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Ce sixième opus des aventures de Wayne Shelton apparaît comme on ne peut plus banal. Avanture exotique, retournements de situations à tout va, personnages peu marquants, etc. Qu'il s'agisse de Denayer ou de Cailleteau, ceux-ci jouent sur les acquis de la série, sans surprendre outre mesure...
Des albums comme on en fait plus... D'une densité exceptionnelle malgré la soixantaine de planche, cet album marque sans aucun doute le début de l'apogée des Spirou & Fantasio. On découvre dans ce quinzième album l'un des personnages culte de la série, le malefique et néanmoins drôle Zorglub, ainsi que toutes ses célebres inventions. Et quand ce scenario complet se double d'un dessin abouti, cela donne l'un des meilleurs albums de l'histoire de la BD...
À la lecture du seul premier épisode, je n'ai pas réellement été emballé. Certes, l'ambiance historique que pose cet album est convaincante et le dessin m'a plu. Mais pour ce qui est des personnages et du scenario, rien de bien original à signaler, et ce d'autant plus que j'ai été très circonspect quant au dénouement de cet épisode.
3 épisodes et la vieille Carmen Cru continue de me faire rire... Caricature de la vieille acariatre égoïste et éternelle insatisfaite, chacune de ses rencontre avec ses semblables est un enfer pour ces derniers. Si Lelong ne se fatigue pas pour donner une expression au visage impassible et a priori sans émotion de Carmen Cru, il en va autrement pour tous les personnages secondaires qu'elle tourne en bourrique...
Toujours avec l'esprit philosophe qu'on lui connait, Sfar disserte dans cet album du racisme et d'intolerance grâce au celebre chat qui retrouve dans ce tome la parole... Tout au long des 75 pages (!) de cet album, le chat, le rabbin et ses comparses vont après avoir trouvé un Russe dans une boîte partir à la recherche d'un Jerusalem situé en Afrique noire. À la lecture de cet album, on retiendra surtout la poésie et la morale qu'il est toujours bon de rappeller : l'amitié entre les Peuples n'existe pas, au contraire de l'amitié entre les hommes... Un album en somme à lire et surtout à faire lire !
La guerre entre les rats et les grenouilles est déclarée. Et quand il faudrait s'unir pour traverser la route et s'ouvrir la voix vers de plus verts horizons, les deux espèces préfèrent se servir des peaux des cadavres de leurs ennemis respectifs en guise de deltaplane. Qu'il s'agisse du versant allegorique de la BD, ou des gags façon Tex Avery en plus trash, cela ne convainc que par instants et aboutit au final à un album qui peut faire sourire mais guère plus...
Qu'il est bon de voir le contexte geopolitique actuel traité de façon si légère... Passer du dessin de presse à un album entier n'est pas chose forcémment réussie, et Jul n'est pas loin de s'adapter aux exigences que cela necessite. Si le scenario n'est pas particulièrement fouillé, le dessin transcrit parfaitement bien le point de vue décalé de la guerre Bush-Ben Laden. En somme, un album très plaisant à lire et même à relire tant Jul a le soucis de dissimuler des détails cocasses...
Dans une amerzone soumise à un coup d'État, Canardo se retrouve malgré lui dans une quète d'un oiseau légendaire. Un canard et un chien déambulent dans la foret vierge pour notre plus grand plaisir. Sokal réussit parfaitement à décrire cette aventure dédramatisée par le flegme de son personnage principal dans un album qui constitue globalement une réussite
On ne peut plus classique de par ses dialogues et le dessin, cet album est
plaisant à relire, en partie tout du moins... La première partie, plus policière,
me semble en effet meilleure que la deuxième, qui voit la "passionante
aventure de Lefranc" se perdre dans des scenes de guerre à l'intérêt
discutable...
Malgré des dessins sympathiques, cet album n'est pas des plus passionnants.
En effet, les auteurs ne font que décrire une ambiance, ce qui est très réussi
au demeurant, à défaut de raconter un scenario. Du coup on demeure très
détaché de ce petit village du Quebec, pour l'instant...
Cet album cloture un cycle qui dans l'ensemble aura confirmé la bonne impression laissée par les cinq premiers tomes. Certes, le scenario devient plus manichéen, parfois caricatural, et peu paraître s'égarer en narrant deux aventures de front, mais le suspense est malgré les vieilles ficelles utilisées au rendez-vous. On se surprend même à ne tourner que très lentement les pages afin que le héros ne se fassent pas surprendre, suspense renforcé grâce à un dessin réaliste clair et agréable...
J'ai beaucoup apprécié cet album, mais je vais avoir bien du mal à dire
pourquoi ! Les scenario tient dans les quatre lignes du quatrième de
couverture, le personnage principal est d'une banalité exemplaire, et pourtant,
on ne décole pas de cet album, qui mèle poésie, humour et mélacolie à
merveille, grâce à un superbe graphisme qui bien que sommaire fait passer
par tous les sentiments ces attachants personnages...
Dans la droite lignée des maîtres de l'orge, ce premier opus mèle une
ambiance et une intrigue des plus prenantes... Rien d'étonnant au vu du trait
réaliste - bien que quelque peu figé - du dessinateur, et de la connaissance du
sujet par le scénariste, lui même avocat. Ce tome est donc à recommander, et
annonce des suites réjouissantes...
Extrêmement mécréante, il est possible que cette BD ai perdu de son
originalité, et donc de son acidité avec le temps et le développement de tels
blasphèmes. Cependant, Soeur Marie Thérèse demeure un modèle du genre,
notamment grâce aux talents de dessinateur de Maëster, qu'il serait dommage
de ne pas découvrir...
Malgré quelques planches franchement marrantes, la série perd quelque peu de sa qualité dans ce quatrième tome, la faute à des passages surréalistes, qui ne marchent pas.