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Déjanter !!!
Toujours les mêmes mots qui reviennent dans les descriptions de cet album : voyage, virée, trip… Bref, ça bouge à Sonic City… Une BD qui va à cent à l’heure et qui se lit aussi vite. Conscient, à la fin d’avoir louper la moitié du dessin… alors, il faut vite la relire, la re-relire, la re-re-relire… pour pouvoir apprécier tous les petits détails qui rendent cette BD si addictive.
Un scénario très très bien construit, où l’auteur évite l’écueil de perdre son lecteur dans les délires fantasmagoriques de son héros. Un dessin et une couleur excellents : entre des cases fourmillants de petits détails et d’autres, plus dépouillés, de délires psychédéliques; des personnages hauts en couleurs et plus vrais que nature… Enfin, une vraie adéquation (réflexion) entre le contenant (format à l’italienne) et le contenu.
Le trip sous acide (ou sous quelque autre forme de substance hallucinogène), ce n’est pas mon truc. Mais, vous l’aurez compris, j’ai eu un bon délire en lisant cette BD.
Un moment unique…
A l’image de la couverture, Domas nous ouvre une fenêtre sur des tranches de vie de max. Chaque tranche est un moment de grâce, de grande joie ou de petit bonheur… autant de tranches qui font le sel d’une vie.
L’universalité des situations proposées, la simplicité du dessin, ramènent immanquablement le lecteur vers des situations plus personnelles. Cette BD est comme une petite madeleine de PROUST ; une machine à remonter le temps vers ses propres instants de bonheur.
Bref, si, comme moi, vous êtes rentré dans cette BD, vous en ressortirez avec regret et avec un petit sourire de béatitude. Vous aurez même, peut-être, le privilège de connaitre un de ces petits et trop rares moments uniques…
La vie est belle. MERCI Dominique…
Cet avis porte sur les trois tomes de la série.
Après un tome 1 plutôt réussi, M. BESS nous amène dans les profondeurs insondables à la rencontre de vampires plus proches des créatures de Cthulhu (H.P. LOVECRAFT) que de celles de Bram STOKER. Le scénario se délite complètement (sans doute dans les eaux du Gange) au fil des pages et on atteint même un apogée de mièvrerie dans l’épilogue.
A part quelques cases graphiquement intéressantes, on peut se demander, si on est en droit de poursuivre en justice son libraire pour escroquerie :
- des vampires qui n’en sont pas,
- un scénario indigent,
- certaines cases qui ne sont là que pour masquer le vide de la page blanche…
Bref, vous l’aurez compris je suis déçu. Déception d’autant plus grande que M. BESS nous a gratifié dans le passé (pas si lointain) de quelques must de la bande dessinée (Juan Solo ou Péma Ling pour les plus connus).
« Les Folies Bergère »... Oui, il s'agit bien de folies. Celles de la guerre.
Encore une fois, Zidrou nous gratifie d’un excellent scénario (cf. « la peau de l’ours »). Le contraste entre la vie à l’arrière et celle dans les premières lignes contribue à nous faire mesurer la descente vers la folie des uns et des autres. Le dessin de Porcel, l’utilisation des couleurs, jusqu’au choix du papier, nous embarquent dans cette histoire.
Pour ma part, bien que peu réceptif à la part de fantastique de cet album, j’ai été emporté par son atmosphère qui m’a laissé un goût de terre et de sang dans la bouche et l’odeur putride des tranchées dans le nez.
Bref, MM. Zidrou et Porcel nous livrent cet album comme un témoignage d'une guerre, d'une folie qu’ils n’ont pas connues (seuls nos arrières grands-parents se souviennent), et ils ont le talent de nous y faire croire.