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Un scénario bien mieux construite que la première aventure de l'épervier bleu. Il y découvre une ville égyptienne ou règne un pharaon ou des malfrats venus de l'extérieurs veulent prendre le pouvoir pour pouvoir trafiquer et s'enrichir à leur aise.
La première aventure de l'épervier qui y rencontre Larsen. UNe histoire sans grand intérêt ou l'on va de bagarre en bagarre.
Sur le plan du dessin, Sirius se cherche...
Voici un album que l’on place chronologiquement sans hésiter entre les albums 2 et 3 de Buck Danny avec un scénario tout à fait dans la lignée des grandes histoires signées par Charlier et Hubinon.
J’ai repéré cependant quelques petites erreurs techniques qui m’ont surpris dans une série traditionnellement très vigilante sur les détails. La plus grosse, sur la planche 5, est la mention appuyée sur les 50 étoiles du drapeau américain qui n’en comptait que 48 en 1942. J’en ai repéré d’autres, beaucoup plus techniques, à propos du sous marin japonais avec un mélange de caractéristiques de différents types de navires.
Cela n’a nullement gâché mon plaisir de lecture.
Assez curieusement j’ai eu l’impression de lire un album de Blueberry dont le héros se serait appelé Lucky Luke. On est en effet assez éloigné de l’esprit du personnage de Morris et Goscinny. Pourtant, j’ai éprouvé un véritable plaisir à la lecture de cet album qui nous présente un Lucky Luke fatigué et encombré par sa propre légende.
Un histoire sans intérêt qui permet uniquement de conclure un cycle.
On suit en parallèle le destin de Sigwald qui participe à la 8 eme croisade qui voit mourir le roi Louis IX, et celui d'Hugues et Nolwenn qui meurent également.
A part cela il n'y a rien à dire d'une histoire sans relief ni éclat ou l'on est à la limite de l'ennui.
La première histoire de l'après Hugues de Crozenc et Nolwen, morts dans l'album précédent.
Sigwald se retrouve dépossédé de ses biens et sans le sous, il va retrouver sa soeur Mahaut qui, elle, semble prête à aller très loin pour s'extirper de la misère.
Les ressorts de l'intrigue sont tellement classiques qu'ils en perdent tout intérêt.
L'intrigue est dénuée du moindre intérêt. On suit Sigwald et sa mère qui, une fois de plus, se font capturer par des brigands désireux d'obtenir une rançon et délivrés aussitôt. Ensuite ils dénouent sans difficulté un nouveau complot contre le roi Saint Louis.
Ce tome clôt le premier cycle du vent des Dieux.
Le moins que l'on puisse dire c'est que Cothias tombe dans la facilité scénaristique en dénouant tous les fils de l'intrigue sans rebondissement ni suspense.
En résumé, Tchen Qin retrouve la mémoire et se "balade" en débarrassant successivement de tous ses ennemis avec une facilité décevante.
Il y a des albums auxquels on adhère, d'autres pas... A mon grand regret celui-ci fait partie de ceux dans lequel je ne suis pas parvenu à rentrer.
On peut y voir les signes avant-coureurs de l'incal (Deepo), et quelques plans qui y seront repris, il y a de vraies idées novatrice mais cela ne m'a pas séduit.
Je commence à m'ennuyer ferme dans cet interminable cycle des aigles décapités.
Dans un album Hugues sauve son fil, dans le suivant le fils sauve sa sœur, puis à nouveau le père sauve le fils, ici le fils sauve le père...
Cet album propose l'ultime confrontation attendue d'El Mansour et du père et du fils de Crozenc. Quelle déception, j'attendais quelque chose de grandiose... Tout est bouclé rapidement en quelques cases!
Quand je lis une BD dans un contexte historique, je ne la prends pas comme substitut un livre d'histoire. Je savoure (ou pas) l'œuvre entre mes mains. Peu m'importent les ellipses, les raccourcis ou les oublis.
Je me suis laissé emporté par ce premier album de cette série Tardi/Vautrin dans un Paris ou se noue le drame de la Commune, soutenu par un superbe dessin de Tardi.
Luc Orient et Lora sont amenés à se rendre sur un site où une mystérieuse météorite a percuté la terre. A leur arrivée ils découvrent que le village proche du lieu d'impact est isolé par l'armée et que nul ne peut y entrer sauf autorisation exceptionnelle, mais il ne pourront en sortir.
Sur place les villageois s'interrogent: Météorite ou vaisseau spatial?
C'est alors que des êtres invisibles semblent commencer à semer la mort parmi les habitants. Un nouveau mystère aux limites de l'étrange pour Luc et Lora!
Un bon album de Luc Orient même s'il semble un peu daté.
Avec cet album, nous commençons le cycle des histoires d'Adèle où Tardi semble avoir perdu de l'intérêt sur son personnage.
Certes il y a un mystère, mais il ne donne lieu à aucun de ces délires qui faisait le charme des premiers albums. Adèle n'y joue qu'un rôle de second plan.
C'est déçu que j'ai refermé l'album...
Un épisode sans le moindre intérêt dont le souci de coller à la vérité historique se fait au détriment de l'intrigue elle-même.
Si l'on relit la série des Sambre dans l'ordre de la chronologie et non celui de l'édition, on peut avoir un petit regret car la psychologie de Maxime et Constance vieillissants n'est pas parfaitement cohérente avec celle qu'ils ont dans les albums dont ils sont le centre.
On n'y retrouve pas ces personnages manipulateurs et amoraux qu'ils étaient (ou seront) dans "Maxime et Constance".
Non seulement cet album est inutile mais sa numérotation est un piège.
Il a été numéroté 13 bis et je déconseille aux nouveaux lecteurs de la saga de le lire en treizième car il divulgue (pour ne pas écrire spoiler) tout ce qui se passe dans les albums à suivre voire ceux de la série XIII mystery. Donc fuyez car en plus on n'y apprend rien.
Une enquête banale de Tif et Tondu bien menée mais sans grand relief ni intérêt. On lit et on oublie tout aussi vite...
Il y a un air de déjà vu (Le roc maudit) ou des malfrats tentent de faire croire à leur mort après un braquage. Puis un concours de circonstances amène nos deux héros à soupçonner que les choses ne se sont sans doute pas déroulée telles qu'il parait...
Je n'ai pas été convaincu par ce dernier album de cette saga. Côté dessin et mise en page, cela reste au top. Mais question scénario on commence à s'enliser et tourner en rond.
On sent des piste laissées en jachère, notamment celle de la relation de Sans-Nom avec son père-mère qui aurait mérité d'être creusée davantage... Bref cette fin de cycle m'a déçu.
C'est le premier album de cette série à m'avoir déçu. Côté dessin, rien à reprocher, il reste au top.
J'ai eu l'impression que l'imagination du scénariste, Jodorowski, n"'était pas à son maximum malgré les ingrédients scénaristiques exceptionnel dont il bénéficiait pour cela.
J'ai regretté que la double nature masculine/féminine d'Aghora ne soit pas davantage utilisée.
Même le combat traditionnel qui oppose père et fil(le)s a un air de déjà vu en se rapprochant, dans son issue, de celui de tête d'Acier et d'Aghnar.
Dommage..
Comme pour le premier opus de cette intégrale, ce recueil reprend le découpage original des histoires en leur redonnant cette cohérence qui n'apparaissait pas dans les albums dont le format et la pagination ne correspondaient pas à la publication originale.
Ici Eric tente de récupérer l'héritage de sa famille avant d'être entrainé dans des aventures méditerranéennes contre les ottomans et les barbaresques.
Ce n'et pas à proprement parler un album de Tintin mais plutôt un document inachevé qui permet de voir comment travaillait Hergé. On peut imaginer que l'histoire aurait subi de multiples retouches pour pallier à certaines faiblesses narratives et pour l'enrichir.
Cette histoire semblait s'orienter vers une simple histoire de truands et d'escroquerie loin des histoires à caractère géopolitique ou de pure aventure qui, à de rares exceptions près, étaient la caractéristique de Tintin.
Une question restera à jamais en suspens, qui est le méchant de cette histoire?
À titre personnel j'opterais l'un des frères Loiseau du secret de la Licorne, antiquaire et amateur d'art, que l'on a jamais revu alors que tous les autres "méchants" (j'oublie Bohlwinkel de l'étoile mystérieuse qui n'a jamais rencontré Tintin) sont réapparus dans d'autres albums. Ici un rôle de faussaire en oeuvres d'art lui correspondrait bien mieux qu'à un Rastapopoulos dont l'ambition semblait bien plus grande.
Comment noter un tel album dont l'auteur n'aurait peut-être pas souhaité la publication?
Un album qui se laisse lire sans réel plaisir.
L'intrigue est morne, progresse lentement, sans réelle surprise. On avance au gré des flashs back de Neige, d'Aubépine et d'un message post mortem de Northman. Un album sans connexion directe avec les précédents.
Une double intrigue se mêle avec les possibilités d'un remède contre le mal d'Orion, et l'espoir d'une autre contre le dérèglement climatique qui affecte l'Europe. Dans les deux cas la solution passe par Neige.
On peine à comprendre pourquoi ce n'est qu'à l'aube de sa vieillesse que Neige découvre un message crucial laissé par Northman, son mentor disparu, tant d'années après sa mort.
Un album ou la fatigue d'un Neige vieillissant se ressent...
J'ai bien aimé cet album, même si le passage avec du début avec Mc Call est parfaitement inutile et ne sert nullement l'intrigue. Cet album dont le personnage central passe son temps à tomber dans d'inextricables situations et dont il se sort par miracle jusqu'à la pirouette finale qui, avec sa conclusion attendue, permet de relier cette intrigue avec la série XIII elle-même.
On peut dire que ce n'est pas réaliste, mais qui pourrait imaginer que la série mère elle-même le soit.
Cet album est le prototype de ces albums qui m'ont lassé définitivement de Ric Hochet. Une intrigue qui se décline dans un décor chaque fois différent, mais un coupable que l'on devine rapidement. Soit il a un intérêt évident en jeu, soit il se trahit en racontant une histoire invraisemblable à laquelle Ric semble croire un instant avant de se reprendre et de le confondre dans les 2 dernières pages. De ce fait, je ne parviens plus à accrocher...
Un volume qui semble davantage un trait d'union entre les premiers et les derniers albums de la série. On a l'impression que Nahik passe au second plan dans cette intrigue.à l'intérêt limité. Dommage car elle promettait beaucoup plus.
Voici un album qui ne semble fait que pour permette à Rosinski de s’éclater dans des vignettes faites à la gouache, souvent sans dialogue au détriment de la progression de l’intrigue.
Et quelle pauvreté que cette intrigue...
Une récit qui raconte l’histoire de quelqu’un qui raconte une histoire... Aucune action ou si peu. Tout aurait pu tenir en 3 ou 4 pages.
L'histoire s'étire en longueur.
D'album en album on a l'impression de rester au même point. Pourtant il y a de nombreuses idées intéressantes, mais en même temps que de répétitions.
Ces dieux qui passent leur temps à récupérer des choses perdues (une main, un bouclier...), la gardienne des clés... J'ai l'impression désagréable de lire une histoire déjà lue ou les personnages originaux auraient été remplacés par d'autres avec des éléments d'intrigues picorés à droite et à gauche dans les albums précédents.
On a l'impression de tourner en rond.
L'ascendance généalogique de XIII est reprise, approfondie et enrichie. Tout cela s'étire en longueur et donne l'impression d'une histoire délayée à l'infinie ou, d'album en album l'intrigue n'avance plus.
J'ai beaucoup de mal à adhérer à cette histoire d'héritage qui s'étend sur 4 siècle et ferait potentiellement un scandale énorme.
Dommage, j'ai tant aimé les premiers albums...
Si la qualité du dessin est au rendez-vous avec Will au sommet de son art, le scénario n'est pas à la hauteur de ses ambitions.
Au fil des pages que j'ai abordé avec une forme de jubilation, j'ai fini par m'ennuyer et ai fermé l'album finalement déçu.
Une aventure de Sandy qui aborde le domaine de la science fiction. Une album qui malheureusement reste trop classique et qui se termine un peu brutalement en laissant le lecteur sur sa faim avec ses questions.
Je me suis ennuyé à la lecture de cet album. Gir raconte une histoire dans laquelle Blueberry raconte...
On y met en place les éléments pour la suite, rien de plus. Le héros semble fatigué, il n'agit plus, il parle de ses exploits passés même si sa blessure explique son état.
Je reste nostalgique des scénarios de Charlier qui m'ont fait adorer Blueberry.
Une nouvelle aventure qui ressemble tellement à certaines des précédentes que l'on a l'impression de l'avoir déjà lue à peine commencée.
Un inconnu sauve Sandy; un enfant et son grand père de la mort dans un incendie. Cet individu, un cambrioleur en fuite, est repéré par ses anciens complices grâce à cet exploit... Heureusement Sandy sera là pour le sauver de leurs griffes et permettre sa rédemption.
Une histoire un peu longuette qui s'étale avec de longues poursuites. En dehors de cela pas grand chose.
Il s'agit en fait de la première histoire de Stany Derval, sortie dans Spirou en 1968 alors que Mitacq avait un peu lâché la patrouille des Castor qu'il avait dessiné pendant 13 ans sans interruption.
Stany Derval se retrouve embarqué dans une histoire de groupe paramilitaire qui enlève le fils de l'un des leurs pour l'empêcher de les quitter.
Le scénario est sans grand intérêt. On a presque l'impression que Stany Derval ne sert pas à grand-chose dans une aventure ou il intervient souvent à point nommé, servi par le hasard et les circonstances, sans pour autant emmener le lecteur avec lui.
Côté dessin Mitacq avait atteint sa maturité, quand aux couleurs elles sont typiques des séries réalistes de la période fin des années 1960 - début des années 1970.
Il manque indubitablement la patte d'un grand scénariste qui aurait pu donner à cette histoire le souffle qui lui manque.
Un album qui se laisse lire, avec du rythme des rebondissements mais que malheureusement on oublie vite.
Je me suis ennuyé à la lecture de cet album, submergé par un sentiment persistant de déjà lu...
Peut-être quelqu'un qui découvrirait Thorgal y trouverait de l'intérêt, mais ce n'est pas mon cas.
On notera sur la couverture des différentes éditions de l'album que la cigarette initiale de Lucky-Luke a été enlevée avant d'être finalement remplacée par un brin de paille.
Un album sans grand intérêt. Tout ce qui faisait la saveur des premiers albums est absent, la caricature de la France, l'antifrance, l'humour parfois potache... On s'ennuie à la lecture.
Fin d'un diptyque qui vaut avant tout par son dessin. La ville de Venise y est splendidement représentée par Franck.
Le scénario manque de cohérence et n'est pas du même niveau que les albums précédents. On le lit avec plaisir... Puis on l'oublie.
Une fin un peu décevante avec trop de planches qui semblent être des redites de ce qui avait été dévoilé dans les 4 premiers albums de ce cycle. On aurait aimé que celle-ci servent davantage à nourrir cet épisode.
Une fin qui appelle une suite car trop d'éléments restent dans l'ombre (dans un autre cycle peut-être).
Sur le plan du dessin, que pour ma part j'ai appécié, je note des incohérences pour le sous-marin qui est plus grand à l'intérieur qu'à l'exterieur et dont le tiran d'eau ne pourrait pas coller avec sa zone d'échouage.
Cet excellent album de la série du Décalogue trouvera une suite dans le spin off le légataire qui en révèlera la suite en particulier dans le tome 4.
L'intérêt du scénario tient au croisement fait avec la série du Scrameustache (n° 14-Les kromoks en folie) qui, à partir d'une intrigue commune, permet de raconter la même histoire avec 2 points de vue. C'est le principal intérêt de cet album inhabituel. Le principal regret vient du fait que ce filon, riche de promesses narratives originale, contient trop de planches identiques avec l'album du Scrameustache ce qui est un peu décevant.
Un Buck Danny avec une intrigue sans grand intérêt. Les trois héros y jouent presque un rôle de second plan.
Retrouvailles nostalgiques avec le Valérian des tous premiers albums avec des histoires courtes qui se lisent avec plaisir. A réserver d'abord aux aficionados de la série.
Un suite un peu classique au huis clos du premier album. Le livre se lit avec facilité et grand plaisir mais sans retrouver la magie dégagée par le premier opus de la série.
Après la lecture un sentiment d'inachevé.
Un scénario qui rappelle trop ceux de la caste des méta baron, un titre qui ne tient pas vraiment ses promesse car la rivalité entre les deux jumelles semble plus larvée qu'active. On attend la fin d'une saga qui, des années d'attente plus tard, semble abandonnée.
Un grand, très grand lucky Luke où on a quasiment un gag à chaque case dans ses meilleures pages. Les trouvailles sont nombreuses, le tout servi par un scénario qui ne se contente pas d'enfiler des scènes sans lien narratif entre elles.
Du grand Reiser au sommet. On trouve de simples dessins hilarants comme des planches de gags plus désopilants les uns que les autres. Une première apparition du personnage qui deviendra Gros dégueulasse est à noter.
Indispensable à tous ceux qui apprécient son humour.
On ne voit pas pourquoi c'est un album de Blake et Mortimer tant on semble s'éloigner de l'esprit de la série, à la fois par le dessin et par le scénario. Mortimer n'y est plus Mortimer...
Mais j'ai quand même lu l'histoire avec plaisir.
J'éprouve une véritable jubilation à poursuivre la lecture de cette reprise de Buck Danny qui évoque les meilleures années du duo Charlier-Hubinon.
Cet album est à la hauteur des attentes et sans vouloir ne rien dévoiler de l'intrigue on le referme en espérant la sortie du prochain...
Un fin de cycle sans grand intérêt, un épisode à la limite de l'inutile qui permet juste de conclure la plupart des problèmes en cours sans véritable rebondissement ni suspense.
Question scénario, je trouve que cet album sent un peu le réchauffé.
C'est comme si lisais une histoire qui passait à côté de son sujet en introduisant, le temps d'un album, des personnages des intrigues sans lien avec le reste de la série, sur lesquels on voudrait en savoir plus.
Le personnage de Bohort, présenté comme un échec de Northman pour créer un premier Neige mériterait beaucoup plus d'attention.
Il n'en reste pas moins que l'on ne s’ennuie pas en lisant cet album.
J'ai moi aussi pris un grand plaisir à lire cet album qui renouvelle la série.
En terme d'influence certains passages m'ont évoqué "Le prisonnier", "Psychose" et comme souvent dans cette série,"Mad Max". Plusieurs autres films pourraient également être cité à divers titre.
C'est d'ailleurs ma principale réserve sur l'intrigue qui m'a parfois donnée une impression diffuse de déjà-vu.
Il y a longtemps que je n'avais pris un tel plaisir à lire un album de la série des méta-barons dont je commençai à poursuivre la lecture plus par curiosité que par envie.
L'intérêt pour le personnage du Méta Baron est relancé tout en restant dans l'esprit de la série en ouvrant de nombreuses nouvelles pistes pour les albums à venir.
Je me suis un peu ennuyé à la lecture de ce 10° album dont on devine rapidement et sans peine le fil de l'intrigue et qui révèle finalement peu de surprises ou de rebondissement inattendu.