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Certes, Spirou a un look plus moderne. Certes chacun en prend pour son grade, écolos, industriels, etc, etc...
Mais mis part ça, avec tous les clichés que cela peut entraîner, je n'ai pas été emballé. le dessin de Dany est toujours aussi esthétique, surtout pour la gent féminine, le scénario se tient mais pas de rebondissement imprévu, un album sans surprise. La grivoiserie aurait bien fait rire Franquin qui a été censuré par Dupuis pour bien moins. C'est amené avec humour mais ça n'apporte pas grand chose à l'histoire.
dans ce volume tout le monde est bête. C'est désolant...
Le folklore slave n'a rien à envier aux Celtes. On se promène parmi les personnages de cet univers fascinant. Il n'y a pas de grande explosion spectaculaire. On reste dans l'intime et les émotions , très humaines, des personnages. J'ai été très rapidement pris par le récit. Côté dessin, le rendu des paysages, surtout les forêts, est particulièrement soigné et réussi. Un grand Bravo!
Quelle belle surprise ce volume! le scénario se tient très bien et montre très peu de temps faibles. Sans doute est-ce dû à la première version de l'histoire sous forme de feuilleton radiophonique. Les personnages principaux ont de l'épaisseur. Le héros n'est pas superman mais compense sa candeur par son énergie et sa ténacité. Le dessin est très bien adapté au récit: ni trop caricaturaux, ni trop réalistes. Et la forêt est très bien rendue, dans son aspect dense et profond.
Je me suis régalé.
Un album dans la droite ligne des précédents. Le scénario ne s'est pas essoufflé, le fantastique est toujours présent dans un monde proche de la nature. Le trait de Lukasz s'est affirmé depuis le premier opus et on ne retrouve pas les maladresses initiales. Vikings et tribus indiennes d'Amérique du Nord doivent faire face à des sortes de vampires ou chimères. Leur proximité avec la forêt et les forces naturelles va les aider à s'en sortir.
L'atmosphère devient progressivement oppressante mais sans excès. Le découpage des cases apporte une dynamique intéressante même si l'œil s'y perd de temps en temps.
Un album que j'ai lu avec grand plaisir.
La trame du récit est bien respectée, les dialogues sont bien organisés, en permettant une lecture fluide qui garde l'intérêt du lecteur en éveil. Rien à dire pour le découpage, c'est très réussi.
Malheureusement, le dessin n'est pas à la hauteur, loin de là! Quel dommage. Manon, le personnage principal ne se ressemble pas d'une case à l'autre, tout comme Ugolin dont le personnage n'arrive pas à se singulariser parmi les autres villageois. Avec son chapeau et sa moustache, c'est plus aisé pour le Papet.
Grand amateur de Pagnol et de BD, je suis resté sur ma faim.
Avec Isabelle Dethan, on redécouvre l'antiquité. Les couleurs sont lumineuses et donnent une nouvelle vision des monuments dont on ne connait que la version monochrome de leurs ruines. Une plongée dans un univers passé qui retrouve la jeunesse de ses personnages hauts en couleurs. Avec le Roi de Paille on apprend aussi un aspect des coutumes de Babylone.
Le scénario est prenant. Les motivations des personnages sont claires et le dessin est d'une élégance telle qu'on peut l'imaginer dans l'Égypte des hiéroglyphes.
Album produit par de jeunes auteurs, mêlant fantastique celtique et science fiction, avec une dimension parodique assumée. Le graphisme est très soigné. La technique rappelant le collage et la peinture à la bombe s'accorde particulièrement à l'histoire en créant une ambiance futuriste très réussie. Le scénario est bien ficelé. C'est une histoire simple aux aspects un peu manichéens mais qui flatte le sentiment d'attachement aux racines celtes.
Un album réussi. Auteurs à suivre.
Le picth de Kamiti m'avait séduit et je me suis laissé tenter par le financement via Ulule.
Il s'agit d'un bon album mais les bonnes idées sont assez peu développées. Le scénario aurait mérité une approche un peu plus fouillée des principaux protagonistes.
J'aurais aimé par exemple comprendre comment apparait la blessure au front d'Agnès. Une seule case avec une illumination, mais aucun dialogue. L'héroïne ne s'en étonne pas... C'est pourtant un détail essentiel de sa nature réelle.
Le dessin est tonique et le noir et blanc accentue l'ambiance sombre de l'intrigue.
Bref, j'ai été intéressé mais un peu déçu.
Le livre de Yuval Noah Harari est une source de réflexion monumentale et apporte une approche particulièrement originale de notre rapport avec la nature. Mais c'est un pavé lourd à lire, ce qui nécessite du temps et de la concentration, tout ce dont on ne dispose pas forcément. La BD, fidèle au texte du livre et aux idées, en donne une vision plus accessible à tout public, et spécialement à une tranche d'âge plus jeune qui apprécie l'immédiateté.
Je me sui régalé, malgré mon grand âge!
Le roman de C JACQ comporte 4 volumes. Sauf erreur, chacun des trois premiers volume BD couvrait environ la moitié d'un des volumes de C JACQ. le quatrième volume de la série en BD couvre donc deux volumes et demi du roman. Les coupes sont sévères. La campagne de Nubie fait complètement abstraction de l'intervention de la lionne invincible, la mort et la résurrection d'Iker sont escamotées, la quête d'Isis recherchant les reliques d'Osiris n'est même pas évoquée. Et je passe sur les détails de la lutte contre la conspiration du mal dont le résumé est très rapide. Quel dommage! Sans doute des impératifs éditoriaux. Reste que le dessin est agréable mais sans avoir lu le roman, je ne suis pas si sûr que l'intérêt du lecteur puisse être maintenu.
Cela me donne quand même envie de retourner en Egypte, le langage des hiéroglyphes, une bande dessinée avant l'heure, se savoure mieux sur place sur les sites magiques qe sont les monuments de l'ancienne Egypte.
J'avais été passionné par le premier tome et j'attendais avec impatience la suite de ce polar médiéval. Si je n'ai pas été déçu du scénario, énergique et prolongeant bien le suspens, j'ai en revanche moins aimé le dessin. Le premier tome m'avait séduit par un dessin recherché et très bien fini, ce qui n'a pas été le cas avec le deuxième volet. Je regrette que certaines cases m'ai donné l'impression d'avoir été laissées de côté au profit d'autres plus travaillées. Il en ressort une impression générale inégale qui a gêné ma lecture. Il n'en demeure pas moins que la critique est facile et que plus on aime, plus on est exigeant sur la qualité de ce qu'on reçoit des artistes qui nous régalent. Du coup je guetterai bien sûr les prochaines oeuvres de ce duo d'auteurs.
Je n'irai pas répéter tout le bien qu'a déjà exprimer Fabien. Je vais me placer sur un autre plan. Effectivement Gribouillis est une oeuvre à part, inclassable. J'y vois surtout une poésie rafraîchissante, dans le droit fil de la nef. Le personnage du Gribouillis est d'une innocence et d'une naïveté et on le suit avec un brin d'émotion dans ce monde terriblement rangé que représente le catalogue. Des aventures un peu loufoques mais crédibles pour peu que l'on prenne la peine de prêter vie aux objets. Après tout, si un Gribouillis s'anime, il n'y a pas de raison que des objets autrement plus importants ne soient eux-même vivants. Le catalogue devient aussi le catalogue de nos personnalités: autorité, suffisance, "pédanterie", et j'en passe.
Le catalogue est aussi pour moi un personnage à part entière. Certes, malgré mon grand âge, je ne me souviens pas de catalogues en noir et blanc comme celui-ci. Mais il me rappelle vraiment des catalogues du style "Manufrance" que l'on pouvait trouver dans mon enfance. Retrouver ce vieil objet "usuel" dans le monde de la BD que j'affectionne tout particulièrement a été un vrai plaisir.
Gribouillis fait partie des indispensables de ma bibliothèque et j'ai eu plaisir à l'offrir. Pour une personne, sensible, imaginative et poète, c'est un choix parfait.
Longue vie à Gribouillis! (Je me suis déjà pris à essayer d'en faire pour voir s'ils s'éveilleraient!)
Une vraie réussite! Les dessins sont très réalistes et le tigre, personnage principal nous raconte vraiment une histoire, même s'il n'y a aucun dialogue. Cette absence de dialogue au contraire donne sa force au scénario. Toute l'émotion passe par l'image. Les attitudes des animaux sont très explicites et on perçoit clairement la colère, la frustration et toutes la sauvagerie de ces fauves. Une histoire primitive au rythme des sentiments des animaux et en particulier du tigre qui nous donne envie de rugir de plaisir.