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Une claque!
Je partage l'avis du chroniqueur J. Milette:
Cela rappelle le secret de l'espadon ou encore plus évidement objectif lune, mais sous acide!
Il ne se passe rien, c'est plein de tube et de bouton, mais on ne peut s'empêcher de tourner les pages frénétiquement pour rentrer dans ce cauchemar!
Excellente BD, qui fait bien réfléchir sur ce que peux amener le big data sur nos vies.
Ce n'est pas forcément "anti bigbrowser" et tout ça, c'est surtout un constat de à quoi ça pourrait ressembler....
La gestion de la couleur et du noir et blanc est très bien vue.
À lire du même auteur : le chercheur fantome.
Il semblerait que J. Milette, auteur de cette chronique n'a rien compris à cette bd, et c'est dommage.
Il ne faut pas s'attendre à lire une histoire classique de Lucky Luke, il y a pour ça la série canonique, dont le dernier tome scénarisé par Jul n'est pas trop mal.
Ici, on confie Lucky Luke à la vision d'un auteur.
Le Lucky Luke par Matthieu Bonhomme était excellent dans son genre, Celui de Bouzard l'est autant:
On étouffe de rire à chaque page, et ce parce que Bouzard joue avant tout avec son sens du comique qu'on lui connait.
Mais il y a plus:
Son humour joue sur plusieurs niveaux :
- humour potache, jeux de mots, comique de répétition et situations absurdes, et aussi et surtout il parle aux fans de Lucky Luke et de BD classiques en général (comme le titre ou le gag page 34 par exemple) . Il suffit de lire la quatrième de couverture pour comprendre l'esprit de la BD: "Lucky Luke, l'homme qui a eu l'idée de tirer sur son ombre".
Sans vouloir dévoiler l'intrigue - qui est bien réelle et pas famélique pour un sou, contrairement à ce que raconte l'auteur de cette chronique : Quel est le lien qui unis les héros de BD avec leurs animaux - la chute de l'histoire est vraiment excellente.
J. Milette affirme aussi que les personnages n'ont presque pas d'expressions et que les personnages sont presque tous dessinés de profil.
On se demande alors 2 choses:
Ce monsieur a-t-il vraiment lu la bd, tant il y a d'expression sur les visages ?
Se souvient-il que dans 90% des cas, Morris dessinait Luke de profil ?
Les choix de cadrages de Bouzard sont d'ailleurs très bons, c'est à la fois proche de Morris tout en sortant parfois un peu de la rigidité canonique.
Bref, Cette BD est sûrement un sommet de la nouvelle tendance actuelle qui consiste à confier un héro à un artiste.
Évidemment, il semble qu'il reste des personnes qui préfère (hélas) les albums scénarisés par Laurent Gerra.
Bref, ne vous fiez pas à cette chronique qui semble avoir été écrite par quelqu'un qui n'a pas pris le temps de la lire,
Vous pouvez la lire les yeux fermés.