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Que dire...
C'est le drame pour cette série après le départ du dessinateur original (Juan
Gimenez). A la suite de sa lecture on pourrait facilement croire que le scénariste
aussi (Alexandro Jodorowsky) est parti tellement c'est mauvais. De plus Travis
Charest qui donne ici un dessin vraiment excellent est lui aussi parti, il n'a pas
souhaité aller jusqu'au bout du projet. Hélas il a été replacé, certainement au pied
levé par Zoran Janjetov qui avec un dessin et une colorisation maladroite (ou mal
adaptée) rebouche les trous dans les parties manquantes.
Il est louable de mener à bien un projet jusqu'au bout mais il l'est encore plus de
dire stop on arrête tout face à un échec visible.
Suite de court récits de sexe au féminin vraiment touchant. La volupté de
chacune de ces œuvres transpire par la beauté des situations et des
personnages. Le tout retranscrit par des dessinateurs très talentueux qui se sont
imposés le noir et blanc. L'ouvrage est joliment recouvert d'une jaquette qui ne
cache hélas qu'une couverture rigide nu et noire. C'est une œuvre très intime fait
de fantasmes et de douceur, a ne pas laisser entre toutes les mains.
J'ai aimé la monté en puissance du héros à qui on a révélé la réalité du monde.
Sur un fond décalé où les forces du bien qui protégeaient la société ont disparu.
Politiquement incorrecte, cet œuvre est brillante, passionnante et visuellement
réussit. A ne surtout pas comparer avec le film qui en a été tiré.