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Cet album raconte donc la vie de Marilyn, une des plus grandes icônes du XXe siècle (avec Elvis, Mao...).
La vie de Monroe est tellement riche que, malheureusement, les quelque 90 planches (et non pas 46 comme mentionné dans le profil bdgest) de l'album forcent un choix dans les anecdotes contées. Dans l'idéal, il aurait fallu 500 pages pour que le but soit atteint et que la lecture soit fluide (là, on saute souvent du coq à l'âne). Le dessin est plutôt bon, même si on ne reconnaît pas vraiment certains personnages. J'ai quand même eu quelque plaisir à le lire et à chercher les anecdotes que je ne connaissais pas (aucune!)(je possède des bouquins à son sujet introuvables sur le marché, même chez Ebay, comme celui qui recense tous les lieux où elle a habité, avec photos!).
Pour un tel travail, une bibliographie aurait été nécessaire car Swysen s'est bien sourcé quelque part. Ainsi, Dupuis n'a pas son travail correctement.
On notera une préface de Mylène Demongeot qui ne sert à rien: Demongeot n'a jamais rencontré Marilyn, ne raconte que les choses connues du grand public et se permet de dire des bêtises comme quoi Marilyn aurait forgé son personnage sur la bédé Little Annie Fanny parue dans Playboy dès... 1962, l'année où Marilyn est décédée. Ainsi, Dupuis n'a pas son travail correctement.
Cet album raconte donc la vie d'un des plus grands génies (àmha) de l'Histoire. La vie de Chaplin est tellement riche que, malheureusement, les 70 planches de l'album forcent un choix dans les anecdotes contées. Dans l'idéal, il aurait fallu 500 pages pour que le but soit atteint et que la lecture soit fluide. Le dessin est plutôt bon, même si on ne reconnaît pas vraiment certains personnages comme Oona. J'ai quand même eu quelque plaisir à le lire et à chercher les anecdotes que je ne connaissais pas (aucune!).
Pour un tel travail, une bibliographie aurait été nécessaire car Swysen s'est bien sourcé quelque part. Ainsi, Dupuis n'a pas son travail correctement.
On se rappellera que l'autobiographie du maître himself est considérée par les aficionados comme très moyenne et plutôt superficielle donc ratée.
On notera une préface de Claude Lelouch assez sympathique sur la seule rencontre Chaplin-Lelouch.
Je n'ai pas encore lu cet ouvrage mais il y a un détail qui le rend affligeant bien qu'écrit par François Rivière, a priori une pointure. En page 141, on a droit à une "notice biographique des personnages" où on peut lire "Georges Rémi" (avec un accent aigu) alors que Hergé s'appelait Georges Remi, sans accent. Pourtant, page 49, c'est bien Remi (sans accent) qui est mentionné dans la 2e case. Ce sont donc les éditions Glénat qui ne font pas bien leur travail. Quelle honte! Qu'on vire immédiatement les personnes responsables de cette bévue, ils ne méritent que de tiper chez Carrefour!
Il est à regretter que les auteurs, dans leur album, aient utilisé comme nom de famille véritable d'Hergé "Rémi" - avec un accent aigu - alors que cela s'écrit Remi - sans accent aucun.
Le problème de la prononciation reste ouvert : dit-on Remi comme "bémol" ou Remi comme "regrette" ? Wikipédia donne, sans s'en rendre compte, les deux versions.
Sinon, les critiques précédentes couvrent assez bien ce que l'on peut penser de ce sympathique ouvrage. Lire aussi : http://www.actuabd.com/Les-Aventures-d-Herge-Par-Jose-Louis-Bocquet-Jean-Luc-Fromental-et-Stanislas-Ed-Reporter