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Quand j'ai vu la couverture, j'ai pensé au film Billy Eliott. Ce n'est pas vraiment ça quoiqu'il y ait bien la volonté du "héros" d'aller vers son but. Ici, le personnage principal est danseur mais avec une envie de danser autre chose. Il lui faut quitter son confort pour y accéder. Gay, il fait des rencontres dans les pays où il réside successivement qui lui donneront la possibilité de danser différemment...mais aussi de vivre différemment.
Un beau parti pris avec un choix de cases sans dialogues très parlantes, une mise en place des corps et des attitudes très pertinentes, une émotion souvent à fleur de peau.
Je comprends que Vehlmann soit enthousiaste.
Comment raconter la vie d'une autrice sulfureuse sans la trahir et sans faire tomber rapidement la bd des mains du lecteur ? Pari difficile que réussit avec talent et délicatesse Léonie Bischoff.
La couverture permet de se douter du travail en dessin et en couleurs et, par sa composition, se veut et est le reflet du déroulement du scénario autour de son journal intime.
Superbe travail !
Rien que pour le dessin et l'aquarelle, il faut lire cette bd.
Côté scénario, l'histoire se tient et comporte quelques surprises, même si à un moment on se demande s'il ne nous refait pas le coup d'une autre bd.
Pas un chef d'oeuvre, mais un bon moment passé. A la différence du flic, je relirai avec plaisir d'ici quelque temps.
La claque. Comment en quelques cases, quelques planches, quelques histoires courtes, éveiller les consciences, dénoncer des totalitarismes dont nous sommes les 1ers à être complices, sans pour autant courir le risque de la censure ou pire pour son auteur. Scenarii sur le fil du rasoir, dessins qui accompagne parfaitement.
Chapeau bas, Ersin Karabulut !
Le découpage est assez déroutant de prime abord mais en y réfléchissant (hé ouais, on peut réfléchir avec une bd!) cette plongée plus ou moins généalogique et autobiographique peut difficilement s'appréhender en un bloc. C'est plutôt bien typé sans être caricatural y compris sur les éléments culinaires (miam!). Il est intéressant de voir comment ces immigrés-émigrés 1ère-2ème génération ressemblent à ceux d'autres pays venus plus tard et encore à l'heure actuelle. On y voit aussi l'impact du présent de la mère patrie sur leur attitude. J'y vois aussi un parallèle avec la communauté turque aujourd'hui que je côtoies régulièrement (je ne fais pas de jugement de valeur!).
Un 1er tome qui ne laisse pas indifférent.
je ne suis pas un fan absolu de Prugne mais honnêtement je me suis régalé. L'histoire n'a rien d'extraordinaire a priori mais la manière dont elle est contée me paraît convaincante.
Que dire du travail graphique et de la couleur ? C'est vraiment magnifique, peut-être encore plus sur les scènes d'action.
A ne pas louper
je ne vais pas reprendre les termes d' ALICECOOPER et kingtoof mais je suis assez d'accord avec eux.
A la différence de TER, je me suis vite ennuyé même si graphiquement c'est très bien léché.
Une course poursuite loufoque et cruelle mêlée à une course au "trésor". Un dessin qui manque de régularité mais avec des moments de qualité.
Si on n'a rien d'autre sous la main, on peut lire
Mitigé. Du bon et du un peu moins bon tant scénaristiquement que graphiquement. Il y a un côté exagéré qui me gêne. Par contre, l'intrigue est intéressante et l'insertion dans une NY loin d'être clinquante est bien retranscrite. Ca reste un album qui se laisse lire et ravira ceux qui apprécient ces auteurs.
J'ai découvert Lapone avec Adam Clarks (2014) et franchement son travail sur Gentlemind est encore plus percutant. Les décors années 50 sont particulièrement soignés et paraissent réels. Les unes de la presse américaines font partie intégrante de l'intrigue rondement menée par les scénaristes.
Un joli cocktail dans lequel une héroïne à forte personnalité dame le pion à ces messieurs condescendants.
En sera-t'il de même dans le T2 ?
Le travail de Zanzim met vraiment en valeur un scénario d'Hubert nettement plus profond qu'une réflexion sur l'homosexualité. Le recours à l'extraordinaire sert le récit qui porte sur les sentiments éprouvés, les frustrations ou les interdits vus et subis par une jeune femme à l'orée de son mariage puis dans les mois et années qui suivent. L'époque choisie (XIVème siècle vraisemblablement), juste à la sortie d'un Moyen Age à la religiosité inquisitoriale, est particulièrement judicieuse.
Un bon moment de lecture
Je fais partie de ceux qui n'ont pas accroché avec Shangri-La. faudra que j'y revienne...
Celui-là m'a attiré et je ne regrette pas mon achat. Est-ce le thème, le dessin, la mise en page ou la colo ? Non, c'est un peu de chaque qui forme un tout cohérent. L'avantage supplémentaire que j'y ai trouvé est de pouvoir le lâcher et le reprendre sans s'y perdre grâce au séquençage par période.
Une bonne surprise en ce qui me concerne.
A partir des carnets particulièrement précis de Louis Barthas, Fredman réussit la prouesse de nous faire ressentir la réalité de ce que Barthas et ses compagnons ont vécu. On sent au delà de l'horreur de la guerre, de la connerie sanglante des états-major, cette boue qui les cerne, les engloutit. Un dessin minutieux rehaussé par une colo pertinente. Beau travail.
Surprenant, parfois déroutant mais mené avec maestria. Beau travail qui m'a donné envie de le relire en écoutant Monk (Thelonious alone in San Francisco). liste d'enregistrements en fin de bd très pertinente
Comparer au gourmet solitaire de Taniguchi ? Après tout, pourquoi pas ! Agréable à lire parce que cohérent, avec un graphisme sûr et bien colorisé, l'histoire d'Emma, de sa candidature à la présentation de son cuisinier atypique en passant par son initiation au pas si glamour métier d'inspectrice du Guide Michelin, nous entraîne dans les coulisses des critiques gastronomiques.
En plus, Emma nous "fait goûter" les plats avec des commentaires d'une vraie amoureuse de la cuisine....Ca m'a donné envie d'aller dans un bon restau juste après.
le genre d'album qui se laisse lire d'une traite au travers d'un scénario certes classique mais bien mené. Le recours au flash back permet un dynamisme que n'autoriserait pas une biographie au fil du temps. Gaël Séjourné, de son côté, rend une copie réaliste, bien documentée : les lecteurs "sudistes" reconnaîtront les lieux tels le Vieux Port ou un bout du quartier du Panier. Les ambiances sont bien rendues, rehaussées par une mise en couleur de qualité due à Jean Verney.
Je lirai avec intérêt le T2 en espérant que sa qualité soit identique à celui-là
Dodier faisant du bon Dodier, que demander de plus ? Encore un petit bout de Jérôme qui se dévoile dans une histoire sombre.
Ceux qui aiment JKJB (+ le travail scénaristique et graphique de Dodier !) vont se régaler, les autres passeront à côté... malheureusement pour eux
Je ne suis pas un fan de Cosey (à la différence de mon épouse...) mais bon, comme je le lui offert, j'ai quand même voulu lire cette bd.
Je ne regrette absolument pas. L'idée scénaristique est intéressante, pas sans défaut certes (pathos) et Cosey a dû s'amuser à nous la concocter.
Quant au dessin et à la mise en page, chapeau l'artiste ! Elégance, profondeur et poésie ? Avis partagé avec A. Perroud.
Ne passez pas à côté, c'est vraiment du beau travail.
Superbe travail graphique et de mise en couleur de Mikaël(se rapporter à la critique de L. Moeneclaye).
Pour le scénario, j'attends le 2 pour me prononcer. Le contexte est cependant intéressant avec un personnage principal quasi mutique, plutôt asocial dans un New-York qui construit ses gratte-ciels au début des années 30.
Par contre, lui, a priori peu concerné par les autres, se fourvoie dans une correspondance avec une veuve irlandaise (qui ne sait pas qu'elle est veuve) en se substituant au collègue décédé. Comment l'auteur va gérer cette intrigue un peu mièvre et pour le moins convenue ? Et les conséquences puisque celle-ci apparaît avec ses enfants sur un bateau en approche de N-Y sur l'avant-dernière case. Et elle est sur la couv du T2 non encore paru.
Ca n'empêche qu'il serait dommage de passer à côté de ce T1, pourvu d'un cahier graphique démontrant le talent de cet auteur.
La dame de fer n'est pas celle à laquelle on pense de prime abord même si Thatcher est évoquée.
Elle est sur la couverture et est le fil rouge entre passé et actualité.
Scénario basé sur ce que sont devenus les 3 protagonistes principaux face aux aspirations de l'époque des Clash.
Pas mal mais pas foudroyant. A lire pour passer le temps
Après lecture de cette bd distrayante et de son cahier graphique éclairant, on comprend mieux pourquoi Lamontagne a arrêté Aspic.
C'est sûr, cet équipage improbable fonctionne bien et le scénario prenant appui sur un fait véridique nous fait apprécier ce duo.
Le talent graphique de Lamontagne est indéniable, tant dans les décors que dans les attitudes des personnages.
Quant à la mise en couleur par Scarlett Smulkowski, ça frise, comme à l'accoutumée, la perfection.
Une nouvelle série qui devrait trouver son public.
Encore un petit fait historique que Kris porte à notre connaissance. De là, l'auteur nous propose une histoire dans l'Histoire, gentiment mise en image par Jean-Claude Fournier. Personnellement, j'aime le travail graphique de cet éternel gamin de 74 ans qui s'est caricaturé sur quelques cases de ce T1. C'est très doux, très rond comme le personnage principal de l'intrigue sans que cela soit mièvre.
Ca paraîtra conventionnel à certains mais ça change de certaines prises de tête avec un dessin foutraque.
Et puis, pour une fois ce sont les noirs (africains se revendiquant à juste titre français) qui sont campés positivement...
La série reste de qualité et Emmanuel Despujol s'en tire plutôt bien. Ce T6 clôture de manière cohérente ce diptyque tout en ouvrant sur une possible nouvelle enquête : celle des circonstances réelles du décès de la mère de Flora.
L'histoire est bien menée, entre rebondissements et humour et le dessin (mais aussi la colorisation) est en phase avec le déroulé de l'enquête. Un bon point pour l'expressivité des visages et le soin apporté aux décors. Ok ce n'est pas Lamontagne mais il y largement pire en matière de reprises.
Après un T2 que j'avais moins apprécié que le T1, ce nouvel opus confirme la qualité du projet et le talent des auteurs. Ce T3 permet d'éclairer la personnalité des principaux protagonistes et incite à une relecture des tomes précédents.
Il y a donc bien une cohérence scénaristique et pas simplement des histoires sans lien les unes avec les autres. Servain fournit un travail de qualité pour nous faire baigner dans cette ambiance particulière de La Nouvelle Orléans.
Morancho ? Hé ben, ouais, Morancho ! J'avais lu les 2 premiers (sympas mais pas de quoi sauter au plafond) et j'avais trouvé que le dessinateur était doué (dessin et colo).
Sur le T3, qui vient après le "7 athlètes" avec Kris, Morancho fait la démonstration de son talent et des progrès énormes qu'il a réalisé.
Avec des cases très cinématographiques, son travail est magnifique de précision, notamment pour les fans de cette époque. Sa colorisation très poussée permet de reconnaître instantanément sa patte.
Le scénario s'inscrit bien dans les faits historiques de l'année 1962 (belle documentation) et l'héroïne n'est plus la femme-enfant du début de cette série.
Bref, ce serait dommage de passer à côté de l'éclosion d'un nouveau grand, David Morancho.
Il y a du beau monde à Barcelone et il ne dépareille pas !
J'ai longuement hésité entre "1=sans intérêt" et "2=correct sans plus".
Tant scénaristiquement que graphiquement, c'est un album à oublier. Non, il n'est pas au plus près des canons prattiens (d'ailleurs qu'est-ce que ça veut dire ?), il est aux antipodes. Car il manque ce supplément d'âme qui aurait fait que les repreneurs en ne tentant pas de copier Pratt auraient su imprimer leur propre patte et donner une seconde jeunesse à un héros pourtant intemporel.
Désolé, mais c'est franchement loupé !
Dommage ! Le 1er de ces 2 auteurs laissait espérer mieux.
Sans atteindre la qualité du Valérian par Manu Larcenet, cet album est agréable à lire. Tout n'est peut-être pas parfait dans le scénario de Lupano mais l'aventure de nos 2 héros est traitée avec humour et dérision. En plus, je sais enfin d'où vient l'origine de la vie sur Terre.
Le travail de Laufray est certes inégal mais reste toutefois de qualité.
Dans l'ensemble, un album que les fans de l'original, dont je suis, ne manqueront pas d'apprécier.
Ce t2 confirme la qualité narrative du 1er en en accentuant la dramaturgie.
Le travail graphique de Yao Xu est de qualité tant pour les personnages que pour les décors. Le découpage choisi permet de mettre en exergue certaines cases voire parfois des planches superbes.
Beau travail scénaristique de Galic et Kris (ce dernier étant celui qui a découvert le livre relatant cette histoire vraie) parfaitement rendu par le dessin de Damien Cuvillier. Les différentes atmosphères sont particulièrement mises en valeur par une couleur directe de qualité et bien choisie à chaque fois.
si vous avez la possibilité de découvrir les planches de cette bd, ne passez pas à côté.
Au vu de la production de cet éditeur, j'étais réticent mais mon libraire indépendant a su me convaincre. Et il a eu raison. Bon pas de quoi en déduire que c'est un must mais pas mal quand même.
Côté scénario : riche et touffu avec de belles références. Après un début un peu lent, l'accélération donnée se retrouve dans le dessin de son frangin.
Dessin : une découverte . Le dessinateur a du talent : il a le sens du mouvement et sait faire bouger ses personnages. Son trait est empreint de virtuosité. Mais il a du mal à canaliser son énergie graphique ce qui donne parfois des scènes pas facile à comprendre. Ce qui sûr c'est que ce gars a son style qui devrait taper dans l'oeil des majors.
Colorisation : du bon (voire très très bon) et du "peut mieux faire"
En conclusion, un tandem plein de qualités qui produit une bd bien au dessus de la moyenne. Pourvu que le 2ème tome soit encore mieux ! (parce que éditeurs lecteurs, laissez-moi rire ! Comme au poker, ils misent pour voir, gnark gnark !)
Si on occulte la partie de scénario concernant Champignac et le champignon noir qui tourne en eau de boudin et ne sert strictement à rien, cette bd est superbe. Avec Franck Pé au dessin, on atteint même des sommets : ses animaux sont sublimes et les personnages sont "humanisés" de belle manière. Oui, j'ai retrouvé la tendresse et le message de "Bravo les Brothers" avec un Noé qui ne sait toujours pas gérer les relations entre lui et les autres mais qui est fantastique avec les animaux.
Alors, oui, le scénario aurait pu être mieux sans ce qui ne sert à rien sinon meubler pour arriver au nombre de pages voulues. Mais il n'empêche que ce serait dommage de passer à côté de cette bd pour ce qu'elle a de novateur et pour son dessinateur.
L'idée est séduisante : faire se rencontrer Oliver Twist et Peter Pan.
a priori, le scénariste s'est bien documenté et bien approprié les personnages. La fin du T1 me fait craindre une dispersion avec la machine à remonter le temps de Wells.
Côté graphisme, j'ai un peu de mal. Non pas que le dessin soit de mauvaise qualité. C'est bien dessiné mais de manière classique, un peu trop rond, trop "beau" même pour Fagin et les bas-fonds londoniens...
En ce qui concerne la colorisation, un peu plus de contrastes et de "noirceur" aurait peut-être atténué le "trop joli" dessin.
Une amazone ou équivalent avec un parcours atypique l'amenant à combattre dans les cirques romains ? Pourquoi pas !
Le dessin d'Alcala semble meilleur sur les scènes de violence. Doit aimer le trash, le gars :)
La colorisation peut surprendre mais elle sublime dans bien des cas le dessin.
Impression plutôt positive. A confirmer avec le T2
Tout simplement splendide ! On retrouve le grand Emmanuel Lepage, un peu perdu de vue avec ses précédents ouvrages inscrits dans le réel.
J'approuve sans réserves la critique de Houriez.
221 pages de cette qualité (merci aussi à Follet) + quelques pages de repros de fusain pour moins de 30 € , c'est tellement rare.
Merci aussi à l'éditeur
En refermant cette bd, on se sent bien. Apaisé diront certains. Une histoire bien contée, avec un découpage intéressant, une mosaïque de tableaux et une colorisation réussie.
Faut-il une âme d'enfant pour apprécier cet album ? Peut-être, bien que je trouve cela réducteur.
En tout cas, un beau travail.
Habituellement je suis assez rétif à la SF et totalement allergique aux zombies. Mais comme on m'a offert la bd, autant la lire.
La couv : en mettant en regard la 1ère et la 4ème, je comprends mieux le titre.
Le dessin : inégal et amenant quelques confusions de personnages (Pdt USA notamment)
La colo : soutient bien le dessin voire même l'améliore sur certaines cases
Le scénario : original et bien construit. Les planches "en parallèle" sont une bonne idée. Un storyboard assez cinématographique.
En conclusion : pour une fois, je me suis laissé entraîner dans ce type de bd sans m'ennuyer un seul instant. Il n'y a pas de quoi crier au génie mais c'est d'un bon niveau. Espérons pour les auteurs qu'ils trouvent le financement du T2 que je lirai avec attention.
Bon polar avec une intrigue plutôt bien menée. Le "héros" n'est pas particulièrement sympathique et son passé moins reluisant que ce qu'il veut faire croire va lui revenir façon boomerang.
Mais cette bd est à lire car son originalité vient des scènes d'escrime parfaitement dessinées, du découpage et du choix de la colo en nuances de gris.
L'éditeur, c'est Scutella (pas Sandawe), une petite boîte d'Angoulème qui a choisi une couverture agréable au toucher et un format facile à prendre en main.
La preview m'avait intriguée. A priori, le gars avait une patte qui sortait de l'ordinaire.
Plutôt méfiant s'agissant d'un premier album où Bones a tout fait. ..
Et non, la qualité graphique est là et en N&B ça doit rendre un max. Bones fait son job pour la colo ('toshop, non ?)
Côté scénario, ça tient la route même si la fin aurait être plus développée. Problème de budget ?
C'est un T1 qui peut être considéré comme un one-shot même si je me doute que l'avant-dernière planche laisse la porte ouverte.
S'il lui vient l'idée de réutiliser l'allemand ou toute autre langue que comme tout bon français qui se respecte ^^ je ne parle ni ne comprends un mot, merci de prévoir une traduction en fin de bd parce que reverso ou google trad c'est pas tiptop.
En conclusion, ne passez pas à côté de cette bd même si vous n'êtes pas clients de fantastique : le gars Bones, vous en entendrez sûrement reparler.
c'est surtout l'histoire de celle qui a été sa servante, voire son objet, pendant 10 ans. Elle est apparemment tirée du livre qu'elle a écrit en 1973.
l'histoire d'A. D-N n'apparait qu'en filigrane ( à l'inverse d'une bd "A.D-N, les chemins de Lhassa" qui raconte sa quête pendant 15 ans). Ici, le dessin est plus proche de la réalité tant pour les personnages que pour les lieux.
Découpage scénaristique intéressant mais à condition que la 2ème partie soit moins axée sur la fin de vie de cette forte femme et plus ce qu'elle a mis à jour.
Lu dans Spirou, donc avant sa sortie. Ok pour le dessin personnel et moderne, ok pour la colo mais au niveau scénario on n'est pas loin du niveau zéro !
Honnêtement, autant Choc T2 donnait envie d'avoir le Spirou de la semaine d'après, autant ce Lucky Luke est tristounet. Même les clins d'oeil sont poussifs et non pas inventifs.
Je suis vraiment déçu.
ca change un peu des scénarii habituels. Superbe dessin aussi.
Dommage que la colo écrase certains dessins (les couv alternatives et les crayonnés en fin de volume sont très intéressants)
un scénario historique cohérent mêlant réalité et fiction.
Un dessin centré sur les personnages qui sert l'intrigue.
Pas mal
La claque ! Je ne connaissais pas "La légende des nuées écarlates" mais je vais me pencher dessus très vite.
Scénario, dessin et colo de qualité pour le T1. Pourvu que ça dure jusqu'au 4 inclus !
Un dessin a priori basique et un humour de situation décapant (effectivement, Andy Capp n'est pas loin)
Assez partagé : la 1ère partie et la dichotomie riches-pauvres avec un dessin et une colo plutôt réussis font penser à une superbe bd. Mais la 2ème qui part vers un horrible où l'indicible se mêle au pathétique freine la lecture. D'un côté, envie de lire la fin de l'histoire et de l'autre crainte de vomir au regard des 3 dernières planches et de la dernière case...
Pas besoin de beaucoup de dialogues. Un dessin sobre mais fouillé est à lui seul expressif.
Une page historique inconnue qui vaut le détour.
Esthétiquement, c'est superbe. S'agissant d'êtres vivants minéraux, la physionomie androgyne voire féminine des personnages a priori masculins est une belle opposition avec la noirceur des Sélésiens.
Phos est un maillon faible pour les gemmes qui va sans doute se révéler à lui-même dans les prochains tomes.
Pas vraiment étonné que ce titre soit apprécié.
Ce serait dommage de passer à côté.
Un T1 prometteur même si je ne partage pas l'enthousiasme sur la colo. Par contre, le dessin et le caractère cinématographique des cases, c'est top !
La bascule sur le fantastique peut surprendre mais pourquoi pas après tout ?
Une entrée en matière : voilà ce qu'est ce T1. Va falloir faire fort pour boucler avec le T2 avec un scénario qui traîne en longueur sur le 1.
Le dessin de Murzeau, avec lequel j'ai eu du mal lors de la mise en ligne du projet, est inégal: parfois superbe et parfois approximatif.
Malgré cela, on a envie de lire la suite face à pas mal d'éléments intrigants.
PS : j'ai financé au même niveau que Bruno le T1 et bien plus modestement le T2
Pour une fois, pas de papier glacé.
Un bon point pour l'éditeur.
L'idée et le traitement paraissent de bon aloi. Ca fait penser à ce qui se faisait il y a 20-30 ans et qui n'ose plus, à tort, se faire. Deuxième bon point
Le problème est que je n'en ai plus à distribuer. Le dessin me paraît insuffisamment maîtrisé et il y a des planches où la colo ne le rattrape pas, voire l'amplifie.
Dernier élément : je fais partie de ceux qui ont financé la bd. Serais-je sur le 2 ? Ce serait dommage pour le scénario de ne pas connaître la fin et le dessinateur aura plus d'expérience et d'assurance. Ce sera donc vraisemblablement oui
Si vous cherchez une bd qui vous parle de la boxe, c'est celle-là!
Magnifiquement servi par le dessin et la colorisation de Michel Colline, le scénario de Fred Le Berre vous fait découvrir ce sport au travers de 2 destins aux trajectoires différentes mais au but identique : être LE champion.
Ernesto, le colombien, sa salle d'entrainement, c'est la rue avec ses combats pour survivre sur son territoire où se deale la blanche. C'est de là qu'il va tirer sa force et son talent exceptionnel pour rejoindre le ring.
Yuri, le cubain, c'est la salle avec ses odeurs de camphre et de sueur. C'est aussi un combat à la vie-à la mort, plus feutré en apparence, pour être le meilleur dans un pays où la boxe sert la propagande politique.
Un seul bémol : une utilisation récurrente de termes espagnols peut rebuter certains.
Le T2 est attendu avec impatience!
Enfin une BD qui détonne dans le concert lénifiant des sorties!
Un tour d'horizon des hypothèses post mortem avec un magnifique "arbre de vie (paradoxal, non ? ;o) avec un humour qui me parle.
C'est le type de Bd qu'il faut lire plusieurs fois pour bien goûter les références et les clins d'œil.