histoire. J'ai adoré ce monde qui ressemble un peu à une civilisation antique avec ses règles et sa religion.
Les dessins sont agréables et servent bien l'histoire. Il y a un petit côté dessins animés qui m'a bien plu.
En gros, une série qui commence bien, dépaysante, originale et qui semble bien construite. Espérons que la suite soit de taille !!