Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 03/12/2024 à 20:20:24 en 0.0242 sec
Du grand n'importe quoi d'où surnagent quelques bonnes idées. J'ai regretté les presque 30€ que cet album ont coûté.
Le scénario à la fois classique et vulgaire nous mène comme son héro de charybde en scylla. Le dessin est bon, mais manque parfois de clarté. Je pense qu'à part en lisant sous acide, ça reste un objet complètement dispensable.
Le final s'il est bon, ne parvient pas à racheter les 200 précédentes pages.
C'est joli, c'est poétique, mais au final, ce n'est qu'un grand bof qui ressort quand je referme l'album. Je l'ai lu deux fois de suite, et je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine frustration... Tout ça pour ça ?
Graphiquement rien à redire, et le fait que l'album soit sans parole (ou presque) ne m'a pas gêné, on prend plus le temps de décortiquer les dessins. Mais le tout reste bancal, un caillou dans la chaussure, et si le monde qu'ils traversent est époustouflant, il manque de cohérence, de background qui rendrait l'histoire plus forte.
J'avais déjà été à moitié convaincu par Coda, Saison de sang n'arrive toujours pas à me faire pénétrer l'univers de Spurrier et Bergara.
Magnifique album, haut en couleurs, une vision sur notre relation à la mort à différents époques d'une vie. Et une réflexion intéressante lorsqu'on entend Elon Musk envisager sérieusement une course à l'immortalité.
Une histoire surprenante qui tout en reprenant les classiques du genre arrive à donner une saveur particulière.
Sur cet album, Daniel Kraus qui a bossé avec Guillermo Del Torro sur les excellents Trollhunter ou la forme de l'eau, n'a rien à envier au maître Stephen King, et on lui souhaite une belle carrière dans les comics également !
Un très bon album mais qui manque cruellement de lisibilité.
Les dessins sont magnifiques et l'histoire prenante, mais il y a beaucoup de personnages, et les plans serrés, cadrés sur une partie du corps, ne permettent pas une identification facile. Idem pour les plans trop larges dans lesquels les personnages sont réduits à des fourmis.
Bref, il m'a bien fallu relire certaines pages deux ou trois fois avant de comprendre de qui il s'agissait (Il va d'ailleurs falloir que je relise le tout parce qu'il y a encore des éléments qui me semblent obscurs)
Tout ça n'arrive pas à gâcher tout de même les qualités de cet album. Une histoire dense, intéressante, mais qui aurait mérité plus d'espace pour s'exprimer.
Un album de bonne facture, pas un des meilleurs, mais on retrouve avec plaisir les aventures de Leo et ses amis. Bientôt 30 ans que le détective résout des crimes, et on peut dire qu'il tient toujours la forme.
Une version moderne de Corto Maltese, le dessin de Bastien Vives cole bien au personnage, même si ça fait bizarre de ne plus le voir avec sa casquette d’officier de la marine !
Le scénario réserve quelques rebondissements intéressants, et on retrouve un Corto parfois poète, parfois philosophe, digne successeur de ses propres précédentes aventures.
Une série vraiment inégale, les albums s'enchainent avec rythme, et si l'idée de départ est plutôt bonne, la série ne cesse de s'essoufler.
Quand au dessin de Joël Jurion, malgré l'expérience, il ne s'améliore pas et devrait éviter les points de vue en plongée, contre-plongée, n'est pas Alex Alice qui veut et la gestion de la perspective est sur certaines cases plutôt grotesque. Je ne dis pas que tout est mauvais, loin de là, mais il faut parfois savoir reconnaître ses faiblesses.
Graphiquement au top, mais je préfère largement les séries où il ne s'occupe pas du scénario.
L'histoire est cependant bien rythmée.
Aaaaah, ça faisait longtemps que je n'avais pas autant regretté un achat !
Que d'ennui dans cette farce ! Que de lourdeur dans le style !
Dans ce monde dystopique, le rire est interdit soit, mais pour le lecteur aussi. Sincèrement, j'aimerais trouver du positif, mais c'est difficile. Sans être fantastique le dessin est assez bon, il y a quelques cases vraiment très fouillées, et les expressions, importantes dans une BD pareille, sont bien retranscrites. La couleur nous emmène également des sommets aux bas-fonds dans des ambiances très distinctes.
Au final, je vais quand-même voir si mon libraire veut pas me rembourser, parce que j'ai trop souffert à la lecture.
Un album magnifique au niveau graphique, mais très difficile à lire. Le rythme est fantastique, ça part dans tous les sens, mais au final, je n'ai pas réussi à suivre le fil. J'ai été complètement perdu comme s'il me manquait des codes ou des clés pour comprendre.
Peut-être une relecture aidera, mais j'ai déjà mis près de 6 mois à le finir tellement j'avançais avec réticence.