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Déçu par cette série à la consistance trop légère et anecdotique. Le dessin est sympa, vif, détaillé mais ne parvient à masquer des scénarios d'une pauvreté affligeante. Ajouté à cela, un socle idéologique pas très discret et pas très subtil (les bons indigènes contre les méchants blancs et tutti quanti). Bof.
Mon avis est mitigé sur cette adaptation du roman de Stefan Wul. Même si l'adaptation par Hautière est un peu plus fidèle au roman d'origine, c'est dur de passer après "Les Maîtres du Temps" de Laloux et Moebius. C'est un bon diptyque en soi, mais qui reste inférieur au dessin animé. Il y manque un je ne sais quoi de poésie. Accessoirement, si les dessins de Adrian sont globalement superbes, les visages sont rebutants. Enfin, contrairement à @Arkadi, j'ai regretté que le nœud de l'intrigue soit dénoué en avance. Bien sûr, on connaît tous le nœud de l'histoire avant même d'avoir ouvert la première page du premier tome, mais quand même : on aurait aimé que ça reste secret jusqu'à la toute fin !
En résumé : un album attirant qui n'apporte rien de plus, donc un album irritant et décevant.
J'ai été très étonné de la polémique et du retrait par Dupuis pour racisme. Pour ma part, j'avais trouvé cet album trop niais, trop écolo et trop woke : dans cette BD, les hommes sont tous des personnages dégénérés, il n'y a que les femmes qui ont des rôles intéressants. Comme quoi, les goûts et les couleurs ...
Eh puis, la caricature de Trump, Dany nous prend vraiment pour des débiles ! J'ose pas imaginer les réactions si Obama avait été utilisé comme caricature du méchant de service ...
Je sais pas si c'est en vieillissant, mais franchement, j'ai perdu tout goût pour ce genre de BD niaise avec des grenouilles qui parlent, qui apprennent à lire en quelques minutes, qui volent ou que sais-je encore, avec des ectoplasmes, des pré-ados pré-boutonneux, un être cher à retrouver qui n''est qu'un prétexte et tout le touin-touin. Voilà, il fallait qe ça sorte. J'ai mis 1 pour les dessins qui ne sont pas complètement nuls, c'est déjà ça.
La série Storm (22 tomes) constitue une actualisation assez réussie des pulps de science-fiction des année 30 (on pense à Flash Gordon) à 50, avec un dessin très chatoyant qui se bonifie d'album en album, une pin-up emblématique, et des scénrios de SF (flirtant plus ou moins avec avec la fantasy selon les albums) assez moyens, juste assez bon pour maintenir la curiosité, et recourant assez souvent sur les mêmes ficelles. Les planches sont parfois assez ennuyeuses puis suivies subitement d'autres très dynamiques et virtuoses. Pour faire court, les scénarios sont prétexte à exhiber le dessin de Lawrence qui donne à lui seul 80 % de la substance de cette série. Dit encore autrement : ça ne vol pas très haut intellectuellement mais c'est plaisant à l’œil. Un sorte d'OVNI de la BD.
Ces deux derniers tomes de Storm tombent dans le délire le plus complet. Les dessins atteignent le summum de qualité de toute la série mais le scénario déjanté verse dans la parodie, l'auto-dérision et le burlesque, trois qualités (ou défauts) étrangères jusque là à cette série. Bof.
C'est une série pseudo-historique très romancée, assez mièvre, dont le dessin est assez rudimentaire, le découpage et les ellipses plutôt médiocres et difficiles à suivre, et les personnages mal différenciés.
Dans la réalité, la fille d'Henry Ier d'Angleterre, veuve de l'empereur d'Allemagne, s'appelait Mathilde. Les auteurs de cette série ont au moins eu la décence de l'appeler Maud, probablement pour convenir que tout cela n'est qu'une fantaisie sans rapport avec la réalité historique, et sans grand intérêt.
Soyons honnête, cette série n'a de bon que son dessin précis, maniéré et extravagant. Au niveau des scénarios, ça ne vaut absolument rien. C'est une suite de situations loufoques à peine reliées, à peine drôles, à peine philosophiques, répétitives et d'un ennui mortel.
Quand une série de 24 tomes démarre en trombe avec une notation à 4/5, puis s'étiole inexorablement pour terminer en dessous de 2/5, c'est qu'il y a un problème aux fondements mêmes de la série. Ce tome "0" donne la clé : tout ça n'est que commercial, l'éditeur aurait sorti 73 tomes s'il avait pu. Mais qui sait ? Peut-être vont-ils y parvenir à grand renfort de séries dérivées ? Quand on voit l'indigence de la série principale, on peut s'attendre à tout.
Ça se lit bien, les dessins sont impecs, mais coté scénario, j'ai trouvé ça un peu simpliste et manichéen. Les gens sont tous des salauds, et le méchant candidat aux élections est d'extrême-droite et populiste, bien sûr. Dommage, l'idée de départ était sympa.
Après un très bon tome 1, la série perd un peu en qualité : les situations sont quelque fois difficiles à suivre, les personnages trop nombreux et parfois difficiles à identifier, les digressions de scénario inutiles et on s'enlise un peu dans le mélodrame, le triangle amoureux est une ficelle trop facile et d'un intérêt limité. La déception est à la hauteur du plaisir suscité par le premier tome.
La série est assez réussie jusqu'à la fin du premier cycle, qui se termine à la fin du 6e album. Ce premier cycle colle d'assez près à l'opéra de Wagner, même si traînent ici où la des références au Seigneur des Anneaux qui ne sont pas dans la logique mythologique initiale de L'Anneau du Nibelung. Le tome 7, ainsi que les deux tomes qui s'ensuivent, constituent en revanche un nouveau cycle inutile, faisant la part belle à la liberté d'interprétation et d'invention de Jarry. L'introduction de l'empire de romano-chrétien de Constantinople dans la saga n'est pas, précisément, la trouvaille scénaristique la plus subtile. En résumé : six bons tomes, trois tomes de trop.
Je ne peux pas décemment mettre un 5/5 à cet album, parce que le scénario est quand même assez fin, mais pour tout le reste c'est un excellent tome : dessin plaisant, textes concis et précis, découpage et couleurs agréables ... Très agréable à lire.
Cette série n'a rien d'historique ; c'est du conte, du médiéval fantastique ('heroïc fantasy). On aime ou on n'aime pas, mais ici les scénarios n'ont rien d'extraordinaire, on n’ennuie fermement.
Si vous aimez les chroniques sentimentales, ça peut vous plaire. Pour ceux qui n'ont pas la fibre voyeuriste, passez votre chemin.
Le premier tome était déjà pas terrible, mais là on touche le fond. Scénario absent, personnages difficilement identifiables, scènes de batailles confuses, ellipses narratives abusives et découpage incompréhensibles. Du western de série C.
Rien de transcendant dans cette série visiblement et heureusement abandonnée.Ce n'est ni intéressant pour les enfants (la cible, je suppose), ni pour les adultes.
Avis mitigé sur cette série. Le dessin est agréable, les personnages parfaitement identifiables, le rythme et le découpage impeccable. Malheureusement la série, loin d'être une série historique, verse dans l'ésotérisme, sans qu'il soit possible d'identifier ce qui relève de la religion égyptienne attestée par l'archéologie et ce qui ressort de la gnose moderne. D'autre part, la série, qui débute par un excellent premier album, perd progressivement de sa force au fur et à mesure des albums - au fur et à mesure que le récit quitte l'époque pharaonique et se dilue dans un mélodrame se déroulant à l'époque contemporaine. La conclusion, au troisième tome, est visiblement hâtée et bâclée. Dommage, il y avait là un potentiel inabouti.
Je fais partie de ceux qui trouvent cette série totalement surcotée. J'adore le trait minimaliste, l'usage sobre et efficace des couleurs, les découpages de cases et les ellipses de scénario. En revanche la vacuité du contenu est abyssale. Même en cherchant le 15e degré, tout cela se réduit finalement à un artiste qui se fait plaisir et tourne en rond dans l'humour de dérision. Certes, on est un cran ou deux au dessus de Garfield, je nie pas (des alpages), mais sur le plan de l'inventivité, j'apprécie beaucoup plus Fred et son "Philémon" que je trouve plus diversifié et plus subtile, plus poétique. Voilà. Livrez-moi en pâture (dans les alpages,bien sûr).
Bof, cette série est plaisante, mais seulement plaisante. C'est là son problème : il n'y a rien de franchement irritant, mais rien de franchement inoubliable. Mièvre et fade. Vite lu, vite oublié.
Eh bien apparemment je suis le seul à ne pas avoir apprécié cette série, pot-pourri d'Alien, la Planète des Singes, The Thing et de tous les nanars de science-fiction américaine des années 50. Le fait que la moitié des planches soient consacrées à du baratin de bistrot entre les membres d'une secte écolo n'arrange en rien le score.
Lecture plaisante, dessin correct, dans l'esprit des gravures d'époque. Le seul point négatif réside dans le résumé excessif. Il aurait fallu deux tomes pour relater de manière satisfaisante le roman de Jules Verne.
Le problème de cette série, c'est que c'est une succession de planches assez virtuoses sur le plan graphique, mais avec un scénario pour le moins abscons. Savoir dessiner ne suffit pas, encore faudrait-il avoir quelque chose à raconter.
Avis sur la série - Ben voilà, je n'ai pas accroché à cette trilogie à rebours, pot pourri de tous les romans fantastiques du début du XIXe siècle au début du XXe siècle. C'est vraiment tiré par les cheveux (les personnages des romans sont en fait leurs écrivains, ce qui n'apporte rien à l'histoire ...), et tout ça est émaillé d'une relecture philosophique qui n'est qu'une paraphrase des romans utilisés, sans y ajouter quoique ce soit de nouveau. Il n'y a pas de plus-value dans cette BD. Bof.
Une brochette d'histoires de marins absolument truculentes. Le premier tome, rassemblant des histoires aux thèmes divers, est un must-have ; les tomes suivants, ne rassemblant plus guère que des histoires grivoises, une certaine monotonie s'installe donc.
Le problème des comic strips (parce que fondamentalement cette série est une série de comic strips qui se suivent tout en conservant une certaine autonomie - notamment du fait qu'il y a une chute par comic strip - en l'occurence, deux chutes par page) ; le problème des comic strips donc, disais-je, c'est la répétition, la fatigue et l'ennui. On échappe ici plutôt bien à la répétition ; le dessin est simpliste mais efficace ; la colorisation pas géniale mais en phase avec le dessin, et les chutes claires et compréhensibles. Mais l'on échappe pas totalement à la fatigue et à l'ennui.
Les dessins et les textures sont superbes, les couleurs un peu moins, mais cela ne rachète pas, à mon goût, des scénarios insuffisants. Pour les amateurs de voyages exotiques, peut-être.
La série va en se dégradant de tome en tome. Seul le Tome 1, basé sur de courtes histoires de cinq ou six pages, est réellement amusant. Les deux tomes suivants, basés sur des scénarios plus longs et moins serrés donnent quelque peu dans le remplissage de page.
Excellente minisérie sur laquelle je ferai deux reproches mineurs :
- un scénario quelque peu prévisible et troué à quelques endroits.
- une colorisation tirant trop sur le sépia.
Thématique et dessin parfois gore font réserver cette série à des adultes.
Passé l'effet de surprise engendré par l'originalité de cette série à la lecture du Tome 1, on se lasse très vite. Les histoires n'ont rien de palpitant, les personnages n'ont rien d'attachant, les "super-pouyvoirs" ne s'intègrent pas dans l'ensemble, et nous, on s’ennuie.
Je pense que c'est une BD qui est faite pour les habitants de Cherbourg. Les autres lecteurs n'y trouveront qu'un intérêt limité.
Série post-apocalyptique assez médiocre. Beaucoup de raccourcis peu crédibles* dans un scénario anémique et prévisible, entrecoupé d’assommantes scènes de batailles peu palpitantes. Bof.
* Exemple parmi d'autres : comment y font, pour traverser 600 kms en blindés sans ravitaillement en carburant ?
Scénario abscons et inachevé, protagonistes agissant de manière irrationnelle, dessin passable. A fuir !
J'aime encore bien les nouvelles courtes en science-fiction mais là, les scénarios de cette mini-série de trois tomes sont tous passables, au point que le dessin de Rubio ne parvient pas à les racheter. C'est dire.
J'ai trouvé cette série d'une niaiserie affligeante. Les personnage et les scénarios ont l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette. Voilà.
Ce tome n'inaugure pas "Les nouvelles aventures de Ric Hochet", malgré le titre, mais "Les aventures du nouveau Ric Hochet", qui n'a pas grand chose à voir avec l'ancien. Nuance ! Et grosse déception.
Série amusante sans plus. Le positionnement mi-comics, mi pin-ups, mi pulps n'est pas déplaisant. Tout ça aurait quand même pu être raccourci , trois ou quatre tomes auraient été suffisants. On sent le scénario construit à vue au fil des tomes et le remplissage. Rien d'inoubliable.
Le dessin est bâclé, la colorisation moche, le scénario abscons ... La série semble abandonnée, Dieu merci.
Pas du tout con vaincu par cette BD, ses raccourcis, ses ellipses narratives, ses incohérences, ses ambiguïtés carrément gênantes (quel âge a Manon ? Enfant, amante ???). Même le dessin de Frank est parfois difficile à décrypter. Il n'a plus de bleu dans sa trousse à couleurs ?
Je n'ai pas pu aller au bout de cette série ennuyeuse à mourir. Je dois avouer que les scénarios de quêtes ésotériques à la manière de Da Vinci Code me laissent de marbre.
Une adaptation très médiocre de Gaston leroux ; les personnages sont difficilement différentiables ; le dessin est lourd et indigeste ; le fantôme n'est pas seulement psychopathe, mais il est dénué d'humanité, ce qui n'est pas l'esprit du roman de Leroux, me semble-t-il.
Pas emballé par cette quette semi héroïque et semi fantastique. J'ai trouvé ça niais, et le graphisme n'améliore pas les choses.
Comment peut-on s'attacher à cette série-fleuve ? Il n'y a rien de plaisant : le découpage et les allers-retours incessant donnent la nausée, aucun personnage ne sort du lot, les bavardages dégueulent sur toutes les cases, la fin en queue de poisson et puis, pourquoi rassembler tout ça en deux ou trois tomes bien serrés, si on peut en vendre 24 ?
Les trois premiers tomes de la série sont bien ficelés et drôles. Les tomes 4 et 5 marquent une nette dégradation de la qualité scénaristique ; les tomes 6, 7 et 8 sont carrément verbeux et ennuyeux.
Très déçu par cette série, sorte de synthèse ratée entre les aventures de Tintin et celles de Corto Maltese. Les dessins de Le Gall sont moches. il n'y a pas une case dans laquelle les proportions du corps humain soient un tantinet respectées : les têtes sont soit trop grosses, soit trop petites. Théodore poussin est aussi charismatique qu'un chrysanthème fané dans un cimetière. Même quand il sourit, il tire la gueule. Aucun des personnages n'est attachant. Les histoires sont verbeuse, interminables (un cycle de 6 tomes pour savoir qui est Novembre ???) ; les quêtes de Théodore m'ont laissé de marbre. Finalement, Théodore abandonne sa plantation de cocotiers avec la même impassibilité que j'ai ressenti à fermer la dernière page de la série.
Le seul tome réussit est le 7 (la Vallée des Roses).
Cette série est assez bizarre. Il y a une certaine qualité graphique dans les scènes de bataille, là où les personnages fourmillent. Les décors d'intérieur ou d'extérieurs (villes villages, châteaux ...) sont correctement travaillés, ainsi que les personnages, bien individualisés.
Mais les scénarios sont assez mauvais, les histoires peu palpitantes, les individus sans charisme et sans intérêt (à vrai dire, on n'a cure d'aucun d'entre eux).
Accessoirement, la BD oscille maladroitement entre une violence et des thèmes réservés aux adultes et une approche burlesque destinée aux enfants.
Le dessin de Wininger, trait, couleurs, plans, est agréable et le scénario de ce qui constitue une sorte de mini-série réussit une synthèse à la fois ésotérique et légèrement steam punk surprenante mais satisfaisante dans son originalité. En revanche, le découpage n'est pas satisfaisant, avec des coupures et des sauts brutaux. Au final reste une impression de fantaisie mal ficelée.
Je n'ai pas trouvé de plaisir (hi hi) à feuilleter cette série en maison close.
Le dessin de Kerascoët n'est pas désagréable mais dans certains cases la différenciation des personnages laisse à désirer.
Le problème principal provient probablement du scénario beaucoup trop dilué. Tout cela aurait pu tenir dans un tome un peu épais, et les personnages sont finalement assez peu captivants.
Je ne suis pas convaincu par le dessin d'Albert dans cette série. Les scénarios n'ont rien d'extraordinaires non plus.
Série assez peu convaincante ; les dessins destinés à un jeune public sont bâclés et tout juste acceptable ; ils desservent des scénarios enfantins mais adaptés au public visé, mêlant aventure, exploration archéalogique et civilisations perdues (à la manière d'Indiana Jones, mais pour un pubvlic vraiment très jeune, genre 8-10 ans).
Dessin désagréable et pseudo-philosophie ; scénario inexistant. Rarement je me serai autant ennuyé qu'en parcourant cette série.
J'ai un penchant pour la BD animalière (surtout quand elle est débarrassée de tout anthropomorphisme, ce qui n'est pas le cas ici). Encore faut-il que ce soit agréable. Dans cette série de trois tomes, nous avons affaire à un scénario mêlant post-apocalyptisme et quête d'une terre promise, rabâché et d'une prévisibilité affligeante, digne d'un film d'horreur de série B, à des rebondissements en cascade (tout aurait pu tenir dans une centaine de pages), à des invraisemblances dignes des "Animaux du bois des Quat'Sous" (des renards amis de souris ? sérieusement ?), à des cases en ambiances monochromatiques ; et à un dessin (surtout dans les arrières-plans mais pas seulement), comment dire, flou ? imprécis ? gouacheux ? et à des dialogues indigestes. La question de fond est finalement : à qui est destinée un telle BD ?
On continue dans la dégringolade de cette série, de plus en plus barbante. L'auteur de sait pas s'arrêter. Pour ma part je n'ai conservé que les deux premiers excellents tomes. Si vraiment on est addict et qu'on a rien d'autre à faire, on peut aller jusqu'au tome 6, mais dépasser cette limite c'est perdre des neurones inutilement.
Cette adaptation de "1984" transposé dans "Le meilleur des mondes" ne présente à mes yeux aucun intérêt. Les textes sont niais, les dessins médiocres, l'univers science-fictif rabâché.
Il y a juste un point où le scénariste a vu juste : il y a une erreur fondamentale dans le "1984" d'Orwell : un état dictatorial ne s’appuierait pas sur une interdiction des relations sexuelles mais sur leur banalisation et leur stérilisation. Du coup, Rodolphe a également tout faut : puisque son univers corrige l'erreur d'Orwell, il aurait fallu inverser la relation transgressive avec Clara : dans un univers où la sexualité est banalisée, la transgression n'est pas dans plus de sexualité mais dans une relation platonique. Le seul fait que Clara ne soit pas un robot mais un humain ne suffit pas à donner à la transgression reprise sans grande imagination par Rodolphe la force qu'Orwell insère dans son roman.
Ce premier tome inaugure une série de très belle facture ; le dessin de Lepage est splendide ; chaque case mérite qu'on s'y attarde. Les personnages font preuve d'une belle introspection et les scénarios sont tous puissants à l'exception du cinquième tome qui tombe brusquement dans la mièvrerie (peut-être est-ce une raison pour laquelle la série s'est arrêtée ?).
Si le dessin est toujours aussi superbe, le scénario de ce dernier tome est très en retrait. Névé est une série qui mêle avec bonheur paysages grandioses et introspection, mais là, on tombe dans brusquement dans la mièvrerie la plus totale. Dommage.
Assez moyennement convaincu par cette série au dessin statique, aux bulles verbeuses et aux intrigues passables.
Si c'est pour en faire ce genre d'album, alors effectivement, il est plus que temps de mettre à mort Spirou ... mais, par pitié, mettez à mort aussi Fantasio et Séccotine, qu'on n'en parle plus !
Bref, je vais laisser à Dupuis une chance de se rattraper avec la suite de cet album (qui sait ? une bonne surprise peut toujours arriver), mais je serai très exigeant : il faudra pas moins qu'un album exceptionnel pour racheter ce lamentable tome 56.
La BD a des qualités mais le scénario est très délayé. Tout ça aurait pu tenir dans une superbe BD bien serrée de 54 pages.
Pas du tout convaincu par la simplification du scénario opérée par Rodolphe, et encore moins par l'utilisation de lapins anthropomorphiques.
Je voulais voir pourquoi cette série est si mal cotée. Maintenant j'ai compris. Malgré son titre, la série décrit très peu chaque artiste. Les artistes sont quasiment réduits au rôle de prétextes contextuels pour des histoires assez peu palpitantes vaguement rattachées à l'une ou l'autre de leurs œuvres. La notice bibliographique de 8 page en fin de chaque album est assez intéressante, mais ne suffit pas à effacer l'impression que la lecture d'une bonne page encyclopédique sur chacun de ces articles aurait été plus profitable et t out aussi agréable à parcourir.
C'est une de ces séries qui démarre fort mais dont le scénario dans le genre Da Vinci Code s'étiole et se désagrège lamentablement d'album en album. Qui plus est, on en apprend finalement très peu sur la technique de fonte des cloches. Dommage, le dessin est agréable (hormi les visages peut-être)
Série statique, verbeuse, inutilement longue (tout aurait pu tenir en soixante pages). Le dessin est tout juste acceptable.
La série est très inégale ; le premier tome est très quelconque ; ça s'améliore ensuite un peu avant de décliner de nouveau. Dans cette série, la mayonnaise humour enfantin + sujets graves ne prend pas.
Il y a un côté charmant dans cette série plutôt juvénile, mais le mélange des genre entre surnaturel et thriller n'est pas parfaitement réussit. Bon sans plus (note 2,5)
L'histoire est lente, le dessin statique, le trait lourd, la colorisation passable, et il faut attendre le troisième tome pour avoir un peu d'action et, au total une intrigue vite oubliée.
Série fort imaginative, mais surtout interminable. Il faut croire que je suis insensible aux charmes du space-opéra a rebondissement, surtout lorsqu'il est aussi verbeux.
Très déçu par cette série, dont le scénario navigue à vue. La colorisation renforce l'inesthétisme de la série, sombre et laide.
Le premier tome de cette série est une réussite magistrale. La richesse du graphisme parvient à suppléer l'absence de couleurs, et à rendre une Egypte pharaonique sinon réelle, du moins conforme à l'idée exotique que l'on s'en fait. J'ai été beaucoup moins satisfait par le second tome, à cause du scénario beaucoup plus statique, à cause d'un dénouement bâclé sur les dernières pages, et à cause des poncifs sur les hébreux, qui réduisent la série à une mauvaise blague ésotérique dans le genre Da Vinci Code. Franchement, les talents de conteurs et de dessinateur de Baranko, entrevus dans le premiers tome, méritaient mieux que ce préchi-précha douteux et faiblard. Je suis déçu à la mesure de l'excitation qu'avait produit en moi le premier tome.
Résumé des quatres tomes de la série, heureusement arrêtée : une poignée de récits médiocres en bandes dessinées d'une demi-douzaine de pages chacune, introduites chacune par une page de baratin de bistro vaguement pseudo-philosophique. On vous aura prévenu.
C'est vraiment dommage d'avoir dénaturé à ce point "La nuit des Temps" de Barjavel, un des meilleurs romans de science-fiction. Là où Barjavel incluait subtilement mais efficacement la dimension écolo dans la trame même du récit science-fictif, Gauckler nous assène la chose à coups de massue jusqu'au vomissement. Malheureusement, le romantisme poignant du roman de Barjavel est la grande victime de cette trahison. En matière d'adaptation, il faut se poser la question : l'adaptation apporte-t-elle une plus-value par rapport à la chose adaptée ? Ici la réponse est non, et de loin.
Le dessin est acceptable, la recherche historique et documentaire fouillée. Mais tout cela est gâché par un scénario à rebondissements et trop invraisemblable vraiment lassant, passé les deux ou trois premiers tomes.
Les dessins architecturaux méticuleux de cette série ne compensent pas un scénario et ésotérique ennuyeux, accompagné d'une pseudo philosophe du même acabit.
L'intérêt principal de la série réside dans son dessin et sa colorisation, fort réussis. Pour le scénario, par contre, il ne faut pas être trop exigeant, ou avoir fumé pas mal de moquette.
Quel dommage que cette excellente série a été abandonnée ! Le seul reproche que l'on peut lui faire, c'est qu'il est parfois un peu difficile de s'y retrouver sur un plan géographique ; une petite carte bien introduite de temps à autre aurait parfait le plaisir de cette lecture.
Scénarios troués comme un gruyère, va-et-vients incessant et sans intérêt antre la terre ferme et le Neptune, et un submersible qui passe les trois quarts de la série à clapoter en avarie à la surface... N'importe quoi.
Cette série a été fort heureusement abandonnée. De rebondissements improbables en affaires de cœurs sans intérêt, elle avait perdue toute saveur.
Les adaptations en BD d’œuvres littéraires n'ont d"intérêt que si elles donnent envie de lire l’œuvre dont elles sont l'adaptation. Ici, ce n'est pas le cas. Correct, sans plus.
Je trouve cette série complètement surcotée. Les dessins sont statiques ; les intrigues banales (des nazis ? franchement ?) ; et il faut attendre le tome 3 pour avoir quelque chose d'un peu amusant et ça se passe cette fois ... ailleurs qu'à Hollywood. C'était bien la peine ...
Je n'ai pu aller au bout de cet album que par curiosité littéraire, n'ayant jamais lu le roman qu'il adapte. L'adaptation elle-même est assez médiocre ; le dessin est désagréable.
Série assez médiocre tant au niveau du dessin, bâclé, de la colorisation, terne, que du scénario, assez convenu et mélangeant inutilement deux approches contradictoires, l'une naturaliste et l'autre fantastique.
Il n'y a vraiment aucun plaisir à lire cette série niaise qui n'a aucun charme comparé à la nouvelle de Saint Exupéry. C'est une récupération commerciale éhontée.
J'ai trouvé cette série beaucoup trop lente ; beaucoup trop bavarde. La montagne est finalement presque un personnage secondaire tellement l'enquête est développée. Raccourcir tout ça d'une bonne moitié aurait été une bonne idée.
Seuls les deux premiers tome de cette série semi-mythologique sont intéressants. Les deux derniers tomes, qui mêlent histoire et mythologie, ne valent pas le détour.
Cette série de 31 tomes possède d'indéniables qualités, au rangs desquelles une inventivité remarquable, un esprit facétieux, une rare unité entre le dessin et le scénario. Elle plaira à tout amateur de space-opera.
Elle possède également d'indéniables défauts, parmi lesquels une navigation "à vue" (engendrant d'inévitables rebondissement de type "Deus ex machina" assez grossiers à avaler, et de grosses inégalités de qualité scénaristiques d'un album à l'autre), des longueurs (on sent fréquemment un besoin de remplissage sur certains albums au scénario anémique), et des culs-de-sac et incohérences scénaristiques.
Plus embêtant, la série, débutée en 1975, dans la foulée de mai 68, est traversée de bout en bout par un érotisme tantôt latent, tantôt explicite, qui frise la pédophilie (un des protagoniste est un enfant quasiment éternellement pré-pubère de 13 ans).
Dans l'ensemble c'est une série très originale qu'il convient de regarder avec un esprit très critique en tenant compte du contexte culturel de l'époque. Il est assez gênant que les auteurs aient maintenu cette ligne directrice de bout en bout, quand on sait que le dernier album est sorti en 2003.
La série n'a quasiment rien d'historique ; c'est une succession de récits principalement ésotériques (les Templiers, la cabale, le catharisme, le golem, le Temple de Salamon, l'Arche d'Alliance, etc.), situés dans une période historique (le temps des cathédrales et des croisades contre les Albigeois et en Terre Sainte). Le support historique est vraiment très secondaire, quasi anecdotique ; les scénarios sont essentiellement bâtis autour des composantes ésotériques. Pour amateurs du genre uniquement.
Jim a un réel talent de dessinateur (quoi qu'on puisse regretter le caractère un peu statique de son trait). Son problème, c'est ses scénarios d'une grande vanité. Suivre les affres d'une jeunesse européenne bourgeoise dans ses découvertes du kama sutra et ses maux de cœurs, bof, bof ...
Après deux premiers tomes médiocres mais acceptables, la série va en se dégradant rapidement jusqu'au vomissement. Scénario sans queue ni tête, avec des trous béants, dessin moche, dialogues passables,... Épargnez-vous cette horreur.
Avis très mitigé sur cette série.
Le dessin de Jacamon est superbe. Ce dessinateur maîtrise tout : personnages, paysages naturels et urbains, cadrages ...
Le scénario de Matz, en revanche laisse à désirer : passé le premier tome, c'est la répétition ad nauseam, les commentaires pseudo-philosophiques à deux balles (sans mauvais jeu de mot ...), verbeux, le registre cynique monolithique (ça va, on a compris, le tueur n'a ni foi ni loi), les flash-back prévisibles, ...
Un verre, ça va ; trois verres ...
Guy Delisle n'échappe pas à l'écueil qui guette ce genre d'exercice bédégraphique : la répétition et l'insignifiance. On se lasse. Un sourire en passant ici ou là, oui, mais fatiguant sur quatre tomes.
Cette série de trois tomes a le mérite de s'intéresser à une face cachée de la "Belle Epoque" et de sa fascination pour les terres exotiques : l'exploitation mercantile et parfois morbide de cette fascination. Cependant la série n'échappe pas à quelques écueils :
- des couleurs trop sombres - n'y a-t-il jamais de soleil, ni en Océanie, ni en Europe, ni aux Amériques ? et une ligne "claire" tant appuyée qu'elle participe elle-même à cette noirceur inutile.
- quelques longueurs. La série aurait probablement pu tenir sur deux tomes.
Ça reste dans l'ensemble un bon essai méritoire.
Parfois la vulgarisation abêti plus qu'elle n'élève. C'est le cas ici : les gags n'ont aucun intérêt, et parfois peu de rapport avec la petite notice archéologique en bas de page, qui elle-même ne dépasse rarement la taille d'une phrase. Il y a bien mieux dans le 9e art pour donner aux enfants le goût de l’Égypte ancienne.
Très déçu apr cette série :
- il y a au moins un album de trop, voir deux, dans cette série, qui aurait gagné à être compactée.
- le héros de l'histoire, c'est le vieux Caire. Pour le reste, nous voyageons finalement très peu, et il nous est donné de contempler très peu des splendeurs de l'Egypte antique.
- le scénario n'est guère qu'une succession de rebondissements assez prévisible, avec un final qui se veut grandiose mais qui est tout au plus grandiloquent, et qui se poursuit inutilement par une véritable finale encore plus décevante. Si l'auteur a voulu ouvrir des pistes pour une suite, nous ne pouvons que l'en dissuader.
Que dire ? Les deux premiers tomes de cette série sont très bons, les deux derniers très décevant. Au final, on reste avec goût très prononcé d'insatisfaction et de bâclé. Occupe inutilement mon étagère.
Une série qui se lit rapidement, bien enlevée, sans temps morts, au dessin stylé et agréable. Mon seul reproche est que cela manque parfois un peu de cartes géographiques. Si on n'est pas Alsacien on a un peu de mal à se repérer dans l'avancement de la ligne. Un défaut mineur eut égard aux qualité de l'ensemble.
Pas du tout convaincu par cette série mal définie : à la fois trop enfantine et trop adulte, de sorte que personne n'y trouve son compte. Si vous n'aimez pas Ricochet, vous aimerez encore moins Aldo Rémy, qui en concentre les défauts sans en conserver les qualités.
La réalisation artistique est sympa mais l'histoire d'un intérêt limité se termine qui polus est en queue de poisson. . Si la BD est une fidèle image du roman, on comprend aisément pourquoi ce dernier a été oublié ...
Le premier tome n'est pas forcément le meilleur de la série ; il faut planter le décor. Mais l'ensemble de la série est une réussite, avec un bon équilibre entre histoire familial et histoire nationale. Ça aurait même pu être une réussite totale si l'auteur s'était un peu moins attardé sur des histoires de mœurs éculées et d'un intérêt limité.
Cette série m'a laissé dubitatif. La reconstitution de l'antiquité romaine déclinante est superbe de détails mais à force de vouloir rassembler tant d'évènements historiques dans une même trame (vaguement ésotérique), le scénario perd tout intérêt, et nous-même tout plaisir.
Cette série de spin-off d'Asterix ne présente qu'un intérêt très limité. La verve et les trouvailles linguistiques de la série Astérix sont ici réduits au plus strict minimum (probablement par ce qu'elle s'adresse à un public plus jeune, supposé ignare culturellement). Reste une succession d'aventures assez peu passionnantes. Gentillet, comme l'écrit un autre lecteur. On pourrait dire banal. Ça passerait s'il n'y avait pas de concurrence, mais il existe des séries bien plus passionnante pour les enfants.
Qu'est-ce qu'on s'ennuie ! 90 % des planches n'ont aucun humour. Et peut-on parler de portraits sociologiques en huit cases ?