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Un album qui aurait pu être réalisé par Jacques Martin lui-même ? C'est l'effet que m'a fait cet album. Superbes dessins, une intrigue complexe à souhait, et Lefranc, d'abord journaliste, puis aventurier vers la fin de l'histoire, qui résoud l'énigme. Enfin l'histoire est ponctuée de nombreuses références à la BD du journal de Tintin : l'Ile Noire (Ranko le Gorille), Jacobs, sans oublier la Jaguar verte de Borg....
Un cocktail de cynisme, de diplomatie, de coups bas, de mesquinerie, de discours politiques, etc ... cela se passe-t-il réellement comme ça au Quai d'Orsay ?
M le Ministre plane, brille, illumine, maltraite ses collaborateurs, qui se bouffent entre eux, cite les grands auteurs grecs, stabilote ses livres et ses discours, à l'air d'un fumiste, mais a aussi une vision idéaliste du monde, probablement sincère, dont le point d'orgue est le discours de l'ONU.
J'ai découvert la BD après le film de B. Tavernier. Je dirais que l'interprétation de Thierry Lhermitte dans le rôle d'Alexandre Taillard de Worms insiste trop sur le côté fumiste, par rapport à la BD.
A lire et à collectionner.
Un bon scénario, avec pour toile de fond les mythes Nazis des années 1950, typiquement dans la lignée des meilleurs Lefranc dessinés par Jacques Martin. Cependant, Lefranc, moins héroïque que d'habitude, se fait voler la vedette par Axel Borg et l'agent russe, qui font véritablement l'action. Le dessin est bon. A quand les éditions de ces nouveaux Lefranc "1950" en papier de qualité, pour que les couleurs soient plus vives ?
Une jolie parenthèse à Cuba : le soleil, la mer, et la revolución ! Lefranc se promène, agit quand il le faut, sans jamais se brusquer, ni brusquer l'histoire, ni l'Histoire. Il manque juste un peu de "salsa picante" pour en faire un très bon album.
Raymond Calbuth, Monique Calbuth, ou la vie de 2 aventuriers retraités de la rue des rosiers, à Ronchin, Nord.
Toute la série proposée par Tronchet est géniale d'absurdité : qui ne connait pas un couple de vieux râleurs réacs qui se prend au sérieux ? Tronchet nous montre avec humour comment ils vivent au quotidien : ils refont le monde, se montent des gros films, et n'en font absolument rien.
Toute la série des "Ricky, Gilou, Lucien" est très sympathique à lire et emblématique des années 1980. Le génie de Franck Margerin est de réaliser des vignettes très fouillées, où il se passe plein de chose. Une simple vignette représentant une plage par exemple est une pure merveille, car on y retrouve absolument tous les clichés débiles en arrière plan : le dragueur, le gars qui crame, le gamin qui pisse dans l'eau, etc....
Cet album, a en plus le mérite d'offrir un scénario long pour Franck Margerin, qui a l'habitude de boucler ses histoires en 7 ou 8 pages.
Et c'est une histoire d'amoureux qui découvre la vie où l'on retrouvera les clichés habituels, mais dans lequel chacun retrouvera une partie de sa propre expérience d'ado.
Pour moi, c'est certainement LE Edika de référence, mais la série est très réussie, et toutes ces histoires de Bronsky et Clark Gaibeul étaient toujours très attendues dans les magazines Fluides Glacial des années 1990.
On retrouve, dans le désordre : des propos absurdes, de la vulgarité gratuite, des caricatures de filles à poil, un chat qui rote en parlant, etc...
A lire absolument à l'âge où l'on commence à sortir de la BD classique Belge.
D'abord les aspects positifs : un superbe dessin, peut être l'un des plus beaux de l'ère post -Jacobs. Aussi de superbes décors, et le plaisir de retrouver le charme londonien de la Marque Jaune. Ensuite, une maîtrise de la mise en page indéniable. La planche 27, où l'on assiste à la séance d'Hypnose d'Olric est simplement géniale. Enfin .... malheureusement, alors que tout allait bien, l'histoire commence à s'embrouiller, à tel point qu'à la fin personne n'y comprend plus rien, à part peut être Mortimer qui peine à trouver une explication à ce qui se passe : et des Septimus à la pelle, et une équipe de soldats fous à lier, et un vaisseau spatial caché par le gouvernement, et des gars qui explosent et que ça sent pas bon, et des Septimus dans un théatre, etc.... on a bien du mal à voir le lien entre tous les phénomènes...
Je pense qu'à la fin, j'ai même été frappé par l'onde Septimus. Arrghh Asile, Asile !
Un bon scénario, une bonne représentation de la Russie des années 50, un Lefranc fidèle à lui-même...
Contrairement au commentaire précédent, je trouve que le dessin devrait être amélioré. On est encore loin de la qualité du dessin et des décors d'un "Ouragan de feu" ou même des opus dessinés par Chaillet.
Un Lefranc acceptable.
Le scénario est intéressant et historiquement plausible, et mélange anciens Nazis et Japon traditionnel, dans un Japon en reconstruction sous contrôle américain.
On retrouve avec plaisir un Axel Borg en forme, et vraiment méchant, mais toujours aussi naïf de dévoiler ses plans à Lefranc ...
Cependant, on a le sentiment que l'histoire aurait nécessité plus de pages, car certaines scènes sont trop courtes, et d'autres deviennent même inutiles (comme les souvenirs d'enfance du Shogun). Il y a donc petit problème de découpage de l'histoire.
Le dessin enfin, est honnête, mais manque de détails, et parfois de précision. On est loin de la maitrise graphique de J. Martin et de Chaillet, que personnellement j'attendrais de ces nouvelles séries de Lefranc ancrées dans les années 50-60.
Un très bon Lefranc, qui mêle à chaque page le réel à l'irréel. La pensée irréelle intervient d'ailleurs sous plusieurs formes: le flash-back, le rêve, le cauchemar, le comas, le délire psychotique, l'hallucination collective,... l'album laisse même une impression similaire à celle laissée par les "Portes de l'Enfer".
L'album s'intègre bien dans la série avec des références aux "précédents" albums, et même aux futurs albums, tels que l’apocalypse.
Enfin, on en apprend un peu plus sur Lefranc, et sur Jeanjean (ce qui le rend un peu moins niais ...).
A lire absolument.
La Malédiction des 30 deniers est une bonne histoire, qui s'inscrit bien dans la série des Blake et Mortimer. Certes c'est très classique, et très inspiré de la série des Indiana Jones, mais l'enquête est bien menée, et l'astuce finale, qui permet à Blake et Mortimer de retrouver l'emplacement de la tombe, est plutôt bien trouvée.
On retrouve également un Olric, en pleine forme, selon les critères de la série.
Le dessin est maitrisé, le tout est très réussi.
Un magnifique album, que je relis souvent.
Un dessin noir, inquiétant. Une histoire où se mèle croyances de campagne, sorcellerie, querelles de clocher et règlement de comptes de village ...
Un bon album, qui redore le blason d'Olrik, bien plus percutant que dans les histoires précédentes (en particulier lors de sa promenade au Gondwana). Bien sûr on est proche d'un scénario classique de Blake et Mortimer, assaisonné de sauce Indiana Jones, mais j'ai eu un réel plaisir à suivre Mortimer, accompagné de la pulpeuse Eleni à travers la Grèce à la recherche des 30 deniers. J'attends la suite !
Cet album nous plonge dans une ambiance de "Quatrième dimension" absolument réaliste.
Les dessins, et notamment l'ambiance desuète de l'hotel de montagne, rappelle le charme des premiers Lefranc dessinés par Jacques Martin.
C'est peut être la clef du succès d'un bon épisode de Lefranc : inscrire le héros dans un cadre intemporel, en tous cas loin d'un certain modernisme, en inadéquation avec la mentalité scout de celui-ci.
A lire absolument.
Un bon opus. Le scénario est bien rythmé et le thème est original (même si le découpage de l'histoire est classique), et s'inscrit bien dans l'esprit des autres albums "précédents" tels que l'Ouragan de Feu ou la Grande Menace.
Le dessin manque cependant un peu de finesse, et les couleurs de vivacité, toujours en comparaison aux deux chefs d'oeuvres précedemment cités, réalisés par Jacques Martin.
Cette nouvelles série "1960" des Lefranc est très agréable à suivre, j'espère qu'elle va continuer.
La fausse idée géniale d'inversion de personalité, entre Mortimer et Olrik, occulte complètement la finalité de l'album, qui est la recherche d'une civilisation disparue. Si bien, qu'en fin d'album, on se demande ce qu'on fabrique dans les sous-sols du sanctuaire du Gondawana, au fin fond du Kenya.
On aurait très bien pu rester dans la banlieue de Londres ....
La balade molassone d'Olrik dans la savane n'est d'ailleurs pas à la hauteur du personage, qui nous a habitué à une plus grande ambition. Dans sa position, il aurait pu tenter de détourner les dernières découvertes scientifiques de Mortimer, à des fins destructrices ...
En conclusion, il y a 2 scénarios incompatibles et mal exploités dans cette histoire. Moyen plus moyen, ça ne fait pas la moyenne...