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difficile de ne pas émouvoir avec un thème pareil, mais Fréderik Peeters ne tombe pas dans la facilité ni dans la pathos forcé, façon "Jo" de Derib. Une lecture instructive.
formidable, très fort, c'est ce que j'ai lu de meilleur par Adrian Tomine qui se hisse ici au niveau de Dan Clowes. La dernière des quatre histoires est d'une justesse de ton formidable.
Dans le premier Tome, Joann Sfar tatonait, il ne savait pas quelle échelle donner aux cases et aux bulles, on était dans l'imperfection et l'amateurisme, mais le personnage du professeur Bell (qui rappelle le Mic Mac Adam de Benn, dans Spirou, mais en plus corrompu et plus minable) était déjà là et son univers avec lui. Les poupées de Jérusalem ne souffraient plus des erreurs du premier tome, c'est aussi un album précurseur du "chat du rabbin" du même Sfar. Et ce troisième tome me demanderez-vous, ce "cargo du Roi Singe" ? Un dessin propre et sans accroc, proche de celui de Sfar mais en plus systématique, un scénario sans doute assez moyen (nettement en dessous des poupées de jérusalem), bref,... bof... j'attends tout de même le prochain pour voir si la série a une chance de décoler à nouveau.
Les parents de Marjane Satrapi font en sorte d'envoyer leur fille hors de l'Iran des Mollah où ils restent, eux... Une remémoration émouvante et instructive.
Je craignais que la série ne commence à s'essouffler avec l'arrivée de Marjane en europe, mais pas du tout : sa découverte de la politique et de l'occident ne se feront pas sans problèmes...
personne n'a posté d'Avis sur Persépolis ? C'est étonnant, cette série est tout de même le plus gros tirage de l'édition indépendante (6 réeditions du premier tome). Le dessin rappelle David B., en moins élégant peut-être, le propos est passionnant.
La BD de l'année je suppose. Cette suite de Shenzen est une promenade hallucinatoire en corée du nord, et le plus effrayant, c'est encore que Delisle ne nous montre que la "vitrine respectable" du régime de Kim Il Song, le fameux président éternel (il reste président même si ça fait dix ans qu'il est mort) de la corée du nord.
La meilleure BD d'humour populaire depuis des siècles ? Sans doute, oui, enfin pas loin de ça. Pourtant, la carrière de Bouzard reste discrète et son personnage fétiche, quoique le premier tome ait déjà connu deux éditions épuisées, n'est pas encore classique du point de vue du grand public.
l'histoire : devenu un justicier des plages - pas trés doué -, notre héros devra affronter des ennemis divers (enfants embêtants, vigiles de supermarché) mais devra aussi survivre à la terrible morte saison !
Certains muscles du ventre me font mal quand je me remémore certaines cases de Plageman, tant j'ai ri en les lisant.
Le dessin brouillon et génial de Huo-Chao-Si, l'humour d'Appollo, tout ça pour parodier Titanic ou Batman. Un grand plaisir pour le lecteur et une ennième démonstration par les éditions "centre du monde" qu'il existe une BD réunionaise de grande qualité.
C'est au moment où la série prend réellement ses marques que Dupuis décide d'y mettre un terme... Quel dommage ! La narration était au point, le dessin de Colonel Moutarde (qui est une fille, le saviez-vous ?) à son meilleur, ce troisième tome est excellent.
ça aurait pu être la meilleure série pour enfants, à côté du Jojo de Geerts, mais apparemment Donito, c'est fini et pour longtemps. Les derniers albums sont un peu bâclés, on croirait lire du "kid lucky", il faut dire qu'à l'époque Conrad venait de commencer à travailler pour Morris sur diverses séries dérivées de Lucky Luke.
Avec les Donjon Parade, Sfar, Trondheim et Larcenet lancent un format "populaire" pour Donjon : on pense à Pépito, de Bottaro, à Mickey par Floyd Godferson, au Donald de Carl Barks, aux séries d'humour des éditions vaillant, tout particulièrement à celles de Cézard. Ici, pas d'histoires en morceaux, la narration est bouclée de manière traditionelle (ordre/désordre/ordre retrouvé) en 32 pages.
Et qu'est-ce qu'on rigole !!!
encore un excellent donjon bien sûr. Il se lit en conjonction avec "la carte majeure", d'Andréas, et "le noir seigneur", de Blanquet, qui apportent un complément d'information bienvenu.
La série Donjon crépuscule est la plus complexe des époques de Donjon : chaos, destins shakespeariens, désintègration de terra amata,... Où l'on verra que Marvin le dragon et Herbert le canard auront fini par ne plus être amis (quoique). Herbert, devenu le terrible grand Khan, tuera des centaines de personnes par jour tandis que Marvin, aveugle, sera surnommé "le roi poussière". Dans la galerie de nouveaux personnages, ce premier tome nous présente "marvin le rouge", un lapin sanguinaire. Les albums de la série "crépuscule" sont à lire après les deux premiers albums de la série Zénith (coeur de canard et le roi de la bagarre) si l'on désire les savourer totalement : les changements entre les deux univers sont vertigineux.
Il paraît qie la série va un peu ralentir, Joann Sfar un des deux co-scénariste étant en train de préparer son premier long-métrage "grand vampire"... Les lecteurs les plus accros y survivront-ils ? En tout cas la "jeunesse qui s'enfuit" est, comme tous les "potron-minet", un extraordinaire Donjon à lire avec plaisir à côté de "mon fils le tueur", le "donjon Monsters" signé Blutch.
Ici l'on verra que notre "chemise de la nuit" est un pragmatique et un meneur en puissance, il n'hésitera pas à s'allier aux plus sales engeances de Terra-amata pour faire capoter une conspiration de sorciers.
Chef d'oeuvre, évidemment, c'est du Blutch et Blutch n'a jamais rien fait que des chefs d'oeuvre ! Celui-ci est particulièrement savoureux et étonnant puisque Blutch s'approprie un univers qui n'est pas le sien, et même, qui est assez loin de lui, et pourtant c'est toujours du Blutch et du grand Blutch !
Imaginez que "mon fils le tueur" nous offre la rencontre de la chemise de la nuit/futur gardien du donjon, avec Marvin, le futur roi-poussière. A l'époque reculée où se déroule l'histoire, Marvin n'était pas végétarien. On rencontre aussi sa mère, un peu frustre mais aimante.
Il paraît que le dessinateur a décidé de se surpasser quand il a appris qu'un donjon de la série Potron-Minet (par Blain) allait sortir à peu près au même moment. Cet album est très spécial encore puisque c'est le premier tirage limité de Donjon : 4000 exemplaires seulement, il semble que l'album soit totalement introuvable un mois seulement après sa sortie. Il sera réedité à la fin de l'été dans une version mise en couleurs par Walter. Je parie que cet album sera très bientôt le plus coté de la série.