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Un album qui se laisse lire agréablement. Un excellent fil rouge simple et clair à suivre. Apparemment, le temps assez long entre la sortie des albums de cette série est bien mis à profit pour gommer tout ce qui nuit à la lisibilité de l'histoire.
Bon, ne soyons pas trop dur...
L'auteur si je ne m'abuse est né en 1933. Ce qui signifie qu'en 2019 quand cet album est sorti, il avait déjà 87 ans ! Honnêtement, pas mal pas mal et j'espère si j'atteins cet âge être encore en mesure de pratiquer mon métier aussi bien.
Pour le reste, j'ai de plus en plus de mal à suivre le fil rouge des scenarii des derniers albums. Et celui-ci ne fait pas exception. C'est décousu, compliqué et loin de la qualité d'un opus comme "Les 3 soleils de Vinéa".
D'une manière générale, j'ai l'impression que ces personnages se sont englués dans un canevas très peu dynamique où le thème de l'amitié n'en finit plus d'être servi à toutes les sauces.
Ce qui serait chouette, c'est que l'auteur transmette son personnage à de jeunes auteurs qui pourraient la faire vivre réellement au XXIème siècle.
Pas trop mal. Le scénario tient assez bien la route et les explications scientifiques sont un peu plus fouillées que ce qu'on lit d'habitude ailleurs. Les éléments de cosmologie et d'astronomie risquent toutefois de perdre un peu le lecteur non-averti.
Ce qui serait bien de la part du scénariste surtout, c'est de fluidifier peut-être davantage la trame narrative. Améliorer la lisibilité et le fil rouge pas toujours évident. Réduire la succession des scènes qui se passent à des endroits différents et avec d'autres personnages. Ces successions trop fréquentes dans la série Prométhée par exemple finissaient par lasser.
Curieux de lire la suite...
Et hop ! Une énième fable bobo écolo avec ses sempiternels grands axes idéologiques… Les Etats sont peuplés de pauvres victimes soumises à quelques sombres gouvernants méchants (technofreek et capitalistes comme il se doit) et, ce coup-ci, apeurés par une menace qui va détruire toute leur vilaine technologie qui n’en finit pas de salir la planète – les pôvres militaires sont bien entendu encore une fois inclus dans ce tas ! Pour résoudre le gros problème-du-rayon-vert-de-Bruxelles, ces méchants gouvernants n’ont pas d’autre idée que de faire sauter 3 missiles sur cette bonne ville qui voit son Palais de Justice devenir le centre d’un phénomène grotesque. Mais, des gentils qui refusent la modernité – Ah, le fameux « C’était mieux avant ! » – résistent en se cachant dans la ville devenue une zone interdite. Ils vivotent gentiment en cultivant leurs petits lopins de terre (je parie qu’ils sont tous vegans) et sont très heureux, enfin délivrés de la vilaine modernité. Ils se plaignent toutefois de ne plus avoir accès aux nouvelles et au chocolat. Ben tiens ! Je me demande aussi ce qu’ils font quand l’un des leurs attrape une crise d’appendicite où une rage de dent qui dégénère… Le zad-chaman local trouvera certainement la solution.
Ce qui est le plus horripilant, c’est l’abus de termes scientifiques qui fleurent bon l’incompétence en la matière. Alors qu’il est tellement facile de se documenter aujourd’hui, ce qu’Edgar P. Jacobs ne pouvait faire il y a 50 ans. Ha ! La réaction en chaaaiiiine qui va tout faire péter ! Ha, la cage de Faraday qui isole la Palais de Justice lequel rayonne un truc comme le rayon du mystère emprunté à Jo, Zette et Jocko. L’ignorance émotionnelle collective va encore s’en trouver ragaillardie.
Et pour finir, Schuiten envoie la 12 poussant une tonne de TNT se faire sauter dans la cave du Palais de Justice. En empruntant une dérivation inconnue de la jonction Nord-Midi, je présume…
Bref… 2/10 ... ou 1/5
Après m'être farci Paradis Perdu et Enorus (Conquêtes) assez médiocres, cette histoire fonctionne nettement mieux et se laisse lire. J'aurais quand même souhaité en savoir un peu plus sur le contexte, avoir un développement plus complet de ces dingues sur leur île par exemple. La fin et le sort d'Ana me laissent perplexe toutefois...
Pas mieux que le premier tome. C'est lourd et pesant. Une forme de grandiloquence des bons sentiments...
Scénario décousu. Fil rouge difficile à saisir. Mise scène compliquée pour tenter de noyer le lecteur. Histoire tirée par les cheveux avec une surenchère d'états d'âme sous forme de slogans à l'emporte-pièce...
Parfois désespérant à l'heure d'internet où se documenter un minimum est tellement facile... Cela commence dès la première planche : "30 milliards de km de la Terre" ! Histoire de faire loin d'ici, très loin. Sauf qu'en cherchant un peu, l'exoplanète la plus proche de la Terre ne peut pas se trouver plus près que l'étoile la plus proche, soit 4,3 années-lumière ou 43 000 milliards de km. C'était déjà mal parti en ouvrant l'album avec le petit descriptif de cette exoplanète... Leo dans ses séries Antarès, Betelgeuse, etc faisait quand même nettement mieux.
La suite est assez décousue. La trame narrative est difficile à cerner, avec ce sempiternel discours manichéen des méchants (souvent militaires d'ailleurs), des méchants technocrates, des gentils faibles, un peu pirates informatiques... Pfff Non merci.