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Quelques rencontres, une ou deux péripéties, et un final qui ressemble un peu trop à un célèbre passage de Bilbo le Hobbit. Voilà ce que raconte en substance ce deuxième tome, un brin décevant. Heureusement, il ne dépareille pas graphiquement avec le premier volume, l'auteur donnant vie à de merveilleuses créatures à même de combler les amoureux de fantasy rondouillarde.
Je suis fasciné par ce bestiaire féerique, et par le talent immense du dessinateur qui donne littéralement corps et matières à ces farfadets, trolls et autres bestioles des sous-bois. L'histoire est sympathique mais elle n'est pas à mon goût, très bien racontée, Il y a quelques cases illisibles, un découpage tantôt fluide, tantôt heurté avec un sens de lecture mis à rude épreuve. Reste qu'à la fin, ma fascination est toujours là et me donne envie de lire la suite.
Delirius est un album galactique pour un dessinateur qui ne l'est pas moins. Le scénario, signé Lob, est inspiré et vivant. La grosse pincée de nihilisme sur la fin est jouissive : Sloane ne veut pas être un pion pour les autres, et le fait savoir à sa façon ! La mise en image de sieur Druillet défouraille sévère et dépasse toutes les bornes. Il s'affranchit des cases, des pages, et même parfois du sens de lecture, pour laisser son imagination déborder sur nous, pauvre lecteur mortel que nous sommes ! En bref, c'est immersif et délirant comme un bon blockbuster à 1000 milliards de dollars !
Tanquerelle nous offre un dessin ciselé comme une dentelle et son scénariste une histoire capilotractée comme il faut :). La promenade est rudement sympa.
C'est le premier album de Joan Sfar que j'ai découvert. Et quelle découverte ! Tout son talent se résume dans cet album : de la fantaisie, des idées à chaque page et un dessin flamboyant.
Un premier tome parfait. Un dessin envoutant, une ambiance sf chouette, un brin de poésie, beaucoup de sensibilité. A ranger entre les albums d'Enki Bilal et le dvd de Delicatessen.
C'est l'exemple parfait de la bd avec lequel j'ai beaucoup de mal. Le scénario n'a ni queue ni tête. Le dessin est jolie, esthétique mais le découpage (avec des changements de point de vue à toutes les cases) rend la lecture franchement pénible. C'est malheureux pour les auteurs que la série n'ait pas continuer mais je ne saurai vraiment conseiller cet ouvrage.
Une bonne suite au quatrième tome. Les personnages sont attachants et l'intrigue bien ficelée mais que la mer manque ;)
Sur terre ferme, l'intrigue évolue vers d'autres horizons. Les glaces sont loins mais l'album est loin d'être désagréable. Bien au contraire, il se lit bien et est très sympa.
Après un second tome époustouflant, le troisième tome met un terme à l'aventure initiale en tuant le capitaine. Du même coup, on perd un petit peu la magie des deux premiers tomes. L'Aventure avec un grand A perd un peu sa majuscule et ça c'est tristoune.
Un album hallucinant de beauté. Pour moi, c'est le meilleur de la série. Non seulement le dessin gagne en expressivité mais la lente dérive du bâteau parmi les glaces impressionne durablement. Il s'agit d'un autre monde et Christophe Blain qui a passé du temps en Antarctique dessine comme personne ce lieu étrange. "Les Glaces" est un sommet dans la bd.
Un album où le parfum de l'aventure a le vent en poupe ;). Le dessin comme le scénario sont très bon. Une excellente entrèe en matière.
La suite est toute aussi passionante. Une série vraiment unique entre le pur documentaire et l'objet d'art (ce mélange de photos et de bande-dessinée est vraiment très fort).
Un bel ouvrage, vrai. Le mélange de photographie et de dessin est vraiment étonnant. C'est très fort.
Cette parodie pleine de tendresse de Spirou est pour moi un des indispensables de Lapinot. Plein de trouvailles partout partout et pas mal d'humour. J'adore.
L'un des plus beaux albums que j'ai lu. Ce subtil mélange d'humour et de réflexion. Ce dessin beau et flamboyant. Un miracle sur chaque page. Un chat qui parle. Cet album comme la série est une vraie merveille.
L'un de mes préférés de la série, avec plein d'humour et d'anecdotes passionantes.
Un album trop long à mon goût , même si c'est souvent juste, beaucoup de passages traînent en longueur. La scéne sous la tente glace le sang. Un bel album au final.
Cette histoire de sauvetage est efficace même si les personnages manquent un peu de relief (la faute à ces satanées 45 pages). Le dessin est très beau. Sobre, élégant, tout comme sa mise en couleur. Le singe électrique constitue une agréable lecture et commence parfaitement la série. Dommage que la suite ne soit pas du tout au niveau, à mon goût.
Après un premier tome tout nerveux et passionant, voilà la suite des aventures de Capucin. Autant le dire, il n'y a plus de frein à la folie. L'histoire bien linéaire du premier tome laisse place ici à une bizarrerie foisonnante et fascinante, sans jamais rien perdre de sa force. On est tout retourné.
En deux tomes, cette série m'a mis une sacré paire de baffes.
Un album romantique où Lapinot en amoureux transi, avec son noeud pap est trop attendrissant. Ca va à deux à l'heure avec plein de situations cocasses et de thé à la bergamotte. Un de mes petits coups de coeur.
Un sommet. Voilà une oeuvre phénoménale. La tragédie qui se noue entre les deux amis ,Testuo et Kaneda, est porté avec un sens du crescendo incroyable sur près d'un millier de pages. Sur fond de dévastation, Otomo nous fait vivre au plus près de ses personnages. Unique !
Une très bonne surprise. Le tout est guilleret. Les personnages sont attachants, on s'amuse avec ses petits strips absurdes. C'est sans compter la fin qui réserve une surprise de taille.
Une incroyable aventure graphique que cet album, doublée d'une réflexion passionante sur la création sous toutes ces formes. Il s'agit d'une oeuvre unique, fragile et intense dont on ne ressort pas indemne ! Un chez d'oeuvre !
Non, je ne peux pas dire que c'est génial sous prétexte que c'est du Lewis Trondheim. J'aurai bien aimé. J'adore ce que fait Lewis Trondheim. J'adore les trucs absurdes. J'ai adoré la première histoire. J'aurai adoré aimer le reste. Biensûr, y a bien deux trois trucs avec le caca qui me font rire, un ou deux personnages touchants, une situation et demie.
Mais voilà, à la fin du machin, j'ai eu l'affreuse impression d'avoir perdu de l'argent (15 euros le machin), mon temps (heureusement ça se lit très vite) et ma bonne humeur.
Le premier tome était du genre efficace, dessin et scénario compris. Ici tout a une drôle d'odeur de vite fait et rien n'est vraiment marquant. Les personnages sont brossés à la vavite, l'histoire se déroule platement, ça manque d'enjeu et de tension (ce qui faisait le sel du premier tome), l'émotion y est totalement absente. Ian le héros a bien un secret mais à la fin des 45 pages, on se fiche complétement de le connaître. Au final, pour ma part, une horrible déception.
Capucin est assez rentre dedans dans son genre. Le dessin psychédélique avec une pichenette de Sfar est aguicheur au départ mais à la lecture, on peut s'y perdre. De même l'histoire ne propose pas de temps morts et sur plus de cent pages, on frise souvent le trop plein.
Pourtant, force est d'admettre que c'est bien ce coté bourrin' qui rend Capucin unique. Capucin est une vraie tête de pioche et sa quête (une terrifiante descente aux enfers) est violente et souvent immorale. On s'en prend clairement plein la tête. La fin du 1er tome est assez démente en ce sens. A découvrir !
Rarement j'ai été autant captivé par une bd. On peut reprocher des tas de choses à Van Hamme comme d'avoir pioché partout pour son histoire. Mais c'est oublier d'une part que l'héroïc fantasy est déjà un monde où le recyclage des histoires prédominent et c'est oublier d'autre part la maestria avec laquelle il nous emporte. Efficace, rythmé, jouissif, intelligent, j'ai été scotché de bout en bout comme rarement. On est dans de la grande bd épique et brutale.
Et puis beaucoup oublie aussi une chose: le dessin de Rosinski. Une vraie merveille. C'est beau tout simplement.