Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 23/11/2024 à 11:03:18 en 0.0280 sec
Scénario bien peu original, trop décalqué sur Matrix et donc, comme l'a remarqué un critique précédent sur l'univers dick-ien. De plus, on fait intervenir Cyanure qui n'était pas l'épisode de l'ancienne époque le plus passionnant.
Mais c'est sauvé in-extremis par le dessin de Schwartz.
Beau format, beau papier. Belle préface de l'inévitable Philippe Goddin. Par nature un contenu inégal vu la variété des styles et talents (en gros : 1/3 de très bon 1/3 de sympa 1/3 de "bof !")
Superbes illustrations de couv' et de 4ème de couv'.
A noter que ces planches semblent dater du milieu des années 80 (certaines indiquent 1986/87, la RFA était encore de ce monde et Chaland aussi :/ ).
Difficile d'identifier certains auteurs car, contrairement à une pub de l'époque, ils n'avaient pas tous signé.
Ceux qui s'en sortent le mieux : Bilal donc, Moebius, Cleet Boris, Cornillon, Ted Benoit, Kelek, Stox & Mme Spell...
Hasard amusant et ne devant rien à un abus de popaïne : un détail du fétiche arumbaya moins repérable dans l'album d'Hergé que son oreille cassée, sa main brisée et ses cicatrices est particulièrement mis en valeur sur les grandes vignettes : le signe "www" qui orne son front... pile-poil à l'époque où cet acronyme (qui deviendra bientôt infiniment plus célèbre dans le monde que la houppette du reporter) était créé !
Ce recueil devait apparemment lancer une collection "Variations - Hommage à Hergé" mais il semblerait qu'il n'y ait pas eu de suites, ce qui n'est pas très étonnant (2 ans plus tard débarquait un certain Rod Nickwell et l'univer$ hergéen ne sera plus le même...)
L'un des summums du style "Atomium" et de l'humour grinçant rétro-moderne car Chaland, comme ses potes Cornillon, Benoit & Co avaient un oeil vers les années 40-50 et l'autre vers le monde merveilleux dans lequel nous baignons depuis... exactement l'époque où ces artistes débutèrent (le milieu des 70's).
Est-ce un lapsus ou existerait-il une édition plus complète car l'"Atomax" évoqué par mrpitoff n'est pas dans le recueil de 4 histoires courtes mais cette autre aventure d'Adolphus Claar existe pourtant bel et bien puisqu'elle fut pré-publiée (en 1981 et en N&B) dans le n° spécial 61bis "Vers un futur heureux" de Métal Hurlant. Il est vrai que sa conclusion était disons... un peu moins sage ;-)
Je l'ai lu il y a longtemps...et il ne m'en est à peu près rien resté alors que n'importe lequel des albums scénarisés/dialogués par Goscinny (et nombreux sont ceux que je n'ai pas relus depuis des lustres) m'a marqué. Et si je peux me permettre de corriger amicalement un précédent commentaire : non, l'idée de base n'avait rien d'original puisqu'elle avait été calquée sur l'un des plus grands westerns jamais tournés : le sublime "Convoi de femmes" de William A. Wellman (1951).
LE joyau de l'histoire de la bande dessinée, indépassé et probablement indépassable. McCay fut le Michel-Ange, le Leonardo et le Jérôme Bosch de cet art tout juste naissant. Sans lui, il n'y aurait probablement jamais eu de Moebius ni de Chris Ware. Peut-être pas de Calvin & Hobbes non plus. Ni de Satoshi Kon si ça se trouve. Et je ne parle même pas de séquences d'animation telles que le cauchemar de "Dumbo". Ça va même au-delà du cadre des "petits miquets" fixes ou animés : McCay fut un génie de l'art tout court et le plus fabuleux représentant de l'Art Nouveau.
Son seul et unique défaut : il faut absolument le lire en grand format. L'idéal étant l'édition Taschen au format quasi d'origine, monstre magique de près de 10kg pour lequel il faut avoir des bras de Popeye et désormais - hélas aussi - vendre un rein.
L'imagination, c'est simple comme un cahier de dessins très animés.
Bien sûr il y aura toujours l'indépassable "Little Nemo", étalon-platine des rêveries enfantines mais si le trait est ici beaucoup plus simple, il est efficace et puis là aussi, la chute est sympa.
Magnifique initiative que cette ré-édition d'un album presque centenaire exécutée avec un soin rare. Cette poésie des jouets à la Andersen, baignant dans l'Art Déco et des couleurs sublimes parlera aussi bien aux enfants qu'aux adultes qui ont su le rester et à tous ceux qui ont fait plus tard la fête aux dessins animés de Paul Grimault comme bien plus tard encore à la saga "Toy Story".
La beauté dans la simplicité et, sans jeu de mot, un petit bijou. Et dire que ce ne serait parait-il pas le chef d'oeuvre d'André Hellé...
Un très beau classique enfin ré-édité (la précédente édition remontait à 1967 !) Certes, il s'agit davantage d'une histoire illustrée que d'une BD au sens actuel mais la fable-parabole fantastique et futuriste à la Swift reste toujours parlante et puis le dessin élastique de Jean Bruller (qui n'était évidemment pas encore Vercors), dans la lignée de Gus Bofa et Alain Saint-Ogan est vraiment sympa. Bruller/Vercors aura une descendance beaucoup plus BD puisque sa petite-fille n'est autre qu'Hélène Bruller. Ce qui explique qu'un certain Zep ait rendu hommage à "Patapoufs & Filifers" en 2001.
Magnifique histoire sans paroles fantastico-préhistorique. Impossible de raconter ou résumer, il faut se plonger dedans et impossible aussi de décrocher. Le dessin et les couleurs sont bluffants. On vogue ici dans la BD très haut de gamme, dans les eaux du fantastique travail de Jens Harder.
Seul et unique reproche : le format est bien réduit pour des planches aussi somptueuses.
Ma seule déception à ce jour concernant Tsuruta. Le fil du récit est très embrouillé et donne parfois la sensation de bouts d'idées éparses accolées. Reste heureusement la qualité de son dessin et son style déjà bien en place (même si là encore, je trouve qu'il a progressé depuis).
Toujours aussi finement écrit, observé et superbement dessiné (Lafebre est un champion de l'expressivité !) Autre grande qualité : jouer sur la fibre nostalgique mais sans tomber dans le "C'était mieux avant", ce qui fait que ces histoires peuvent autant s'adresser à ceux qui ont connu ces décennies qu'à de bien plus jeunes lecteurs. Bref : un sans-faute... à une minuscule exception près : avoir dessiné un coffre arrière à une antique R8, ça jure un peu dans une oeuvre par ailleurs si bien documentée ;-P