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Le passage d’un dessinateur à l’autre dans les autres tomes était passé inaperçu, ce n’est plus du tout le cas ici. Je trouvais la couverture un peu moins réussie, l’intérieur est encore pire. Ce n’est pas que c’est mal fait mais ça me rappelle les BD d’une autre époque où le réalisme allait de paire avec le statique et la rigidité du trait. Je n’accroche pas du tout. Le scénario reste bien même si la peur de tourner en rond pointe le bout de son nez.
Déjà capté par la couverture en ligne, j’ai pu le feuilleter aujourd’hui en magasin. À peine avais-je tourné les pages que je savais que je reviendrais avec. Le dessin est somptueux, on ressent parfaitement le mouvement, on se croirait dans un film. La mise en couleur est parfaite conjuguant une palette de quelques couleurs seulement par séquence, cela ajoute certainement au graphisme. Le scénario est juste, passant d’un narrateur à l’autre, d’un point de vue à un autre. On lit le tout d’une traite. Bref, j’ai beaucoup aimé, cela faisait longtemps que je n’avais pas fait une belle découverte comme celle-ci.
J’avais entendu Keramidas en parler à la radio et franchement, ça donnait envie de lire l’ouvrage. Décortiquons l’histoire. L’histoire nous plonge dans le quotidien d’un chasseur d’invaders et plus particulièrement dans celui de Keramidas. Si on perçoit assez vite la passion qui anime l’auteur, on a un peu de mal à décoller totalement parce que ça reste une passion peu à la portée de tout le monde. On aurait aimé également que l’auteur nous raconte un peu plus tel ou tel voyage. Ça reste une succession de chasses. Le dessin est en mode croquis, on ne sait pas si ça a été fait sur le moment, sur photo, de mémoire. Le dessin ne casse rien et quand on sait de quoi est capable l’auteur, ça déroute. J’y ai quand même pris du plaisir mais je ne sais pas si ça valait la peine de faire autant de pages, la moitié ou le tiers aurait suffit ! Ou alors, il se l’est joué comme un chasse improvisée
Je mets 4/5 mais je suis plutôt dans le 3,5. Nos goûts sont plutôt diversifiés en BD. Lorsque j'ai vu la couverture sur les présentoirs, je n'ai pu m'empêcher de penser au dessin de Barbucci dans les soeurs Gremillet (grands yeux, visages ronds...). Ma femme aime beaucoup l'univers de Barbucci et je me suis dit pourquoi pas. Le dessin est en effet, tout au long du récit, agréable, léger et frais. Le scénario quant à lui n'est pas très surprenant, la couverture et le titre donnaient un bon aperçu ce que qu'on pouvait trouver à l'intérieur. Sauf que je suis un adulte avec ma propre compréhension des évènements qui se déroulent au Proche-Orient. Si on prend la posture d'un enfant, le livre devient beaucoup plus intéressant car il permet de suivre plusieurs adolescent(e)s avec leurs aspirations, leurs réalités, les pressions sociales. Cela pourrait questionner justement nos enfants sur les tensions géopolitiques qui existent sur terre par les yeux d'autres enfants qui les vivent. En cela, le récit devient beaucoup plus pertinent. En somme, je dirais qu'un adulte y perdra un peu son temps mais que c'est un récit tout à fait adapté et intéressant pour des enfants dans la tranche d'âge 9-15 ans.
C'est effectivement le récit de l'entremêlement de l'art et du pouvoir mais c'est aussi l'enchevêtrement de récits de vie dans un pays autoritaire. Le graphisme est très agréable, très doux et correspond bien à l'ambiance que l'on ressent à Cuba. Pour ceux qui ont déjà eu la chance de voyager à Cuba, ça rappelle des souvenirs car le Cuba d'il y a quelques décennies n'a pas tellement changé. Bref, c'est un livre agréable, une belle découverte
L'album, dans son ensemble, est plaisant à lire et laisse une bonne impression en fin de lecture. L'univers est, à ce stade, encore inabouti et on distingue encore mal l'intérêt de l’irréel dans le réel. Le dessin manque un peu de finesse tout comme le scénario. La critique est facile et nous verrons comment le deuxième tome se distingue du premier et ajoute ce petit plus qui le fera monter d'un cran.
L'ouvrage est un peu en deçà de ce que nous attendions. Nous n'avons pas lu les 4 tomes séparément et faisons donc notre critique vis-à-vis de l'intégrale. C'est ma compagne qui a été intéressée par le dessin et l'intrigue. Pour moi, ça se rapproche très fort des intrigues type "Sherlock Holmes" en introduisant un personnage féminin en lieu et place de Watson. On retrouve ce genre de scénario dans la BD Aspic (que nous aimons aussi par ailleurs). En soi, c'est bien fait, le dessin est très léché et rappelle à quelques égards les personnages féminins de Walt Disney (grands yeux, joli petit minois) et le scénario est correct. Toutefois donc, je n'ai pas perçu une originalité fracassante et reste donc mitigé à cet égard.
Je mets 4 car ça reste une série très réussie même si les deux derniers tomes sont un peu moins surprenants. J'aime toute de même chaque fois l'univers de Lupano qui est devenu, ces dernières années, un scénariste de premier plan !
Décidément, je tombe toujours sur les BD's que Yann déglingue... Bon, du coup, qu'est-ce que je fais ? Je vais voir ce que Yann aime... On comprend vite... Il m'est arrivé de déglinguer des BDs mais la plupart du temps c'est parce qu'il y avait une énorme déception à la clé (genre, t'achètes la BD car la dessin est terrible et le scénario te semble correct et puis PAF !). En règle générale, je préfère dire du bien des BDs que j'achète. Revenons à Ekhö... Évidemment, l'emprise d'Arleston sur Soleil ne plaît pas à tout le monde mais force est de constater que ça ne fonctionne pas si mal. Le dessin d'Ekhö est franchement pas mal pour ceux qui aiment ce style. Le scénario : bin oui, on tourne autour de la même logique : une quête, une révélation, un destin (pour ne pas en dire trop). Ça fonctionne bien, c'est distrayant ! Pas de quoi soulever des montagnes mais ça détend convenablement !
Je rejoins l'avis d'Inbor... Évidemment, qu'il y a plus fins comme dialogues et scènes mais ce n'est pas le but poursuivi. Quant au dessin, j'y ai plutôt bien survécu. Comparer Songes à Red Skin est plutôt délicat puisqu'en fait, ça n'a rien à voir. Le dessin de Songes était basé sur une vision onirique et art nouveau de la femme tandis que le dessin de Red Skin fait davantage penser aux comics américains (A. Hughes, E. Lupacchino,...). Du point de vue de l'histoire, c'est la confrontation immédiate des deux nations fortes (USA et URSS) pendant la Guerre Froide. Deux nations bien bourrines qui n'hésitent pas à se taper sur la gueule pour telle ou telle raison. Puritanisme américain vs autoritarisme bolchévique = grosse boucherie sauce piquante. Là ou Dodson et Dorison font fort c'est dans l'approche du personnage de Véra. Outre sa mission d'agent secret, cette bien jolie dame est un soupçon nympho, hystérique et bagarreuse. Et pourtant, autant dire que toutes les scènes qui pourraient attirer le chaland sont évitées ou habilement contournées. Pas de quoi fouetter une ribambelle de chats somme toute !
L'association Jordi Lafebre et Zidrou continue de m'épater. Souvent en One shot, ils proposent ici une série qui s'étendra sur plusieurs tomes. Récit en petits moments du quotidien assemblés, agrafés, cousus les uns aux autres en un chouette patchwork de la vie. Pour ceux qui ont aimé (aiment) les Vieux Fourneaux, Lydie, le Combat Ordinaire,...
Cette série a pris de la profondeur et les personnages ne sont plus aussi stéréotypés que ce qui me semblait initialement. En somme, comme les bons vins, cette série prend du corps avec l'âge !
L'artbook est conséquent, bien fourni, pas mal d'explications sur la genèse d'Okko, sur les différents intervenants,... Il manque, pour moi, un peu de croquis (j'aime bcp ça !)
Je rejoins assez bien les avis de mes comparses de commentaire... J'ai aussi flashé sur le dessin et l'histoire a suivi correctement... ça vaut vraiment le détour, il n'y a pas à hésiter... L'album n'est quand même pas très bon marché si on devait y mettre un tout petit bémol mais bon, quand on voit la qualité, on oublie rapidement ce détail !
Je ne suis jamais très objectif quand je poste un commentaire sur une BD dans laquelle Alex Alice est impliqué. Le dessin est dans la continuité de l'oeuvre d'Alice, il ne fait pas défaut, l'encrage est magnifique. Point de vue scénario, j'avais eu un peu de mal à rentrer dans les trois premiers tomes du Troisième testament version Julius mais le dessin m'emportait néanmoins à la fin du troisième opus. Ici, c'est différent, le dessin est toujours superbe mais le scénario a repris ce petit quelque chose qui manquait aux précédents tomes. Je retrouve les sensations que j'avais eues lors de la lecture du premier quadriptyque, c'est donc plus qu'encourageant pour la suite !!! A savourer sans réserve
Acheté au Carrefour parce que 2+1 bd gratuite... La couverture me plaisait, le thème aussi et Di Giorgio aux commandes du scénario (après les excellents Samurai et Samurai Légendes)... Du coup, c'est la grosse déception, le scénario est franchement limite, le dessin est correctement fait ('faut dire qu'on a pas affaire à un novice...) mais sans plus... J'aime penser que c'était "la" bd gratuite du lot...
J'avais vraiment bien aimé les deux premiers albums, c'était frais, entrainant et bien en place.
Le troisième album est toujours bien en place mais je n'ai pas vraiment ressenti la même fraîcheur. J'ai eu cette impression de "déjà lu"...
Je n'ai pas vraiment ressenti "cette déception" du scénario dans le tome III. Ca n'avait rien de super original à la base, juste que le dessin est vraiment bien et les personnages sont attachants... Le reste...
J'ai craqué sur cette BD avec la publication d'un coffret et ex-libris. Parce que j'avais adoré Lydie lorsqu'il était sorti, je n'avais pas l'impression de faire une "mauvaise affaire" avec "La Mondaine". Bien qu'un peu moins touchant que Lydie (ce n'est que mon point de vue), le livre propose d'intéressants contrastes dans l'évolution des différents personnages : tout n'est jamais tout noir comme tout n'est jamais tout rose... A lire bien entendu !
Franchement, ça tient toutes les promesses émises par le premier album. Un fond de mystère plane toujours sur l'intrigue ce qui pousse le lecteur à toujours aller plus loin ! Une bonne chose en somme ! Je recommande vivement ! (Tout le monde s'en tape mais moi aussi...)
A priori, Furiko peut donc avoir des sentiments ! Bon à savoir ;)... Cet album relance quelque peu la machine, il arrive donc à point !
Aïe, Chimère, pourquoi es-tu devenue comme cela ? De victime, Chimère devient prédatrice sans finesse, ni raffinement. Les intrigues qui nous retiennent sont celles de la vie de son père Vincent et de la nouvelle venue à la perle pourpre... Chimère, s'il-te-plait, redevient une gamine !
Évidemment le dessin est toujours au top ! Au rendez-vous les meilleurs dessinateurs suiveurs des Matthieu Lauffray et Alex Alice. Point de vue scénario, on entrevoit la suite et ce n'est pas plus mal, par contre, j'ai l'impression de retrouver certains travers de Totendom (super série mais qui n'a pas fait grand bruit malheureusement !) : on s'y perd et on s'y retrouve en fin de compte mais c'est parfois dur à suivre...
Enfin pour ceux et celles qui aiment l'univers de Lauffray, Alice, Recht, Bastide,... foncez, les encrages et couleurs sont toujours aussi beaux !
Bin oui, ceux qui s'attendent à voir du cul à chaque case vont être déçus... Par contre, prendre un américain pour dessiner une super héroïne vêtue de rouge et portant le marteau et la faucille, si ce n'est pas du grand art ça ! Je me suis bien amusé, Dodson a un dessin terrible (genre playmates siliconées -> v. songes pour BD franco-belge...) et avec Dorison aux commandes du scénario, ça augure de bons moments pour la suite...
Album frais, intrigue intrigante, dessin bien en place. On prend plaisir à lire cette BD, tout se tient, bien en place... A mettre dans les mains de tout le monde...
Evidemment le dessin de Munuera est toujours aussi ensorcelant, le scénario tient toujours la route... Cet album confirmera la vengeance de Blanche et une bonne défaite de ses adversaires... Blanche prend de l'assurance et prend, pour quelques planches, une allure un peu gothique (quelle ironie sur fond médiéval...). Ce n'est pas l'album du siècle mais on prend plaisir à le lire...
C'est un peu comme toutes les séries d'Arleston, ça commence parfois très bien et ça finit par s'essouffler... Le dessin est également moins bien (comme les derniers tomes de Luuna)... C'est décevant...
Evidemment, c'est le genre de truc qui va devenir collector super rapidement. tant pis pour ceux qui n'auront pas été assez rapide pour l'acheter... Toutefois, la version cartonnée sera bientôt disponible. Alors qu'est-ce que ça raconte ? Sur fond de conflit entre la Bavière et la Prusse, le prince de Bavière (si je ne me trompe pas), une sorte de despote éclairé, décide d'atteindre l'Ether, chose rare encore jamais (ou peut-être pas) atteinte... Il s'entoure des meilleurs scientifiques dont un papa et son garçon... L'aventure est axée sur les aventures du père et du fils et de quelques acolytes... Evidemment le dessin est magnifique, les couleurs sont particulièrement réussies et l'histoire nous embarque rapidement dans le sillage de son aéronef... A lire avec un cacao chaud et des madeleines, une froide nuit d'hiver au coin du feu...
Nous voici donc arrivés au dénouement de cette intrigue. Malheureusement, ça capote un peu sur la fin, on ne se sait plus trop à quel saint se vouer. La chute était prévisible (enfin pour moi, serais-je devenu devin ? Je peux lire votre avenir dans ma boule si vous le désirez...). En outre, je trouve personnellement que le dessin est moins bien que pour les deux premiers tomes.
Je pense que cette série est terminée bien que BDgest indique toujours en cours...
Acheté pour ma copine, je l'ai lu après elle (bien entendu !). Le dessin est correct sans toutefois être incroyable. Le scénario quant à lui est bien ficelé, une bonne petite intrigue est mise en place dans ce tome. Les manigances, arnaques et sabotages semblent faire partie du quotidien de ces deux frères qui ont repris le cabaret de leur frère prématurément décédé. J'ai l'impression qu'il n'y aura que deux tomes, on attend donc de voir la suite !
Quand on est habitué à Kogaratsu, on n'est jamais vraiment déçu mais j'ai l'impression que je ne me souviens quasiment jamais des histoires. L'intérêt, c'est que je peux les relire régulièrement, l'inconvénient, c'est qu'on se dit que ça ne marque quand même pas des masses...
Mouais bon, on vogue un peu sur la mouvance Hunger Games... Je trouve que c'était bien parti sur le glauque, ça perd un peu d'intensité du coup...
J'suis un peu déçu, d'après mon libraire, la série devait être en 3 ou 4 tomes, mais il parait que ça ne marche pas des masses... Du coup, ils ont clôturé en deux... Et ça se sent un peu je trouve... Sinon, ça reste une belle bande dessinée que je ne regrette pas du tout !
Mouarf, c'est quand même un peu moins bien que les deux premiers albums. Je croyais que ça allait être plus alambiqué que cela ! J'suis un peu déçu, je l'avoue...
Depuis le temps qu'on l'attendait celui-là !!!! Je suis personnellement un peu déçu de la fin qui ne casse rien mais reste une bonne fin, c'est probablement du à l'attente et aux attentes que j'avais de cette BD.
Chouette BD, pas du tout cliché. Il manque de prêtres comme celui-là pour évangéliser tous les païens que nous sommes... Sans déconner, c'est un beau dessin et l'histoire se prête bien au décor.
Un peu moins bien que le premier. Le dessin semble avoir un peu perdu. L'histoire est dans le fil du premier tome et de la saga.
Franchement, je sentais poindre l'ombre d'une grosse daube et bien mal m'en a pris. Le scénario est finalement bien ficelé et le dessin pareil à la couverture. Une belle découverte
Dessin et scénario bien en place. L'histoire de Munuera est fraiche et sympathique. Le dessin et le scénario est bien adapté pour les enfants. C'est une BD correcte.
Ca patauge... Le dessin est toujours aussi bien, le scénario, ça se barre en sucette comme toutes les séries d'Arleston ! Diantre, ça sent la fin de l'engouement pour la Fantasy dans la BD...
Merde alors, elle n'a que 14 ans... Elle fait froid dans le dos cette gamine... La fin est prévisible malheureusement, comment Gisèle va réagir, c'est surtout ce qui nous gardera éveillés pour le prochain tome. La couverture est magnifique... Chimère, un peu trop mature tout de même !
Je ne serai pas objectif tellement j'aime le dessin de Munuera. Il continue dans la lignée de Fraternity avec des couleurs en lavis. Pour moi, la vague espagnole est incomparable pour l'instant !
Le dessin est pas mal, beau jeu de couleurs bien que les couleurs un peu "passées" ça marche un temps mais ça rend aussi les dessins fades et peu expressifs. Pour l'instant, nous sommes "encore" dans un remix d'Alice aux pays des merveilles. Il serait temps de passer à autre chose...
On attendait depuis déjà quelque temps le dernier volet de la trilogie. C'est un peu décevant et cousu de fil blanc. Autant la série avait commencé sur des chapeaux de roue autant la fin et lente et prévisible. Ça n'empêche que c'est un très beau dessin et une bonne histoire globalement mais, pour moi, la fin est bâclée...
Je me suis laissé prendre par le marketing de Glénat et j'en suis bien content. Etant un adepte de la bande à Mathieu Lauffray et Alex Alice, on ne peut pas vraiment être déçu en lisant Elric. Graphiquement, tout est bien en place, bel encrage et ce côté très BD des visages de Bastide (je pense !) bien présent. A lire d'urgence, le scénario tient, jusque là, toutes ses promesses !
Même constat que pour le premier tome... Affaire classée... Quelques dessins auraient pu sauver la chose... Tant pis...
Quelle déception, et pourtant fan de Broussaille, pas l'ombre d'un croquis ! Des planches de jeunesse de Frank ! Très trompeuse cette couverture, ne vaut pas le prix dépensé !!!
Alice in Wonderland is back... Il ne manque plus qu'un lapin blanc avec une horloge... Le dessin est très chouette (type Art Nouveau), le scénario est bien ficelé, parfois on s'y perd un peu mais ça reste une BD à lire et à avoir chez soi.
C'est vraiment une grosse bouse... Le dessin est moche, pas de fond à l'histoire, c'est vulgaire et même pas drôle. Rien de neuf, tout juste bon à allumer un feu...
Dessin bien en place, précis et efficace, rend bien la chaleur des vahinés, on se sentirait presque contre leur peau (Grrrr...). Pas de vulgarité, juste une insouciance "violée" par une guerre aussi dévastatrice qu'absurde. Le deuxième tome conclura ce diptyque de la meilleure manière. Rien à redire, scénario et dessin se conjuguent à merveille, il manque des histoires comme celles-là en BD. A lire, relire, sans modération.
Je ne suis pas un grand fan du dessin car ça manque d'un petit quelque chose que je ne saurais dire mais l'idée de base est vraiment bien quoiqu'est-ce vraiment moral le fil de toute cette histoire ? Je n'en sais rien et je m'en fous mais on ressent bien les angoisses du héros et le coup de tête que l'on pourrait tous avoir un jour à l'aube de la quarantaine...
C'est vulgaire, j'aime... Le dessin est un régal pour les fans de comic américain revisité à la sauce européenne, il y a du Roy Liechtenstein là-dedans... L'histoire est pas mal, et Butcher est une vraie teigne comme tous les méchants vilains dont il va botter le cul... Je suis grossier mais je reste dans l'esprit de la BD... A lire...
Je n'aime pas les mangas, et bien ça y ressemble furieusement... L'histoire est vraiment mauvaise (genre un San Goku avec des gonzesses, il ne manque plus que le nuage magique et Tortue géniale). La BD se sauve par le dessin, il y a quelques dessins à relever : pp. 11-12, p. 60 et la galerie en fin de récit. Je ne sais pas, je reste perplexe, j’achèterai le deuxième pour voir où le scénario nous emmène encore...
Oui, vraiment une bande dessinée captivante, enivrante et envoûtante. On vous plonge dans cet atmosphère XIXème siècle avec une facilité déconcertante. Les bordels sont mis à l'honneur avec des frou-frous, des boudoirs et des créatures enchanteresses. Le deuxième tome est graphiquement moins intéressant mais le scénario emporte tout. Croyez-vous qu'il est possible de corrompre un esprit simple ? Certains éléments de réponse vous seront jetés en pâture.
A croire que Lupano choisit ses dessinateurs. Dessin s'apparentant à "L'Assassin qu'elle mérite" autre série scénarisée par Lupano actuellement. Comme dans cette dernière série, Lupano aime mettre en avant une époque durant laquelle les castes sociales étaient bien différenciées. Et c'est justement le choc de ces classes sociales qui entrainera l'histoire, d'abord amusante après dramatique. Une pointe d'humour, un grosse dose de mélancolie et vous obtenez un Lupano. C'est beau, c'est bien et entrainant mais ça vous laisse sur le bout de la langue une certaine amertume.
Je les ai achetés pour ma copine et je les ai tous lus d'une traite. C'est marrant, c'est mignon et Rebecca est trop poilante !
Je trouvais que ça perdait en intensité au fur et à mesure des tomes. On revient à une fin haletante et à un scénario qui donne (redonne ?) enfin l'envie de lire la suite.
Bon évidemment, si vous n'avez pas aimé la série, ça ne sert à rien d'acheter le TT. Par contre, dans le cas contraire, vous serez aux anges, c'est un véritable petit bijou. En plus d'une sérigraphie signée, vous trouverez un important cahier graphique avec, détail non négligeable, une quinzaine de planches qui ne font partie d'aucune des trois BDs (ça donne quelques indications supplémentaires). Après, le format est légèrement plus grand que les autres tirages de tête que je possède ce qui est encore plus handicapant pour une bibliothèque bien rangée...
Acheté sur base des évaluations des gens... Pas déçu du tout... Dessin assez proche de Gazotti, intrigue impeccable de Tome. Un bon triptyque, efficace, comme on les aime...
Heu, comment dire, le genre de BD à avoir absolument chez soi. L'histoire prend une tournure tout-à-fait mystique ou mythique allez savoir... Est-ce que Jack Stanton deviendra omnipotent, on ne le sait pas encore, toujours est-il que cet opus ne nous éclaire pas beaucoup plus sur les aboutissants de cette folle histoire et c'est pour ça qu'on attend le tome suivant avec impatience...
On pourrait croire à première vue que le scénario est assez basique. Cela dit, il regorge de petits moments plaisants et humoristiques qui enjolivent parfaitement un récit peut-être pas le plus original du monde mais qui fonctionne bien et vous plonge rapidement dans l'intrigue. Le dessin quant à lui, marque le juste trait, ni trop complexe, ni trop simple. En somme, un très beau dessin et un humour fin et amusant, je recommande...
C'est clair que là, ça devient trash... Je me souviens avoir lu Mèche rebelle dans le Spirou, je vois mal La fabrique des mères éplorées dans ce même hebdomadaire. Ce n'est sûrement pas à mettre dans les mains d'un enfant ou d'un adulte dépressif. C'est noir, glauque, troublant. Ils auraient dus s'arrêter ici. Il y aura tout de même un dernier proTECTO qui n'aurait peut-être pas du exister...
Je l'ai relu ce matin... On attend vraiment la suite, Adam, Midam si vous m'entendez... Dépêchez-vous, quasiment quatre ans, c'est trop long...
Décidément, j'ai commencé par la lecture de Zoo mais Broussaille c'est plus simple et plus sympa, deux histoires formidables, des dessins complètement touchants, une petite Sandrine qu'on a envie de serrer dans nos bras (comme Broussaille) sous un soleil teinté de savane africaine.
Album reprenant l'histoire en planches originales N/B ainsi qu'une série de croquis divers, un film transparent, ex-libris,.... N'apporte pas grand chose à la bande dessinée initiale (on aurait davantage voulu de croquis). C'est plus l'objet des gros fans qui restent, comme moi, des mordus de ce tome 46 (ça coûte quand même cher d'être fan, c'est regrettable)... ;)!!!!
(Concerne le tirage de tête chez Khani)
Croquis magnifiques en fin de recueil, format agréable à tenir en mains. L'histoire reste la même mais en noir et blanc, reprend les deux premiers tomes. On retrouve aussi un commentaire de Pierre Dubois. Pour les fans!
Le scénario n'est toujours pas terrible mais bon ça on s'y habituait. Par contre, le dessin qui était franchement somptueux a perdu, selon moi, de sa superbe. On a l'impression que c'est l'album qu'on a sorti vite vite pour les fans du chat détective, certains dessins me semblent un peu vite faits. Je suis déçu de ce tome même si cela reste une série indispensable!
Si c'est vrai que le dessin est magnifique, tout cela manque, selon quelque peu, d'originalité... Aimant déjà beaucoup Kogaratsu, j'ai vu dans Okko, une redite "fantastiquée" (Scénarios très similaires en fin de compte!). J'ai bien aimé mais je reste un peu perplexe quant à la super originalité clamée par les fans de la première heure... C'est bien, c'est japonais, c'est beau, c'est sanglant, c'est du déjà vu...
Intrigué, surpris et content de ne pas avoir inutilement acheté cet album. Ce sont les trois adjectifs que je retire après lecture de cet album. C'est toujours difficile de réécrire un mythe tel celui de Jules Verne et pourtant le scénario ne nous entraine pas dans des clichés, que du contraire, la fin nous donne faim pour la suite, et l'album a son lot de rebondissements et d'intrigues. Côté dessin, c'est sûr qu'il faut aimer mais moi j'ai aimé, ça change de ce qu'on a l'habitude de voir.
J'espère de tout coeur que cette BD restera dans les annales, car Tome et Janry ont au moins eu le mérite de sortir des sentiers battus et je crois que Franquin applaudirait des mains et des pieds cette façon de revisiter le mythe Spirou et Fantasio...
Bien que n'étant franchement pas fan du dessin (style Jacques Martin), il faut reconnaitre que le scénario est franchement bien, je le trouve mieux que le tome Bianca bien que préférant le dessin de ce dernier. Finalement, pour ceux qui n'aiment pas ce type de dessin, le scénario arrive à vous faire passer outre cet "inconvénient" ce qui est, selon moi, plutôt rare...
Que les fans de Jack l'éventreur et ses intrigues à Whitechapel se délectent de cette revisite du serial killer le plus connu au monde... Tout cela sur fond de magie et de petits lutins aux oreilles pointues. Ce coktail entre un dessinateur talentueux, avec un dessin juste et émouvant et un conteur hors-pair (lisez vite tous ses recueils de contes!!!) vous emporte vers une saga qui commence à devenir de plus en plus palpitante. Nous sommes bien loin des légendes à deux centimes servies à la pelle par certaines maisons d'édition... Oui, ça reste de la magie! Oui, c'est encore peuplé de créatures diverses mais c'est joliment dessiné et toute l'expérience de conteur Pierre Dubois transparait de la meilleure façon dans cette épique aventure...
Zidrou s'est surpassé, n'étant pas un grand émotif, c'est vraiment une histoire joliment ficelée mêlant humour et drame habilement. Le dessin, bien que ne connaissant pas l'auteur avant, est doux et s'accorde parfaitement avec une histoire pleine en émotions. Habitant un village, les personnages sont authentiques avec leurs qualités et leurs défauts! A lire d'urgence...
Sympa, très dans la veine des albums Air Libre d'Hausman, les amateurs de contes populaires seront ravis...
Petit bémol : le dessin bien qu'étant encore très beau, il me semble qu'il ait un peu perdu certaines subtilités graphiques des Air Libre ou de Zunie...