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Voilà une bonne BD pour moi. Un dessin qui retranscrit bien l'ambiance du monde créé, une critique de notre société actuelle à coup d'aphorismes qui restent en tête. De bonnes surprises aux détours des pages, des phrases qui marquent, une ambiance qui me fait un peu penser à "Bienvenu à Gattaca", bref pour moi une réussite. Le seul point décevant est la deuxième moitié que je trouve plus convenu et moins riche, chaque case était un plaisir à découvrir sur toute la première moitié de la BD quand la seconde se déroule sans parvenir à maintenir le plaisir des dialogues précédents. Même si la première moitié de la BD est clairement un moyen d'exprimer un message via les protagonistes, leur offrant parfois des discours qui sont un peu étonnants dans le contexte de l'histoire, j'ai été très heureux de la lire et de voir dit avec finesse ce que beaucoup d'entre nous pensent sur notre monde actuel.
Les dessins m'ont plu, un style qui fait un peu penser à Peeters et qui est réussi. Mais malheureusement le scénario est très convenu, les humains sont violents et détruisent tout, le monde naturel est mieux sans eux. Discours que l'on entends de nos jours une bonne 20aine de fois quotidiennement, donc comme base de scénario BD pourquoi pas, mais il faut que cela soit un point de départ à un développement original, ce qui n'est pas le cas. Une BD plaisante grâce aux dessins mais que le scénario me fait malheureusement vite oublier.
L'ambiance graphique m'a plu c'est la raison des 2 étoiles. Les dessins ont réussi à me mettre dans l'ambiance SF de la BD. Malheureusement pour moi cela s'arrête là. Le scénario est très limité, ce qui me gêne beaucoup, comparez au scénario d'un album Cycle de Cyan ou Universal War 1 par exemple. Ce que je retrouve de plus en plus en BD dorénavant des scénario très peu développé, il ne se passe pas grand chose, pas de surprise, pas de richesse imaginaire, personnellement j'en demande plus, mais le dessinateur a su nous plonger dans l'ambiance.
Allez, soyons sympa, c'est pas mal, en fait je met 3 plutôt que 2 étoiles parce-que la BD fait son boulot, l'ambiance SF ressort bien, on y est et on prend plaisir à découvrir les lieux, l'histoire. Pas fan des dessins, qui rendent bien pour les décors mais le photoréalisme sur les personnages me gêne.
En fait le défaut : 1 tome qui en aurait mérité 2 ou 3 pour travailler les situations et les personnages. Là l'attachement du personnage principal à la mystérieuse jeune femme va trop vite, est peu crédible, un peu artificiel, comme d'autres situations d'ailleurs.
A lire mais tout dépendra de la suite ...
La Banque une BD qui porte bien mal sont nom.
En achetant cette album je m'attendais à un "maîtres de l'orge" mâtinée d'histoire et de mécanismes financiers.
Les graphisme sont très agréable, je trouve qu'ils sont parfait pour les décors, moins adaptés aux personnages. Les personnalités des héros nous permettent une identification et on s'implique rapidement dans leur vie, le lien avec la période historique est aussi très bien intégré à l'histoire. Tout cela augurait beaucoup de plaisir à venir...
Mais... En ce qui me concerne LA déception est l'absence totale de travail sur les mécanisme financier à l'oeuvre, on peut découvrir en quelques cases des bonnes ou mauvaises fortunes sans que ne soit même abordé ce qui est réellement arrivé... En deux temps trois mouvement c'est la réussite financière, comment on n'en saura jamais rien, ou à l'inverse la chute, comment on n'en saura rien non plus.
Au final "La Banque" aurait dû s'appeler "Les petites histoires de Charlotte". Donc j'ai été énormément déçu de l'absence total d'explication sur la vrai histoire de La Banque, sur les mécanismes financiers tout cela que j'aurais aimé voir développé au sein d'une histoire prenante.
Je déconseille donc cette BD qui reste si ce n'est médiocre, en tout cas moyenne et bien en deça des espérances qu'elle fait naitre
Carthago est du Bec classique c'est-à dire une copie en BD des Blockbusters cinématographiques américains. Cela va du divertissant et agréable Avatar au navet intersidéral qu'est Independance day.
Pour Carthago on est à mi-chemin, des personnages archétypes voire caricaturaux et peu réalistes une fois que l'on a plus de 16 ans. Utiliser le sensationnel sans trop se soucier de la vraisemblance, Bec fait une série subaquatique et se renseigne à minima sur la plongée ce qui amène 2-3 cases avec des dialogues à s'écrouler de rire où l'on sent la copie de quelques lignes d'un site internet sur la plongée sans comprendre ce que l'on écrit... Assez pathétique, un j'menfoutisme évident du lecteur et aucun travail sérieux de documentation de Bec sur le sujet principal de sa BD...
Mais bon si on met son cerveau sur pause on passe un agréable moment, du Bec, du médiocre mais qui divertie.
Je découvre depuis peu Andreas (par Rork et Cromwell stone). J'aime son univers, son trait, ses découpages qui donne toute l'ambiance si particulière de cet auteur.
Pour ce tome, je ne retrouve pas l'Andreas de Cromwell stone, mais quand même pas de doute c'est du Andreas à la sauce Dr.No de james bond, pourquoi cet impression de james bond vintage ? Je ne sais pas mais ça m'a plu. C'est un bon début pour une série qui donne envie de continuer et de prolonger le plaisir de plonger dans le monde qu'Andreas héberge dans ses neurones.
Je découvre depuis peu Andreas (par Rork et Cromwell stone). J'aime son univers, son trait, ses découpages qui donne toute l'ambiance si particulière de cet auteur.
Pour ce tome, ce fut agréable, quelques découpages "Andreassien", un dessin agréable mais sans plus, une histoire sympathique mais sans plus, on est dans le un monde en construction et si la patte d'Andreas est là elle est pour moi plus discrète que mes autres lectures.
Les 3 premiers épisodes était plutôt bien mais les deux derniers se dégradent très sérieusement, le 5 devient calamiteux. L'histoire ne présente plus aucun intérêt, la fin est d'une mièvrerie incroyable, cette série s'est transformé en BD jeunesse de mauvaise qualité. Les personnages perdent toute consistance, les quelques faits sont expédiés de manière baclé sans imagination, et le seul mystère de la série est éclipsé, une catastrophe.
L'une de mes plus grandes déception en BD, Léo aurait mieux fait d'attendre que l'inspiration revienne avant d'écrire la fin de la série.
J'ai bien peur que pour Léo suive le syndrome Corbeyran, Van Hamme, alors que j'achetais en me basant sur l'auteur je me mets à fuir leurs créations... Misère moi qui ai tellement apprécié la naïveté onirique d'Aldébaran... La chute n'en est que plus rude...
Je découvre Rork avec l'intégrale attiré par les louanges faites à Andreas et je suis assez déçu. La faute en est au format des histoires.
Créées pour le journal de Tintin j'ai du mal à les apprécier aujourd'hui. Beaucoup trop courtes, tout nous est servi en 3 pages, on n'a absolument pas le temps de s'immerger dans l'ambiance ni de s'attacher au personnage. Le pire pour moi et la frustration de voir le mystère des histoires révélées en 4 cases. De plus certaines idées (je ne spoilerais pas) qui étaient certainement prenantes dans ces années là où Thorgal commençait (il y a un lien...) font aujourd'hui un peu vieillotes.
Je pense que l'on est face ici à une BD qui a mal vieilli et donc qui n'est pas un chef-d'oeuvre. Néanmoins ayant lu le tome 0 (lui récent) que j'ai beaucoup apprécié je continue à lire en attendant avec impatience l'arrivée de vraies histoire à la longueur correcte, faisant plonger progressivement le lecteur dans le monde d'Andreas sans lui retirer au bout de 4 pages.
Daytripper traite des choses importantes de la vie avec une justesse émotionnelle stupéfiante, jamais trop jamais pas assez, le juste équilibre est trouvé pour faire naitre chez le lecteur réflexion et émotions.
Le choix narratif est particulièrement judicieux, les sauts permanent dans la ou les vies du personnage rebattent les cartes afin de souligner individuellement ce qui est important, tout le monde se retrouvera dans Daytripper pas forcément avec la même intensité aux différents moments de(s) histoire(s) mais je doute que quiconque ne puisse pas soudainement se faire surprendre par ses propres émotions aux détour d'une page.
Voilà une belle histoire humaniste. Le cadre est assez original et parfaitement mis en image, encore mieux dans le livre 2 à mon goût.
On plonge dans cette histoire, on se lie facilement aux personnages et aux relations entre eux, ça et là quelques leçons de vie à ne pas louper et à réfléchir, le tout parfaitement mené nous faisant ressentir les émotions des différents protagonistes, du début du livre 1 à la fin du livre 2.
Il m'a fallu quelques instant après avoir terminé la dernière page pour quitter ce monde, ces personnages, ces émotions. En ce qui me concerne Labiano a réussi à faire résonner quelques choses en moi, ce que j'aime particulièrement quand je lis un livre, une BD ou regarde un tableau, Bravo.